< Dédicaces
XXI
XXI
À PATERNE BERRICHON
Tous deux avons ce travers
De raffoler des bons vers
Et d’aimer notre repos.
Aussi tout, jusqu’aux hasards,
Punit sur nos tristes peaux
Ces principes de lézards.
Alors parfois nos rancunes,
Ne connaissant plus d’obstacles,
Œuvrent sans mercis aucunes,
Toutes sortes de miracles ;
Si que le pante morose
S’indigne que, mal civile,
La muse métamorphose
Le lézard en crocodile.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.