< Histoire naturelle

Traduction par Émile Littré.
Dubochet, Le Chevalier et Cie (p. 1-98).
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HISTOIRE NATURELLE
DE PLINE.





LIVRE I.


PRÉFACE.

C. PLINIUS SECUNDUS À SON CHER TITUS CÉSAR, SALUT.

Les livres de l’Histoire Naturelle, très-gracieux empereur (je vous donnerai, si vous le permettez, ce titre si mérité, puisque celui de très-grand est attaché à la vieillesse de votre père), les livres de l’Histoire Naturelle, ouvrage nouveau pour les muses de vos Romains, et dernier travail sorti de mes mains, seront le sujet de cette épître familière. Épître familière : car vous voulez bien attacher quelque intérêt à mes bluettes, citation de Catulle (1), mon pays (vous reconnaissez ce mot militaire), et j’ai besoin de me couvrir, en passant (2), du poëte qui, vous le savez, on lui avait dérobé ses premières serviettes de Sætabis (3), fit un peu le mauvais, les estimant, d’après ceux qui les lui avaient données, ses chers Veranius et Fabullus. Épître familière : car, grâce à la liberté que je prends, la publicité s’en emparera (tout récemment vous vous êtes plaint qu’il n’en ait pas été ainsi à propos d’une autre lettre de moi sans façon), et chacun saura sur quel pied d’égalité vous mettez l’empire vis-à-vis de vous. Triomphateur, censeur, six fois consul, partageant la puissance tribunitienne, et (ce qui est encore plus grand de votre part, puisque c’est un service rendu à la fois à votre père et à l’ordre équestre) préfet du prétoire, voilà tout ce que vous êtes pour la république, sans cesser d’être pour nous autre chose qu’un camarade d’armée. Rien en vous n’a été changé par la grandeur de la fortune, si ce n’est que vous pouvez faire tout le bien que vous voulez. Aussi, tandis que les respects des autres ont accès près de vous par tous ces titres, nous n’avons, nous, pour vous honorer, que la familiarité et l’audace. Cette audace, vous vous l’imputerez ; et, en nous pardonnant notre faute, c’est à vous que vous pardonnerez.

J’ai secoué toute honte, et je n’en suis pas plus avancé ; car voilà que, par une autre voie, vous reparaissez dans votre grandeur, et plus loin qu’avec le licteur vous nous écartez avec les faisceaux du génie. De qui dira-t-on avec autant de vérité qu’en lui éclatent la puissance de la parole et l’éloquence de la magistrature tribunitienne ? 5 Comme votre voix tonne pour les louanges d’un père ! comme elle se complaît dans celles d’un frère. Quelle hauteur vous atteignez dans la poésie ! Ô fécondité d’un grand esprit ! vous avez voulu même imiter votre frère, et vous y avez réussi. Mais qui peut envisager sans effroi une telle supériorité, au moment de se soumettre à votre jugement, et à un jugement provoqué ? Il est tout différent d’adresser un livre au public, ou de vous le dédier nominativement. Dans le premier cas, je pourrais dire : Pourquoi me lire, grand empereur ? Ces choses sont écrites pour l’humble vulgaire, pour la foule des agriculteurs et des artisans, enfin pour ceux que les lettres n’occupent pas. Pourquoi vous constituer juge, vous qui, au moment où j’écrivais, n’étiez pas sur la liste ? 6 Je vous savais trop grand pour croire que vous descendriez jusque-là. D’ailleurs le droit commun autorise à récuser même les savants. Ce droit de récusation, Cicéron en use, lui placé, pour le génie, au-dessus de toutes les chances ; et, chose singulière, pour en user il prend un avocat : Ce que j’écris ici, j’en défends la lecture au très docte Persius, je la permets à Junius Congus. [5] Si Lucilius, qui créa le style satirique, a cru devoir s’exprimer en ces termes, et Cicéron les emprunter même en composant son beau traité de la République, combien n’ai-je pas plus de motifs pour récuser certain juge ? 7 Mais je me suis enlevé ce moyen de défense par ma dédicace ; car c’est tout autre chose d’avoir un juge par le sort ou de le choisir, et l’on traite avec bleu plus d’apparat un hôte invité qu’un hôte d’occasion. Lorsque Caton [6], cet ennemi de toute brigue, joyeux


d’un refus comme d’un honneur acquis, devenait, dans le feu des élections, dépositaire des sommes que les candidats lui remettaient, ils déclaraient, en agissant ainsi, prendre le plus grand engagement de probité qu’il y eût alors au monde. 8 De là cette célèbre exclamation de Cicéron : Heureux Caton, à qui personne n’ose demander une chose injuste ! Quand L. Scipion l’Asiatique en appelait aux tribuns, parmi lesquels était Gracchus, il déclarait se soumettre au jugement même d’un ennemi ; tant il est vrai qu’en choisissant son juge on en fait un arbitre suprême. De là vient la dénomination d’appel.

Vous, placé au faîte le plus élevé parmi les hommes, vous, doué de tant d’éloquence, pourvu de tant de savoir, ceux qui viennent vous saluer ne vous approchent, , je le sais, qu’avec un respect religieux ; aussi est-on, entre autres, infiniment soucieux de ne vous adresser rien qui ne soit digne de vous. 9 Mais les campagnards et beaucoup de nations ne font aux dieux offrande [7] que de lait et de gâteaux salés, n’ayant point d’encens ; et jamais ou n’a reproché à personne d’honorer les dieux comme il le pouvait. Ce qui aggrave encore ma témérité, c’est que le livre que je vous dédie est un travail peu relevé ; il n’a point de place pour le génie, d’ailleurs si médiocre en moi ; et il n’admet ni digressions, ni discours ou développements, ni événements merveilleux, ni aventures variées, ni autres détails agréables à conter ou à lire. 10 Matière stérile, la nature des choses, c’est-à-dire la vie, en est le sujet ; et encore dans ce qu’elle a de plus bas, exigeant souvent l’emploi de termes de la < Pneracs. 3

pagne, de mots étrangers, barbares même, ou qu’il est besoln de faire précéder d’une excuse. D’ailleurs, la vole ou j’entre n’est pas famillere aux auteurs, ni de celles où l’esprit alme ù s’engager. Nul chez nous n’a fait cette tentative, nul ches les Grecs n’a embrassé seul tous ces objets. Nous cherchons en général les agréments de l’étude ; aussi, les œuvres qui passent pour tralter de choses infiniment ardues demeurent dans Il l’obseurlté et dans l’oubil. De plus, il me faut toucher ù tout ce que les Grecs renferment dans le mot d’encg/clopédie : et cependant il est des points ou lgnorés, ou que la subtilité a rendus lncœtains ; il en est d’autres traités tant de fois, que le dégoût s’y est attaché. Ce n’est pas chose alsée que de donner un alr nouveau ù ce qui est ancien, de l’auto rit6 ù ce qui est nouveau, du brillant ù ce qui est terne, de la lumière ù ce qui œt obscur, de la faveur ù ce qui est dédaigné, du crédit ù ce qui est douteux, ù chaque chose sa nature, et ù la nature tout ce qui lui appartient. Aussl, dussé-je manquer le but, à sera beau et glorieux d’avoir voulu y arriver. 12 Pour mol, je pense qu’un intérêt particulier doit s’attacher dans les lettres in ceux qui, vainqueurs des difficultés, ont préféré le mérite d’être utile ù l’avantage de plalre..l’al moi-même donné déjà des exemples de cette préférence dans d’autres ouvrages ; et je m’étonne, j’en convlens, d’entendre le célèbreTlte-Llve, au début d’un livre de son Histoire commencée à l’origine de Rome, déclarer qu’assez de gloire lui était déjà acquise, et qu’il pourrait s’arrêter, si son esprit ennemi du repos ne trouvait un aliment dans le travail. A coup sur ll eût mieux valu écrire pour la gloire du nom romain et d’une nation victorieuse des nacnm

tions, que pour la slenne propre ; il eût été plus méritoire d’avoir persévéré par amour pour l'œuvre, non par satisfaction personnelle, et travaillé non pour sol, mais pour le peuple romain. Vlngt mllle falts dlgnes de conservation (car les livres dolvent être des trésors, comme dit Domltlus Plson), vlngt mllle falts extralis de la lecture d’environ deux mllle volumes, dont un blen petit nombre est entre les malns des savants ù cause de l’obscurité de la matière, et qui proviennent de cent auteurs de eholx, ont été renfermés en trente-six livres, avec l’addltlon de beaucoup de choses ou ignorées de nos prédécesseurs, ou découvertes depuis eux par la civi-Ilsation. Sans doute j’ai commts, moi aussi, bien des omissions ; je suis homme, mon temps est pris 14 par des fonctions publiques, et je m’occupo de ce travail a mes moments de loisir, c’est-ù-dire pendant la nuit. Car je ne voudrais pas que mes princes me crussent coupable de leur avoir derobé des heures qui leur sont dues : ie leur consacre les jours, je règle avec le sommeil le compte de la santé ; et ma récompense, qui me satisfait, c’est de vivre un plus grand nombre d’heures en m’amusant, commédit Varon, àces composltlons. Et en effet, vivre c’est veiller.

Tandls que ces motifs et ces difficultés me défendent de rlen promettre, vous, en me permettant de vous écrlre, me rendez de l’assurance. Là est le gage du succès de l’ouvrage, là en est la recommandation. Que d’objets ne parassent précieux que parce qu’ils sont dédiés dans les temples ! Au reste, j’al parlé de vous tous, votre père, votre frère et vous, dans une composition régulière, où j’ai commencé l’histoire de notre temps la ou s’arrête Aufldins Bassus. Où est-ii

4 PLINE.

cet ouvrage, dites-vons ? Achevé depuis longtemps, il reçoit la sanction du temps ; et d’ailleurs mon intention a toujours été d’en remettre la pnbllcation a mon hérltler, de penr qu’en ne m’accnsát d’avoir donné, mot vivant, quelque 1Qchose a l’ambition. Anssi je sonhalte bon succès å cenx qui me préviendront comme å cenx qui me snlvront, et qnl, je le sals, entreront en lice avec nons, ainsi que nons avons fait avec nos devanciers. Vons aurez une preuve de cette humeur dont je suis, en lisant en tête de ces’ livres le nom des auteurs que j’al consultés. C’est, en effet, je pense, un acte de bienveillance, et pleln d’nne candeur honorable, de déclarer quels sont cenx qnl nons ont été ntiles ; å qnol du reste ont manqué la plnpart de cenx que j’ai tenns entre les 17 malns. Car sachez qu’en comparant les auteurs j’al surpris les plns renommés d’entre cnx, et les plns voisins de nons, transcrivant les anciens mot pour mot et sans les nommer ; bien cloignés du courage de Virgile, qnl lntte avec ses modèles on de la franchise de Cicéron, qnl, dans son livre sur la République, se déclare imitateur de Platon ; qnl, dans sa Consolationsœr la mort de safille, dit, .l’al snlvi Crantor, et qnl nvone ce qn’il dolt à Panœtlns dans ses 0/fices, ouvrages dignes, vous le savez, non pas seulement d’être feuilletés continuellement, mals d’è1re appris par 18 cœnr. C’est le fait d’une Ame cnvlense et d’nn 16

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esprit malheureux, d’almer mieux être pris en flagrant délit de vol quede rendre un prêt, d’nnant plns qu’il fant finir par le rendre, et avec nsnre.

Les Grecs ont un merveilleux bonhenr dans le choix de leurs titres. Les uns ont intitulé leurs

livres zmpiov, pour dlre que *c’érait un rayon de mlel’ ; la autres, xåpaq iåμakflsîaç, corne d’ab0ldance, on vons crolrlez ponvoir trouver un merle blanc ; et tant d’antrœ lltres, Champs de violet les (8), Mnses, Pandectœ, Mannels, Pralrles, Tablet les, pour lesquels on manquerait à une assignation. Mals quand vons y étes une fols entrés, bons dieux l quel vldel Nos Romains plns grossiers lntitnlalent les leurs, les Antlqnltés, les Exemples, les Arts ; le plns plalsant (9), je pense est celnl qnl, s’appelant Blbacnlns etaimanten effet a boire, a choisi Élncnbration. Varron a mls nn pen d’aflÎectation dans le titre de denx de ses satlres, Sescnlixes (IO) et Flexlbnla. Chez les Grecs, Diodore, ne badlnant plns, donna le nom de Blbllothèque à son histoire. Apion le grammairien, celnl que Tibère appelait la cymbale du monde, et qu’en pourralt plntôt appeler la trompette de sa propre (1 1) renommée, a écrit qu’ll Immortalisait ceux a qnl ll adressant quelque chose. Je ne me repens pas de n’avoir rlen Imagine de plns joll en falt de titre. Et, pour ne pas paraitre tonjonrs médlre des Grecs, je vondrais (12) qn’en me snpposat l’lntentlon de ces maîtres de l’art de peindre et de scnlpter, qui, vons le verrez dans ces volnmes, avaient mls a des œnvres achevées, à des œnvres que nous ne nons lassons pas d’admi rer, une inscription suspensive : Apelle faisait ; Polyclètc faisait. Ils ne paraissaient voir dans leurs ouvrages que qùelque chose de commencé tonjonrs, de lonjonrs imparfait, afin de se ménager un retour contre la diversllé des jugements, comme prêts à corriger les défants signalés, sila mortne les prévenait pas ; ils ont, par une modestle blen senlie, inscrit chacnne de leurs prodnclions comme la dernière ; a chacune ils PRÉFACE. s,

semblent avoir été enlevés par la destinée. Trols nuvi-âges sans plus, je pense, ont reçu, dit-on, uneinseripiion définitive : Un tel a fait ; j’en parlerai eu lieu et place ; ce fut la preuve manifeste que l’auteur s’était complu dans sa confiance en son œuvre, et ces trois productions excitèrent vivement la jalousle.

22 Je confesse franchement qu’on peut beaucoup ajouter à mes ouvrages, non-seulement à ce livreei, mais encore à tous ceux que j’ai publiés, soit dit en passant aux Zoiles ; et je puis bien parler ainsi, puisque j’apprends que des stoïciens, des dialecticiens, et même des épleurlens (quant aux grammairiens, je m’y suis toujours attendu), sont en travail de erltlque sur le livre que j’al publié touchant la grammaire ; voilà dix ans qu’ils avortent : moins longue est la gestation des éléphants. 2 :Pourquoi m’en étonner ? Ne sais› je pas que Théophraste, homme d’une éloquence si grande qu’il en mérite ce nom divln (êeóppaeeoe, homme au parler divin), fut l’objet des attaques d’une femme, et que de là naquit le proverbe : Ny at-il pas de quoi se pendre ? Je ne puis m’empêcher de citer des paroles de Caton le censeur, qui ont irait à ce que je dis ; et l’on verra que Caton écrivant sur la discipline militaire, lui qui avait appris la guerre sous Seipion l’Afrleain, et on peut dire sous Annlbal, qui n’avait pu supporter la supériorité même de Sci pion, et qui avait reçu le titre d’impéraior et les honneurs du triomphe, était menace des coups de ceux qui cherchent de la renom mée en abaissa ut la selence d’autrui. Quezt dlt-ll, en effet, dans ce llvre ? -= Je sals que ce qui est écrit, une fois mis au jour, trouvera beaucoup de vétllleurs (vitílitigent), surtout parmi eeux à qui la vraie gloire est étrangère. J e laisse passer leurs discours devant moi. » Le mot de Planeus n’est pas non plus sans esprit : on lui dlsait qu’Aslnius Pollion préparait contre lui des discours qul devalent être publics par Pollion ou par ses enfants après la mort de Planeus, pour que ce dernier ne pût répondre : « ll n’y a, dit-il, que les vers qul fassent la guerre aux morts. » Ce mot les a frappés d’un tel discrédit, que les savants les regardent comme ce qu’il y a de plus impudent. Alnsl, tranquille même contre les vétilleurs (vi-25 lili tígatores), mot que Caton a élégamment composé des mots vice et litige (que font-ils en effet autre ehose que de chercher matlère à lllige ?), aohevons ce qui me reste à dlre. Le hlen publie exigeant que fépargne votre temps, j’ai’ajoute à cette lettre la table de chacun des livres ; et tout mon soln a été de la faire tellement exacte que vous n’eussiez pas à les lire. Par là le reste drs26 lecteurs vous devra d’être exemptés de parcourir tout l’ouvrage ; et ehacun ne cherchera que ce qu’il déslre, et saura oû le trouver. C’est un exemple déjà donné dans notre littérature par Valérius Soranus, dans le livre qu’il a intitulé Epoptides (tableaux). Adieu.

Table de l’histoire du monde, laquelle sert aussi de premier livre.


Livre II, relatif au monde et aux éléments.

Le monde est-il fini, est-il un ?
De sa forme.
De son mouvement. Pourquol est-il appelé monde ?
Des éléments et des planètes.
De Dieu.
De la nature des astres. Du mouvement des planètes.
Des éclipses de la lune et du soleil.
De la grandeur des astres.
Des découvertes faites par chacun dans l’observation du ciel.
Quand reviennent les éclipses du soleil et de la lune ?
Du mouvement de la lune.
Mouvements des planètes et règles des apparitions.
Pourquol les unes paraissent-elles plus élevées, et les autres plus voisines ?
Pourquoi les mêmes planètes ont-elles des mouvements dissemblables ?
Généralités sur les astres.
Quelles modifications présentent leurs couleurs.
Mouvement du soleil et raison de l’inégalité des jours.
Pourquoi la foudre a-t-elle été assignée à Jupiter ?
Distances des astres.
Des astres : considérations musicales,
Du monde : considérations géométriques.
Des astres qui apparaissent soudain, ou comètes.
Nature, situation et espèces de ces astres.
Théories d’Hipparque touchant les astres.
Prodiges célestes puisés dans l’histoire. Torches, lampes, bolides.
Poutres célestes, cieux entr’ouverts.
Des couleurs du ciel et flamme céleste.
Des couronnes célestes.
Des cercles formés soudainement.
Éclipses prolongées du soleil.
Plusieurs soleils.
Plusieurs lunes.
Lumière du jour durant la nuit.
Boucliers ardents.
Phénomène céleste noté une seule fois.
Étoiles filantes.
Des étoiles qui se montrent sur la terre et sur la mer.
De l’air.
Des salsons réglées.

Du lever de la Canlcule. lnlluence réglée des salsons de l’année. Des états lneertalns de l’atmosphère ; des plules, et pourquoi ll plent des pierres. Des tonnerres et des éclalrs. Origlne des vents. Observations diverses sur les vents. Espèces des vents. Époques des vents. Nature des vents. Ecnephias et Typhon. Tourbillons, presters, ouragans, et autres espèces terribles de tempêtes. De la foudre : quelles sont les terres où elle ne tombe pas, et pourquol. Espèces et merveilles de la foudre. Opinlon des Étrusques sur ce phénomène, opinion des Romains. De révocation de la foudre. Généralités sur les éclairs. Quels sont les objets qui ne sont ja› mais frappés. Pluies de lalt, de sang, de chair, de fer, de iaine, de brique culte. Cliquetis d’armes et son de la trompette entendus du haut des cleux. Des pierres qui tombent du ciei ; ce qu’en a dit Anaxagore. Arc-en-ciel. Nature de ia grêle, de la neige, du glvre, du brouillard, de la rosée, des nuages. 8 terre, dont l’btstotre n’ot’t’re qu’un seul exemple. Mervellles des tremblements de terre. En quels lleux la mer s’est-elle retiréeI Des îles qui apparaissent à la surface de l’eau. Quelles îles se sont formées ainsi, et en quels temps. Quelles terres ont été coupées par les mers. Quelles îles ont été jointes au continent. Quelles terres ont été complètement changées en mer. Quelles terres se sont englouties sur elles-mêmes. Villes englouties par la mer. Des soupiraux de la terre. Des terres toujours tremblantes et des îles flottantes. Quels sont les lleux où il ne plent pas. Collection de merveilles de la terre. Quelle est la règle du flux et du reflux. Où y a-t-il des marées qui échappent à la règle ? Merveilles de la mer. Quelle est l’lnflueuce de la lune sur les choses terrestres et sur les mers. Quelle est celle du soleil. Pourquoi la mer est-elle salée 'I Où la mer est-elle le plus profonde 'Z Merveilles des son rees et des fleuves. Merveilles réunies du feu et de l’eau.

Le malthe. cvm Le naphte. ctx Lieux où le feu brûle toujours. cx Merveilles du feu considère en lui-même. : xt Mesure de la terre entlère. cxu Règle harmonique du monde. cxm Résumé.° Faits, histoires et observations, 417. Tirés des auteurs : M. Varron, Sulpleius Gallus, Titus César empereur, Q. Tuberon, Tulllus Tiron, L. Pison, Tlte-Llve. Cornellus Nepos, Statius Sebosus, Cœlius Autipater, Fabianus, Valerius Antias, Muclanus, Cœcina qui a écrit de la discipline étrusque, Tarquitius qui a traité le même sujet, Julius Aquila qui l’a aussi traité, Sergius Paulus. Auteurs étrangers : Platon, Hlpparque, Timée, Soslgène, PétOsiris, Néoepsos, les pythagorlclens, Posidonlus, Anaximandre, Eplgène qui aéerît sur le gnomon, Eucllde, le philosophe Cœranus, Eudoxe, Démocrite, Crltodème, Thrasylle, Séraplon, Dlcénrque, Arehlmède, Onéslcrtte, Ératosthèue, Pythéas, Hérodote, Aristote, Ctàlas, Artémldore d’Éphèse, Isidore de Charax, Théopompe.

Livre III, contenant les situations, les nations, les villes, les ports, les montagnes, les fleuves, les mesures, les peuples, qui sont ou ont été.

Notions préliminaires sur les Ilmltes et la situation de l’Europe en général. De l’Espagne entière. De lu Bétique. De l’Espagne citérieure. De la province Narbonnaise. De l’Italie. Neuvième région de l’Italie. Septième région de l’Italie. Première région de l’Italie : le Tibre ; Bome. Troisième région de l’Italie. Soixante-quatre îles, et, parmi elles, les Baléares. La Corse. La Sardaigne. La Sicile.. La(-irande Grèce, å partlrdes Locrlens. Seconde région de l’Italle. Quatrième région de l’Italie. Cinquième région de l’Italle. Sixième région de l’Italie. Huitième région de l’Italie ; du Pó. Onzième région de l’Italie ; Italie transpadane. Dixième région de l’Italie. Situation et peuples de l’lstrie. Da Alpes et des peuples qui les habitent. Llhurnie et Illyrle. LaDalmatie. La Norlque. LaPannonie.

Ln Mésie. 3,31 X lles de la mer Ionienne et de l’Adriatlque. xxx Résumé : Vllles et nations (13).... Fleuves célèbres..... Montagnes oélèbres..... Villes et nations qui ont pérl.... Faits, blstoires et observations.... cccxxvn Auteurs.° Turannlus Gracills, Cornellus Nepos, Tite-Live, Caton le censeur, M. Agrippa, M. Varron, l’empereur Auguste, Varron Atacinus, Valeríus Antias, Hygln, L. Vetus, Mela Pomponius, Curlon le père, Cœllus, Arruntius, Sebosus, Liclnlus Muclanus, Fabricius Tuscus, L. Attelus Capiton, Verrlus Flaccus, L. Pison, Gelllanus, Valerlanus. ' Auteurs étrangers : Artémidore, Alexandre Polyhlslor, ' Thucydlde, Tbéophraste, Isldore, Théopompe, Métrodore de Scepsls, Callierate, Xénophon de Lampsaque, Dlodore de Syracuse, Calliphane, Timagène.

LIVRE IV, contenant les positions, les nations, les mers, les villes, les ports, les montagnes, les fleuves, les mesures, les peuples, qui sont ou ont été.

couuluivr Les rosrnous, Les unions, Les nus, Les vu.u : s, Les monts, Les nounonns, Les neuves, Les nnzsunes, Les ununas, L’Épire. I QUI sont ou om : ÉTÉ. 10 L’Acarnanie. l.’Étoiie. La Locride et ia Phocide. Le Péioponnèse. L’Achaíe. La Mœsénie. La Laconîe. e L’Argoiide. L’Arcadie. L’Attique. La Béotie. La Doride. La Phthiotide. La Thessaiie. La Magnésie. La Macédoine. La Thrace ; ia mer lies situées au-devant de ces terres, parmi iesqueiies : La Crète, L’Eubée, Les Cyciades, Les Sporades. L’Heiiespont, ies Paius-Méotides. La Dacia, ia Sarmatie. La Scythie. Les iies du Pont ; ies iies de i’océan Septentrionai. La Germanie. Les îles dans l’océan de ia Gauie, au nombre de 96, parmi desquelles : La Bretagne, Acarnaniœ. /Elolire. “ Locridis, et Phocidis. Pelopovmesi. Achaiœ. Mcsseniœ. Laconiœ. Argolidis. Arcadiœ. Atticœ. Bœotiœ. Doridis. Phllziotidis. Thessaliœ. Magnesiœ. Macedouiœ. * TlIraciœ..Egœí maris. Insularmn ante eas terras : Inter quas, Crelœ, Eubœœ, Cycladum, Sporadum, Hellespouti, Mœoudis, Dacia :, Sarmatiœ, Scylhiœ. lnsularum Ponti : Insularum Oceanî Septemtrionalis. Germaniœ, PUNE. xr La Gauie beigique, xxx : in La Gauie lyonnaise, xxxn IV L’Aquitaine, xxxm v L’Espagne citérieure, å partir de Po-VI M céan des Gauies, xxxiv vn, La Lusitanie. xxxv vm lies dans ia mer Atiantique. xxxvx IX Mesure de i’Europe entière. xxxvu X Résumé : Viiies et nations.... XI I Fieuves céièbres.... XII 1 Montagnes céièbres.... XIII lies.... XIV Viiies ou nations qui ont péri... xv Faits, histoires et observations... xvi xvn Auteurs : xvm

  • M. Varron, Coton ie Censeur, M. Agrippa, ux l’empereur Auguste, Varron Atacinus, Cornexx

iius Nepos, Hygin, L. Vetus, Pomponius Meia, xx, Licinius Mucianus, Fabricius Tuscus, Atteiusum Capiton, Atteius ie phiioiogne. “W Auteurs étrangers : xxiv xxv Poiybe, Hécatée, Heiianicus, Damaste, Euxxvr doxe, Dicéarque, Timosthène, Ephore, Cratès ie grammairien, Sérapion d’Antioche, Cailimaxxvn que, Artémidore, Apoliodore, Agathocie, Eumaxxvm chus, Timée de Sicile, Myrsile, Alexandre Polyhistor, Thucydide, Dosiades, Anaximandre, xxxx Philistide de Mailos, Denys, Aristide, ’Callixxx dème, Ménechme, Agiosthène, Anticiide, HéraF Il lusulœ in Gallico Oœano xcvr, quas inter, xnx III Brilanuiœ, xxx IV Belgicœ Galliœ, xxx ! v Lugduuensis Galliœ, xxxu VI Aquitanîcœ Galtiœ, XXIII ! vn ` Citerioris Hispaniœ, ab Oceano Gatlico, xxxlv vm, Lnsilaniœ. xxxv U ; insularum in mari Atlantico. xxxvl x Uuiversœ Europœ mensura. XXXVII Xl Summa : Oppida, et genles... xn Flumiua clara... XIII Montium clari... xlv Iusulœ... xv Quœ intercidere oppida, aut gentes... xvi Res, historiœ, et observation es... XVII Ex auctoribus : XVIII mg M. Var :-one, Catone Censorio, M. Agrippa, divo Au- ; gg gusto, Varrone Atacino, Corn. Nepote, Hygino, L. Vexxr tere, Pompouio Mela. Licinio Muciano, Fabricio Tusco, xxu Atteio Capitone, Alteio Pililologo. XXIII Exlernís : xxlv

xv Polybio, Hecatœo, Hellanico, Dsmasle, Eudoxo, Dixxvl

cœarcho, Timostllene, Ephoro, Cratele Grammatleo, Serapione Antiochense, Callimacllo, Artemidoro, Apolxxvu todoro, Agatlrocle, Eumacho, Timœo Siculo, Myrsilo, XXVIII Atexandro Polyhistore, Thucydide, Dosiade, AnaximanLIVRE I. Il elide, Phiiémon, Xénophon, Pythéas, Isidore, Phiionide, Xénagoras, Astynomus, Staphyius, hlétrodore, Ciéobuie, Posidonlus.

Livre V, contenant les positions, les nations, les mers, les villes, les ports, les montagnes, les fleuves, les mesures, les peuples, qui sont ou ont été.

conszmn- Las 1›osrno1rs, Lss unions, Les nns,1.ss vu.1.ss, Les roms, Les monnenzs, Lss neuves, Les ussunss, Lx- : s maururs, qui som’ ou ont snã. Les blaurltanles. 1 La Numldie. Il L’Afrique. un Les Syrtes. iv La Cyrenaique. v La Libye Maréotis. vi Les îles autour de i’Afrique. vn Le revers de i’Afrique. vm L’Égypte et ia Thébaîde. ix Le Nil. x Les wine ; d’Égypœ. L’Arabie qui est ie long de ia mer Xl d’Égypte. ’ xn La Syrie. xr u L’Idumée, ia Paiestlne, la Samarie. xiv La J udée. x v La Décapoie. xvi La Phèulcle. : vn La Syrie d’Antloche. xvlu Le reste de la Syrie. xxx L’Euphrate. xx dro, Phílistide Mallote, Diouysio, Aristide, Callidemo, lcnœcbmo, Aglostbene, Aníiclide, Heraclide, Philemoue, Xenoplionte, Pytllea, Isidore, Philonide, Xe-NGOT8, Astynomo, Staplrylo, Metrodoro. Cleobulo, Posldoaio. LIBRO V ces-rnmrrca srrus, cnzrrm, nuls, OPPIDA, volrrus, lozrnas, nuulxu, usnsuxs, rovuu QUI sum* sur rmssun. leur-itaniarum. l Iamidb. Il Atriœ. lll Syrtinm. IV Cyrenaicœ. V Libya : Mareotídis. Vl insularum circa Aíricam. VII Arersorurn Airícœ. vm Egypli et Thebaldis. lx lííli. x Urbiurn in Égypte. xr Arabia, quœ est ad mare Égyptium. xu Syria. xnl Idumœœ, Palaestinœ, Samaria’ xav Judœœ. xv Decapoleos. xvi Phœnices. : vu Syriœ Antiocllîœ. XVIII Relîquiœ Syriœ. xrx Euplrratis. xx La Syrie ie long de i’Euphrate. xxl La Ciiicie et les nations avoisinantes. xxn L’isaurie et les Homonades. xxru La Pisidie. xxlv La Lycaonie. xxv La Pamphyiie. xx vi Le mont Taurus. xxvu La Lycie. xxvm La Curie. xxix La Lydie. xxx L’[onie. xxxi L’Eoiide. xxxu La Troade et les nations avoisinantes. xxxm Les lies au-devant de i’Asie, au nombre de 212, parmi iesqueiies : xxxiv Chypre, xxxv Rhodes, xxxvx Samoa, xxxvn Chios, xxxvm Lesbos. xxxix L’Heliespont et ia Mysle. xr. La Phrygie. xm La Galatie et les nations avolslnantes. xun La Bltbynie. xun Les lies de ia Propoutlde. xuv Résumé. Viiies et nations... Fieuves célèbres... Montagnes célèbres... Iles.. cxvm Vtlies ou nations qui ont péri... Faits, histoires et observations... Syria : ad Euphratem. xxl Ciliciœ, et adjunclœ gentes. XXII lsauricœ, et Homonadum. xxul Písidlae. xxlv Lycaoniœ. : xv Pamphyliœ. xxvl Taurí montis. xxvll Lycíœ. xxvnl Carîœ. xxn : Lydiœ. xxx Ioniœ. : xxl Ašolidls. xxxll Troadis, et adjlmctœ gentes. xxxlll lnsularum ante Aslarn GCXII. ln iris, xxxrv Cypri, xxxv Rhodi, xxxvn Sami, XXXVII Chíi. xxxvm Lesbl. xxxrx Hellesponins, ei Mysla. xr. Pllrygia. XLI Galatia, et adjunctœ génies. : ul Bithynia. xuu Insulœ in Propontide. xuv Oppida, el geutes... Flumína clara... Montíum clarl... Insulœ, CXVIII... Qnœ lntercldere oppida sul genles Res, historiœ et observaüoncs... Stlmlnû : 12 PLINE. Auleurs : Agríppa, Suetonius Paulinus, M. Varron, Varron Atacinus, Corneiius Nepos, Hygín, L. Vetus, Pomponius Meia, Domitius Corbulon, Liciníus Mucíanus, d’empereur Ciaude, Arruntíus, Livius ie fils, Sebosus, ies Actes des triomphes. Auteurs étrangers.° Le roi Juba, Hécatée, Heiianîcus, Damaste, Dicêarque, Béton, Tîmosthène, Phiiouides, Xénagoras, Astynomus, Staphyius, Aristote, Denys, Arístocríte, Éphore, Èratosthène, Hlpparque, Panœrius, Séraplon d’Autioche, Callimaque, Agathocle, Poiybe, Tímée ie mathématicien, Hérodote, Myrsiie, Aiexandre Poiyhistor, Métrodore, Posidonius qui a écrit ie Périple ou ia Círcumduction, Sotades, Périandre, Aristarque de Sícyone’, Eudoxe, Antigène, Callierate, Xénophon de Lampsaque, Diodore de Syracuse, Hannon, Himilcon, Nymphodore, Caliiphane, Artémidore, Mégasthène, Isidore, Cléobuie, Aristocréon.

Livre VI, contenant les positions, les nations, les mers, les villes, les ports, les montagnes, les fleuves, les mesures, les peuples, qui sont ou ont été.

Le Pont et les Mariandynes. 1 La Paphlagonie. u La Cappadoce. in </noinclude> Ex auctorîhus : Agrîppa, Slletonîo Pauiîno, M. Varrone, Varrone Atacîno, Corneiío Nepole, Hygino, L. Vetere, Meta, Domlio Corhuione, Licînío Muclano, Ci. Cœsare, Arrunlio, Llvio fiiîo, Seboso, Aclis lríumphorum. Externis : Juba rege, Hecatœo, Heiianîco, Damaste, Dlcœarcho, Bœtone, Timoslilene, Pilliouide, Xenagora, Aslyuomo, Stapltyio, Arîstotete, Dlonysio, Aristocrito, Ephoro, Eratostllene, ltipparcho, Panœlío, Serapîone Antîocheno, Caiiimacho, Agalhocie, Poiyhlo, Tímœo Mathemalico, Herodoto, Myrslio, Aiexandro Poiyhlslore, Metrodoro, Posídonío QIIÎ nspínlouv ant neprígynctv, Solade, Periandro, Aristarcho Slcyonîo, Eudoxo, Anlígenc, Caltîcrate, Xenophonte Lampsaceno, Diodoro Syracusano, Hannone, H ímîicone, Nymphodoro, Calilphane, Al’lomÎdoro, Megasmene, Isidoro, Cieobulo, Aristocreonœ. LIBRO VI CDNTIRENTUR srrus, cames, lun, OPPIDA, ronrns, noures, runulm, unnsuas, rornu QUI sum am rnnaosr. Ponti et Maryandíuorum. l Paphiagonum. Il Cappodocum. III LWRE I. 13 L’€mp|I’8 des Parthes. xxlx La Mèsopotamle. xxx Le Tigre. XXX ! L’Àr8bIe. XXXII Le golfe de la mer Rouge. xxxm La Troglodytique. xxxiv L’É1hiopíe. XXXV Les îles de la mer Etblopienne. xxxvi Les îles Fortunées. Comparaison de mesures terrestres (14). xxxvn ll Distribution des contrées suivant les parallèles et 1’éga11te des ombres. xxxix Résumé : Vllles, 1195. Na1ions, 576. Fleuves célèbres, 115. Momagnes célèbres, 38. lles, 108. Villes ou nations qu1 ont pen, os. Faits, histoires et observations, 2216. XXXVII Auteurs : M. Agrtppa, M. Varron, Varron Atacinus, Cornelius Nepos, Hygln, L. Vetus, Pomponius Mela, Domltlus Corbulon, Llclnius Muclanus, l’empereur Claude, Arruntius, Sebosus, Fabricius Tnsous, Tite-Live, Sénèque, Nigidius. Auteurs étrangers : Le roi Juba, Héeatée, Hellanicus, Damaste, Eudoxe, Dicèarque, Béton, Timosthène, Patroc1e, Démodamas, Clitarque, Ératosthène,

Alexandre le Grand, Éphore, Hlpparque, Panœtius, Calllmnque, Artémldore, Apollodore, Aga1hocle, Polybe, Eumachus, T1mée de Slcile, Alexandre Polyh1stor, ls1dore, Amometus, Me-1rodore, Posldonlus, ÔIIÉSÎCTIIC, Nèarque, Mégasthène, Diognete, Arlstocréon, Blon, Dalion, Simonlde le jeune, Basiles, Xénophen de Lampsaque.

Livre VII, contenant la génération des hommes, leurs institutions, et l'invention des arts.

De l’homme. I Formes smgu11ères de eertalnes nations. Il Enfantements prodigieux. 111 De la génération de 1’homme ; durée remarquable de certaines gestations ; exemples depuis sept mo1s jusqu’à treize. xv S1gnes du sexe manifestes ebez les femmes grosses avant l’accouchement. v Enfantements monstrueux.. vr Enfants extraits du ventre de leurs mères par 1’exe1s1on. vu Quels sont ceux appelés vopisel. vm De la conception et de la génération. nx Exemples de ressemblance. x Quels hommes sont aptes à ln génération ; exemples de procréation d’enfants très-nombreux. xi Quel est rage de 18 génération. Xl ! 14 Slngularités du flux menstruel. Théorie de la génération.. Faits concernant les dents ; faits con cernant les enfants. Exemples d’extrême grandeur. Enfants précoces. e Qualltés corporelles singulières. PLIN E. XIII XIV XV XVI XVII XVIII Force extraordinaire. xxx Bapldlté ex traordlnalre à la course. xx Vue d’une longueur extraordinaire. ’ ' xxl Ouîe merveilleuse. xxn Force extrême de résistance. xxm Mémoire. xxiv Vlgueur de l’åme. xxv Clémence et grandeur d’åme. xxvr Actions grandes et glorieuses. xxvn Beunion de trois grandes qualités, chez un même personnage, jointes à une probité parfaite. I xxvm Grand courage. xxix Génles du premier rang. xxx Quels ont été les hommes les plus sages. xxxl Préceptes les plus utiles à la conduite de la vie. ’ xxxn De la divination. xxxm Nom de l’homme qui fut déclaré le meilleur. xxxlv Noms des femmes les plus chastes. xxxv Exemples de la piété la plus grande. xxxxr Noms de ceux qui ont excellé dans les arts astronomie, grammaire, médecine. xxxvn Géométrie et architecture. xxxvm Mensium in femínis miracllla. XIII Qllãš ratio générandí. xlv llislorica circa denles. llíslorica circa lnfanles. xv M8gIlIIlIfIIIlIIm exempla. xvi Pra-properí ínfanles. XVII ln signia corporum. XVIIIVires eximiœ. XIX Velocilas przecípua. XX VÎSIIS eximii. XXI Audifils miraculum. XXII Patienlía corporis. XXIII Memoria. XXIV Vigor animí. ’ XH Clemenlia, et animi magnitude. XXV* Rerum gestarum claritas summa. xxvil Tres summœ virlules in eodem, et innoccnlla sunlma. XXVHI Fortiludo sumnla. Xxlx Ingenia przecípua. xxx Qui Saplelfilsslllll. xxxl Prœcepta vilœ ulilissíma. xx XII Dc divination. xum Vir oplimus jndiealus. xxxiv Matronm puclicissimœ. xxxv Summm pielntis exempla. xxxvl Arlibns excellentes : astrologie, grammalica, Pelnture, slalualre, art de travailler l’ivoire, clselure. Haut prix de quelques esclaves. Du bonheur suprême. Le bonheur se perpétue rarement dans les mêmes familles. Exemples étonnants de vicissitudes. Exemples merveilleux d’honneurs. Réunion de dix choses très-heureuses chez un même personnage. Adversités de l’empereur Auguste. Quels sont ceux que les dieux ont jugés les plus heureux. Quel est celui qu’on a ordonné d’honorer comme un dieu, de son vlvant. Des durées les plus longues de la vie. Époques diverses de la ualssance. Exemples divers dans les maladies. De la mort. Quels sont ceux qui, portés au bûcher, sont revenus à la vie. Exemples de mort subite. De la sépulture. Des månes, de l’áme. Découvertes et inventeurs. En quelles choses les nations se sont-elles d’abord accordées ; des lettres antiques. Quand y a-t-il eu pour ia première fois des barbiers ? Quand y a-t-il eu pour in première fois des horloges ? Résumé : Faits, histoires et observations, nccxLvu medicine. Geomelria ; et arcllilcclll ra. tlíclum, marmoraria, eboraria, caclalura. Prclia llonlinllm Insignia. l)e felicílale summa. llalílas confillualiollis in familiis. Varíelalis exempla mirabilis. llollorlvm exenlpla mirabilis. Decexll res lu uno felicissinlœ. Divi Allgusli adversa. Qllos dií felicissimos judicaverinl ; QIIGIII vívenlcm ul dcum coli jnsserínl. De spaliís vitae longissimis. De vnrielale llascendi. ln morhls exemple varia. De merle. Qui elali revixerint, Suhilac llmrlis exempla. De sepllltllra. De nlanihlls, De anima. Quaa quis in vita inveneril. lu quibus relnls primi genlium consensus, De anliqnis lilteris. Quando primnm tonsores. Quando primum llorologia. XXXIX XL XL ! XIII XLIII XLIV XLV X LV1 XLVII XLVII I XLI X L LI LII LII I LIV LV LV I LVII LVIII LIX LK lIXYII Xxxvlll XXXIX XI. Xl.l XLII xl. III ILIV XIX Xul XLHI XLHII XIJX L u Lll un l.lv lv Lïl l.vll LV1 ll IJ X LX Summn : Res, historiœ, et observalioncs, nccxu u.

LIVRE I. Auteurs : Vcrrius Flaccus, Cn. Gellius, Ltclnlus Mucianus, Massurius Sabinus, Agrlppine femme de Claude, Cicéron, Aslnius Pollion, Messala Rufus, Cornelius Nepos, Virgile, Tite-Live, Cordns, Mellssus, Sebosus, Celse, Valere Maxime, Trogue Pompée, Nigidius Flgnlus, Pontponlus Atticns, Pediauus Asconius, Fabianus, Catou le censenr, les Actes, Fabius Vestalis. Auteurs étrangers : Hérodote, Aristéas, Béton, lsigoue, Cratès, Agatha :-chide, Calllphane, Aristote, N ymphodore, Apollonides, Philarque, Damon, Megastbène, Ctésias, Tauron, Eudoxe, Onésicrite, Clitarque, Duris, Artémldore, Hippocrate le médecin, Asclépiade ie médecin, Hésiode, Auacréon, Tbéopompe, Hellanicus, Damastes, Ephore, Eplgène, Bérose, PetOsiris, Nécepsos, Alexandre Polyhistor, Xénophon, Callimaque, Démocrite, Diyllus l’historien, Straton, qui a écrlt contre les inventions (eôpvfiμaza) d’Éphore, Heraclide de Pont, Asclépiade qui a écrit sur les sujets tragiques, Philostéphane, Hégésias, Archimaque, Thueydide, Mnésigiton, Xénagoras, Métrodore de Scepsis, Anticlide, Critodème.

Livre VIII, traitant de la nature des animaux terrestres.

Des éléphants ; de leur intelligence. 1 Quand attelés pour la première fois. n De leur dociiité. III Ex aucloribus :. Verrio Flacco, Cn. Gellio, Llcinio Muciano, Massurio Sabine, Agrippina Claudii, M. Cicerone, Aslulo Pollíoue, llessala, Rufo, Corn. Nepote, Vírgilio, Livio, Cordo, Melisso, Seboso, Corn. Celso, Maximo Valerio, Trogo, Nigidio Fîgulo, Pomponio Allico, Pediano Asconio, Fabiano, Catane Censorio, Aclis, Fabio Vestale. Externis : Herodoto, Arislea, Bœtone, lslgono, Cratele, Agatltarchide, Callipl1ane, Arlstotele, Nyutpltodoro, Apollonide, Phylarcho, Damone, Megaslllene, Ctesla, Taurone, Eudoxo, Onesicrito, Clitarcl|o, Duride, Arlemidoto, Hippo-crate médico. Asclepiade medico, llesiodo, Anaerennle, Tbeopompo, Hellauico, Damasle, Eplloro, lîplgene, Beroso, Petosiri, Neœpso, Alexandre Polyhislore, Xenophoute, Callimacho, Democrito, Dlyllo ltislorico, Siralone qui contra Ephorl eüpñμara scripsit, Heraclide Pontico, Asclepiade qui rp :-μpöaúμeva, Philostepltano, llegesia, Á|’ChÎ1118C110, Tlxucydide, Mneslgiloue, Xenagora, Melrodoro Sœpsio, Anliclide, Critodemo. LIBROVIII œzmsurfren -rsnaesnuon Amuttun mrunz. Dc ele-phanlis. Dc seusu eorum. 1 15 Merveilles dans leurs actions. tv De l’instinct des bètes pour comprendre les dangers qui les menacent. v Quand, pour la première fols, a-t-ou vu des éléphants en Italie ? vr Combats des éléphants. vu Par quels moyens les prend-on ? vm Par quels moyens parvient-on à les dompter ? ix Du part de l’éléphant ; autres particularités. x Leur patrie ; antipathie des éléphants et des dragons. xx De l’adresse des animaux. xn Des dragons. xm Serpents d’une grandeur extraordi-naire. xlv Des animaux de la Scythie ; des bisons. xv Des animaux du septentrion ; de i’alcès ; de Pachlls ; du bonase. xvr Des llons ; leur naissance. xvn Leurs espèces. xvm Leur naturel. xix Qui, le premier, a montré à Rome un combat de lions. Qui a sacriflé le —plus grand nombre de ces animaux dans un pareil combat. xx Choses merveilleuses dans les actions des lions. xxl Homme reconnu et sauvé par un dragon. xxn Des panthères. xxm Sénatus-consulte et lois sur les panthères d’Afrique. Qui, le premier, a montré å Rome des panthères d’A-Quando primum juncii. H De docilitate eorum. m Mirabllia in factis corum. W De natura lerarum ad pericula sua inlellígeuda. V Quaudo primum in Italia visi elepllanti. vi Pugnœ eorum. qu Quibus modis caplanlur. vm Quibus domenlur. |× De parlu eorum, et reliqua natura. 1 Ubl nascanlur. Dlscordia eorum et draconum. XI De solerlia animalium. xμ De draconlbus. gm Mirœ magniludlnis serpentes. mv De Scyllticisanimalíbus : de bisonllbus. xv De septenlrionalibtts : alce : achti : bonase. xvi De leonibus. Quomodo gígnantur. xvμ Quœ généra eorum. μm Quœ propriœ naturœ. 3,1 Quis primus teonlomachiam Romœ. Quis plurimos in ea leones douavit. xx ltlirabilia in leonum factis. gg ; A dracone agnitus aut servatus. xx" Depantlteris. gun Senalusconsullum et leges de Africanis. Quis primus ltomœ Alricauas : quis plnrimas. xxrv 16 frique ; qui en a montré ie plus grand nombre. Des rigres. Quand a-t-on vu un tigre, pour ia première fois, à Rome ? Du naturei de ces animaux. Du chamean ; ses espèces. De ia girafe. Quand a-t-on vu ies prePLINE. aquatiques et terrestres ; des ioutres. x LV 1 r xxxv De ia grenouiiie rubète. xnvm Du veau marin, des castors, des iézards. xux Des cerfs. 1. XXV Du camétéon. u xxvr Des autres animaux qui changent de mières å Rome ? XXV ! ! Du chaus ; des cèphes. xxvm Du rhinocéros. xxlx Du iynx ; des sphinx ; des crocotes ; des cercopithèques. xxx Animanx terrestres de i’Inde. xxxr Animaux terrestres de i’Éthiopie ; bête qui tue par ia vue. xxxn Des basiiics. xxxm Des ioups ; d’où vient la fabie qu’ils changent de peau. xxxxv Espèces des serpents. xxxv De Pichneumon. xxxvx Du crocodile. xxxvu Du scinque. xxxvm De d’hippopotame. xxxix Qui, ie premier, a montré à Rome cet animai, ainsi que ie crocodile. xr. Remèdes trouvés par ies animaux. xu Pronostics fournis par ies animaux au sujet de certains dangers. xur Nations détruites par des animaux. xuu Des hyènes. xuv Des eorocottes ; des mantichores. x LV Des onagres. XLVI Du castoréum ; des animaux à ia fois De ligribus. Quando primuin Roma : visa ligris. De natura carum. xxv De camelis. Genera corum. xxvl De camelopardali. Quando primum Roma : visa. xxvn De cnao. Dc ceplris. xxvm De rliinoccrote. xxrx De lyflœ, et sphingibus. De croootis. Dc cercopilbecîs. xxx India : lerreuria animalia. xxx ! Ilcm Ašllliopiœ. Beslia visu interficicus. xxxn De hasiliscis scrpenlibus. xxxm De lnpis. Unde Iabnla versipellis. xxxiv Serpentillm généra. xxxv Dc iclmcumonc. xxxvl De crocodile. xxxvn De scinco. xxxvm Dc l|Î]11101’)018m0. xxxlx Quis primus ostenderit cum Romœ, et crocodile. xr. Medecinœ ab animalibns repertœ. xu Prognostica periculorum cx anlmalibus. :Ln Genies ab animalibus snblalaz. Lili De llÿãšlliâs xuv Dc corocottis. Dc mantíchoris. :Lv De onagris. XLYI De castoreo. Dc aqualîcis, et îisdem terrestre l couieur : ie taraude, ie iycaon, le thos. Le porc-epic. Les ours, ieurs petits. Les rats du Pont et des Aipes. Des hérissons.. Le iéontzophone, ie iynx. Les blaireaux, ies êcureuiis. Des vipères et des iimaçons. Les iézards. Naturei du chien ; exempies de ia fidéiité de cet animai pour son maître. Quels sont ceux qui ont entretenu des chiens pour ies faire combattre. De ia génération des chiens. Remèdes contre ia rage. Naturei des chevaux. De ieur instinct. Choses merveilleuses sur des quadriges. Génération des chevaux. Cavales concevant par l’influence du vent. Des ânes ; génération de ces animaux. Naturel des muies et des autres bètes de somme ; leur génération. Des bœufs, et de ieur génération. Apis en Égypte. bus. Delnlris. De ranis rubelis. Dc vilulo marino. De flbris. Dc stellionibus. De ccrvls. De chamœieomc. De reliquis colorem mulanlibus ; laraudo, lycaonc, moe. Dc llyslrice. Dc ursis : de fc ! n eorum. De muribus Ponticis, cl Arpinis. Dc llcrinaccis. De leomopllono : de îynce. Meles : sciuri. De viperis, et COCÃIÎOÎS. Dc lacerliä. Canum nalnrœ. Exeinpla corum circa dominos. Qui prœliorum causa canes liabueriut. De générations corum. Contra rabiem remedia. Equorum natura Dc ingeniis cqnorum. Mirabilia quadrigarnm. Gcncralio cquorulu. Vcnlo concipienles. Dc asinis. Gcneralio in Iris. Mularnm natura, et reliquorum jumentorum. Gencratio in luis. Dc bubus, et généralio corum. LllJH LIV LY LV1 LVII LVIH LIX LX LX] LXII LXIII LXIVXV LX VI LXVII LXVIII LXIX LXX LXXI XLT" XLVIII ILIX I. IJ LII Llll LW LV LV1 LV" LVIII l.l LX LXI LX" LH" LXH LH LUI IXVII L||i l.$l Ax LIVRE I. 17 Des bêtes à laine et de leur génération. mtx i t Variétés de la laine et de ses couleurs. i.xxiu Diverses étoffœ pour vêtements. LXXIV De la forme des moutons. Du musmon. Lxxv Naturel des chèvres et leur génération. utxvi Des porcs. Lxx vu Des sangliers. Quel est celui qul, le premier, a renferme dans des parcs des bêtes vivantes. Lxxvm Des animaux demi-sauvages. LXXIX Des singes. Lxxx Des espèces de loups. Lxxxr Des animaux qui ne sont ni apprivoises ni sauvages. Lxxxu Quels sont les lieux où l’on ne trouve pas d’animaux. Lxxxm Où et quels animaux font du mal seulement aux étrangers ? Où et quels animaux en font seulement aux indigènes ? Lxxxlv Résumé : Falts, histoi res et observations, 787. Auteurs.-Muclen, Procilius, Verrius Flaccus, L. Pison, Corn. Valerianus, Caton le Censeur, Fenestella, Trogue Pompée, Ies Actes, Columelle, Virgile, Varron, Lucilius, Metellus Sclpion, Celse, Nigidius, Trebius Niger, Pomponius Meta, Mamilius Sura. Auteurs étrangers. Le roi Juba, Polybe, Hérodote, Antlpater, Aristote, Démétrius le physicien, Démocrite, Apis in Ašgypto. Lxxi Peoorum natura, et génération eorum. Lxxn Geneva luna : et cotorum. un sm Genenvestium. Lxxtv De pecorum forma, et de musmone. Lxxv Caprarum natura, 8l génération. utxvt Suum item. LXXVII De íerís subus. Quis primus vivaria bestiarum instituait. LXXVIII De semiferis. Lxxtx Desimiis. Lxxx De tuporum générîbus. Lxxxi De nec ptaeidis, nec feris animations. Lxxxu Quœ quibus in tocis animatia non sinl LXHXIII Ubi et quœ advents tanlum noceanl : ubi et quœ indigenis tanlum. Lxxxiv Summa : Res, et historiœ, el observaiiones, ncemxxxvu. Ex auctoribus : Mueiano, Procitio, Verrio Ftaoco, L. Pisone, Com. Valeriano, Catone Censorio, Fenesietta, Trogo, Actis, Columetta, Virgilio, Varrone, Lucilio, Metello Scipíone, Com. Celso, Nigidio, Trebio Nigro, Pomponio Meta, Mamilio Sura. Exlernis : Juba rage, Potybio, Herodoto, Anlipatro, Aristotete, n.un :- *r. 1. I

  1. -

l t 1* Théophraste, Evanthe, Agrlopas qui a êcrlt sur les vainqueurs olympiques, le roi Hiéron, le roi Attale Philométor, Ctésias, Duris, Philistus, Arcbytas, Phylarque, Amphilochus d’Athènes, Anaxipolis de Thasos, Apollodore de Lemnos, Aristophane de Milet, Antigone de Cumes, Agathoclede Chtos, A polloui us de Pergame, Aristandre d’Athènes, Bacchiusde Milet, Bion de Soles, Chœrêas d’Athènes, Diodore de lfriène, Dion de Colophon, Épigène de Rhodes, Evugon de Thasos, lîuphronius d’Athènes, Hêgeslas de Maronée, les deux Ménandres de Prlene et d’Héraclèe, le poëte Ménécrate, Androtion qui a écrit sur l’agriculture, /Esehrion qui a traité le même sujet, Lyslmaque qui l’a également traité, Denys qui a traduit Magon, Diophane qui a fait un abrégé de Denys, le roi Archélaüs, Nicandre.

Livre IX, contenant les animaux aquatiques.

Pourquoi les plus gros animaux appartiennent-ils à la mer y 1 Monstres de l’océan Indien. n Quels sont, dans chaque mer, les plus grands animaux ? nr De la figure des Tritonset des Néréldes ; de la figure des éléphants marius. xv Des baleines, des orques. * v Les poissons respirent-ils, dorment-lls ? vr Des dauphins. vu Quels sont ceux qu’ils ont aimés. vm Dcmetrio ptiysico, Democrito, Tlieoptirasto, Evambe, Agriopa qui `O).uμmovív.aç, Hierone rege, Attato Pttitomelore item, Ctesia, Duride, Ptiitisto. Aretiyta, Ptiytaretio, Amptiitoctio Attieuœo. Anaxipoti Ttiasio, Apottodoro Lemnio, Aristoptinne Mitesio, Antigouo Cymzrao, Agattiocte Ctiio, Apotlonio Pergameno, Aristandro Attienœo, Bacctiio Mitesio, Bione Sotense, Ctiœrea Attieuœo, Diodoro Piienœo, Dione Cotopttonio, Epigene Rtiotlio, Evagone Ttiasio, Euptironio Attienœo, Hegesia Maroneo, Mensudris Prienœo et Heracteote, Menecrate poota, Auttrotioue qui de agriculture scripsii, /Esctirione qui item, Lysimacho qui ttem, Diouysio qui Magonem traustutil, Dioptiane qui ex Dionysio epilomeu íecil, Arettetao rvge, Ntcandro. LttiBO IX commerun Aounuuun mruns. Quare maxima in mari animatia. i lndici maris bettuœ. u Quœ in quoque Oceano maximœ. nt De Tritonum et Nereidum ñguris. De etepttaniorum marinorum íiguris. tv De batmuis. De orcis. v An spirenl pisces : au dormiani. vi De detptuinis. vu Quos amaveriut. vm 2

18 En quels lleux pêehent-ils de compagnie avec les hommes ? Autres merveilles touchant les dauphins. Des tursions. Des tortues ; espèces de tortues marines, et manière de les prendre. Qui le premier a inventé l’art de couper l’écaille de tortue ? Dlstribution des animaux aquatiques en espèces. Quels sont ceux qui sont revêtus de poil, ou qui en manquent ; comment ils mettent leurs petits au monde. Des veaux marins ou phoques. Combien il y a d’espèces de poissons. Quels sont les plus grands poissons. Thons, eordyles, pélamides ; saumure qu’on tlre de certaines parties de ces poissons. Melandryes, apoleetes, eybies. Amies ; scombres. Quels poissons ne se trouveμt pas dans le Pont-Euxin, quels entrent dans cette mer, et reviennent par une autre voie. Ponrquol les poissons sautent-ils hors de l’eau ? Qu’ll y ades augures fournis par des poissons. Espèces de poissons où il n’y a pas de mâles. Poissons qui ont une pierre dans la tête. Poissons qui se caehent l’hiver. Poissons que l’on ne prend pas en hiver, si ce n’est å des jours réglés. Qnihns in loeis socielate cum l’omnibus piseculllr. Mia circa eos mira. De Iursionimls. De testndinibus. Quœ généra aquatilium testndinum, et quomodo capianlur. Quis primus tesludinem seeare instiluerit. Digeslio aqualilium per species. Quœ pilo vesliantllr, aut careanl : et quomodo parlant. De vitulis marinis, sive puocis. Quoi généra piscium. Qlli maximi pisces. Tllynni, eordylœ, pélamides. Mcmbratlm ex his salsnra : melandrya, apolecli, cybia. Amiœ : scombrl. Qui non sint pisces in Ponto : qui inlrent, et qui alias redeani. Quare pisces extra aquam exsiliant. lisse auguria ex piscibus. ln quo génére piscium mares non sint. Qui calculum in capile habeant : qui lateant hieme : et qui hieme non capiantur, nisi statis diebus. Qui sestate lateant : oui sidèrentur pisées. De mugile. PLINE.

Poissons qui se caehent l’été. Poissons

ix que frappe la ehaleur de la Cauleule. Du mugile. x De l’aelpenser. xx Du loup ; de l’aselle. Du seare ; de la mustelle. xu Des espèces de mulles et du sarge qui les accompagne. xm Prix extraordinaires de quelques polsXIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV lx X XI xll xlll XIV XV XVI xvll XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI sons. Que les mêmes espèces de poissons ne plaisent pas partout. Des branehles ; des éeallles. Poissons doués de la voix, et sans branehles. Polssons qui viennent å terre. Époques de la pêche. Distrlbuiion des poissons suivant leurs formes. Dlfférenees des rhombes et des passereaux. Des poissons allongés. Des nageoires des poissons, et de leur manière de nager. Anguilles. Murènes. Espèees de poissons plats. L’éehénéide, et les maléfices auxquels elle sert. Quels sont les poissons qui ehangent de eouleur. Polssons volants. De l’hirondelle. Du poisson qui brille la nuit. Du poisson cornu. Du dragon marin. Des poissons qui n’ont pas de sang. Des poissons appelés mous. De la sèehe, du loligo ; des pétoncles. De acipenscre. De lnpo : de asello. De scaro : de mustela. Mllllornm généra : et de sargo comité. Mirabilia piscium pretia. Non ubique cadem généra plaeere. De branclliis : de squalnis. vocales, et sine branclliis pisées. Qui in terram exeanl. Tempora captures. Digestio piscium in figuras eorporis. Rliomborum et passerum differentia. De longis piscibus. De piscinm pinnis, et natandi ratione. Anguilla Mllfœnœs Planorum piscium généra. Eeueneis, et veneíicia ejus. Qui pisces colorem mutant. Qui volitent extra aquam. De hirundine. De pisce qui noctibus lueet. De cornuto. De dracone marino. De piscibus sanguine carentibua. Qui piscinm mones appenenun. De sepia, de loligine. de pectuneulis. De polypis. XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX XXX XXXI XXXII XXXIII XXXI V XXXV XXXVI XXXVII XXXVII I XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV XXVII XXVIII XXIX XX X XXXI XKXII XXXIII XXXIV XXV XXXVI xxxïll XXXVIII XXXIX XL XLI XLII XUII XLIV XLV XLVI D¢$P°›’P*=S Du polype navigateur. Des diverses espèces de polypes ; leur adresse. Du nauplius navigateur. Des crustacés ; des langoustes. Diverses espèces d’écrevisses : le plnnotère, les hérissons, les cochlées, les peignes. Des diverses espèces de coquilles. Combien la mer fournit d’aliment au luxe. Des perles ; comment elles se forment, et où. Comment on les trouve. Quelles en sont les espèces. Observations å y faire ; quels en sont les caractères. Exemples relatifs aux perles. Quand, pour la première fois, l’usage en vint å Bome. Caractères des murex et des pourpres. Quelles sont les espèces de pourpres. Comment les em plole-t-on pour teindre les laines ? Quelle est l’époque de l’usage de la pourpre à Rome, du laticlave et de la prétexte. Des étoffes appelées conchyllées. Teinture de l’améthyste. Nuances hysgine, écarlate. La pinne et le pinnothère. Intelligence des animaux aquatiques. Latorpille ; la pastenague ; la scolopendre ; le glanis ; le bélier polsson. De navigatore poiypo. Polyporum gmera : solertia. De uavigatore naupiio. Crnsta inlecti. De locustis. Cancrorum généra, De pinnotere, eciiinis, cochleis, peetinibus. Concharum généra. Quaula luxuriœ matéria sil in mari. De margaritis, quomodo nascantur, et nbi. Quomodo invenianlur. Qnae geuera unionum. Qua : observanda in iris. Quae natura comm. Exempla circa eos. Qnaudo primum in usum venerinl Roman. hluricum nalurœ, et purpurarum. Quœ nationes pnrpurœ. Quomodo ex his ianœ tingantur. Qnaudo purpurœ usus Roms : : quando laticiavl, el prœtextœ. De conchyliatis veslibus. De ametiiysto tingendo : de iiysgino, de cocco. De pinna et pinnolere. De sensn aqualiiium. Torpedo, pastínaca, scolopcudrae, glanis. Dc ariete pisœ. LIVRE I. XLVI XLVII XLVlll XLIX L L1 Lll Llll LIV LV LV1 LVII LVlll LIX LX LX l a LXII LXIII LXIV LXV LXVI LXVII XLVII XLVIII XLIX L LI LH LH] LH LY LV1 LW] LVIII UK LX LX] LMI LXIU LXIV LXV LXVI LXVII 0 l- Des êtres qui sont lntermédlalres entre les animaux et les plantes. Orties de mer. Des éponges, de leurs espèces, des lleux ou elles naissent ; que ce sont des animaux. Des canicules. De ceux qui sont enfermés dans un test siliceux. Des animaux marins dépourvus de toute sensibilité. De la vermlne de la mer. Des animaux marins vénéneux. Des maladies des poissons. Reproduction des poissons. Polssons ovipares, poissons vivipares. Polssons dont le ventre se déchire dans le fret, et se réunlt ensuite. Poissons qui sont pourvus de vulves. Polssons qui se fécondent eux-mêmes. Quelle est la plus longue durée de la vle des poissons. Quel est l’inventeur des parcs aux hultres. Quel est l’inventeur des vlvlers pour les autres poissons. Qul le premier a établi des viviers pour les murènes. Qul le premier a établi des viviers pour lesllmaçons. Poissons terrestres. Des rats du Nil. Comment l’on prend le polsson ambias. Des étoiles de mer. De bis quac tertiam naturam halient animaiium et frulicum. De urlicis. De spongiis = quœ généra carum, et ubi nascantur : animal esse cas. De canicniis. De iiis quœ siiicea testa clandunlur. Qnœ sine sensu uiio in mari. De reiiquls sordium animalibus. De venenatis lI’3l’ÎIlÎ8, De morbis piscium. De génération eorum. Qui intra se ova pariant, et animai. Quoruni in partu rumpatur venfer, ’ eoeat. Qui vuivas habeant : qui se ipsi ineant. Qnœ longissima vita piseium. Quis primus vivaiia ostrearum iuvenerit. Quis primus reiiquorum piscium vivaria tnerit. Quis mnrœnarum vivaria instiluerit. Quis primus coehiearum vivaria instiluerit Pisces lerreni. De muribus in Niio. dein ínsii- Quomodo capiautur anlhise pisces. s. 19 LXVIU LXIX LX X LXXI LXXII LXXIII LXXIV IXXV LXXVI LXXVII LXXVIII LXXIX LX XX LXXXI LXXXII LXXXIII LXXXIV LXXXV LXXXVI LXVIII LXIX LX X LXXI LX KH LXXHI LXXIV LXXV LXXVI LXXVH LXXVHI LIXIX LXXX LXXXI LXXXII LXXXIII LXXXIV LXXXY 20 PLINE. Des merveilles des dactyles. LXXXVII Deslnimittés et des amitiés des animaux aquatiques entre eux. Lxxx vm Résmmé : Faits, histoires et observations, 650. Auteurs : Turrannus Gracilis, Trogue Pompée, Mécène, Alílus Flavius, Cornellus Nepos, Laberius le mimographe, Fabianus, Feuestella, Mucien, Aêlllus Stilon, Statius Sébosus, Mélissus, Sénèque, Clcéron, Ašmllius Macer, Messala Corvinus, Trébius Niger, Nigidius. Auteurs étrangers : Aristote, le roi Archélaiis, Callimaque, Démocrite, Théophraste, Thrasylle, Hégésideme de Cythnos, Alexandre Polyhistor.

Livre X, contenant l’histoire des oiseaux.

De l’autruche. I Du phénlx. Il Des espèces d’aîgles. in De leurs caractères distinctlls. nv Quand lls ont commencé à figurer sur les étendards des légions. v D’un algle qui se jeta sur le bûcher d’une jeune ûlle. v ; Du vautour. vn Le sanqualis et l’immussule. vm Les éperviers ; le butéo. xx De stellis mariuis. Lxxxvr De daclylorum miraculés. Lxxxvn De inimicitiis inter se aquatilium, et amici-Iiis. LXXXVIII Summa : Res, et hislorlœ, et observaüones, nct.. Ex auctoribus : Turranio Gracili, Trogo, Mœcenate, Alfio Flavio, Corn Nepote, Laberio mimograplio, Fablano, Fenesleua, Muciano,1Elio Stilone, Static Seboso, Melisso, Seneca, Ciceroue, Macro Emilio, Messala Corvino, Trebio Nigro, Nigidio. Exiernis : Aristotele, Archelao rege, Callimacho, Democrito, Theoplnrasto, Tllrasyllo, Hegesldemo Cymulo, Alexandre Polylnistore. LIBRO X coxvrinenrnn voμucauu tu-runaz. De strutlnlocamelo. | De pllœnice. n Aquilarum généra. m Natura carum. iv Quando legionum signa esse cœperínt. v De aquila quœ in rogum virginls se misit. vr De vullure. vn 1 l En quels lleux les éperviers et les hom=mes chassent de société. Quel est l’olseau qui seul est mis à mort par sa propre race, quel est l’oiseau qui ne pond qu’un œuf. Les mllans. Distribution des oiseaux par espèces. Des corneilles ; des oiseaux de mauvals augure. Des corbeaux. Du hibou. Oiseaux dont la race est ételnte, ou la connaissance perdue. Quels oiseaux naissent la queue la première. Des chouettes. Du plvert. Des oiseaux munls de serres. Des paons. Quel est le premier qui a tue des paons pour les manger ; quel est le premier qui les a engraissés. Des eoqs. Comment on les ehåtre. D’un coq parlant. De l’ole. Quel est le premier qui a mis en usage les foies d’oie. Du comma gène. Des chénalopex, des chénérotes, des tétraons, des otides. Des grues. Des cigognes. Sanqualis avls, et immussulus. Accipilres : buleo. ln quibns locis societale accipitres et homines ancupentur. Quac avis sola a suo génére interimatur : qnœ avis siugula ova pariat. Milvi. Digestio aviunl per généra. Cornices : lnauspicatœ aves. De corvis. De bubone. Aves quarum vita aut notitia intercidit. Qlla : a cauda nascantur. De noctuis. De pico martío. De his qui uncos ungues habent. De pavonibus. Quls primum pavonem cibi causa occiderit. Quis farcire insliluerit. De gallinaoeis. Quomodo castrentur. De gallinacé loculo. De ansere. Quis primum jecur anserinum instituait. De commageno. Chenalopeoes, chenerotes, tetraones, olides. Grues. De ciconiis. X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX XXX XXI VIII IX X XI XII XIII XIV XV XI XVI] XVIII XIX XX XXI XII XXIII XXIV XXV XXVI xxvll XVIII XXII XXX XXII Des cygnes. Des oiseaux étrangers qui arrivenl : cailles, glollldes, cychrames, oles. Des hirondelles. De ceux de nos oiseaux qui êmlgrenl, et du lieu où lls vont, grlves, merles, étourneaux. Des oiseaux qui muenl dans la retraite. Tourterelles, palombes. Vol des étourneaux et des hirondelles. Oiseaux qui restenl foule l’année dans nos climats ; oiseaux qui n’y restent que slx mois, que trois mois. Galgules, huppes. Memnonldes. hléléagrides. Séleucides. Ibis. Qnels sont les oiseaux qui manquent en çertalns lieux, et quels sont ces lieux. Des espèces d’oscines ; des oiseaux qul changent de couleur et de volx. Des rossignols. Des mélancoryphes, des érlthaques, des phœnicures. Ijœnanthe ; le chlorlon ; le merle ; l’ibls. Époque de la reproduction des oiseaux ; Aleyons ; jours alcyonlens favorables å la navigation. Des autres oiseaux d’eau. De l’habileté des oiseaux dans la construction de leurs nids. Constructions De oloribns. LIVRE I. XXXII XXXIII XXXIV XXXV XXXVI XIXVII XXXVIII XXXIX XL XLI X LH X LII I XLIV XLV XLVI XLVII XLVIII XXX ! ! De avibns pèregrinis quœ veniunl. Columices, glottides, cychramus, oius. llirundincs. De avibus nOsiris quœ dlsecdanl, BI uo abeanl fl turdi, meruiœ, slurni. De avlbus quœ pinXXXIII XXXIY mas amillunl in occuilallone : mrlur, paiumbes. Siurnorum el hiruudinum voialus. XXXY Quze avium pèrennes, quœ semestres, qua ! trimestres : galguii, upupœ. llemnonides. slviesgrides. Seleucides. lhis. Qnze quibus locis aves non sint. De oscinnm généribus, et qua : mutant colorem, et voœm. De luscinfis. Dc melancorypilis, erithacls, phœnicuris. (Enanlbe : olliorio : merulœ : îbis. Tempus avlnm geniturœ. Ilalcyoncs : dies carum navigables. De reliqno aquaticarnm génére. XXXYI XXXVII XXXYIII XXXIX XL XL ! XLII XLIII XLIY XLY XLVI XLYII XLVIII De solertia avium iu nidis. Hirundinum oocra mira. Ripariœ. Acaathyllis, etc. XLIX L 2 I merveilleuses des hl rondelles. De l’hirondelle de rivage. xux Acanlhyfils, elc. L Mésange. Des perdrlx. u Des pigeons. un Servlces merveilleux qu’ils rendenl, el prix auxquels lls s’élèvent. un Dlfférences dans le vol el dans la marche. uv Apodes ou cypsèles. LV De la nourrllure des oiseaux. Caprimulge ; plalée. Lvl Des insllncls des oiseaux. Le cardue-Ils, le laure, l’anlhe. Lvu Des oiseaux par leurs. Perroquet. Lvm Ples glandalres. ux Sêdition du peuple romain causée pour un corbeau qui parlalt. L1 Olseaux de Dlomede. Lx : Quels an lmaux n’apprennent rlen. Lxn Du bolre des oiseaux. Le porphyrlon. Lxm Hœmatopode. Lxrv De la nourriture des oiseaux. Lxv Onocrotales. Lxvl Des oiseaux étrangers. Phalêrldes, falsans, numldlques. Lxvn Phœnlcoptères ; attagènes ; phalacrocorax ; pyrrhocorax ; lagopèdes. Lxvm Olseaux nouveaux. Blbions. Lxtx Des oiseaux fabuleux. Lxx Qul le premier s’est mis à engraisser les poules ; et quels sont les censeurs qui l’ont défendu. Lxxl Quel est le premier qui a établl des volières. Plat d’Ésope. Lxxu Merops. De perdlcibus. LI De columbls. Lu Opera carum mirablila, el prclia. nm Dlllerentlae voiams, ci incessus. uv Apodes, sive cypseil. nv De paslu avlum. Caprimulgi : pialea. LV1 De ingeuiis avlum. Cardueiis, iaurus, aniilus. Lvu De avibus quai ioquunlur. Psillaci. Lïlll Plcze giaudares. ux Propter oorvum ioquemem séditio popuii Romanl. LX Dlomedeœ. Lil Quœ animaiia niilli dlscanl. um De polu avium. De porphyrione. LXlll Hœmalopodes. LXIV De paslu avium. Lxv Onocrolail. un De pèregrinis avibus. Phaierides, pilaslanœ, nnmlrlicœ. uml Piiœnicopteri, altagence, phalacroooraces, pyrrhocoraces, iagopodes. Lxvm Dc novis avlbus. Bibiones. Lxlx De fabniosis avíbns. Lxx Quis gaiiinas farcire instiluerit : quique hoc prími censorcs vemerunt. um Quis primus aviaria instituerlt. De ãlsopi patins. LIXII 22 Reproduction des oiseaux. Quels animaux, outre les oiseaux, sont ovlPLINE. pares. Lxxm Des espèces d’œufs, et de leur nature. Lxxiv Défauts des couveuses, et remèdes. Lxxv Augures tlrés des œufs par l’impératrice Livie. Lxxvx Quelles sont les meilleures poules. Lxxvn De leurs maladies, et des remèdes. Lxxvm Époque de la ponte, et nombre des œufs. Lxxix Clšufs clairs ; œufs appelés cynosures. Du meilleur moyen de conserver les œufs. Lxxx Quel est le seul volatile qui soit vivipare, et qui allaite son petit. Lxxxi Quels animaux terrestres sont ovipares. Des espèces de serpents. Lxxxn Reproduction de tous les animaux terrestres. Lxxxm Quels sont les animaux qui sont étendus dans l’uiérus. Lxxxxv De quels animaux l’origine est-elle encore incertaine ? Lxxxv Des salamandres. Lxxxvi Quels animaux nalssent d’êtres non engendrer. Quels animaux engendrés n’engendrent rlen à leur tour. Quels sont les animaux dépourvus de sexe. Lxx xvn Des sens des animaux. Quels sont ceux qui ont la meilleure vue, le meilleur odorat, la meilleure ouîe. Des taupes. Manilio, Corn. Valeriano, Aclis, Umbrieio Meliore, Les huitres entendent-elles ? Lxxxvm Quels sont les poissons qui entendent le mieux. Lxxxxx Generalio aviuni. Quœ prœler aves ova gignanl. Lxxui Ovorum généra, el naturœ. Lxxiv vitia, et remedia incubamium. Lxxv Auguslœ ex ovis augurium. Lxx vi Quales gallinœ oplimœ. Lxxvu Morbi carum, et remedia. Lxxviu Quando aves. et quot ova pariant. Lxxix Qnœ ova liypenemia : quœ cynosura. Quomodo oplime servenlur ora. Lxxx Quœ volucrum sola animal parial, Gl lacie nulriat. Lxxxi Quœ lerrestrium ova pariam. Serpemiuni généra. uixxu Terresirium omnium généralio. LXXlll Quœ sim animalinm in uteris porreeta. Lxxxiv Quorum animalium origo adliuc incena sil. Lxxxv De salamandres. LXXXYI Quœ nascanlnr ex non genilis. QIHB uala nillil gignanl. ln quibus neuter sexus sit. Lxxxvu De sensibus aniiualium. Quibus visus prrrcipnus : quibus odoralus : quibus audiius. De talpis. An ostreis audilus š’ Lxxxviu Qui ex piscibus clarissime audiant. Lxxxix Qui ex piscibus maxime odoremur. xe 1 i Quels sont les poissons qui ont le meilleur odorat. xc Dlversité des animaux pour le choix des aliments. xcx Quels sont ceux qui vivent de poisons. xcn Quels sont ceux qui vivent de terre. Quels sont ceux que la faim ou la solf ne tue pas. XCIII Dîverslté des animaux relativement aux boissons. xciv Quels sont les animaux qui ont des antipathies. Que les animaux sont susceptibles d’amiti6 et d’affecilon. xcv Exemples d’affection chez les serpents. xcv 1 Du sommell chez les animaux. xcvn Quels sont les animaux qui ont des rêves. xcvm Résumé.- Falts, histoires et observations, 794. Auteurs : Manillus, Cornellus Valerianus, les Actes, Umbrlclus Mellor, Massurlus Sabinus, Antistlus Labéon, Trogue Pompée, Cremutius, M. Varron, 1Emilius Macer, Mellssus, Mucien, Cornelius Nepos, Fabius Pictor, Lucrèce, Celse, Horace, D.Eculéon, Bygln, les Saserna, Nigldius, Mamillus Sura. . Auteurs étrangers : Homère, Phémonoé, Philémon, Bœus qui a écrit Pûrnithogonie, Hylas qui a écrit sur les augures, Aristote, Théophraste, Callimaque, Eschyle, le roi Hiéron, le roi Philométor, Archytas de Tarente, Amphiloque d’Athènes, Anaxi-Diversitas animalinm in paslu. xci Quœ venenis vivant. xcu Qnœ letra. Quœ lame aut sili non lmereani. xciu De diversitate polus. xctv Quœ imer se dissidcanl. Aniiciliam animalium esse : el alfectus animalium. xcv Bxempla affeclus serpentium. xcvi De somno animalium. xcvu Quœ somnient. xcvm Summa : Res, et hisioriœ, ei observation es, ucexciv. Ex auctoribus : Massurlo Sabino, Anlistio Labeone, Trogo, Cremutio, M. Varrone, Macro Ašmilio, Melisso, Muciano, Nepole, Fabio Picture, T. Lucrelio, Corn. Celso, Horatio, D. Eculeone, Hygino, Sasernis, Nigidio, Mamilio Sura. Externis : Homero, Phemonoe, Philemone, Bœo qui ùpvilioyoview, llyla qui de augnriis, Aristotele, Theophrasto, Callimaclio, Ašscliylo, Hieroue rege, Philomelore rage, Arcliyta Tarenfino, Amphilocho Allieniense, Anaxipoli Tliasio, Apollodoro Lemnio, Arislophane Milesío, AntiLIVRE I.. polis de Thasos, Apollodore de Lemnos, Aristophane de Mllet, Antigone de Cumes, Agathocle de Chios, Apollonlus de Pergame, Aristandre d’Athènes, Bacchlus de Milet, Blon de Soles, Chœréas d’Athènes, Diodore de Priène, Dion de Colophon, Démocrite, Dlophane de Nieée, Éplgène de Rhodes, Évagon de Tbasos, Eupbronlus d’Athènes, Juba, Androtlon, auteur d’un traité rfagriculture, 1Esehrlon, auteur d’un llvre sur le même sujet, Lysimaque, qui a aussi écrit sur cet objet, Denys, traducteur de Magon, Dlophaue, abréviateur de Denys, Nicandre, Onésicrlte, Phylarque, Hésiode.


Livre XI, traitant des insectes

Extrème ténuité que la nature présente en ces choses. 1 Les insectes respirent-lls ? ont- lls du sang ? n De leur corps. in Des abeilles. xv Quel est l’ordre observé dans leurs travaux. v Que sont, dans leurs produits, la commosis, la plssocéros, la propolis ? vt Ce qu’est l’erithace, ou sandarace, ou eerinthe. vu Avec quelles fleurs se font les travaux des abeilles. vm Hommes épris de l’étude des abeilles. ix Marche de leur travall. x xx xu Des bourdons. Nature du miel. gono Cyrnœo, Agathoeie Chlo, Apouonlo Pergarneno, Aristaudro Atlteniense, Baochlo Mitesio, Blone Sole se, Clnœrea Atlteniense, Dlodoro Prlenœo, oione Colophonio, Dernocrlto, Diopltane Nlcœense. Epigene Rltodlo, Evagoue Tbasio, Eupnronio Athenœo, Juba, Androuone qui de agriculture, Eschrione qui item, Lysimacllo qui item, Dionysio qui Magonern transtullt, Diopllane qui ex Dionysio epitomen fecit, Nicandro, Onesicrito, Phylarcho, Hesiodo. LIBRO XI cormunrruu msscxoaun xumxumr osseux. Suhtilitas in his reh s naturœ. t An spirent, an habeant sanguine. il De corpore eornm. nl De aplbus. tv Qui ordo in opere carurn. v Quid sit in eocornmosis, pissoceros, propolis. vt Quid erithace, sive sandarace, sive cerlntlios. vn Ex quibus llorihus opéra liant. vm Apium studio capti. tx Ratio operis. x De fucis. xt Quœ natura mellis. xl ! Quze optima mella. xm Quai généra mefils in singulis locis. xtv 23 Quels sont les meilleurs miels. xm Quelles sont les variétés du mlel suivant les lieux. xxv Manière d’éprouver le mlel. Uérice, tétradlce, ou sisyre. xv Reproduction des abeilles. xvi Mode de leur gouvernement. xvi : Que les essaims fournissent parfols d’heureux présages. xvm Des espèces d’abeilles. xxx Des maladies des abeilles. xx Ce qui leur est contraire. xxx Moyen de les retenir. xxu Moyen d’en réparer la perte. xxm Des guêpes et des frelons. Anlmaux qui s’emparent du travail d’autrui. xxnv Du bombyx d’Assyrle. xxv Des cbrysalldes bombyllennes. Quel est l’inventeur des étoffes bombyches. xxvi Du bombyx de Cos. Comment se font les tissus de Cos. xxvu Des araignées. Quelles sont parmi elles eelles qui font de la tolle. Nature des matériaux dont elles eom posent leur tolle. xxvm Reproductlon des araignées. xxix Des scorpions. xxx Des sellions. xxxi Des cigales : qu’elles n’ont ni bouche nl anus. xxxu Des alles des insectes. xxxm Des scarabées. Lampyrldes. Autres es- * pèces de scarabées. xxxiv Des sauterelles. xxxv Quomodo probentur. De erlee, sive tetradice, sive sisyro. xv Quomodo apes générent. xvi Qlœ regimlnis ratio. xvrr Aliquando et lœturn ornen esse exarninum. xvm Genera aplum aux De rnorbls aplum. xx Quœ inimica aplhus. xx ! De confinendis apibus. xx ! ! De reparandis. XXII ! De vespis et crahronihus. Qtlœ anlrnalia ex alieno suurn faciant. U xxtv De bornhyce Assyrla. xxv De ltomhyllís necydalis. Quls primum inveoerli bombycínam veslem. xxvl De bornhyce Goa. Quomodo conflciatur Cos ves- xxvtl tis. xxvni De araneis. Qui ex his texant : quœ materlœ natura ad texendurn. xxix Generatio aranearurn. xxx De scorpionlhus. De stelllonibus. xxxr Decicadis : sine ore esse, sin exitu cihi. xxxn De plnnis insectorurn. xxxm De scarabœis. Lampyrídes. elîqua soarabœorum généra. xxxfv

PLINB. 24 Des fourmis. xxxvx Cllrysalides. xxxvu Des animaux qui naissent du bois ou dans le bois. xxxvm Animaux parasites de l’homme. Quel est l’animal le plus pelit. Qu’il y a des animaux même dans la cire. xxxxx Animal sans conduit excréteur pour les aliments. xl. Teignes, cantharides, culex. L’animal de la neige. xu L’animal du feu : pyralis ou pyranstes. x1.n L’éphémère. xml Caractères et histoire de tous les animaux, comparés membre à membre. Quels sont ceux qui ont des aigrettes, qui ont des crêtes. xuv Des espèces de cornes. Cornes mobiles. x|.v Des têtes, et de ceux qui n’en ont pas. x1.vx Des cheveux. XLVII Des os de la tête. xuvm I)u cerveau. xux Des oreilles. Quels sont ceux qui entendent sans oreilles et salis conduit auditif. 1. De la face, du front et des sourcils. 1.1 Des yeux. Animaux sans yeux ; animaux n’ayant qu’un œil. 1.11 De la diversité des yeux. Lui Mode de la vision. Anlmaux voyant la null. uv Dc la nature de la pupille. Animaux qui ne clignent pas. LV Des cils. Animaux qui n’en ont pas. De iocuslis. xxxv De fornlicis. XXXVI Cilrysaiîides. XXXVII De ilis animallbus, quœ ex iigno, aul in iigno nascuntur. XXXVIII Sordium homlnis anímaiia. Quod animal minimum. Eliam in cera animaila. Animal cui clbl exilus non est. Tineœ, cantharides, culices. N ivis animal. lgnlum animal : pyralis, sive pyraustes. Hemerobion. Animalium omnium per slnguia lnembra, naturze et hisloriœ. Quai apices llabcnl, quaécrislas. Cornuum généra. Quibus mobilia. De capillbus, et quibus nulla. De eaplllo. De osslbus capitis. De cerebro. De auribus. Quae sine auribus, cl fora minibus audiaul. De lacie, de íronte, et super cil lis. De oculls. Quœ sine oculis animalia : quœ singuios oculos tanlum ilabeanl. De dlversilate oculorllm. Quœ ratio visus. Noclu videnles. De natura pupiilœ. Quœ non conuiveant. XXXIK Xl.. XL ! XLII XLIII XLIY XLV XLVI XLVII XLVIII XLIX L LI LII Llll LIV LY nl L Animaux qui n’en ont qu’à une des paupières. Animaux qui n’ont pas de paupières. Des joues. Des narines. De la bouche, des lèvres, du menton, des mâchoires. Des dents. Espèces des dents. Animaux qui n’en ont pas en haut et en bas. Animaux qui les ont creuses. Des dents des serpents ; de leur venin. Quel est le volatile qui a des dents. Merveilles concernant les dents. Moyen de reconnaître Page des ant» maux par les dents. De la langue. Animaux qui en sont dépourvus. Du son que font entendre les grenouilles. Du palais. Amygdales. Luette, épiglotte, trachée-artère, pharynx. N uque, col, épine dorsale. Gosier, œsophage, estomac. Du cœur, du sang, de l’áme. Quels sont les animaux qui ont le cœur le plus gros, le plus petit ? quels sont ceux qui en ont deux ? Quand a-t-on commencé examiner le cœur dans l’inspection des entrailles ? Du poumon. Chez quels animaux ll est le plus gros, le plus petit. Chez quels animaux il n’y a que du poumon a l’intérien r. Quelle est la cause de la vélocité des animaux. Du foie. Chez quels animaux, et en De paipebris, et quibus non sinl = quibus ab altera lanlum parte. Quibus gence non sint. De maiis. De naribus. De buccis, iahrís, mentis, maxillis. De dentibus. Quœ geuera eorum 1 quibus non ulraque parle sint : quibus cavi. De serpenllum dentibus : de veneno eorum. Cul volucri denles. Mirabllia dentíum. /Blas animantium ab illa. De lingua, ctquae sine ea. De ranarum sono. De palalo. De tonslllis. Uva, epigiossis, arteriœ, gula. Cervix, GOÎÎIIID, spina. Gullur, fauces, slomacuus. Dc corde, sanguine, anirno Quibus maxima corda : quibus minima : quibus billa. Quando in exlis aspiei ca-pta. De pulmoue : et quibus maximus, quibus minimus ; quibus niilil aliud quam pulmo inlus. Qua : causa velocllalls animaiiuln. De jocinere, el quibus animaiibus, et in quibus Îocis bina iocinera. LV1 LVII LVIH LIX LX LXI LXII LXIII LXIV LXV LxvxLXVH Lxvm Lxxx LXX LXXI LXXH LV1 LVI-l LVIII LI ! LX LI] LX ! ! LXIII LXIY LXVXVI LXVII LXVIII LXIX LXX LXXI LXXH LXXIH XCVI quels lieux trou ve-t-un deux foles ? Dela vésicule biliaire. Où et chez quels animaux est-elle double ? quels animaux en sont dépourvus ? chez quels animaux est-elle située ailleurs qu’au foie ? Vertu du fiel. Chez quels aulmaux le foie croit et décrolt avec la lune. Observations des arusplees touchant ce vlscère ; et choses merveilleuses. Région précordiale ;’ nature du rire. Du ventre. Des animaux qui n’en ont pas. Quels sont les seuls aulmaux qul vomissent. Lactes, hilles, bas-ventre, colon. Pourquoi certalns animaux sont-ils insatiableœ ?

De l’épiploon, de la rate ; des animaux qui n’ont pas de rate. LIVRE I. IXXIII LXXIV LXXV LXXVI LXXVII LXXVIII LXXIX LXXX Des reins. Ou l’on voit des animaux en avoir quatre. Animaux qui n’en ont point. Lxxxl Poitrine ; côtes. Lxxxn Vessie. Animaux qui n’en ont pas. Lxxxm Des vulves. De la vulve de truie ; du sumen. Lxxxiv Des animaux qui ont du suif. De ceux qui n’engraissent pas. Lxxxv De la moelle ; des aulmaux qui n’en ont pas. Lxxxvl Des os et de la colonne vertébrale. Des animaux qui n’ont ni os ni colonne vertébrale. Cartilages. Lxxxvu Des nerfs. Animaux sans nerfs. Lxxxvm Artères, veines. Animaux sans velnes De felle z ubí, et in quíbus gemínum. Quilms animalíum non sil : el quibus alibí quam in joci› DETC. LXXIV Quœ vis ejus. Lxxv Quibus crescal cum luna el decrescal jcour. Haruspicum circa ea observation es, el prodígia míra. Lxxvl Prœoordía. Rísus natura. Lxxvu De ventre, el quíbus nullus. Quœ sola vomaut. Lxxvlu Lactes, hillae, alvus, colon. Quare quaedam insatiabília anímalia. LXXIX De omento, el de splene, el quíbus auinnalíum non sit. Lxxx De renibus, et ubí qualerni auímalibus : quibus nulli. Lxxxl Pecltls : oostœ. Lxxxu Vesíca : et qulbus anímalibus non sit. LXXXIII De vulvis : de snum vulva : de sumine. Lxxxlv Quœ sevum habeaul, quai non pinguescaul. Lxxxv De medullis, et quíbus non sínl, Lxxxvl De ossibus cl spinís. Quibus nee ossa, nec spína. Cartšlagínes. Lxxxvu Dc uervis. Quœ sine nervis. Lxxxuu l I et sans artères. Du sang et de la sueur. Animaux dont le sang se coagule avec le plus de rapidité ; animaux chez qui il ne se coagule pas ; animaux qui l’ont le plus épais, le plus tenu, qui n’en ont pas. Anlmaux qui n’ont pas de sang a certaines époques de l’année. Le sang est-il l’agent essentiel de la vltalité ’l Du culr. Des poils, et de ce qui recouvre le culr. Des mamelles. Volailles qui ont des mamelles. Choses remarquables chez les animaux, touchant les mamelles. Du lait, du colostrum, du fromage ; laits qui n’en fournissent pas. De la présure. Genres d’aliments que fournit le lait. Des espèces de fromages. Différences que présentent les membres de l’homme avec ceux des autres animaux. Des doigts, des bras. De la ressemblance des singes avec l’homme. Des ongles. Du genou et du jarret. Quelles sont les parties du corps humain auxquelles s’attachent des ldées religieuses. Varices. De la marche : des pieds et des jambes. Des sabots des quadrupèdes. Pieds des oiseaux. Arleriœ, venee. Quœ nec venas, nec arlerías habent, De sanguine el sudore. Quorum celerríme sauguís spísselur ; quorum non coeal : quíbus crassissímus, quibus lenuíssímus, quíhus nullus. Quibus cerlis temporibus anni nullus. An in sanguine princípatus. De tergore. De pilis el veslilu lergoris. De mammis, Gl qua : voluerum mammas lnabeaul. Nolabilia animalíum in uberíbus. De lacie, de coloris, de caseís z ex quíbus non fial : de coagulo. Gencra alimeuti ex tacle. Gcncra caseorum. Differentiœ membrorum llomínum a relíquís aní malibus. De digítis : de bracllíís. De símiarum simililudine. De unguibus. De genibus, el poplítibus. In quibus membris corporis llumani sacra religio. Varices. De gressu, el pedibus, Gl cruribus. 25 Lxxxix XC XC ! XCII XCIII XCIV XCY XC VII XCVIII XCIX C Cl CII CII ! CIV CV CV ! CVII LXXXIX XC ICI KCII XCIII XCIV XCV XCVI XCVII XCVIII XCIX C CI CII (Jill CIV UV PLINE. 20 Pieds des animaux, de deux a cent. Des nains. cvm Des organes génitaux ; des hermapiirodites. crx Des testicules. Eunuques de irois espèces. cx Des queues. cx : De la voix des animaux. cxn Des membres surnuméraires. cxm Signes de vitalité et indices du moral des hommes, d’après la conformation de leurs membres. extv De Vhaieine et de la nourriture. cxv Animaux qui, nourris de poison, ne périssent pas, et qui, mangés, donnent ia mort. cxvl Causes des mauvaises digestions. Remèdes des indigestions. cxvu De quelle manière vient Vembonpoint ; de quelle manière on le diminue. cxvm Quelles choses il suffit de goûter pour apaiser la faim et la soif. cxix Résumé :Fails, histoires et observations, 2270. Auteurs : M. Varron, Hygin, Scropha, Saserna, Ceise, /Emiiius Macer, Virgile, Coiumeiie, Julius Aquila qui a écrit sur iadoctrine des Etrusques, Tarquitlus qui a traité le même sujet, Umbricius qui a traité le même sujet, Caton le Censeur, Domitius Calvinus, Trogue Pompée, Meiissus, Fabianus, Mucien, Nigidius, Mamilius, Oppius. De ungnlis. cvi Volucrum pcdes. cvn Perles antmalium, a binis ad cenlenos. De pumilionibus. cvui De genitalibus. De hermaphrodites. cix De teslibus. Trium générum semivlri. cx De Cillldiå. CXI De vocillus animalium. cxn Dc agnascenlibus membrîs. cxm Yltaillalls et morum nolœ, ex membrîs hominum. CXIV De anima el vient. — cxv Quœ veneno paste ipsa non percunl, el gustata necanl. cxvl Qllibus de causis homo non conooqual. De remedils crudllalum. GXVII Quemadmodum corpulentia contingal : quomodo minllalur. cxvlu Quœ gnsln famem slllmque sedenl. eaux Summa. Res, et historiœ, et observaliones, uccnxx. Ex auclorlllus : M. Varrone, Hyglno, Scroplla, Saserna, Celso Cornelio, Emilio Macro, Virgllio, Columella, Julio Aquila qui de Elruses discipline-scrîpsil, Tarquilîo qui item, Umbriclo qnl item, Calone Censorlo, Domilio Calvino, Trogo, Melisso, Fabiano, Muciano, Nigidio, Mamilio, Oppio. V i

’ Auteurs étrangers : Aristote, Démocrite, Néoptoième qui a écrit sur ia fabrication du miel, Aristomaque qui a traite le même sujet, Phiiistus qui a traité le même sujet, Nicandre, Menécrate, Denys qui a traduit Magon, Empédocie, Caiiimaque, le roi Attaie, Apoiiodore qui a écrit sur les animaux venimeux, Hippocrate, Hérophiie, Érasistrate, Asciéplade, Thémison, Posidonius le Stoîclen, Ménandre de Priène, Menandre d’Héraciee, Euphronius d’Atbènes, Tbéophraste, Hèsiode, le roi Phiiométor.

Livre XII, traitant des arbres.

Rang honorable des arbres dans ia nature. 1 et Il Des arbres exotiques. Quand ie piatane est-il venu pour la première fois en Italie, et d’où ’I nt Nature des platanes. rv Choses merveilleuses qui s’y rapportent. V Chamepiatanes. Qui ie premier a commencé à tailler les bosquets. vr. Comment sème-t-on le citronnier ? vu Arbres de i’Inde. vm Quand a-t-on vu pour la première fois à Rome Vébène ? Diverses espèces d’ébène. IX Épine indienne. x Figuier indien. xr Uarbre paia. Le fruit ariana. xx : Externis : Arislolete, Democrilo, Neoplolemo qui μzivrovpymâ, Arlstomacho qui item, Philisto qui item, Nicandro, Mene-Grille, Dionysio qui Magonem translulil, Empedocle, Callimacho, Altalo rege, Apollodoro qui de bestiis venenatis, Hippocrale, Heropllilo, Erasislrato, Aselepiade, Themisone, Posldonio Stoico, Menandris Prienense el Heracleote, Euplnronio Alhenœo, Theophrasto, Hesiodo, Philomelore rege. LIBRO XII CONTTIINTUR ÀBBOBUI NATURE. Honor carum. 1 et u De pèregrînis arborlbus. Platauus quando primumin italia, et unde. Natura carum. MIracnla ex his. v Cbamaeplalani. Quis prîmnm vlridaria tondere III IV institlteril. vt Malllm Assyrium quomodo seratur. vn lndlœ arborcs. vm Quando primum Romœ visa ebenus. Quœ généra , ejus. Il Spina I ndica. x Ficlls indica. xt Arbor pela : pomum ariane. xu Description d’arbres indiens sans nom. Arbres de i’Inde qui portent du iin. Poivriers. Des diverses espèces de poivres : brecma. Zingibéri ou zimpibéri. Caryophyiie ; lyeium ou pyxachante chironien. Macír. Sucre. Arbres de i’Ariane, de ia Gédrosie, de i’Hyrcanieî Arbres de ia Bactriane. Bdeiiium ou brochon, autrement maiacham ou maldacum. Scordacti. On y énumère, pour tous ies parfums et toutes ies épices, les sophistications, in épreuves de vérification, et ie prix. Arbres de ia Perse. Arbres des lies du goife Persique. Cotouniers. L’arbre chynas. De queis arbres fait-on du iin dans i’Orient ? Lieu ou ies arbres ne perdent rien de ieur feuillage. De queiies façons ies arbres donnent des produits. Du eostus. Du nard ; douze espèces de nard. L’asarum. L’amome, l’amomide. Le cardamome. ludicarnm arbornm formœ sine no minibus. Liniferœ Indiœ arbores. Piperis arbores. Gellera piperis : brecma. Zingiberi, sire zimplberi. Caryophynon. Lycium, sive pyxacanuium Chlronium. Muir. Saccharon. Arbores Arianœ genus. llem Gedrosiœ. Item Ilyrcaniœ. item Baclrlzr. Bdellillm, slve blochon, sive ma-Iarham, site maldacum. Scordaell. ln omnibus odoribus aut condimenlis dlcunlur adulteraliones, experiments, prelia. Persldis arhores. Persici maris insularum arbores. Gossypinon arbores. Chynas arbor. Ex qulbus arborlbus lina in Oriente flanl. Quo in loco arbornm nlllla folia décidanl. Quibns modis constenl arborum fruclus. De coslo. De nnrdo. Dílïcreniiœ ejus XII. Asaron. Amomnm : amomis. Cardamomum. De lhlrrlfera regione. Que arbores dans leranl. LIVRE I. Du pays de i’encens. xm Arbres qui portent i’encens. XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXV ! XXVII XXVIII XXIX XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII xxlll XXIV XXV xxvl XXXII XXYJII XXIX XXX XXX ! Queiie est la nature de i’encens, queiies en sont ies espèces. De ia myrrhe. Des arbres qui ia portent. Nature et espèces de ia myrrhe. Du mastic. Du iadanum et du stoboie. Enhème. Le bratus. Le stobre. De i’A rabie heureuse. Du cinname ; du xyiocinname. La canneiie. Cancame. Taron. Serichatum. Gabaiium. Myrobaian. Phœnieobaian. Du caiamus odorant, du jonc odorant. Gomme ammoniaque. Sphagnos. Cypros. Aspalathe ou érysisceptrum. Marum. Baume, opobalsamum, xyiobaisamum Styrax. Gaibanum. Opoponax. Spondyiium. Maiobatbrum. Omphacium. Qure natura maris, el qllœ généra. De myrrlla. De arborlblls quœ ferunl ealn. Nalllra et généra myrrllœ. Demasliclle. De ladano, el stobolo. Enhœmon. Bralus arbor. Slobrllm arbor. De felichate Arablœ. De cinnamo. De xyloclnnamo. Casia. Cancamum. Taron. Sericllalllm. Gabalium. Myrobalanus. Phœlllcobelamls. De calamo odoralo : de jllnco odoralo. Halnmoniacum. Spllagnos. Cyprus. Aspalamos, slve erysisceplrum. Maron. De balsamo, opobalsamo, xylobalsamo. Slyrax. Galbanllm. De panace. Spondylion. ’ De malobfllllro. 21 XXX XXXI XXXII XXXIII XXX I V XXXV XXXVI XXXVII XXXV III XXX IX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV XLVI XLVII XLVIII XLIX L LI LII LIII I-IV LV LVI LVII LVIII LIX LX xxxll XXIII XXXIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV XLVI XLVII XLYIII XLIX L LI LII LIII LIV LV LVI LVII LVIII LIX 28 PLINE. Bryon, œnanthe, massaris. Lx : Éiate ou spathe. LXII Cinname, comaque. uuu Résumé : Faits, histoires et observations, 974. Auteurs : M. Varron, Mucien, Virgile, Fabianus, Sebosus, Pumponius Méta, Aifius Fiavlus, Prociiius, Trogue Pompée, Hygin, d’empereur Ciaude, Cornelius Nepos, Sextius Niger qui a écrit en grec sur ia médecine, Cassius Hémina, L. Pison, Tudltauus, Vaiérius Antias. Auteurs étrangers : Théophraste, Hérodote, Caliisthène, I sigone, Ciitarque, Anaximène, Duris, Néarque, Ouésicrite, Poiycrite, Diympiodore, Dioguète, Nicobuie, Anticiide, Charès de Mityiene, Ménechme, Dorothée d’Athènœ, Lycus, Antée, Éphippe, Chœréas, Démociès, Ptolémée fils de Lagus, Marsyas le Macédonien, Zoiie ie Macédonien, Démocrite, Amphiioque, Aristomaque, Alexandre Poiyhistor, Juba, Apoiiodore qui a écrit sur ies odeurs, le médecin Héraciide, ie médecin Archldeme, le médecin Denys, ie médecin Démocède, le médecin Euphronius, le médecin Mnésis, le médecin Diagoras, ie médecin Iolias, Héraciide de Tarente, Xénocrate d’Éphèse, Ératosthèue. De omphacio. LI Bryon, œnautlxe, massaris. un Elate, vel spathe. um Clnnamum, comacum. Lxtu Summa. Res, et historiœ, et observation es, uccccmxxxv. Ex auctoribus : M. Varroue, Mnciano, Virgilio, Fabiauo, Seboso, Pomponio Mela, Flavio, Procillo, Trogo, llygino, Claudio Cœsare, Corn. Nepole, Sextio Nigro qui graece de mediuina scripsit, Cassio Hemiua, L. Pisone, Tuditano, Autiate. Extemis : Tlteophraslo, Herodolo, Callisthene, Isigouo, Clilarclxo, Auaximeue, Duride, Nearcho, Ouesicrito, Polycrito, Olympiodnro, Dioguelo, Nicobulo, Anticlide, Charete Mitylenœo, Menœchmo, Dorotheo Atlxenœo, Lyco, An-IïU°› Eplxippo, Cbaerea, Democle, Ptolemaeo Lagi, Marsya Macedone, Zoïlo item, Democrito, Amplxiloclxo, Aristomacho, Alexandre Polyhistore. Juba, Apolloduro qui de odoribns scripsit, lleraclide medico, Archidemo item, Dionysio item, Democede item, Euplxronio item, Mncside item, Diagora item, lolla item, lleraclide Tarentino, Xenocrate Epltesio, Eratostllene.

Livre XIII, traitant de l'histoire des arbres exotiques et des parfums.

Des parfums ; quand lis ont commencé à être en usage. Espèces de parfums, et douze compositions. Diapasma, magma, et moyens de véritler ies parfums. Luxe excessif en fait de parfums. Quand a-t-ou commencéàen faire usage à Rome ? Dœ paimlers. Nature des palmiers. Comment on muitipiie ies palmiers. Des espèces de palmiers et de ieurs caractères distinctifs. Arbres de ia Syrie, pistachier, cottana, dama scène, myxa. Cèdre. Arbres qui portent en même temps des fruits de trois années. Térébinthinier. Sumac. Arbres d’Égypte : figuier d’Égypte. Figuier de Chypre. Sliíque ceraunia. Du persica. Sur queis arbres les fruits se succèdent. Cuci. Épine égyptienne. “ Neuf espèces de gommes. Sarcocolie. LIBRO XIII EXO- I II III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX CONTINIIÎTUB HISTOIIIE DE PBIIECIIINIS AIIBOIIIBUS, ET U NGU ENTIS. De unguentis : quando cœperint. Genera eorum, et composition es xn. Diupasmata, magmata : et probation es uugueuti. Quanta in unguentis luxuria. Quando primum Romanis in uso. De palmis. De natura carum. Quomodo serantur. Genera carum, et iusignia. Syriœ arbores. Pistacia, cottaua, damasuena, myxa. Cedrus. Qnae arburcs trium auuorum fructum pariter habeaut. Terebintlxus. Rhus.Égypti arbores. Ficus Alexandrine. Ficus Cypria. Siliqua ceraunia. Persica arbor : et quibus arburibus subnascautur fructus. Cnci. Spina Jlšgyptia. Gummiutn généra xx. Sarcocolla. I II III IV V VI VII VIII IX X Il XII XIII XIV XV XV I XVII XVIII XIX XS Du papyrus ; de l’usage du papier ; LIVRE I. In mari Rnbro. L quand il a commencé. xxn Comment on fabrique le papier. xxu Neuf espèces de papier. xxm Comment on éprouve le papier. xxlv Défauts du papier. xxv Dé la colle du papler. xxvr Des livres de Numa. xx vu Arbres de l’Éthiopie. xxvm Arbre atlantique. Du citre, et des tables faites de ce bois. xxxx Des beautés et des défauts que l’on trouve dans ce bols. xxx Du citron. xxx : Du lotos. xxxu Arbres de la Cyrénaîque. Le paliure. xxxm Neuf espèces de grenadiers. Du baiauste. xxxxv Arbres de l’Asie et de ia Grèce : l’épipactide, l’érlce, le grain de Cnide ou tbymelée, ou chamelée, ou pyrosachne, ou cnestre, ou cneorum. xxxv Tragion, tragacanthe. xxxvr Tragos ou scorpion, myrice ou brye, ostrys. xxxvu Evonymos. xxxvm Uarbre éon. xxxrx Audracble. xl. La coccygie, l’apharce. xu La férule. xml La thapsie. x LI 1 1 Le caprier ou cynosbate, ou opblosta-phylon. xuv De papyro, de chartae nsu, quando eœperit. nl Quomodo fiat. nil Genere ejus lx. nm Probalio chartarum. xxlv Vîliacllartarum. nv Deglatino chartarum. xxvl De ubris Numœ. IIVIIfllšlhiopiœ arbores. xxvm Atlantica arbor. De citri arbore, et de citreis mensis. X111 Quœ probentur, autvituperentur in his. nx Matam citreum. nil um, nm Cyrenaieœ arbores. Paliurus. xxxm Punici mali généra lx. Balaustium. nm Asia : et Grœciœ arbores. Epipaclis, erlce, granum Cnidium, sire tllymelœa, sive chamelœa, sive pyroachne, sive cnestrum, sive cneomm xxxv Tragion : tragacantha. xxxvl Tragœ sire scorplo : myrice sivo brya : ostrys. xxxvn Evonymus. XHVIII Bon arbor. XXXIX Andrachle. Il-Coeeygia : apharce. XI-I Femla. II-II XLIII Thapsia. F › 29 La sariphe. nv L’épine royale. XLVI Le cytise. xnvn Arbres et arbustes de la Méditerranée : phycus ou prason, ou zoster..xnvm Bryon marin. xux Productions végétales de ia mer Bou ge. L Productions végétales de la mer des Indes. u Productlons végétales de la mer Troglodytique : chevelure d’lsis, charitobiépharon.Lu Résumé : Faits, histoires et observations, 468 Auteurs.° M. Varron, Mucien, Virgile, Fahianus, Sebosus, Pomponius Mela, Fabius Pictor, Hygin, Trogue Pompée, Proclllus, d’empereur Claude, Cornelius Ncpos, Sextius Niger qui a écrit en grec sur la médeclue, Cassiusflémina, L. Plson, Tuditanus, Vaiérius Antias. Auteurs étrangers : Tbéopbraste, Hérodote, Callistbéne, lslgone, Clitarque, Anaximéne, Durls, Néarque, Onésicrlte, Polycrite, Olymplodore, Dlognète, Cléobule, Anticlide, Cbarès de Mitylène, Ménecbme, Dorothée d’Atbénes, Lycus, Antée, Éphippe, Dion, Adimante, Ptolémée fils de Lagus, Marsyas le Macédonien, Zoîle le Macédonien, Démocrite, Ampblloque, Alexandre Polyhistor, Aristomaque, le roi Juba, Apollodore qui a écrit sur les odeurs, le médecin Héraclide. le méde-Capparis. sive cynosbâton, sire oplaioslaphylon. : uv Sariplla. nv Spîna regla. 11.71 Cytislls. 1111] Arbores etlïuctices in mari nostro. Phycos, sive prason, sive Zosler. xnvm Bryon marînum. XL11 ltemin lndico. LI Item Troglodytico. Isidis plocamos. Cliaritoblepharon. Ln Summa. Res, et llistoriœ, et observation es, cccc1.xvm. Ex auctoribus : M. Varrone, Muciano, Virgilio, Fabiano, Seboso, Pomponio Mela, Fabio, llygino, Trogo, Procilio, Claudio Cœsare, Corn. Nepole, SBXIÎO Nigro qui grœce de medicina scripsit, Cassio llemiua, L. Pisone, Tuditano, Antiate. lšxternls : T11801111I'8SÎO, lierodoto, Callistllene, lslgono, Clitarclno, Anaxîmene, Dmide, Nearcllo, Oneslcrilo, Polycrílo, Olympiodoro, Diogneto, Cleobulo, Anticlide, Cbarete Mitylenœo, Menœchmo, Doroiheo Athéniense, Lyco, Antœo, Ephippo, Dione, Adimanto, Ptolemœo Lagi, Marsya Macedonc, Zoilo ilem, Democrito, Ampllilocho, Alexandre III 30 PLINE. cin Botrys, le médecln Archidème, le médecin Denys, le médecin Démocède, le médecln Euphronius, le médecin Mnésls, le médecln Dlagoras, le médecin Iollas, Heraclide de Tarente, Xênocrate d’Éphèse.

Livre XIV, traitant des arbres fruitiers.

Nature de la vigne ; de quelle manière elle porte des fruits. De la nature du ralsin et de la culture de la vigne. Quatre-vlngt-onze espèces de vignes. Falts remarquables touchant la culture des vignobles. Quels sont les vlns les plus anciens. De la nature du vln. Clnquante vlns généreux. Trente-huit vlns d’outre-mer. Sept espèces de vins salés. Dix-huit espèces de vins doux. Du passum et de l’hepsema. Trois espèces de vlns secondaires ou piquet les. Nouveauté du renom des vlns d’ltalle. Pratique observée par Romulus touchant le vln. De quels vins se sont servis les anciens Romains. Falts notables touchant les celllers. Du vin d’opimlus. A quelle époque on servit pour la premlèrc fols quatre espèces de vln. let II IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII Polyhislore, Aristomacllo, Juba rege, Apollodoro qui de odoribus scripsil, Heraclide medico, Bolrye medico, Arcllidemoilem, Dionysio item, Democede ilem, Eupllronio item, Mneside item, Diagora item, Iolla ilem, lleraolide Tarenlîno, Xenocrale Ephesio. LIBRO XIV coummvrua raucrlretuz Aanonss. Vilium natura. Quibus modis l’eranI. De uvarum natura, eteura vitium. lîarum geuera sel. *-Insignia eu llum vinearum. Quœ vina antiquissima. De nalura vlni. Vina générosa I.. Vins Iransmarlna XXXYIII. Vini salsi généra vu. Dulcium généra xvm. De p8S80, et llepsemalc. Secumlarii vlní généra m. Quam nuper cœperint V1118 générosa in Italia. De vini observation à Romulo rege pesita. Quibus vinis usi antiqui. Notabilia circa apelllecas. De vino Opimiam. Quando primum vini quatuor généra posita. Ex labrusca usus : CI quis irigidissimus nalu T8 I BI II III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII I F J l Usage de la vigne sauvage, et quel est le suc le plus froid dans la nature. xvm Solxante-six espèces de vins artificiels. XI x Hydromel ou mélierat. xx OXYIDGI. XJU Douze espèces de vins mls au rang des prodiges. xx" De quels vlns ll n’est pas permls de se servir pour les sacrifices. xxm Par quel procédé on apprête les moûts. XXIV De la polx, des rèslnes. xxv Du vinaigre ; de la lie. xxvl Des vaisseaux à vln, des celllers. xxvn De l’ivresse. xxvm Qu’avec l’eau et des grains on falt des boissons qui ont la force du vln. xxxx Résumé.° Falts, histoires et observations, 510. ff' Auteurs : Cornéllus Valerianus, Virglle, Celso, Caton le Censeur, les deux Saserna père et fils, Scropha, Varron, D. Silanus, Fabius Pictor, 'Irogue Pompée, Hygln, Flaccus Verrlus, Grœclnus, Jullus Atticus, Columelle, Massurius Sablnus, Feneslella, Tergilla, Plaule, Alfius Flavlus, Dosseuus, Scœvola, /Elius, Atteius Caplton, Gotta Messallnus, L. Pison, Pompelus Lenœus, Fabianus, Sextlus Nlger, Vibius Rufus. .` Auteurs étrangers : Héslode, Théopbraste, Arlslote, Démocrile, le roi Attale Philométor, le roi Hieron, Archytas, Xénophon, Amphlloque d’Athènes, AnaxisuccuS. : vm Viui fictitii généra Lxvl. xlx llydromeli, sive me liera ton. xx Oxymeli. xxl Vini prodigiosi généra xn. un Quibus vinis ad sacra uti non sit las. xxm Quibus généribus musta condianl. nn De pioe, resinis. nv De aceto : de lœoe. xxvl De vasis vinarils : de cet lis. xxvu De e brie tale. xxvm Ex aqua GI frugibus vlui vim lieri. : xix Summa. Res, et Ilistoriœ, GI observaliones, nx. Ex auctoribus : Corn. Valeriano, Virgilio, Celso, Catone Censorío, Sasernis paire GI lilio, Scroplla, Varrone, D. Silano, Fabio Piclore, Trogo, Hygiuo, Flacro Verrio, Grœcino, Julio ÁIIICO, Columelle, Massurlo Sabino, Feneslella, Tergilla, M. Accio Plauto, Flavio, Dosseuo, Scœvola, Aîlio, Atleio Capilone, Colta Messalino, L. Pisone, Pompeio Lenœo» Fabiano, Sextio Nigro, Vibio Rulo. Exlcmis : Hesiodo, Thcophraslo, Aristotele, Democrito, Allalo Pllilomctore rege, Hicrone rege, Arcllyta, Xenopllonlfl.

LIVRE I. polis de Thasos, Apollodore de Lemuos, Arlsmphane de Milet, Antlgone de Cume, Agathocle de Chios, Apollonius de Pergame, Arlslandre d’Athènes, Botrys d’Athènes, Bacchius de Milet, Bion de Soles, Chœreas d’Athènes, Chœrlste d’Athènes, Dlodore de Priène, Dion de Colophon, Epigène de Rhodes, Évagon de Thusos, Euphronlus d’Athènes, Androtion qui a écrlt sur l’agriculture, .4Eschrion qui aécrit sur l’agriculture, Lysimaque qui a ecrlt sur l’agriculture, Denys qui a tradult Magon, Diophane qui a fait un abrégé de Denys, le médecin Ascleplade, Onésicritc, le roi Juba.

Livre XV, traitant des arbres fruitiers.

De l’olivier ; époque ou ll n’existait qn’en Grèce ; quand ll a été planté pour la première fois en Italie, en Espagne, en Afrique. 1 Nature de l’olive et de l’hulle fraiche. n Del’huile ; patrles diverses et quaiités. de l’huile.. Quinze espèces d’olives. Dc la nature de l’huiie. v Culture des oilviers ; de l’art de conserver les olives ; comment on fait III IV I’huiie. I Quarante-huit espèces d’hulles artificielles.

u

Du marc d’huile. " vm Des espèces diverses de fruits, et de ieur Amphílocho Athenœo, AnaxípoII Thasio, Apollodoro Lemnio, Aristophane Milesío, Antigone Cymaeo, Agamocle Cuio, Apononio Pergameno, Aristandro Atllenœo, Botrye item, Bacehio tdilesio, Bione Solense, Chœrea Atneniensc, Clmisto item, Diodoro Prienaco, Dione Colophonío, Epigene Rbodio, Evagone Thasio, Eupuronio Atheuœo, Audrotione qui de agriculture scripsit, zflschrione qui item, Lysimacho qui item, Dionysio qui Magonem transtmít, Diophane qui ex Díonysio epitomen fecit, Asolepiade medieo, Onesicrito, .luba rege. LIBRO XV oozwmesren nxruns : rnuclrmunum Annonuu. Deolea. Quandiu apud Grœcos tantnm fuerit. Quando primum in Italia, Hispania, Africa, esse eœperit. | Quaa naturœ olívœ, et otei ineipientis. n De oleo. Nationes, et bonitates oleí. in Olivarum généra xv. iv De natura olet. v cultura olearum. De servandis olivis. Quomodo faoiendum sit oleum. vi Oleí fictitii généra XLVIII. De amurca. Genere pomorum, et naturœ. Nucum plnearum généra lv. IX VII VIII l I I I

nature. Quatre espèces de pommes de plu. Quatre espèces de coings. Quatre espèces de struthees. Quatre espèces de pechers. Douze espèces de pruniers. Du perséa. Trente espèces de pommes. Quand chaque espèce de fruits exotiques vlnt en Italie, et d’ou. Quelles espèces ont été introduites dans ces derniers temps. Quarante et une espèce de polriers. Dlvers modes d’enter les arbres ; ex piation de la foudre. Conservation des fruits et des raisins. Vingt-neuf espèces de fig.es. Falts historiques touchant les fig.es. De la caprification. Trols espèces de nèfles. Quatre espèces de sorbes. Onze espèces de nolx. Dlx-huit espèces de châtaignes. Des carouges. Des fruits charnus ; des mûres. De l’arbouse. Nature des fruits å grains. Neuf espèces de cerises. Cornouiiies ; lentisques. Treize espèces de sucs. De ia couieur et de l’odeur du suc. Diverses natures des fruits. Le myrte. Cotoneorum généra lv. Strutniorum généra iv. Persieorum généra IV. Prunorum généra XII. ne persea. Matorum généra xxx. Quo quzeque tempore externe poma venerinl in ttaliam, et uncle. Quœ novissime. Pyrorum généra xu. De ínsítorum varietate, et fulgurum expís. tione. De pomis servandls, et uvts. Ficorum généra xxix. De íiois liístorica. De caprificatione. Mespilorum généra III. Sorborum généra iv. Nucum généra xi. Castanearum généra xvm. Siliquœ. De carnosis pomis. De moris. De unedone. Acinorum naturœ. Cerasorum généra ix. Corna. Lentisci. Succorum diiferentiœ xm. De colore succi, et adore. Pomorum natura : diversae. 81 IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII X VIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XX’II XXVIIIXXIX XXX XXXI XXXII XXXIII XXXIV XXXV X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI xxvll XXVIII XXIX XXX IXXI xxxll XXXIII XXXIV 32 PLIN E. Anecdotes sur le myrte. xxxx 1 Onze espèces de myrte. xxxvu Emplol du myrte à Rome dans l’ovation. xxxvm Le laurler ; treize espèces de laurler. XXXIK Anecdotes sur le laurler. xx. Résumé : Faits, histoires et observations, 520. Auteurs : Fenestella, Fahianus, Virgile, Cornelius Valerianus, Celse, Caton le Censeur, les deux Saserna père et fils, Scropha, M. Varron, D. Silanus, Fablus Pictor, Trogue Pompée, Hygln, Flaccus Verrlus, Grœcinus, Attlcus Julius, Massurius Sablnus, Tergilla, Cotta Messallnus, Columelle, L. Pison, Pompelus Lenœus, Plaute, Alflus Flavius, Dossenus, Scœvola, ./Elius, Atteius Capiton, Sextlus Niger, Vlbius Rufus. Auteurs étrangers : Hésiode, Aristote, Démocrite, le roi Hiéron, Archytas, le roi Attale Philométor, Xéuophon, Amphiloque d’Athènes, Anaxipolis de Thasos, Apollodore de Lemnos, Aristophane de Mllet, Antigone de Cume, Agathocle de Chios, Apollonlus de Pergame, Aristandre d’Atheues, Bacchius de Milet, Bion de Soles, Cliœréas d’Athènes, Chœriste d’Athènes, Diodore de Priène, Dlon de Colophon, Épigene de Rhodes, Évagon de Thasos, Euphronius d’Athènes, Androtion qui a écrit sur l’agriculture, /Eschrion qui a écrlt sur le même sujet, Denys qui a traduit Myrlus. xxxv Hislorica de myrto. xxxvl Genera ejus xl. xxxvu Usus Roma : in ovatione. XXXVIII Laurus : généra ejus XIII. xxxlx Hislorica de laure. xr. Summa : Res, et llistoriœ, et observation es, nxx. Ex aucloribus : Fenestella, Fabiano. Virgilio. Corn. Valeriano, Celso, Catone Ccusorio, Sasernis pau-e et lillo, Scropha, M. Varrone. D. Silano, Fabio Pietore, Trogo, llygino, Flacco Verrio, Grœcino, Attico Julio, Massurio Sabine, Tergilla, Cotta Messalino, Columella, I.. Pisone, Pompeio Lenœo, M. Aœio Plaulo, Flavio, Dosseno, Scazvola, Elio, Atteio Capitone, Sextio Nigro, Vibio Rulo. Externis : Hesiodo, Aristotele. Democrito, Hierone regc, Arellyta, Attalo Pllilolnetole rage, Xenopllonte. Ampllilocho Athenœo. Anaxlpoll Tllasio, Apollodoro Lelnuio, Aristopllaue Milesio. Antigone Cyrnaeo, Agatllocle Clllû, Apollouio Pergameno, Aristandro Atllenœo. Bacchio Mlleslo, Bione Solense, Chœrea Athenaeo, Chœrlsto item, Diodoro Prienœo, Dione Colopllonio, Epigene Rhodio, Evagone Thasio, Iîuphronio Athenœo, Androtioue qui de agriculture scripsit, Ašscllrione qui item, Dionysio qui I l Magon, Diopliane qui a fait un abrégé Dcnys, le mèdcelu Aselepiade, le médecin lšrésistrate, Commiade qui a écrit sur l’art d’apprêter les vins, Aristomaque qui a traité le même sujet, Hicesius qui a écrit sur le même sujet, le médecin Thémison, Onéslcrite, le’ roi Juba.

Livre XVI, traitant des arbres sauvages.

Contrées sans arbres. 1 Faits merveilleux touchant les arbres dans les contrées septentrionales. n Des arbres å gland. De la couronne civique. ux De l’origine des couronnes. xv Quels citoyens ent été honorés de la couronne de feuillage. v Treize espèces de glands. V1 Dll bêirô. vn Des autres glands. Du charbon. vm De la noix de galle. ix Abondånce des produits que ces mêmes arbres donnent, outre le gland. x Le eachrys. xr Uécarlate. xn L’agarlc. xm Arbres dont on emploie i’écorce. : uv Des bardeaux. xv Du pin. xv : Du pinaster. xvu Du pleéa ; de l’abIes. xvm Du larix ; du tœda. xix Magonem transtulit. Diophane qui ex Dionysîo epitomen feclt. Aselepiade medico, Erasistralo item, Commiade qui de conditura vini. Arislomacllo qui item, Hiœsio qul item. Themisone medico, Onesicrito, .Iuba rege. LIBRO XVI counxsxrun smvmrnluu Anneaux mruuz. Gentes sine arbore. | Miracula in septentrional regioue arborum. Il De glandileris. De civlea corena. ||| De eoronarum origine. IV Qui [rondes corolla donati. V Glandium généra xm. VI De lago. VII De reliquis glandibus. De C&l’|loll8. YIer De galla. Il Quam multa prœter glandem leraut eœdem arbo› res. 1 Caellrys. " Ooceum. W Agarieulu. W Quarum arborum corliœs in usu. KW De seandulis. “ De pino. ï" De pinaslro. W Piœô : ûbielê. “W

De l’if. De quelle façon se falt la polx llquide ; LIVRE I. XX Ordre de la nature dans le développement des plantes. Arbres qui ne fleurissent jamais : les genévriers. Fécondation des arbres ; bourgeonnement ; production du fruit. Ordre de la floraison. Époque à laquelle chaque arbre produit. Du cornoulller. Arbres qui rapportent tous les ans, qul rapportent tous les trois ans. Arbres stériles ; arbres réputés funestes. Quels sont les arbres qui perdent avec le plus de facilité leurs fruits ou leurs fleurs. Quels arbres ne rapportent pas, et en quels lleux. Comment les arbres rapportent. Arbres qui ont des fruits avant d’avoir des feuilles. Arbresà double récolte, å trlple récolte. Arbres qui vieillissent le plus rapidement, le plus lentement. Arbres qui donnent plus leurs espèces de produit. Cratœge. Différences des arbres d’après le tronc et les rameaux. Rameaux. Écorce. Racines. Arbres qui ont repris d’eux-mêmes. De quelle façon les arbres nalssent spontanément. Diverslté de la nature, qul n’engendre pas tuute chose en tout lieu. Foliorum mirabilis. Ordo naturœ in satis. Quœ arbores nunquam floresnt. De juniperis. De coneeptu arborum : de germination : de parte. Quo ordine floreant. Quo quœque tempore ferant. De cornu. Auniferœ. ln triennium ferentes. Quœ fructum non ferant : quœ infellces existimentur. Quœ fa cil lime perdant fructum, aut florem. Quœ ubl non ferant. Quomodo ferant. Quibus fructus, antequam folla, nsscantur. Bíferœ : triferœ.. Quae celer rime senescant : quœ tardlssime. comment se falt le cedrlum. XXI De quelle manière se falt la polx épalsse. xxn Comment se fait la polx zoplssa. xxm Bois précieux ; quatre espèces de frênes. xxlv Deux espèces de tilleuls. xxv Dix espèces d’érables. xxvl Bruscum ; molluscum ;* staphylodendron. xxvn Trois espèces de buis. xxvm Quatre espèces d’ormes. xxrx Variétés des arbres suivant leur situation : arbres des montagnes ; arbres des plalnes. xxx Arbres qui habitent leslieux secs ; arbres qui habitent les lleux humldes ; arbres qui habitent les unset les autres. xxx : Division des espèces. xxxn Arbres qui ne perdent pas leurs feuilles : le rhododendron. Arbres qui ne perdent pas toutes leurs feuilles. Lieux où aucun arbre ne perd ses feuilles. xx xm De la nature des feuilles qui tombent. xxxrv Arbres dont les feuilles sont de couleurs variées ; arbres dont la forme des feuilles change. Trols espèces de peupliers. xxxv Quelles sont les feuilles qui se retournent tous les ans. xxxvr Soinsa donner aux feuilles du palmler, et usage de ces feuilles. xxxvu Faits remarquables sur les feuilles. xxxvm Lariœ ztœda. xlx De taxo. xx Quibus modis fut pix Iiqulda. Quomodo cedrium fiat. xxu Quibus modis spissa pix fiat. xxu Quibus resina zoplssa. xxm Quarum. arborum matérise in pretio. Fraxinl ge-Ilfifl lY.’ XXIV Tîliœ généra ll. xxv Aœris @Inra X. gxn Bruscnm : molluscum : staphylodendron. xxvu Buxi généra III. xxvm Ufilsùfllm 260611 iï. 1113 Arborum natura per situs. Quae montanœ : quœ eampestres. xxx Quae sieœneae : quœ aqusticœ : quze communes. xxx : Divisio générum. xxxn Quibus folia non décidant. De rhododendron. Quíbus non omnia tolia cadant. Quîbus in loeis nullî arborum. xxxm De natura foliorum cadentium. xxxuv Quibus foliorum varii colores : quorum foliorum lignraa mutentur. Populorum généra ru. xxxv Que folia versentur omnlbus anais. xxxvx Foliorum e palmis cura, et usus. xxxvu ln quibus plura rerum généra glgnaotur. Craiœgum. Ditïerentiae arborum per corpora et rames. De ramis. De eortice. De radícibus. Arbores quae sponte resurrexerint. Quibus modis sponte naseuntur arbores. Natures differentiœ, non omnla ubique générantis. XX XIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV XL’I XLVII XLVIII XLIX L LI LI] LIII LIV LV LV1 LVII LVIII XXXYIII XXXIX XL XU XLII XLIII XLIY XL ? XLYI XLVH XLVIH XLIX L LI Lll Llll LIY LY LV] LVIU Lflll PUIL - T. I. 3 34 Quels végétaux ne naisseut pas eu cerPLINE. taius lieux, et quels sout ces lieux. ux Du cyprès. ' 1-K Que la terre produit souvent ce qu’elle u’avait jamais produit auparavant. Lx : Du lierre et de ses vingt espèces. Lxn Smllax. 1-XIII Plautes aquatiques. Des roseaux ; viugthult espèces de roseaux. Lxrv Des roseaux à flèches, des roseaux à écrire. I-XY Des roseaux à flûtes. Du roseau d’orchomèue. Du réseau de l’oiseleur, du roserm du pêcheur. Lxvr Du roseau des vlgnerous. ~ Lxvu Des saules et de ses sept espèces. Lxvm Des végétaux qul, outre le saule, fouruisseut des lieus. LXIX Des joues. Des joucsà mèches ; des cauues ; des cauues à couvrlr les toits. Lxx Des sureaux, des rouces. Lxxr Sucs des arbres. Lxxu Velues et fibres des arbres. Lxxm De la coupe des arbres. Lxxrv Préceptes de Catou sur ce polut. Lxxv De la graudeur des arbres ; de la uature du bols. Lxxvl Moyeu d’obteulr du feu avec du bois. Lxxvn Bols qui ne se carieut pas, qui ne se feudent pas. Lxxvm Faits historiques touchaut la durée des bols. LXXIX Espèces de térédons. Lxxx Bois de charpente. Lxxxl Bois de menuiserie. Lxxxu Ubi quœ non nascantur. ux De cupressis. LX Nasci saepe ex terra", quœ anlea nala non aint. mu De edera, généra ejus xx. un Smilax. um De aquaticis. De calamis : arundinum généra xxvm. Lxw De sagiltariis, 81 scriptoriis calamis. Lxv De fislulaloriis. De Orchomenia arundine, et aucupatoria, Gl pis calo ria. Lxvn De vinilorîa arundine. um De salice : généra ejus vu. Lxvm Quœ, prœter salicem, alligando ulilla. uma De scirpis, candelis, cannis, legulis. Lx : De sambucis : de rubis. — un De arborum succis. ' um De arborum vends et pulpis. uxm De arboribus cœdendis. wmv Catonis ea de re placita. Lxxv De magnitude arborum. De natura matériarum. Lxxvn lgniarla e ligno. Lxxvn Quae cariem non sentiant : quœ rimam. Lxxvm Histories, de perpetuítate matériarum. Lxxnx Des bols que l’ou assemble au moyeu de la colle. Du placage. Lougue durée des arbres. Arbre plaute par le premier Sclpiou l’Airlcaiu. Arbre de ciuq couts ans à Bome. Arbres qui dateut de la foudatíou de Rome. Arbres plus anciens que la ville dans les faubourgs. Arbres plaules par Agamemuou, datant de la première auuée de la guerre de Troie. Arbres du temps où la ville d’Ilium reçut ce uom, autérleurs à la guerre de Trole, et plantés près de cette ville. Arbres plautés à Argos par Hercule. Arbres plautés par Apollou. Arbre plus aucieu qu’Athèues. Quelles sout les espèces d’arbres qui durent le molns. Arbres auxquels des évéuemeuts ont douué de la celébrlté. Arbres qui n’ont polut pour uatlre de sol qui soit à eux. Arbres qui vlveut sur des arbres, et ne peuvent ualtre dans la terre (15). Neuf espèces de plautes parasites. Cadytas ; polypode ; phauuos ; hlppophaeste. Trols espèces de gui. De la uature du gui et de plantes semblables. De la maulère de faire la glu. Falts historiques sur le gui. Résumé : Faits, histoires et observations, 1235. Teredinum généra. De maleriis, architeclonica. De matériis, fabrifia. De ghninanda matéria. LXXXIII LXXXIY LXXXY LXXXVI LXXXVII LX XX VII I LXXXIX XC XCI XCII XCIII XCIV XC ? LXXÎ LXXÎI LXXXII LXXXIII De Iaminis seclilibus. LXXXIV Arborum duranlium velustas. Ab Africano priore sata. ln urbe Roma D annorum arbor. urxxv Ab Urbe condita arbores. LXXWl Velustiores Urbe in suburbanis. LXXXVII Ab Agamemnone satœ arbores a primo anno belli Trojanl. Ab llil appellation arbores apud Trojam antiquiores bello Trojano. Lxxxvm ltem Argis ab Hercule salœ. Ab Apolline salœ. Arbor anliquior quam Alhenœ. ux aux Quœ généra arborum minime durent. xe Arbores ex evemu nobiles. xcu Quœ sedem nascendi suam non habeant. Quœ in arboribus vivant, et in lena nasci non possinl. Genera carum nx. Cadytas : polypodion : phaunos : hippophœslon. : en Visci tria généra. De vîsci et similium natura. : cm De visco faciendo. xav De visco, historia. xcv Summa : Res, et historiœ, et observation es, uccxxxv. LIVRE I. Auteurs.- M. Varron, Fétialis, Nlgldius, Cornelius Nepos, Hygin, Massurlus, Caton, Muclen, L. Pison, Trogue Pompée, Calpurnius Bassus, Crêmutius, Sextius Niger, Coruéllus Bocchus, Vitruve, Grœcinus. Auteurs étrangers : Alexandre Polyhistor, Héslode, Théophraste, Démocrite, Homère, Timée le mathématicien.

Livre XVII, traitant des arbres cultivés.

Prix extraordinaire de certains arbres. 1 Nature du ciel pour les arbres. Quelle doit être l’exposition des vignobles. n Quelle est la meilleure terre. nx Dœ huit espèces de terres qu’en Grèce et en Gauleon répand sur les champs. xv De l’usage de la cendre. v Du fumier. vx Quelles sont les récoltes qui améliorent la terre, quelles sont celles qui la brûlent. vu De quelle manière on doit employer le fumier. vm De quelle manière on multlplle les arbres. IX Végétaux qui naissent de graine. x Végétaux qui ne dégénèrent jamais. xx Végétaux qui viennent de rejeton. xxx Végétaux qu’on reproduit par arrachement, rejeton. xm Ex auctoribns : ll. Varrone, Fetiale, Nlgirllo, Cornelio Nepote, Ilygino, Massurio, Catone, Muclano. L. Pisone, Trogo, Calpnrnio Basso, Cremutlo, Sextío Nîgro, Corn. Boccllo Vitrnvio, Grœcino., Externîs : Alexandra Polyhistore, Hesiodo, Tlleophraslo, Democrito, Homero, Tímœo mathematîco. LIBRO XVII œ SATIVARUI ARBORUU NATURE. Arborum pretla mirabilis. 1 Ca-li natura ad arbores. Quam partem cœli spectare viueœ debeant. || Qnalís terra optima. ||| De terris ques Grœciœ et Galliœ jactant : généra vm. IV De cineris usn. v De fimo. VI Qnœ sata uberiorem terram faciant : quœ urant. v|| Qnibus modís fimo utendum. vm Quibus modís arbores serant. rx Semine nascenlía. x Quae nnnquam degénérent. XI Plantis nasœntía. xu w F 1 R I Péplnières. Comment il faut traiter les ormes. Des fosses. 9 De l espacement des arbres. De l’ombre. De l’eau que laissent tomber les arbres. Quels arbres crossent lentement, quels rapidement. Arbres qui se reproduisent par provins. De la greffe ; comment elle a été lnventée. De la greffe par inoculation. Espèces de greffes. De la greffe de la vigne. Greffe en écnsson. Végétaux qui naissent d’une branche. Végétaux qui nalssent de bouture ° manière de les planter. Culture de l’olivier. Dlstribution de la greffe d’après les saisons. Du déchaussement et du rechaussement des arbres. Des saussaies. Plantations de roseaux. Des autres taillis qui donnent des perches et des pieux. De la vigne et des arbres qui servent àla soutenir. Moyens d’empêcher que les raislns ne solent dévastés par les animaux. Maladies des arbres. Prodlges qu’ont présentés les arbres. Traitement des arbres malades.. Avulsione nascentia : a surculo. De semînarlis. De ulmis serendîs. De scroblbus. De întervallîs arborum. De umbra. De stillicidils. Qnae tarde crescant ; qnœ celerîter. Propaglne naseentla. De ínsitione, quomodo inventa sit. lnoculatîo. Genera însitionnm. De vite inscrenda. Emplastratîo. Ramo nascentîa. Quae taleîs ; et quomodo serantur. Olearum cultura. Opernm surcularium per tempora anni dlgestîo. De ablaqueandis, et accumulandis. De sallcto. Arunrlíueta. De cœteris ad pertîcas et palos cœduîs. Vínearum ratio et arbustorum. Ne nvœ ab anímallbus ínfestentur. Morbí arborum. Prodígía ex arboribus. 85 XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXV II XXVIII XXIX XXX XXXI . XXXII XXXIII XX XIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXV ! XXVII XXVIII XXIX XXX XXX ! XXXII XXXIII XXXIV XXXV XX ' VI XXXVII XXXVIII 3. 86 Comment il faut les arroser. Faits remarquables touchant l’lrrigaXL tlon. xu Inclsions pratiquées sur les arbres. xm Autres remèdes pour les arbres. xun De la capriflcation et du figuier. xmv Taille défectueuse. XLV De la manière de fumer. xLv1 Médicaments pour les arbres. xLvn Résumé.° Faits, histoires et observations, 1380. Auteurs : ' Cornelius Nepos, Caton le Censeur, M. Varron, Celse, Vlrgile, Hygln, les deux Saserna père et fils, Scropha, Calpurnlus Bassus, Trogue Pompée, 1Emillus Macer, Grœclnus, Columelle, Atticus Julius, Fabiaqus, Sura Mamilius, Dossenus Mundus, C. Epldius, L. Pison. Auteurs étrangers : Hésiode, Théophraste, Aristote, Démocrite, Théopompe, ie roi I-liéron, ie roi Attaie Philométor, Archytas, Xénophon, Amphlloque d’Athènes, Anaxipoiis de Thasos, Apoiiodore de Lemnos, Aristopixane de Miiet, Antigone de Cume, Agathocie de Cblos, Apoiionius de Pergame, Bacchlus de Miiet, Bion de Soles, Chœréas d’Athènes, Chœrlste d’Athènes, Diodore de Priéne, Dion de Colophon, Épigène de Rhodes, Évagon de Thasos, Euphronius d’Athènes, Androtion qui a écrlt sur i’agricuiture, Eschrion qui a écrit sur Pagricuiture, Lystmaque qui a écrlt sur fagricuiture, Denys qui a traduit Ma-Medicinœ arborum. xxxix Quomodo rigandum. xr. Mlrahllla de riguls. :Li Caslrallo arborum. xui Alfa arborum remedia. xuii Capriûeallo, et de ficts. : uv Quœ putallonis vltia. nv De slercorallone. XLVI Arhoribus médicaments. xnvii Summa : Res, el historiœ, el obseivaliones, uoocnxxx. Ex au ctoribus : Cornelio Nepote, Calone Censorlo, M. Varrone, Celso, Vlrgilio, Hygino, Sasernls paire el fllio, Scropha, Calpurulo Basso, Trogo, A-Jmlllo Macro, Grœclno, Columella, AIIÎOO Julio, Fahlano, Sura Mamilio, Dosseno Mundo, C. I-lpidio, L. Pisone. Išxtemis : Hesiodo, Theophraslo, Arlslotele, Democrlto, Theopompo, Hierone rege, Altalo Philometore rege, Arcliyta, Xenophonte, Amphlloclio Alhenlense, Anaxipoll Tliasio, Apollodoro Lemnlo, Aristophane Mllesio, Anligono Cymœo, Agalliocle *Cliio, Apollonlo Pergameno, Bacclilo Milesio, Bione Solense, Chœrea Athéniense, Chœristo item, Dlodoro Prienœo, Dione Colophonlo, Eplgene Rhodio, Evagoue Tbasio, Euphrouio Alhenœo, Androtione qui de agrlculrura scripsit, A-Ischrioue qui item, Lysl1›r.1N1-1 gon, Diophane qui a falt un abrégé d Aristandre qui a écrit sur les prodiges.

Livre XVIII, traitant des céréales.

e Denys Goût des anciens pour l’agriculture. r Quand on vit àRome la première couronne d’épis. II Du jugère. in Combien de fols et à quelles époques le blé s’est-ll vendu à vll prix ? IV Quels hommes illustres ont donné des préceptes sur l’agriculture. v Ohsorvations à faire dans l’achat d’une terre. vr De la situation des bâtiments. vn Préceptes des anciens sur ia culture de ia terre. VIII Espèces de grains. rx Histoire naturelle des céréaies par genres. x Du far. xr Du froment. xn De i’orge, du riz. xm Poienta. xrv Ptisane. xv Tragum. xvr Amidon. xvn Nature de l’orge. xvm Arjinca et autres es pèces de i’Orient. xxx Siiago, simiiago. xx De ia fertilité de l’Afrique en froment. xxl macho qui item, Dionysio qui Magonem lranslulil, Dlophane qui ex Dionysio epltomen fecil, Aristandro qui de portentis. LIBRO XVIII oowrirmrrnn mruuz rnucun. Anliquorum studium in agriculture. I Quœ prima Romœ oorona spissa. il De jugero. ui Quolies el qulhus temporibus fuerll summa villlas annonœ. iv Qui illustres de agriculture prœceperinl. V Quœ observanda in agro parando. vt De villarum positionne. vii Prœcepta anllquorum du agro colendo. vm Genera frugum. rx Nalurœ, per généra : frumenti : x De farre-: xi De trilloo : xu Hordeo : oryza : xui Polenta : xiv Ptisana : xv Trago : xvi Amylo. ï'll Hordei natura.. XVIII De arinca, el reliquîs in Oriente généribus. xix De siligîne : de similagîne. xx Sésame ; érysimum ou lrlo ; horml-LIVRE I. num. xxn Du mondage. xxn 1 Du millet. xxlv Du penis. xxv Des levalns. xxvr Manière de faire le pain, et orlgine de cet art. xxvn Depuis quand ll y a des boulangers à Rome. xxvm De l’alica. xxrx Des légnmœ ; de la leve. xxx Lentilles, pols. xxxr Diverses espèces de pois chlches. xxxn Faséoles xxxm Reves. xxxrv Navets. xxxv Lupin. xxxvl Vesee. xxx-vn En. xxxvm Silicle. xxxrx Seigle ou asia. XL Fonrrage ; cracca. ILI Ocymum ; ervllla. XLII Luzerne. XLIII Maladies des grains. Avolne. XLIV Remèdes. xLv De ce qu’on dolt semer dans chaque espèce de terrain. XLYI Difienences des nations dans la manière de cultiver. XLVII Des diverses espèces de socs. XLVIII Du labourage. XLIX De fertilttate tritici in Africa. xxl Desesama : de erysimo, sive irlone : de hormino. xxn De pisturis. xxm De milio. xxlv De panico. xxv De fer mentis. xxvl Panis faciendi ratio, et origo. xxvu Qnando mstorum lnlllum Romœ, xxvm De alim. xxlx De legumlnibns : faba : nx Lente : plso. xxx ! Cieeris généra. xxxn Faseoli. xxxm De rapls. nxlv De napis. xxxv De lnpino. xxxvl Vida., xxxvu lšrvum. xxxvm Sllîcia. xxxlx Seeale, live asia. ` XL Farngo : cracca. xu De ocymo : ervilia. xLl| Iiediœ. mu llorbi frugum ; de arena. XLIY llemedia. XLY Quod in quoque term génére debeat seri. XLYI 31 De la manière de herser, de blner et de sarcler, suivant les espèces de grains. De l’emplol de la clale. L Terrains extrêmement fertiles. LI Manière de semer plusieurs fols dans l’année. Lu Du fumage des terres. Lm De la connaissance des graines. Liv De la quantité de chaque céréale qu’il faut semer par jugère. LV Du temps des semailles. Lvl Arrangement des astres suivant les jours et les nults de la terre. LV n Lever et coucher des astres. Lvm Des quatre époques principales de l’année. LIX Quel est le temps des semailles d’hiver. LX Quand ll faut semer les légumes à gousse et le pavot. LXI Destravaux de la terre, etdece qu’il faut faire chaque mois dans les champs. LXII Ce qu’il faut faire au solstice d’hiver. Lxm Ce qu' il faut faire depuis le solstice d’hl-ver jusqu’au temps ou souffle le vent d’ouest ou Favonius. Lxrv Ce qu’il faut faire depuis le Favonlus jusqu’à l’équinoxe du printemps. LXV Ce qu’il faut faire depuis Péqulnoxe. LXVI Ce qu’il faut faire à partir du lever des. Pléiades. Du foin. Lxvn Solstice d’été. Lxvm Causes des stérilités. Lxtx Préservatifs. Lxx Dlversitas gentlum in saticnlbus. xml : Vomerum généra. xLvm Ratio arandl. : ux De occando, runcando, sarriendo, per généra frugum. De cratilione. L De summa fertilitate soil. LI Ratio saepius anno se-rendi. Lll Slercorallo. Llll Seminum prohalio. LIV Quantum ex quoque génére frumemi in jugero serendum. LV De lemporlbus serendl. Lvl Digestioslderum in dles Gl noctes terrestres. LVII Exortus, occasusque siderum. Lvm Cardines temporum. LIX Quœ semenlls Iúbernœ tempora. LX Quœ leguminum el papavem serendt. Lïl Rerum in agro agendarum, Gl quid quoque meuse fieri in agro oporteal. Lxu Quid bruma. : LXIII Quid a bruma in Favontum. Lxlv Quid à Favonio in œquinoctium vernum. Lxv Quid ab œquinoctio. Lxvl Quid à Vergiliarum, exortu. De jamo. Lxvll Solstlllum. LXHII Causœ sterilitatum. LXIX Remedia. Ln 38 PLINE. Ce qu’il faut faire à partir du solstice d’elé. LXXI Des moissons. LXXII De la conservation du blé. LXXIII De la vendange et des travaux de l’automne. Lxxiv Des, lunaisons. Lxxv Des vents. — Lxxvi Orientation des champs. Lxxvn Pronostics tirés du soleil. Lxxvm Tirés de la lune. LXXIX Tires des étoiles. Lxxx Du tonnerre. Lxxxr Des nuages. Lxxxu Des brouillards. Lxxxm Des feux terrestres. Lxxxiv Des eaux. Lxxxv Des tempêtes elles-mêmes. Lxxxvi Des animaux ; des animaux aquatiques ; des oiseaux. Lxxxvn Des quadrupèdes. Lxxxvm Des herbes et des aliments. Lxxxix et xc Résumé : Faits, histoires et observations, 2060. Auteurs : Massurius Sabluus, Cassius Hémlna, Verrius Flaccus, L. Pison, Celse, Turranius Gracilis, D. Silanus, M. Varron, Caton le Censeur, Scropha, les deux Saserna père et fils, Domitlus Calvlnus, Hygin, Virgile, Trogue Pompée, Ovide, Grœclnus, Columelle, Tubéron, L. Tarutius qui a écrit en grec sur les astres, le dictateur César Quid a solstitlo fiert oportaat. Lxxi De messibus. Lxxu De frumento servando. Lxxiu De vind ;-mia, et autumni operibus. Lxxiv Lunaris ratio. Lxxv Ventorum rallo. Lxxvi Limitalio agrorum. LXXVII Prognoslica : a sole. Lxxvui A luna. LXXIX Stellis. Lxxx Tonilribus. Lxxxi Nllbtbllâ. I-XX ! ! ! Nebulis. Lxxxiu lgnibus terres tribus. I-XXXIV Aquis. Lxxxv Ab ipsis tempestatibus. Lxxxvi Ab animalibus : ab aqualilibus : a volucribus. Lxxxvu A quadrupedibus. Lxxxviu Ab herbis : a cibis. Lxxxix et xc Summa :Res, et historiœ, et observation es, lux. Ex anctoribus : Massnrio Sabino, Cassin Hemlna, Ven-lo Flacco, L. Pisone, Corn. Celso, Turranio Gracile, D. Silano, M. Varrone, Catone Censorio, Scropha, Sasemis paire el lilio, Domitio Calvino, Hygino, Virgilio, Trogo, Ovidio, Grœcinc, Columella, Tuberone, L. Tarulio qui F l —1 l I | F Lv qui a éèrlt sur le même sujet, Sergius Paulus, Sabinus Fabinnus, Cicéron, Calpurnius Bassus, Atteius Capiton, Mamllius Sura, Accius qui a écrit les Praxidica. Auteurs étrangers : Hêslode, Théopbraste, Aristote, Dèmocrite, le roi Hiéron, le roi Aitale Philométor, le roi Archélaiis, Archytas, Xénophon, Amphiloque d’Aihènes, Anaxipolls de Thasos, Aristophane de Milet, Apollodore de Lemnos, Antigone de Cume, Agathocle de Chlos, Apollonius de Pergame, Aristandre d’Athènes, Bacchius de Milet, Bion de Soles, Chœrèas d’Aihenes, Chazriste d’Aihènes, Diodore de Priène, Dion de Colophon, Epigène de Rhodes, Èvagon de Thasos, Eupbronius d’Athèncs, Androiion qui a écrit sur l’agriculture, flîschrlon qui a écrit sur le même sujet, Lyslmaque qui a écrit sur le même sujet, Denys qui a iraduit Magon, Diophane qui a lalt un abrégé de Denys, Thalès, Eudoxe, Philippe, Calippe, Dosiihée, Parménisque, Méton, Criton, 0Enopide. Zénon, Euctèmon, Harpale, Hêcaièe, Anaximandre, Sosigène, Hlpparque, Aratus, Zoroastre, Archibius.

Livre XIX, traitant de la nature du lin et de l’horticulture.

Nature du lin, et faits singuliers. 1 Manière de semer le lin. Vingt-sept espèces excellentes de lin. n Comment on prépare le lin. in grœee de astris scripsil, Caesare Dictatore qui item, Sergio Paulo, Sabino Fabiano, M. Cieeroue, Calpurnio Basso’, Atteio Capitone, Mamilio Sura, Accio qui Praxidica. Externis : Hesiodo, Theophrasto, Aristotele, Democrito, Hlerone rege, Attalo Philometore rege, Arclielao rege, Archyta, Xenophonte, Amphiloclio Atllenœo, Anaripoli Tliasio, Aristopliane Milesio, Apollodoro Lemnio, Antignno Cymœo, Agatliocle Chio, Apollonio Pergameno, Aristandro Athenœo, Bacchio Milesio, Bione Solense, Cliœrea Athéniense, Chœrislo item, Diodoro Prienœo, Dione Colophonio, Epigene Rliodio, Evagone Thasio, Euphronio Athenœo, Androtione qui de agriculture seripsii, zlîschrioue qui item, Lysimaclio qui item, Dionysio qui Magonem iranstulit, Diophane qui ex Dionysio epitomen fecit, Thalete, Eudoxo, Philippo, Calippe, Dosillieo, Parmeuisco, Metone, Critone, (Euopide, Zenone, Euclemone, llarpalo, Hecalœo, Anaximaudro, Sosigene, ïlipparcho, Aralo, Zoroastre, Archibio. LIBRO XIX counmanrun LIN ! iwrunμ, sr courus Ilol’l’ENSIORUI. ¢ Lini natura, et miracula. 1 Quomodo seratur, et généra ejus excellentia xxvu. u Dulin nsbeste. Époque ou l’on n commencé à teindre le lin. Époque ou l’on a commencé à tendre des volles sur les théâtres. Du spart. Comment on prépare le spart. Quand a-t-on commencé à se servir dn. spart T Du bulbe porte-laine. Végétaux qui nalssent et vivent sans racines ; végétaux qui naissent et ne peuvent pas se semer. Misy ; iton ; géranlon. Des truffes. Péziea. Laserpltium ; laser ; maspetum. Magydaris. De la garance. Dela radicule. Agrément des jardins. Disposition du terrain. Des plantes qui croissent dans les jardins, à l’exeeptlon des grains et des arbustes. Nature, espèces et histoire de vlngt piantes de jardin. Pour chacune li est dit comment elle se sème. Végétaux du genre cartilagineux. Concombre, pépon. Courge. '. Rave, navet. Baifort. Quomodo perliciatur. De lino asbestino. Quando linum tingl cœplum. Quando primum in tlicatris vela. De sparti natura. Quomodo perficiatur. Quando primus usus ejus. De eriophofo bulbo. Quœ sine radice nascautur et vivant : quœ nascantur, et seri non possint. Misy ; iton ; geranion. De tuberibus. Peziœ. De laserpilio, et lasere ; maspelum. Bagydaris. De rubis. De radicale. Hortorum gratin. mastic terrœ. Nasœutinm, prêter fruges, et frutiœs. Natura, et généra, et historiœ nascentium in hortis rerum xx. In omnibus dicitur quomodo serantur quœque. Qua : cartilagmei generis : cucumeres : peponesj Cucurbita. De rapis : napis. De raphanis. LIVRE I. IV V VI VII

III

IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXV] Panais. Slser. Année. Bulbes ; scille ; arum. Des raches, fleurs et feuilles de toutes ces plantes. Quelles sont les plantes de jardln qui perdent leurs feuilles. Des espèces d’alliacées. Du porreau. De l’ail. En combien de jours lève chaque plante. Nature des graines. Plantes qui n’ont qu’une seule espèce ; plantes qui ont plus leurs espèces. Nature, espèces et blstoire de vingt-tmis plantes potagères. De la laitue et de ses espèces. Des chicorées. De la bette et de ses quatre espèces. Du chou et de ses espèces. De Pasperge cultivée ; de Pasperge sauvage. Des chardons. Des autres plantes qu’on sème dans les jardins. L’ocymum, ia roquette, le cresson. De la rue. Du persii. De la menthe. L’olusatrum. Le carvi. Le ligusticum. Pastlnaca. Sisere. Inula. Bulbis : scîlla : aro. 39 XXVII XXVIII XXIX XXX XXXI XXXII XXXIII XXXIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV XLVI XLVII XLV III XLIX L XXVII XXVI II XXIX XXX De omnium carum radicibus, floribus, foliis. Quibus hortenslorum folle cadant. Cœparum généra. De porro. De allio. Quoto quœque die nascantur. Seminum natura. Quorum singula généra, quorum plura sint. XXXI XXXI ! XXXIII XXXIV XXXV XXXVI XX XVII Natura, et généra, et historiœ in horto satanlm rerum xxm. De lactuca : généra ejus. De lntubis. De beta, généra IV. De brasslca, généra eius. De asparagus 5 de cormda. De carduis. XXXVIII XXXIX XI. XLI XLII XXIII De reliquis in horto satls ; ocîmum ; eruca ; nasturtlum. De mia. De apío. Menta. Olusatrum. Careum. Llgustlcum.

uv

nv un um xnvm mt PLINE. LIVRE XX, rnarnm nus nnmùons rouams un. LES 1›L.m*rns ns unow. Du concombre sauvage, xxvr. 1 et u De l’élatérium, xxvu. nx Du concombre serpentin ou erratique, v. rv Du concombre cultive, Lx. v 40 Le lepidlum. LI La nielle. LII Le pavot. LIII Autres plantes qui se sèment a d’équinoxe d’automne. LIV Serpolet ; sisymbrium. LV Quatre espèces de féruiacées. Le chanvre. LVI Maladies des plantes de jardin. vu Remèdes Manières de tuer ies fourmis. Becettes contre ies chenilles, contre ies moucherons. LVIII Des piantes auxquelles sont utiles les eaux salées. LIX Manière d’arroser ies jardins. LX Des sucs et des saveurs des piantes de jardin. Lx : Pipéritls ; libanotis ; smyrnium. LXII Résumé : Faits, histoires et observations, 1144. Auteurs : Plaute, M. Varron, D. Silanus, Caton le Censeur, Hygin, Virgile, Muclanus, Celse, Columelle, Calpumius Bassus, Mamilius Sura, Sahinus Tiron, Licinius Macer, Q. Hirtius, Vibius Rufus, Caesennlus qui a écrit sur les jardins, Castritlus qui a écrit sur le même sujet, Firmus qui a écrit sur le même sujet, Pétrichus. Auteurs étrangers : Hérodote, Théophraste, Démocrlte, Arlstomaque, Menandre qui a écrit sur les choses utl« lesa ia vie, Anaxilaùs. Lepidium. u Gîtlt. I-Il Papaver. Llll Reliqua sativa œqutnoctio (mtumni. Liv Serpyllum et sisymbrtum. LY Ferulacea généra quatuor ; cannabis. LV1 Morbi lrorteusiorum. LVII Remedia. Qulbus modís lormicœ neceutur. Contra erucas remedia : contra culices. Lvlu Quibus salsœ aquœ prosint. LIX Ratio rigandí horlos. LX De succís et saporibus hortenslorum. Lx ; De píperítide, et líbanotide, et smyrnlo. LXU Summa : Res, et hístoríœ, et observallones, ncnlv. Ex auctoríbus : M. Accío Plauto, M. Varrone, D. Sllano, Catone Censorlo, Hygino, Vlrgilio, Mlwíano, Celso, Oolumella, Calpurnío Basso, Malullío Sura, Sablno Tírone, Llcíulo Macro, Q. Hirtio, Vibio Rufo, Cœsennío qui xmrpupmà scripsit, Oastritio item, Firmo item, Petriclio. Extemís : Herodoto, Tlieophrasto, Democríto, Aristomacho, Meuandro qui Btóxpncra scripsit, Anaxilao.

Livre XX, traitant des remèdes fournis par les plantes du jardin.

Du pépon, xx. vr De la courge, xvn. vu De ia coloquinte, x. vm Des raves, xx. IX De la rave des champs, 1. x Des navets appelés bunions et bunias, v. xr Du raifort sauvage et de l’armoria. xn Du raifort cultivé. xm Du panais, v. De i’hibisque, ou mauve sauvage, ou aristoloche, xx. xxv Du staphylin os ou panais sauvage, xxu. xv Du gingldium. xv : Du siser, xr. xvu Du sili, xn. xnn De l’année, xl. xxx Des oignons, xxxvn. xx Du porreau taillé, xxxn. xxl Du porreau a tête, xxxlx. xxu De l’ail, LxL xxnx Laltue, xm. Laltue de chèvre, nv. xxrv Du caasapon, 1. De l’isatis, L De la laitue sauvage, vu. xxv De l’hiéracia, xvn. xxvx LIBRO XX CONTINENTUR IBDICINE BX HIS QUE 8BRUN’l’UIl IN BORTIS. De cucumere sílveslrí, xxvi. re : 1 ; Elaterío, xxvll. 1" Anguiuo cucumere, sive erratíco, v. rv Cucumere sativo, xx. 1 Pepone, xl. U Cllcurbíta, XVII. yu Colocyntlríde, x. vm Rapís, lx. lx Rapo sílveslrí, L ; Napía, sive bunlo, sive buníade, v. Il Raphanls et armoraûía. xu Rapiiauo sativo. gm Pasiinaca, v. Hibísco, slve moloche agria, sire píâlülocllía, XI. nv Stapllylino, sive pastíoaca erratíca, xxu. xv Gingidlû. xv ; SÎSCTC, XI. xv" Sile, III. gun lnula, xl. ng Cœpís, Xxxïll. μ Porro sectivo, xxxll. nr Porro capítato, xxxlx. xxu Allío, Lxl. : nu Lactuca, xul. Caprína, lv. un Cœsapo, 1. lsati, 1. Lactuca silvatica, vu. nv De la belle, xxtv. Du llmonlon ou névroîde, 111. De la chicorée, m. De la chicorée sauvage, ou chreston, ou pancration, ou ambuhaia, x11. Defhédypnoîs, 1v. Trois espèces de serls, remèdes, v111. Chou, Lxxxvm. Opinions de Caton. Oplnlons des Grecs. Des tendrons de chous. Chon sauvage, xxvn. Lapsane, 1. Chou marin, 1. Seille, xx111. Bulbes, xxx. De la hulhíne ; de la hulhe émétlque Des asperges. De l’aspel-ge sauvage ou lihyque, ou horminum, xx1v. Du persil, xv11. De l’apiastrum ou melíssophyllum. De l’olnsatrum ou hipposélinon, “ x1. De Poréosélinon, 11. De l’héléoséllnon, 1. Du petroséllnon, 1. Du buséllnon, 1. De l’ocymum, xxxv. De la roquette, x11. Du cresson, xmn. De la rue, Lxxnv. De la menthe sauvage, xx De la menthe, x1.1. Du pouliot, xxv. Hiencia, xvn. Beta, xxtv. Limonio, sive nevroide, ut. lntubo, ut. * LIVRE I. XXV ! ! XXV ! ! ! XX !X XXX XXX ! XXX I ! XXX ! ! ! XXX !V XXXV XXXV I XXXVI ! XXXV ! ! ! XXXIX XL XL ! XL ! ! XL !II XLIV XLV XLV ! XLV ! ! XIX ! ! ! XL !X L L ! L !I L ! !I LIV XXV ! XXV ! ! xxvlll XX !X Cichorio, sive chresto, sire pancratio, quœ ambobaia, XII. Hedypnoide, tv. Seris généra. tu ; medicinœ, VIII. Brassica, Lxxxvttt. Catonis placita. Grœoorum placita. Cyma. Brassiœ silves tris, xxvlt. Lapsana, 1. Marina brassíca, 1. Sciila, xxnt. Buibts, xxx. Dc buibine : de buibo vomílorío. De asparagus. De comlda, síveiibyco, síve hormino, xxtv. De apio, XVII. De apiastro, síve meiíssophyiio. xxx XXX ! xxxu XXX ! ! ! XXXIY xxxv xxxvt xxxvtl XXXV ! ! ! ' xxxtx xt. xu XL ! ! XL ! ! ! XLIV in De oinsalro, sive hipposelino, xt. Oreoseiíno, ll. Heleoseiiuo, 1. Pelroseiíno, 1. Buselino, t. De ocymo, xxxv. lîruca, xu. Nasturtio, xut. Bnla, Lxxxtv. XLV ! X !.V !l XLV ! ! ! Xl-IX L Ll i Du poullot sauvage, xv1t. De la népéta, 1x. Du cumin, xLv111. De l’amml, x. Du cåprier, xv11. Du ligusticum ou panax, 1v. De la cunlla huhula, v. De la cunlla gallinacés ou orlgan, v. Du cunllago, vm. De la cunlla mofils, 111. De la cunlla Ilhanotls, 111. De la cunlla cultivée ou sarrette, 111. De la cunlla de montagne, v11. Du plperltls ou slllquastrum, v. De l’orlgan onítis ou praslum, v. Du tragorlgan, 1x. De l’orlgan héracléotlque ; trois espèces, trente-trois remèdes. Du lepldlum, 111. De la nlelle ou melanthlum, xx111. De l’anls ou anlcetum, 1.x1. Ou est le meilleur anls, et autres remèdes qu’il fournit. De l’aneth, 1x. Du sacopeníum ou sagapenum, x111. Du pavot hlanc, 111. Du pavot noir, v111. Du sommeil. De l’opium, 1. Remarques contre les potions que les médecins appellent anodynes, fébrifuges, digestives, cœllaques. Du méconlum, I. Du pavot rhœas, 11. Menlastro, xx. lllenta, XLI. Puiegio, xxv. Puiegio siivesiri, xvtt. Nepela, IX. Cumino, XLVIII. De anami, x. De cappari, XVII. Ligustico, stve panace, tv. Cuníia bubuia. v. Cuuila gaiiinacea, sire ori gano, v. Cunilaglne, vm. Cuuiia moiií, III. Cuniitsllhanoîíde, III. Cuníia sativa, III. Cuulia montana, VII. Piperitide, sivo sliiquastro. v. De orlgano onili, sive prasio, v. Tragorigano, tx. Origano ileraclio : généra, '111 : mediclnœ, xxxm. Lepidio, III. Gitit, sivc meianlitio, XXIII. Aneso, sive aniceto. txt. Ubi optimum, et reliquœ mediclnœ ea : eo. Aneilto, lx. Sacopenio, sive sagapeno, XIII. Papavere albo, III. Papavere nigro, Ylll. De sopore. De oplo, 1. Contra poiiones quas åvœöúvouç, et).nEv.m›pé1 : ouç, et 'nzemtxàç, cl xomaxàç vocant. De meconio, 1. 41 LV LV ! LV ! ! LV ! ! ! L !X LX LX ! LX ! ! LX ! ! ! LX !V LXV LXV ! LXV ! ! LXV ! !l LX !X LXX LXX ! LXX ! ! LXX ! ! ! LXX !V LXXV LXXV ! LXXV I I LI ! L ! ll U LY LV ! LV ! ! LY ! ! ! L !X LX LX ! LX ! ! LX ! ! ! LXIY LX LXV ! LXV ! ! l.XVl !I l.X !X LXX LXX ! LXX ! ! LXX ! ! ! LX XI LXXV LXXY ! 42 PLINE. Du pavot champêtre ceratifis ou glaucium ou paralium, v1. LXXVIII Du pavot sauvage heraclium ou aphron, IV. Díacode. LXXIX Pavot tithymale ou parallum, 111. Lxxx Dll porcilaca ou peplis, x1.v. LXXXI De la coriandre, xx1. LXXXII De l’arroche, x1v. LXXXIII De la mauve malope, XIII. De la mauve malâche, 1. De la mauve althœa ou plistolochia, LVIII. LXXXIV Du lapathum sauvage ou oxalis, oulapathum cantherinum, ou rumex, 1.

De l’hydrolapathum, 1. De l’hlppolapathum,

vr. De l’oxylapathum, 1v. Lxxxv Du lapathum cultivé, xx1. Du bulapathum, 1. LXXXVI De la moutarde ; trois espèces ; quarante-quatre remèdes. LXXXVII De l’adarca, XLVIII. Lxxxvm Du marruhe, ou prasium, ou lino strophe, ou philopœs, ou philocharès, XXVIII. ° ’ LXXXIX Du serpyllum, xvm. xc Du sisymbrlum ou thymbrœum, XXIII. XCI De la graine de fin, xxx. XCII De la blette, v1. xcm Du meum ; du meum athamantique, vn. xciv Du fenouil, XXII. xcv De l’hlppomarathron ou my rsineum, v. XCVI Du chanvre, vm. XCVII De la férule, v111. XCVIII Papavere rhœa, 11. LXXYII Papavere silveslri ceraliti, sive glaucio, sive paralio, v1. LXXYIII Papavere silves tri heraclio, sive apl1ro, 1v. Diaoodion. LXXIX Papaver tilhymalum, sive paralium, 111. Lxxx De porcilaca, quœ et peplis, x1.v. LXXXI De coriando, xx1. LXXXII De alriplice, x1v. LXXXIII Malva malope, 1111. Malva malâche, 1. Malva allhœa, sivc plis lolo chia, 1.v111.. Lxxxw Lapalho silves tri, sive oxalide, sive lapalho canlherino, sive rumice, 1. Dehydrolapatho, 1. Hippolapalho, v1. Oxylapall10,1v. Lxxxv De lapalho salivo, xx1. B111apall1o, 1. LXXXVI Sinapi ; généra, III ; medicinœ, xuv. I-XXXVII De adarca, x1.v111. I-XXXVIU De marruliio, sive prasio, sive linostropho, SIVC philopœde, sive pl1ilochare, xxvm. LXXXIX Serpyllo, XVIII. X0 Sisymbrio, sive lhymbrœo, XXIII xci Lini semine, xxx. XC ! ! Blílo, v1. XC ! ! ! De meo : de alhamanlico, VII. xclv Fœniculo, XXII. XCY Hippomaralhro, sive myrsineo, v. Xcvl De cannabi, VIII. ICVII De ferula, vm. XCVIII A 1 1-1 1 1 1 1- 1 Du chardon ou scolymos, vx. : cu Composition de la thériaque. c Résumé : Faits, histoires et observations, 1660. Auteurs : Caton le Censeur, M. Varron, Pompélus Lénœus, C. Valgius, Hygin, Sextius Niger qui a écrlt en grec, Julius Bassus qui a écrit en grec, Celse, Antonius Castor. Auteurs étrangers.* Démocrite, Théophraste, Orphée, Ménandre qui a écrit sur les choses utlles à la vie, Pythagore. Médecins. Hippocrate, Nlcandre, Chrysippe, Dioclès, Ophélion, Héraclide, Hicésius, Denys, Apollodore de Tarente, Apollodore de Citium, Praxagore, Pllstonicus, Médius, Dieuchès, Cléophante, Phillstion, Asclépiade, Cratévas, Pétronius Diodotus, lollas, Érasistrate, Diagoras, Andréas, Mnésis, Epicharme, Damion, Dalion, Sosimène, Tlépoleme, Métrodore, Solon, Lycus, Olymplas la Thébalne, Phillnus, Pétrichus, Micton, Glaucias, Xénocrate.

Livre XXI, traitant de la nature des fleurs et des guirlandes.

Des guirlandes ; des couronnes tressées. 1 et ll Quels sont ceux qui ont inventé Part d’assortir les fleurs. Quand s’est-on De carduo, sive scolymo, v1. XCIX Theriacœ composition. c Summa : Res, et historiœ, et observaliones, uncu. Ex auctoribus : Catone Censorio, M. Varrone, Pompeio Lenœo, C. Valgio, Hygino, Sextio Nígro qui grœce scripsit, Julio Bas qui item, Celso, Antonio Castore. Exlernis : Democrilo, Theophrasto, Orpheo, Menandro qui Bió-Xpnna scrípsîl, Pythagore-Medîcis :

Hippocrate, Nicandro, Chrysippo, Diocle, Ophelione, Heraclide, Hicesio, Dionysio, Apollodoro Tarenfino, Apollodoro Ciliense, Praxagora, Plistonico, Medio, Dieuche, Clcophanlo, Philislione, Asclepiade, Crateva, Petro-11io Diodolo, lolla, Erasistralo, Diagora, Andrea, Mueside, Ispicharmo, Damionc, Dalione, Sosimene, Tlepolemo, Melrodoro, Solone, Lyco, Olympiade Thebana, Philino, Pelriclm, Mictone, Glaucia, Xenocrale. LIBRO XXI conrlmun NATURA 1-’LOHUI ET co110Nm- : m’o11U11. De slrophiolis : serta. 1 el ll Qui invenerint miscere flores, et quando primum corollœ appellatœ, et quare. III servi pour la première fois du mot coroiie, et pourquoi ? Quei est ceiui qui a donné ie premier des couronnes en feuilles d’argent et d’or. Pourquoi ont-eiies été appeiées corollarîaÿ Des iemnisques ; quei est ceiui qui ies a ciseies ie premier. Quei cas on faisait des couronnes LIVRE I. III IV parmi les anciens. v Sévérité des anciens au sujet des couronnes. VI Qnei citoyen fut couronné de fleurs par le peupie romain. vu Couronnes tressées ; couronnes cousues ; couronnesdenard ; couronnes des oie. vm Auteurs qui ont écrit sur ies fleurs. A necdote touchant la reine Cléopatre au sujet des couronnes. xx De la rose ; douze espèces. x Quatre espèces de iis. xi Trois espèces de narcisse. xu Combien à faut teindre un piant pour que les fleurs naissent coiorées. xm De quelie manière chaque espèce de vîoiette naît, se sème et se cuitive ; les violettes sont de trois couieurs différentes ; cinq espèces de violettes jaunes. xrv Du caitha ; fleur royaie. xv Du bacchar ; du combretum ; de l’asarum. xvi Du safran ; lieux où il fleurltlemleux. Des fleurs connues au temps de la guerre de Troie. xvn De la nature des odeurs. xvm Quis primus ooronas foliis argeuleis et aureis dederit. Qnare corollaria dicte. De lemniscis. Quis primum cœla vérit eos. iv Quantus honor ooronarum apnd anliquos fuerit. v Sevefitas antiquorum in ooronis. vl Quem lloríbus ooronavérit populus Romanus. vn Pactiles coronœ. De sutilibus coronis : de nardi- v nis : de sericis. VIIIDe fioribus qui scripserint. Cleopatrœ reginœ laclum in ooronis. IX De rosa 1 généra ejus, nl. X Lilli généra, lv. XI Narcissi généra, nl. — XII Quantum semen tlngalur, ut infectanascantnr. xm Quemadmodnm quœque nascantnr, seranlur, colantur, sub singulis généribus. Violœ oolores ul. Luteœ généra, v. xlv De caltlaa. Begins flos. xv De bacchare. De combreto. De asaro. xvi De croco 1 ulii optime floret. Qui flores Trojanis temporibus. xvll De natura odorum. XVIII Iris. XIX Desaliunca. XX Pclium, sive teuthrion. un 4 ’ 11 43 ÎFÎS. XIX Saiillllcfl. xx Ifoiium ou teuthrion. xx ; Etoffes qui ri vaiisent avec ies fleurs. xxu Amarante. 11111 Cyanos, hoiochrysos.. xxrv Petiiium ; beillum. xxv Ch rysocome ou chrysitis. xxvr Arbustes dont ies fleurs servent à faire des couronnes. xxvu Arbustes dont ies feuilles servent à faire des couronnes. xxvm Meiothron ; spirée ; origan ; deux espèces de cneorum ou de casia. Métissophyiium ou melittène ; méiiiot ou tresse de Campanie. xxix Du trefle ; trois espèces. xxx Trois espèces de thym ; piantes qui naissent de fleur et non de graine. xxxx Conyza. xxxu Fieur de Jupiter ; hémérocalle ; heienium ; phiox. Piantes dont ies branches et ies feuilles sont odorantes. xxxm Aurone. Adonium, deux espèces. Piantes qui se propagent d’eiies-mêmes. Leucanthémum.’ xx xtv Deux espèces d’amaracus. xxxv N yctégretum, ou chenomicos, ou nyetaiops. xxxvx Méiiiot. xxxvu Époque de ia floraison d’après les salsons : fleurs du printemps : vioiette, anémone à couronne ; œnanthe (herbe), méiianthum ; hèiiochrysos glaieul ; hyacinthe. xxxvm Vestium œmulatio cum floribns. xxn D6 8lIl8l’8lll0. XXIII Cyanns zholochrysos. amv De petilio zbellio. xxv De clirysooome, sire cllrysili. un Qui frutices flore ooroneut. xxvn Qui folio. XXVIII Melothron, spirœa, origannm zcneoron, sire casia, généra duo : melissopllyllum sire melittœna : melilolos, quae sertula Campana. xxlx De trifolio, généra, ln. xxx Thymi généra, m. Flore nascenlia, non somine. xxx : Com/za. xxxll Jovia llos. Hemerocalles. De helenio. Phlox. Qllœ ramis et folio odorata. xxxm De abrotono. Adoninm, généra ll. Ipsa se propagantia. Leucanthemum. xxxlv Amaraci généra duo. xxxv Nyctegretum, sive chenomyoos, sive nyctalopes. xxxvx Melilolos. xxxvu Quo ordine tempornm ilores nascantur. Verni jlores : viola : ancmone ooronaria : œnanthe lierba, me liant hum : heliochrysos : gIadioluš, hyacintlius. XXXVHL 44 Fleurs d’êté : lychnls ; tlphyou ; amaracus de Phrygle ; deux espèces de pothos ; deux espèces d’orsiues ; viucaperviuca ou chamœdaphné, ’ qui est toujours verte. Quelle est la durée de chaque fleur. Quelles plantes il faut semer entre les fleurs pour les abeilles ; cérluthe. Des maladies des abeilles, et des remèdes. De la uourrlture des abeilles. Du mlel véuéueux, et des remèdes à y opposer. Du miel qui ôte la ralsou. Du mlel auquel les mouches ne toucheut pas. Des ruches, et des soius qu’elles exlgeut. Sl les abeilles éprouve ut le besolu de la falm. De la fahrlcation de la clre ; quelles eu soutles mellleuresespèces. De la cire carthaginoise. Emplois, chez chaque peuple, des plantes qui naisseut s peu tan émeut ; uature, merveilles. Fraises ; tamuus ; ruscus ; deux espèces de batls ; pauais des prés ; houblou. Colocase. Cichorium, authalium, œtum, arachidna, aracos, caudryala, hypochœris, caucalis, authriseum, scaudix, parthenium, strychuum, cor chorus ; aphace, acyuopos, épipétrou. Plantes qui ne fleurisse ut jamais ; plantes qui fleurissent toujours. 1- : stivl flores : lychnls : tiphjon : amaracusPhrygius. Pothi généra duo. Orsînœ généra duo. Vincapervînca, sîve chamaldapbne. Quœ semper vîreat herba. Quam longs cuique llorum vita. Quœ propler apes serenda inter llores. Cerinthe. De morbis carum, Gl remediis. De pabulo apum. De venenalo melle, et remediis ejus. De înelle insano. De melle quod muscœ non atlingunl. De alvis, Gl cura eorum. Si famem apes senlianl. De cora facienda. Quœ optîma ejus généra. De cera Punica. Sponle nascenlium berbarum ln quibnsque gentibus usus, nalurœ, miracula. Fraga, lamnum, ruscum. Balls, généra duo. Pastinaca pralensis : lupus salictarius. Colocasîa. De ciclrorio. Anlhalium, œlum, arachidna, aracos, candryala, hypochœris, caucalis, anlliríscum, scandix, parthenium, strychuum, cor chorus : apIrace, acynopos, epîpetron. Quœ nunquam lloreaut, quœ semper. PLINE. XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLV xnvlx1.vn XLVIII XLIX L LI LII XXXIX XL XL ! XLII XLIII XLIY XLY XLVI XLVII XLVIII XL ! ! L LI Lll s Quatre espèces de cnécus. Herhes à aîgulllous : éryuglon ; regllsse, tribulus, ouonls, phéos ou stœhe, hippophaes. Quatre espèces d’orties : lamium ; scorplou. Chardon, acorna ou phouos, leucacauthos, chalceos, cuécus, polyacanthos, ouopyxos, helxlue, scolymos, chamœléou, tétralix, acambice mastiche. Ectacus ou cactus, pternix, aigrette, ascalla. Macre ou châtaigne d’eau ; arrète-bœuf. Herhes arrangées d’après leurs tiges : corouopus, orcanette, authémide, phyllauthe, crépis, lotos.. Differences des herbœ d’après leurs feuilles. Herbes qui fleurlsseut partiellement ; herhes dout les feuilles ne tombeut pas : héliotrope, adiantum. Espèces de plautes eu épi : stanyopos, alopécuros, steléphuros ou ortyx ou plantago, thryallis. Perdicium ; ornithogale. Herbes qui naisseut au bout d’un au ; herhes qui fleurisse ut par le haut ; herhes qui fleurlsseut par le has. Lappa, herbe qui produit au dedans d’elle-même ; opuútla, fourulssaut des raciues par sa feuille. Iasioue, coudrylla, picrls, qui fleurit i’auuée entière. Plautes qui fleurlsseut avant de pro-Cneci généra rv. Aculeati generis herbœ : eryngion, glyoyrrlriza, lribulus, ononîs, pheos sive slœbe, lrlppophaes. Urlicze généra rv, lamium, soorpio. Carduus, acorna sive phouos, leucacanlhos, chalceos, cnecos, polyacanlhos, onopyxos, hclxine, scolymos, obamœleon, lelralîx, acanlhice masliclxe. Ectacus, sive cactus, plernix, pappus, ascalia. Tribulus : ononls. Herbarum généra per caules. Coronopus anchusa, anlhemîs, phyllanfixes, crepis, lolos. Differenliœ herbarum per folia. Quœ particulalirn floreanl. Quîbus folia non decîdant ; heliolropium, adiaulum. Spicalarum généra : slanyopos, alopecuros, slelephuros, sive orlyx, sive plantago. Thryalis. Perdîcíum. Ornillrogale. Post annum nascenles. A summo Florenles : ílem ab imo. Lappe herba quœ intra se parlt. Opuntia, e folio radicem faciens. lasione, oondrylla, picrís, quœ toto annojlorel. Llll LIV LV LVI LVII LVIII LIX LX LXI LXIIL LXIII LXIV LXY LIII LI Y LV LUI., LV Il LYIII LI ! LX LXI LXII LXIII LXIY LI duire leur nge ; plantes qui ont une tige avant de produire des fleurs ; LIVRE I. plantes qui fleurissent trois fois. LX vx Cyplros, huit remèdes. Thésium. LX vu Asphodele ou hastula regla ; anthérîcus. Lxvm Jones, six espèces, quatre remèdes. Lxnx Cypérus, quatorze remèdes. Cypéris, cypira. — Lxx Holoschœnos. LXXI Dix remèdes fournis par le jonc odorant, ou teuchitès. Lxxu Remèdes fournis par les fleurs énumérées ci-dessus ; par la rose, xxn. Lxxm Par le lis, xvi. Lxxxv Par le narcisse, xxvm. Lxxv Par les violettes, xxvm. Lxxvx Par le bacchar, xvu. Par le combretum, 1. Lxxvu Par Pasarum, vm. Lxxvm Par le nard gaulois, vm. Lxxlx Par l’herbe qu’ou appelle phu, xv. Lxxx Par le safran, xx. ~’ Lxxxx Parle crocomagma de Syrie, 11. Lxxxn Par l’iris, xu. Par le saliuuca, 111. Lxxxm Parle pollum, xxx. Lxxxxv Par Pholochrysos, m. Par la chrysocale, vr. Lxxxv Par le mélissophyllum, xm. Lxxxvï Par le melilot, xm. LxxxvnPar le trèfle, Iv. Lxxxvm Par le thym, xxxx. Lxxxlx Quibns llos anlequam caules exeanl : quibus caulís, antequam flos exeal : quœ ler [lofggnl. LIN Cypiros : medícinœ vm. Thesíon. Lxvu Asphodelus, sive baslula regia. Anthericus. Lxvm Junci généra vn ; medieinœ, iv. Lux Byperus : medicinœ, xw. Cyperis, cyplra. ux Holoschœnœ. um lledicinœ ex jnnco odoralo, síve teuchile, x. Lxxu lleilicinœ ex supradicüs lloribus : ex rosa, xxu. oxxm Lilio, xvi. Narcisse, xxvru. Violis, xxvm. Baechare, xvu. Combreto, i. Asaro, vm. ludo Gallieo, vm. Herbe, quam phu vocant, lv. Croco, xx. Syrium croeomagna : medicinœ, ii. llenlleinœ ex iride, xu. Saliunca, iu. Polio, xix. Holoehryso, m. Chrysocome, vi. llehssophyllo, xm. llelilolo, mu. Trifolio, nv. Thymo, xxxx. Hemerocalles : medicinœ iv. Belenium : medicinœ v. LXXW LXXV LXXV( LXXVN LXXVQN LXXQX LXXX LX ! ! ! LXXXN LXXXIN LXXXQY LIXXV LXXXVQ LXXXVN LXXXVQN LXXXQX XC XG ! l i 45 Par l’hémérocalle, Iv. xfl Par l’hélénium, v. xcx Par l’aurone, xxn. xcu Par le leucanthemum, 1. Par l’amaracum, xx., xcm Par l’anémone ou phrénion, x. xclv Par Pœnauthe, vx. xcv Par l’héllochrysum, xl. xcvl Par l’hyaciulhe, vm. xcvu Par la lychuis, vu. xcvm Par la vincapervíuca, Iv. xclx Par le ruscum, 111. c Par le batis, 11. CI Par la colocase, 11. cu Par l’anthyllium ou anthyllum, vn. cm Par le parthénium ou leucaathès ou amnacus, vm. cxv Par le trychnon, ou strychnon, ou halicacabum, ou callias, ou dorycnion, ou manîcon, ou péritton, ou nevras, on morion, ou moly, vm. cv Par le cor chorus, vn. cvx Par le cnécos, 111. cvu Par la persécuta, 1. cvm Interprétation des noms grecs des poids et mesures. clx Résumé : Remèdes, histoires et observations, 730. Auteurs : Caton le Censeur, M. Varron, Massurlus, Valerius Antias, Cœpion, Vestinus, Vibius Bullnus, Abrotonum : medicinœ xxu. Leucauthemum, i. Amaracum, ix. Anemone, sive -phrenion : medicinœ x. (Enantlie : medicinœ vi. Heliochrysum 1 medicínœ xi. Hyacínthus : medicinae vm. Lychnis : medicinae vu. Vincapervinca : medicinœ iv. Ruscum : medicinœ in. Balis : medícinœ u. Colocasia : medicinœ ii. Anlbyllinm, sive anlhyllum : medicinœ vi. Parlhenium, sive leucanlhes, sive amnacum : inedicinœ vm. Tryclmon, sive stryohnon, sive Iialicacabum, slvo calliada, sive dorycnion, sive manicon, sire perillon, sive neuras, sive morion, sive moly : mediclnœ vm. Corchorus : medicinœ vi. Cnccos : medlcinœ nu. Persoluta : medicine 1. Grœcoruni nominnm in ponderibns et mensuris lnterprétalio. xcií xcm xciv xcv xcvi xcvu xcvm xclx c ci cu cm CCY CV CV ! CV ! ! CV ! ! ! CQX Summa : Medicinœ, et hísloriœ, et observaliones, nccxxx, Ex auctoribns : Catone Censorio, M. Varrone, Massurio, Anliate, Cœpione, Vestino, Vibio Bufino., Hygino, Pomponío Mela, 46 PLINE. Hygln, Pomponius Méla, Pomponius Lénœus, Celse, Calpurnius Bassus, C. Valgius, Licinius Macer, Sextius Niger qui a écrit en grec, Julius Bassus qui a écrit en grec, Antonius Castor. Auteurs étrangers : Thèophraste, Démocrite, Orphée, Pythagore, Magon, Mènandre qui a écrit Des choses utiles à la vie, Nicandre, Homère, Hésiode, Musée, Sophocle, Anaxilaüs. Médecins.~ Mnésithée qui a écrit sur les couronnes, Callimaque qui a écrit sur les couronnes, Phanias le Physicien, Simus, Timariste, Hippocrate, Chrysippe, Dioclès, Ophélion, Hèraclide, Hicésius, Denys, Apollodore de Citium, Apollodore de Tarente, Praxagore, Plistonicus, Mèdius, Dieuchès, Cléophante, Phillstion, Asclépiade, Cratévas, Pètronlus Dlodotus, Iollas, Érasistrate, Diagoras, Andreas, Mnésis, Damion, Dalion, Sosimène, Tlèpolème, Métrodore, Solon, Lycus, Olympias la Théhaine, Philånus, Pétrichus, Micton, Glaucias, Xénocrate.

Livre XXII, traitant du mérite des herbes et des grains.

Que des nations emploient certaines herbes pour se donner de la beauté. 1 et II Que l’on teint des ètoffes avec des herbes. Sagmina, verveine, clarigation. III Pomponio Lenœo, Cornelio Celso, Calpnmio Basso, C. Valgio, Lieinio Macro, Sextio Nigro qui grœce scripsit, Julio Basso qui item, Antonio Casiore. Externis : Theophrasto, Democrito, Orpheo, Pytliagora, Magone, Menaudro qui Bzóxpna-ra scripsit, Nicandro, Homero, Hesiodo, Musœo, Sophocle, Anaxilao. Medicis : Mnesiiheo qui de coronis, Callimacho qui item, Phania Pliysico, Simo, Timaristo, Hippocrale, Chnysippo, Diocle, Ophelione, Heraclide, Hicesio, Dionysio, Apollodoro Ciiiense, Apollodoro Tarentino, Praxagora, Plisionico, Medio, Dieuche, Cleophanto, Philislione, Asclepiade, Craieva, Petronio Diodoto, Iolla, Erasislrato, Diagora, Andrea, Mneside, Damione, Dalione, Sosimene, Tlepolemo, Melrodoro, Solone, Lyco, Olympiade Tliebana, Philíno, Petricho, lllictone, Glaucia, Xenocrale. LIBRO XXII comm-:'mu xucroains uimnsnuu 1-:1 mucus. Gentes herbis formœ gratia uti. 1 et n Herbis infici vestes. Item de sagminibus, de verbenis, de clarlgatione. nl De corona graminea : de raritate ejus. lv I › I A

De la couronne de gazon ; combien elle a été donnée rarement. Quels sont ies seuls qui ont reçu la couronne de gazon. Quel est le seul centurion qui l’a reçue. Remèdes tirés des autres plantes servant à faire des couronnes. Erynge ou eryngium. Remèdes tirés du centumcaplta, xxx. De l’acanum, 1. De la réglisse ou adipsos, xv. Deux espèces de tribulus ; remèdes, XII. Stœbe. Hippophyes ; espèces, 11 ; remèdes, 11. Orties ; remèdes, Lxl. Lamium ; remèdes, VII. Scorpion ; espèces, II ; remède, 1. Leucacantha, ou phyllos, ou lschias, ou polygonatos ; remèdes, Iv. Helxine ; remèdes, xi1. Perdicium, ou parthènium, ou urcéolalre, ou arcercum ; remèdes, x1. Cliaméleon, ou ixlas, ou ulophyton, ou cynozolon ; espèces, II ; remèdes, x11. Coronopus. Orcanette ; remèdes, x1v. Pseudoanchusa, ou échîs, ou doris ; remèdes, III. Onochilon, ou archèbion, ou onochélis, ou rhexia, ou enchrysa ; remèdes, xxx. Anthèmis, ou leueanthémis, ou chamœ-Qui soli corona donati. Qui solus centnrio. Medicinae ex reliquis coronamentis. De erynge, sive eryngio. De cemumcapiie, xxx. Deacano, 1. Glycyrrliiza, sive adipso, xv. Tribuli généra n ; medicinœ xn. Slœbe. Hippopliyes : généra n. medicinne n. Urtica : medicinœ mu. Lamium, vn. Scorpionis généra n ; médicinal. Leucacantha, sive phyllos, sive ischias, sive polygonatos, iv. Helxine, xn. Perdicium, sive parihenium, quœ urceolaris, sive arcercum, xi. Cliamœleon, sive ixias, sire nlopliyton, sive cynozolon : généra e]us, u ; medicinœ xn. Coronopus. Anclmsa, xiv. Pseudoanchusa, sive eehis, sive doris, ni. Onochilon, sive archebion, sive onoclielis, sive rhexia, sive enchrysa, xxx. De anthemide, sive leucamhemide, sive chamœmelo, slve melanthio, généra ul : medicinœ, xl. IV V VI VIIVIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII X VIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV V VI Tl I VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XSI XXII XXIII XXIV XXV XXIII melon ou mélanthion ; espèces, III ; LIVRE I. remèdes, x1. xxvi L’herbe lotos ; remèdes, 1v. xxv11 Lotomètra ; remèdes, 11. xxv111 Héliotrope ; II espèces. Hélioscoplum ; remèdes, XIII. Tricoccon ou scorpiure ; remèdes, x1v. xx1x Callitrique, ou adiante, ou trichomanes, ou polytrique, ou saxifrage ; espèces, 11 ; remèdes, xxv111. xxx Picris ; remède,1.Thésium ; remède, 1. xxxr Asphodèle ; remèdes, 1.1. XXIII Alimon ; remèdes, XIV. xxx111 Acanthe, ou pœderos, ou mélamphyllos ; remèdes, v. xxxlv Buplévron ; remèdes, v. xxxv Buprestis ; remède, 1. ’ xxxvl Élaphoboscon ; remèdes, 1x. XXXVII Scandix ; remèdes, 1x. Anlhriscus xxxv111 lasione ; remèdes, 1v. xxx1x Caucalis ; remèdes, XII. xr. Sium ; remèdes, xl. x1.1 Silybum. xml Seolymon ou limonium ; remèdes, v. XLIII Sonehus ; espèces, II ; remèdes, xv. x1.1v Condrillon ou condrllle ; remèdes, 111. x1.v Des bolets ; particularités de la production de ces plantes. XLVI Des champignons ; signes des champignons vènéneux ; remèdes, lx. x1.v11 Silphium ; remèdes, VII. XLVIII Laser ; remèdes, xxxxx. x1.1x Du miel. Propolls ; remèdes v. Miel ; remèdes, xvi. 1. Lolœ berba, lv. XXV ! ! Lolome1ra,11. XXV ! ! ! Heliorropíon : généra 11. Helloscoplon, :111. Trieoœon, slve scorplu rum, x1v. MIX De callîtricho, sive adianlo, slve trîcliomane, slve polytric ho, sive saxllraga, généra 11 : mefficlnœ xxvm. De picride, 1. Thesium, 1. Asphodelum, 1.1. Alimon, nv. Acanthos, sîve pœderos, sive melamphyllos, v. Bnplevron, V. Bnpreslîs, 1. Elaphoboscon, 1x. Scaudix, 1x. Aml1riscus. lasione, 1v. Caucalis, X11-Sium, xl. Silybum. Scolymon, sive limonion, v. souches z geuera 11 ; medicinœ xv. Coudrillou, sive con drille, III. De bolctis. Proprîetales eorum lu nascendo. De fongis. Nolae venenalorum. Medícinœ ex his, 1x. Silphium, v11. XXX XXX ! XXX ! ! XXX ! ! ! XXXIV XXIV XXXV ! XXXVII XXIV ! ! ! XXX ! ! Xl. XL ! XL ! ! XL ! ! ! XLIV XLV XLV ! XLV ! ! XLVUIl Quelle espèce d’aliment lnflue sur le moral. Hydromel ; remèdes, xv111. Vin miellé ; remèdes, v1. Mélltites ; remèdes, 111. Cire ; remèdes, vm. Remarques contre les compositions médicinales. Remèdes tirés des céréales : du siligo, 1 ; du froment, 1 ; de la paille, 11 ; du far, 1. Olyra arlnca. Classlfication des farlnes par espèces ; remèdes, xxv111. Polenta ; remèdes, vm. Fleur de farine ; remèdes, v. Bouillle ; remède, 1. Farine servant ã coller , le papier ; remède, 1. Alica ; remèdes, v1. Millet ; remèdes, v1. Panlcum ; remèdes, 1v. Sésame ; remèdes, v11. Sésamolde ; remèdes, 111. Antlcyrique ; remèdes, III. Orge ; remèdes, ix. Hordeum murinum ; remèdes, 111. Ptisane ; remèdes, 1v. Amldon ; remèdes, VIII. Avoine, remède, 1., Pain ; remèdes, xx1. Fève ; remèdes, Lv. Lentille ; remèdes, xv11. Elellsphacos, ou sphacos, ou sauge ; remèdes, xm. Cicer et circula ; remèdes, xxm. Laser, xxx1x. De melle. Propolis, V. Mellis, xvl. Quo génére cihorum mures quoque mutemur. De aqua mulsa, xv111. Mulsum, V1. Melillles, 111. Cera, V111. Conlra compositîones medieorum. Medlclnœ ex frugibus. Siligine, 1. Trilico, 1. Palea, 11. Farre, 1. Olyra arlnca. Faríua per généra : medicinœ xxv111. Polenla, V111. Polline, v. Pulle, 1. Farina charlaria.1. Alica, v1. lllllîo, V1. Panico, 1v. Sesama, vn. Sesamoide,111. Antlcyrico, 111. llordeo, 1x. Hordeo murîno, 111. Ptisana, 1v. Amylo, v111. Avena, 1. Pane, xxl. Faba, 1.v. Lenle, XVII. Elelisphaco, sive spliaco. qua : Salvia, llll. De cicere, et cicercula, xx111. Ervo, xx. 47 LI L !l LI ! ! L !V LV LVI LVII LVIII LIX LX LXI LXII LIU] LXIV LXV LXVI LXVII LXV III LX IX. LXX LXXI LXXII X !› !X L L ! L ! ! L ! ! ! LIV LV LV ! LV ! ! V ! ! ! l. !X LX LX ! LX ! ! LX ! ! ! LXlV LXV LXV ! LXV ! ! LXV ! ! ! LXIX LXX LXX ! LXXII LXX ! ! !

48 Ers ; remèdes, xx. Lupin, remèdes, xxxv. Irion ou erysimum, en gauíoís veía, LXXIII LXXIV remèdes, xv. 1.xxv Horminum, remèdes, vr. 1.xxv1 Ivraie ; remèdes, v. Lxxvn Herbe miiiaire, remède, 1. LXXVIII Bromos ; remède, 1. 1.xx1x Orobanebeou eynomorium, remède, 1. 1.xxx Des ínseetes qui attaquent íes iégumes à gousse. 1.xxx1 Du zythum et de ia eervoise. ’ Lxxxn Résumé : Remèdes, histoires et observations, 906. Auteurs Les mêmes que dans ie iívre précédent ; et de píus, Cbryserme, Ératosthène, Aicèe.

Livre XXIII, traitant des remèdes tirés des arbres cultivés.

Vignes, remèdes, xx. 1 et Il Feuiíies de vigne et pousses, remèdes, vn. 111 Omphaeíum de raisin, remèdes, x1v. rv (Enanthe, remèdes, xxl. v Raisins mûrs, frais. vr Raisins gardés ; remèdes xr. vn Sarments ; remède, 1. vm Pepins ; remèdes, vr. rx Mare, remèdes, vm. x Raisin thériaeal ; remèdes, rv. XI IJXIV LXXV Lupino, xxxv. Irione, sive erysimo, quod GaIii veiam, xv. Hormino, v1. LXXVI Loiio, v. LXXXVII Miíiaria herba, I. LXXVIII Bromo, 1, Lxxlx orobanci1e, sive cynomorio, 1. Lxxx De ieguminum bestioiis. 1.xxx1 De zytino et cervisia. 1.xxx11 Summa : Medieinœ, et historiœ, et observation es, ncoocfl. Ex aucioribus : lisdem, quibus prière Iíbro, et prœter eos, Chrysermo, Eratostbene, Aicœo. LIBRO XXIII eorrrmr- :1r1’Un IEDICINE 1- : x Aneomaus coms. De vitibus, xx. 1 et Il De foiiis vitium, et pampino, VII. 111 De omphacio vitium, x1v. IV De œflûlllilû, ×x1. v De uvis maturis, recentibus. VI De uvis conditis, medicinœ x1. VII De sarmentais uvarum, 1. VIII De nucieis aeinorum, v1. rx De vinaœis, VIII x PLINE. Raisin see ou astaphís, remèdes, x1v. xr Astaphis sauvage, ou staphis, on iabrusea, ou pituitaire ; remèdes, xu. XI 1 Vigne sauvage, remèdes, xu. xn Saiicastrum ; remèdes, xu. xv Vigne bianehe, ou ampéíoieuee, ou staphyíe, ou méiothron, ou arehezostís, ou eédron, ou madon, remèdes, xxxv. xvi Vigne noire, ou bryone, ou ebironia, ou gynœeanthe, ou apronía, remèdes, Xxxv. xvu Moût, remèdes, xv. xvur Du vin. xxx Vin de Surrente ; remèdes, tu, d’Aibe, remèdes, 11 ; de Falerne, remèdes, vl. xx Vin de Setia, remède, 1 ; de Stata, remède, 1, de Signia, remède, 1. xxx Des autres vins ; remèdes, Lxrv. xxu 1.x1 observations sur íes vins. xxx Il Queis sont íes maíades auxqueís à faut donner du vin, et quand. xxrv Comment à faut administrer ie vin ; observations sur cet objet. xxv Des vins artifieíeis. xxvr Du vinaigre, remèdes, xxvm. xxvn Vinaigre seiiiitique, remèdes, xvi. xxvm Ox ymei, remèdes, vn. xxrx Sapa, remèdes, vn. xxx Lie de vin ; remèdes, xn. xxx ! Lie de vinaigre ; remèdes, xvn. xxxu Lie de sapa ; remèdes, rv. xxxm Uva theriaee, rv. XI Uva passa, sive astaphis, x1v. XII Astaphis agria, sive staphis, sive labrusœ, sive pituitaria, x11. xm Labrusca, XII. x1v De saiicastro, xn. xv De vite aiba, sive ampeioieuee, sive stapliyle, sive meiothron, sive areliezostis, sive eedron, sive madon, xxxv. xv1 De vite nigra, sive bryonia, sive ehironia, sive gynœeanthe, sive apronia, xxxv. Un De musio, xv. xvm De vino. xxx De Surrentino, 111. Aibano, 11. Falerno, v1. xx Setino, 1. Statano, 1. Signino, 1. xx1 De reiiquis vinis, Lxlv. xx11 Observationes circa vina, Lil. XXIII Quibus œgris danda. et quando danda. xxn Quomodo danda. Observationes circa ea. xxv De vinis fletiliis. xxvl De aceto, xxvm. xxvll Aeeto sciilino, xvi. xxvm Oxymeiite, VII. xx1x De sapa, VII. xxx De fœce vini, XII. xxxi De fœee aeeli, XVII. xxxn De fœce sapœ, rv. xxxm De foliis oleœ, XXIII - xxxlv Feuilles d’olivier ; remèdes, xxm. Fleurs d’olivier ; remèdes, 1v. L’olivier même ; remèdes, vn. Olives blanches ; remèdes, 1v. Olives noires ; remèdes, m. Marc d’olives ; remèdes, xxl. Feuilles de l’olivier sauvage ; remèdes, xv1. Omphacium ; remèdes, nn. Huile d’œnanthe ; huiles en général ; remèdes, xxvm. Huile de ricin ; remèdes, xvi. Huile d’amandes ; remèdes, xvi. Huile de laurier ; remèdes, 1x. Huile de myrle ; remèdes, xx. Huiles de chamœmyrsine ou oxymyrsine, de cyprès, de citre, de noix, de enidíum, de lentisque, de balane. Cyprosethuiledecypros ; remèdes, xvi. Gleucinum ; remède, 1. Huile de baume ; remèdes, xm. Malobathrnm ; remèdes, vm. Huile de jusquiame, remèdes, 11 ; de lupin, remède, 1 ; de narcisse, remède, 1 ; de raifort, remèdes, v ; de sésame, remèdes, III ; de lls, remède, 1 ; huile selgitlque, remède, 1 ; huile d’lguvíum, remède, 1. Éléomel, remèdes, 11 ; huile de poix, remèdes, 11. Palmier ; remèdes, 1x. Palmier myrobolan ; remèdes, 111. De flore, rv. De olea ipsa, vi. De olivis albis, IV : nigris, m. Amurea, xxl. De íoliis oleastri, xvl. De omphaeio, m. De œnanthiuo, et de omnî oleo, xxvm. De cicino oleo, xvl. Amygdalino, xvi. Laurino, lx. llyrteo, xx. Chamœmyrsinœ, slve ox ymyrsinœ = eu pressino, dlreo, caryino, gnidio, Ientíscino, halanino. Decypro, et cyprino, xvi. Gleucino, 1. De hslsamino, XIII. hlalobalhro, VIII. llyoscyamino, ll. Tllermino, 1. Narcissino, 1. Raphanino, v. Sesamino, m. Lirino, 1. Selgitico, I. lguvino, 1. De elœomeli, 11. De pisslno, ll. De palmis, lx. Depalma myrobalano, m. Palmze elalœ, vm. hledicinœ ex singulorum générum flore, loliis, fruclu, ramis, eorlice, sncco, Iigno, ndice, cincre. Malorum observalîones, vl. PURE. — T. I. LIVRE I. XXII ? XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XL XL] XLII X Llll XLIV XLY XLVI XLVII XLVIH XLIX L LI LII XXIV XXIV] XXXVII XXXVIII XXIIX XL XL] XLII XLIII XLIY XLV XLVI XLVII XL V III XLIX L LI Lll Llll 49 Palmler élate, remèdes, vm. un Remèdes tirés des fleurs, feuilles, fruits, branches, écorces, sucs, bois, racines, cendres de chaque espèce. Observations sur les pomacéœ, VI ; sur les coingsäxxn ; sur le coíng struthlum, 1. — LIV Observalions sur les pommes douces, vn ; sur les pommes aeerbes, nv. LV Sur les citrons, v. LV1 Sur les grenades, xxvn. LVII Sur la stomatlce, x1v. LVIII Sur le cytínus, v111. LIX Sur le balaustium, xn. LX Sur la grenade sauvage. Lx1 Observations sur les poires, en. LX n Sur les ligues, cxi. LXIII Sur les figuíers sauvages, XLII. LXIV Sur l’herbe éríneos, in. Lxv Sur les prunes, iv. Lxvi Sur les pêches, 11. LXVII Surles prunes sauvages, n. Lxv111 Sur le limus ou llchen des arbres, n. Lxrx Sur les mûres, xx XVIII. Lxx Stomatíce ou artériace ou panchrestos, iv. Lxxl Sur les cerises, v. LXXII Sur les nèfles, 11 ; sur les serbes, 11. Lxx111 Sur les pommes de pin, x1i1. LXXIV Sur les amandes, xxix. Lxxv Sur les noix grecques, 1. 1.xxv1 Sur le noyer, XXIV. LXXVII Sur les aveiines, 111 ; sur les pistaches. LXXVIII Cotoneorum, xxn. Strul.hiorum,1. uv Dulcium malorum, YI : austerorum, lv. 1.v Oilreorum, v. LVI Punleorum, xxvl. Lvn Stomalice, xlv. Lvm Cytino, vm. ux Balauslio, xn. LX Pllnico sllveslri. Lxl Pirorum observation es, en. LXII Fleorum, en. LXIII Caprifieorum, nu. Lxlv Erineo herbe, m. Lxv Prunis, lv. Lxvl De persicis, ll. Lxvn De pruno silveslrl, ll. Lxvm De Iimo, sive Iichene arborum, 11. Lxlx De rnoris, xxxvm. LXX Slomatice, sive arteriace, sive panchreslos, lv. Lxxl De cerasis, v. « Lxxn Mespilis, ll. Sorbis, ll. Lxxm De Ilucibus pineis, XIII. Lxxlv Amygdalis, xxlx. Lxxv Nucibus Grœcis, 1. Lxxvl Juglandibus, xxlv. Lxxvn Avellanis, 111. Pislaciis. Lxxvul De siliquis, v. De eorno, 1. De unedone. mm ! 4 50 PLINE. Sur les carouges, v ; sur le coruouiller, 1 ; sur l’arbousier. LXXIX Sur les lauriers, XLIX. Lxxx Sur le myrte, x1.. Lxxxx Sur le myrtidauum, xu. 1.xxxn Sur le myrte sauvage, ou oxymyrsine, ou chamœmyrsine, ou ruscus, vl. Lxxxm Résumé : Remèdes, histoires et observations, 1 M 8. Auteurs : C. Valgius, Pompéius Léuœus, Sextius Niger qui a écrit eu grec, Julius Bassus qui a écrit eu grec, Antouius Castor, M. Varron, Celse, Fablanus. Auteurs étrangers et médecins.° Les mêmes que pour le livre XXI.

Livre XXIV, traitant des remèdes fournis par les arbres sauvages.

Autipathies et sympathies tant des arbres que des herbes. 1 Remèdes tirés du lotos d’Italie, vl. n Des glands, xnl. III De l’écarlate fournie par l’yeuse, 111. xv De la galle, xxm. v Du gui, x1. VI Des bourgeons ; du cerrus, vm. vn Du llége, 11. vm Dc lauris, xux. Lxxx Dc myrlo, xl.. Lxxxl Myrlidano, xu Lxxxu Myrlo silveslri, sive oxymyrsine, sive chamœmyrsine, sive rusco, vn. Lxxxm Summa : Medicinœ, el llistorîœ, et observalioucs, ICOGIÊXVIII. Ex aucloribus : C. Valglo, Pompeio Lcnœo, Sexlio Nigro qui grœce scripsil, Julio Basso qui item, Antonio Castore, M. Varrone, Coruelio Celso, Fabiano. * Externis, et medicis : ’ Iisdelu, quibus libro xxu. LIBRO XXIV cormneurun nnnucuus nx xnnomnvs sunvnsrnueus. Discordiœ in arborlbus et herbis, atque con-C0|’dI(l. | Mediciuœ ex loto Italien, vl. || Glaudibus, xlu. m Cocco ilicis, un. W Galla, xxm., -Visco, XI. y| Pilulis. Cerro, vm. vu Subere, 11. vm Fagî), IV. [X Cupresso, xxm. 1 Du hêlre, 1v. Du cyprès, xxlu. Du cèdre, xul. De la cédride, x. Du galbauum, xxun. De la gomme ammoniaque, xxnv. Du styrax, x. Du spoudylion, XVII. Du sphagnos ou sphacos ou bryou, v. Du térébiuthinier, vr. Du picéa et du larix, vm. Du chamœpitys, x. De la pityuse, vl. Des résines, xxn. De la poix, xxxlv. Du pissélœon ou pallmpissa, xv1. Du pissasphalte, 11. De la polx zopissa, 1. Du tœda, 1. Du lentisque, xxu. Du platane, xxv. Du frêne, v. De l’érable, 1. Du peuplier, vm. De l’orme, xvl. Du tilleul, v ; de Poléaster, 1. Du sureau, xv. Du genévrier, xxl. ux x XI XII xux xnv xv xvn xvn xvuu xix xx xx : xxn xxxn XXIV xxv xxvl XXVII xxvnl xxlx xxx xxx ! xxxrl xxxm xxxlv xxxv Xxxvl Du saule, x1v. Du saule d’Amérie, 1. xxxvll Du vitex, xxxm. De Pérlce, 1. Cedro, xm Cedride, x. Galbano, xxm. Hammoniaco, xxuv. Styrace, x. Spoudylio, xvu. Sphagno, sive sphaco, sive bryo, v. Terebinlho, vu. De picea, el larice, vm. Cluamœpity, x. De pilyusa, vu. Reelnis, xxu. Pice, xxuv. Pisselœo, sive palimpissa, xvi. Pissasphallo, u. Zopissa, I. Tœda, |. Lenlisco, xxu. Plalano, xxv. Fraxino, v. Acere, 1 : Populo, vm. Ulmo, xvi. Tilía, v. Oleastro, 1. Sambuco, xv. Junipero, xxl. Salice, xlv. Amerina, 1. Vilice, xxxm., Brice, 1. Geuista, v. XXXVI II XXXIX Il XII XIII XIV XV XVI XVII X VIII XII XX XXI XIII XIII XXIV XXV XXVI XXVII XXYIII XXI ! XXX XXXI XXXII XXXIII XXXIV XXXV XXXTI XXXYII XXXVIII XXIII Xl.

LIV RE I. QI

Du genèt, v. xL De Paspalathe, l. Lxvm Du myrice on tamarlx, Lxv. xLl De Pérysisceptrnm on adlpsathéoll on Du brya, xxlx. XL ! ! diatiron, vm. un De Parbrissean sanguin, l. xml De Peplne appendix, ll. De la pyra-Dn siler, nl. xuv cantha, l. ux

Du troêne, vm. xLv Du pallnrus, x. Lu ; De l’anlne, l. XLVI De Pagrifolinm. De faqnifolia, x. De Des llerres, xxxvm. xLvll i’if, l. ux" Du clsthe, v. xLvm Des ronces, ll. LXXHI Dn cissns êrythranos, ll. Du chamœ- Du cynosbatos, nl. Lun* , cissns, u. Du smllax, nl. Dela clé- Du rnbus idasus. “xv mflmfh IVYU- xl-Il Des deux espèces de rhamnns ; remè-Dn rosean, xxx. L des, v. Luv ;

Du papier, ll. LI Du lycinm, xvm. Lxxvn De Pébénier, v. LH De la sarcocèle, ll. Lnvm Du rhododendron, l. Lm De Yoporlee, ll. μm ; Delldeuxespèces derhns ; remèdes, vm. Du trlxago on chamœdrys on chamœ-Stomatiee, l. LI ? rops on tencrlon, xvl. LXXX

Du rhns érythros, lx. LV Du chamœdaphné, v. LIXx[ De ia garance, xl. Lvl Du chamelœa, vl. Lxnm De i°alysson, ll. Lvll Du chamœsyce, vm. LXXXIII Du slruthinm on radlèule, xm. De Du chamœcissus, herbe, l. [, XXx[Y fapocynnm, ll. Lvm Du chamœience ou farfarnm on farin-Du romarin, xvlll. LIX ginm, l. μxxv

Du cachrys. LX Du chamœpence, x. Du chamaecyparls-De ia plante dite sabine, vil. Lxl sos. De l’ampéloprason, v1. Du sta-Du sélago, ll. Lxll cbys, l. ugxvg

Du samolns, ll. LXIII Du clinopodinm, nl. Llxxvfl De la gomme, xl. Lxlv Du centnncnlns, l. LXXXVUI De i’épine d’Égypte on d’Arabie, lv. LXV De ia clématite on échite on scammo-De i’êpine bianche, ll. De i’acan- née. LXXXIX thium, 1. Lxvl De la clématite d’Égypte ou daphnoîde De Pacacia, vm. Lxvll on polygonoîde. xc llyrice, sive tamarice, Lxv. XLI Acacia, VIII. LXVII Brya, xnx. llul Aspalalho, I. LXYIII

Virga sanguines, l. xull Erysisceplro, sive adipsalheo, sive diatiron, vlll. LXIX sîlem, ln. xuv Appendice spina, ll. Pyracanllla, l. Lx : Liguslro, vlll. xLv Palinro, ll. Lim

Amo, 1, XLYI Agrlfollo. Aqulfolia, ll. Taxo, l. LXXII I-lderls, xxxvlll. XLYII Rubis, ll. LXXIII Cistho, v. XLVIII Cynosbalo, ln. LXXIY Ciœn erytllrano, ll. Chamœcisso, Il. Smllace, Rubo ldœo. Lxxv ul. Clematîde, xvlll. xux Rhamni : généra ll ; medicinœ v. Lxxvl Amndine, m. ’- U* lydfl. “lll. LXXVII Chgftg, “ LI Sarcoeolla, ll. LXXVIII

Ebeno, v. LII I Oporice, ll. Lxxlx

nhododgndm, 1, LIII Trixagine, sive chamœdrye, sive chamœrope, Rim : généra ll ; medicinœ VIII ; s toma lice, l. LIY | sive l8llCI’Î0, xvl. Lxxx Rhu gfyllμ-0, lx, L7 Cllamacdaphne, v. Lxxxl zryuμodmo, xl. Lvl Chamelœa, vl. LXXXII ¿|, -sm, “ LVII Chamœsyce, vlll. LXSXIII Slruthio, sive radicnla, ml. Apocμlo, Il. LVIII Chanlœcísso herba, l. LSXXIY Rore marino, xvlll. ux Cllamaelellœ, sive farfaro, slve farfuglo, l. Lxxxv Cghry, LX Chamœpence, x. Chamœcyparíseo. Ampelopra-Sabina heu-ba, VII. Lxl | so, vl. SMCIIYG, l. LXXXYI sglggîœ, || Lxll Clínopodío, lll. Lxxxvll 5 ; m010, μ, Lxnl I Centuneulo, l. LXXXVIII Gummi, xl. LX17 Clemalíde, slve ecllile, sive scammonia. Lxxxlx spina Ãîšÿlllîa, sive Arablea, lv. Lxv Clelnaüde Ašgyptía, sive dapllnoide, sive poly-Spina alba, ll. Acanlhlo, l. LSYI gonoide. xc 4.

PLINE. 52` Controverse touchant le drecontium. ’ xct De l’arum, xm. xen Du dracunculus, 11. xcm De l’arls, 111. xmv Du mlllefeullle ou myrlophyllon, v11. xcv Du pseudohunium, 1v. XCVI De la myrrhis ou myrrha ou myriza, VII- xcvu De Ponobrychis, 111. xcvur Des herbes magiques. Coracésia et calllûld. xçrx Mlnyas ou eorysldla, 1. c Aproxls, v1. C1 Fables rapportées par Démocrlte : de Peglaophotls ou marmaritls ; de l’achœménis ou hippophobas ; du théombrotium ou semnlum ; adamantls, arianis, thérlonarca, œthiopls ou merois, ophiuse, thalassègle ou potamucyde, théangélls ; gélotophyllis ; hestiatorls ; cesignète ; hélianthes ; herméslas ; œsehynomène, croels, œnothéris, enaeempséros. en Ériphla. Clll Herbe lanalre, 1. Lactoris, 1. Militalre, 1. c1v Stratîotls. cv Herbe venant sur la tète d’une statue, 1. cvr Herbe venant dans les fleuves, 1. cv11 Herbe appelée langue, 1. cvm Herbe provenant d’un crlhle, 1. cnx Herbe croissant sur les fumiers. cx De drecontlo lis. xct Deere, XIII. xcu De dracunculo, 11. xcm De ari, llî. xclv Mlllefolio, sive myriophylle, Yll. xcv Pseudobunio, lv. xcvl Myrrltide, sire myrrha, slvc myrize, VII. XCVII Ouobryehi, 111. xevm De magieis herbis. Coraeœie, et eallicia. xetx Mluyade, sive eorysidia, 1. c Aproxi, vl. CI A Democritofabulose scripta. De aglaophotide, sire m arma rit ide : achœmenide, sive hippophobade : thcombrotio, sive semnio 1 adamantine, arianide, tl1erionaree 1 œtltiopide, sive meroide z ophiuse : thalassémie, sive potamueyde 1 theengelide, gelotophyllide, hestietoride, casignete, helienthide, hermesiade, œsehynomene, croeide, œnotheride, anaeempserote ol ! Ertphïa. cm Herbe lenarie, 1. Lactoris, 1. Militaria, 1. mv Streiîotis. G Herbe de eapite statuœ, 1. cv1 Herba in fluminibus, 1. CY ! ! Herbe lingua, le CV ! ! ! Herbe de eribro, 1. cut l › è Herbe moulllée par l’urine des chlens. Bhodora. Herbe impie, 11. Pelgne de Venus, 1. Exédum ou nodla, 11. Philanthropos, 1. Tordylon ou syréon, 111. Gramen, xvn. Dactyle, v. Fenugrec ou silicla, xxxr. Résumé : Remèdes, histoires et observations, 1116. Auteurs : CXI CXII CXIII CXIV CXV CXVI CXVII CXVIII CXIX CXX. Les mêmes que dans le livre précédent.

Livre XXV, traitant de la nature des herbes qui croissent spontanément, et de l'importance qu’elles ont.

Origine de l’usage qu’on en a felt. Quels auteurs ont écrit en latin sur leur emplol. Quand ces connaissances se sont introduites chez les Romains. Auteurs grecs qui Ont donné des figures des plantes. Quels sont, parmi les Grecs, ceux qul ont écrlt les premiers sur ce sujet. Herbes merveilleusement découvertes. Pourquoi use-t-on moins des remèdes Herbe de fimetis. Herba a cenum urina. Bltodora. lmpia, 11. Veneris pectine, le Exedum, sire nodia, 11. Philanthropo, le Tordylon, sive syreon, m. De gramine, xvu. Dactylo, v. Fœno Grœco, quae silieia, xxau. l II III IV Y CX CII CII ! Cllll CII ? CXY CXVI CIN ! CIVIII CII ! CX ! Summa z Medicina :, et historiœ, et observation es, 11e1.xxv1. Ex auetoribus : lisdem, quibus anleriore libro. LIBRO XXV O CONTINEHTUR NATURE IIERBAHUI sronrn FASCENTIUI, ST AUC1’0H.l’IIA8¢ De origine usus carum. 1 Qui latine usus carum scrîpserîni. Il Quando ad Romanos ea notitia pervenerit. 111 De Grœcís euctoribus qui herbes pinxerunt IV Qui primi Graccorum de bis scripserint. v Herbe : inventes 1 et quare minus exerque les plantes fournissent. Exemples pris du cynorhodon ; remèdes, ll. De la tige du dracunculus, 1 ; de LIV BE I. l’herbe britannique, v. vx Noms de ceux 'qui ont découvert des plantes célèbres. vn Du moly, ln. VIII Du dodécathéon, l. IX De la pivoine ou penlorobus ou gl ycysides, 1. x Du penax ou asclépîon, ll. X1 Du penax héracllon, ln. xn Du panax chironion, lv. xm Du panax centeuréon ou pharnacéon, nl. xlv De Yhéracléon ou sidél-ion, lv. xv De la vigne de Chiron, 1. xvl De deux genres de jusqu lame ou apollinuíreou altercum ; remèdes, nl. xvll Des deux espèces de mercuriale ou linozostls ou parthénion ou bermupoa ; remèdes, xxll. xvm De Pachllléa sidérites ou’mille-feuille, ou panax héracléon, ou scope règle, vl. xa : xlx Du teucrion ou hémlonlon ou splénion, ll. Du melempodîum, eiiébore ou véretre, III espèces ; comment on ie recueille, XX comment on Péprouve. xxl De l’ellébore noir ; remèdes, xxlv ; comment on le prend. xxu De Peliébore bienc ; remèdes, xxnl. xxm ceentnr ce remedíe. Exemple de cynorhodon : mediclnœ rl. De drecunculo ceule, l. De brltmnîce, v. 'I Nobilium herberum inventories. VII Dg mgly, 111, VIII Dodecatheo, I. IX Paaonie, quœ pentorobo, sîve glycyslde, l. x Panece, sîve escleplo, ll. XI Paneee heracllo, lll. XII Peneœ cblronlo, lv. XIII Peneœ centenreo, slve pherneceo, ln. xlv Herecleo, slve slderlo, lv. XV Ampelo chlronle, l. XVI Hyoecyamo, sl ve Apollinari, slve elterco : génére, u ; medlclnœ nl. XVII Llnozostl, síve perlhenlo, slve hermupœe, quœ mereurlells : génére ll ; medlc. xxll. XVIII Achlllee slderítl, slve mlllelollo, slre penace llerscleo, slve scope règle, vl. XIX Teucrie, sive llemlonlo, slve splenio, ll. xx lIelempodio, síveelleboro, quod veretrum : généra ux. Quomodo colllgetur, quomodo probelur. xxl Iledicinœ ex nlgro xxm ; Quomodo sumendnm. XXII Item in elbo zmedicíuee ex eo Xllll. XXIII Ohseneliones circa ulrumque genus, Lxxxvul. xxlv Quïlnisnon dandum. “V 53 Quatre-vingt-hult observations sur les deux ellébores. xxlv Quels sont ceux e qui il ne faut pas l’administrer. xxv Mltbridatla, 11. xxvl Scordotîs ou scordion, lv. xxvu Polémonîa ou phllótœrla ou chillodyname, vl. xxvlll Eupatoire, l. xxlx Grande centaurée ou chîronlon, xx. xxx Centaurion le pton ou llbadlon ou fiel de terre, xxn. xxxl Centaurée triorchls, ll. xxxll Clyménus, ll. xxxlll Gentlane, XIII. XXXIV Lysimachle, vm. xxxv Armolse ou parthénis ou botrys ou ambrosîa, v. xxxvl Nympbœa ou héraclîon ou rhopelon ou madon ; espèces, n ; remèdes, xxv. xxxvn Euphorbe ; espèces, II ; remèdes, lv. xxxvlu Plantaîn ; espèces, n ; remèdes, xxvl. xxxlx Buglosse, lu. xr. Cynoglosse, ul. xu Buphthalmos ou cachie. xux Herbes trouvées par certaines nations : scythice, nl. nm Hîppace, III. XLIY Ischzemone, ll. xn Bétoine, xnvul. x|, v1 Centabrice, ll. xnvu Consillgo, I. xμvul bléris, vn. xux De mllhrldetle, ll. XXV ! Seordotl, slve scordlo, lv. XXVII Polemonle, sive phlleuerle, slve chillodyname, vl. xxvm Enpetorle, l. xxlx Centeurlo, slve chlronlo, xx. xxx Centeurlo lepto, síve llbedlo, quod fel terrœ, xxll. xxxl Centenreo trlorebe, n. XXIII Clymeno, Il. xxxm Gentiene, xlll. xxxlv Lyslmecble, VIII. xx xv Arlemlsle, síve parthenide, slve botry, slve embrosle, v. xxxvl Nymphœe, slve hereclío, slve rhopelo, slve medo : génére duo ; medlclnœ xlv. IXXVII Euphorble : génére ll ; medlcinœ lv. XXXVIII Plenteglnls geneve ll ; medio. xxvl. xxxlx Buglossos, III. xl. Cynoglossos, llr. XLI Buphlhelmos, slve cechles. ILII Herbœ ques invenerunt gentes. Scylhiee, III. XLIII De hippece, lll. xuv Iscllœmone, ll. :Lv Vettonlce, XLVIII. XLVI Cantebrîce, ll. XLVII Conslligine, l. ILVIII Q 54 Herbes découvertes par des animaux : PLINE. cbélldoíne, vr. L Canaria. 1. LI Élaphoboscos ; seseli. LII Díctame, VIII. Faux dictame. En quels lieux se trouvent les herbes les- plus efficaces. Qu’en Arcadio on boit du íaít à cause des herbes dont la vache s’est nourrie. 1.111 Arístoloche ou clématites ou cretíca ou plistolocbía ou íochía polyrrhízos ou pomme de la terre, XXII. uv Emploi des plantes contre les morsures de serpent. LY Argémone, 1v. 1.v1 Agaríc, xxxm. LVII Deux espèces d’échios. LVIII Verveine ou biérabotané ou péristéréon ; espèces, II ; remèdes, x. ux Blnttarin, 1. LX Lemonium, 1.. 1.x1 Qulntefeuiíle ou pentapetes ou pentaphyílon ou chamœzélon, remèdes, XXXIII. Lx11 Sparganium, 1. LXIII Daucus ; espèces, 1v ; remèdes, xvm. 1.x1v Therlonarca, ll. Lxv Persolata ou arcion, vm. LXVI Cyclame ou truffe de terre, xn. LXVII Cyclaminos cissanthemos, iv. Lxvm Cycíaminos chamœcissos, lll. Lxix Peucedanum, xxv111. Lxx lberide, vii. : ux Herbœ abanimalibus repertœ. Chelidonia, v1. 1. Canaria, 1. LI Elaphoboscos : seseli. Lll Dictamnus, VIII. Pseudodictamnus. Qlllbllfl locîs poleniissímœ herbœ. Propter herbes in Arcadia lac potari. 1.111 Arisiolochla, sive elemalilis, sive erelica, sire plistoloebia, sive íochia poíyrrliizos, qua : ma. : lum terrœ, XXII. I-IV Usus herbarum contra serpentium ieurs. LV De argemonia, iv. LYI Agarieum, xxxllt. LYII Eeliios : généra 11. I-VIII llieraboíane, sive peristereon, quœ vetbenaca : généra II ; medicinaa x. ux Blattaria, 1. LX Lelnonium, l. I-Xl Peniapetes, sive pentapliylíou, sive ehamœze› lon, que quinqueíolium : medieinœ XXXIII. LIII Sparganion, 1. LXIII Dauei généra iv ; medieinœ xvm. Lxiv Therionarca, 11. uv Persolata, sire arcion, VIII. LXYI De eyelamino, quœ tuber terrœ, xix. LXVII Cyelamino cissantllemo, lv. LXYIII Cyelamiuo eiiamaecisso,111. mx Peucedano, XXVIII. I-XX LXXI llbulo, vi. E A l Híèble, VI. 1,331 POIGIIIOOÎR, I. Lxx" Verbascum, xv. Lung Phlomís, 1. Lxxiv Thelyphonon, 1. Lxxv Phrynion ou nevras ou potérion, 1. LXXVI Aíismaou damasonium ou lyron, XVII. 1.xxv11 Pcristereos, v1. 1.xxv111 Remèdes contre les polsons. LXXI x Antlrrhinum ou anarrhinum ou lychnis Sflllvflgfi, III. Lxxx Ellplfil, l. Lxxxl Pericarpum ; espèces, 11 ; remèdes, 11. Lxxx ll Remèdes pouríes ínflrmités de la tête, 1. Nymphœa heracha, 11. 1.xxx :11 Lingulaca, 1. LXXXIV Cacalia ou léontíce, III. 1.xx.xv Caílithrix, xx. LXXXVI HySSOPe, X- LXXXVII Lonchitis, IV. Lxxxïnu Xiphion ou phasganíon, 1v. LXXXIX Psyllion ou cynoïdes ou chrysalllon ou sicelicon ou cynomyía, 1. gm Remèdes pour les yeux. gm Anagaíiis ou corchoron ou ferusoeulus ; espèces, 11 ; remèdes, 111. xcu Ašgilops, 11. xc111 Mandragore ou circœon ou morion ou bippophlomon ; espèces, Il ; remèdes, Xxiv. XCIV Ciguë, XIII. xcv Crethmos sauvage, 1. xcvx Polemonia, 1. 1.x› :11 Verbasco, xv. 1.xx| || Phlomide, 1. Lxxiv Thelyphono, 1. Lxxv Pilrynio, sive nevratíe, sire poterio, 1. uxvl Ailsma, sire damasontum, sive iyron, XVII. Lxxvil Peristereos, vl. LXIVIII Remedia advenu. : venena. Lxxlx De antirrhino, sive anarrllino, slve iycilnide agria, III. Lxxx Eupíea, 1. Lxxxl Pericarpo, généra ll ; medicine : il. LXYXII Remedia ad vitia capitis, 1. Nymphaea heracha, n. Lxxxm Llngulaca, I. Lxxxw Cacalia, sive lcontice, III. Lxxxv Calíitilrix, xx. Lxxxvl Hyssopum, x. LXXXTII Lonchitis, lv. Lxxxvm Xiplaion, sive phasganioll, lv. Lxxxlx Psylíion, sive cynoides, sive chrysallion, sive síeeíioou, sive cyllomyia, I. xe Remedia ocuiorum. xci Anagailis, sive corchoron, et qnœ fems oculus : généra 11 ; medlcinœ III. XCII Ašgilops, 11. xcm Mandragoras, slve eirezron, sive morion, sivehlppophlomon : geuera 11 ; medicillœ xxtv. xciv Cieuia, x111. : cv Crethmos agrios, 1. xevr Molybdène, 1. Première capnos ou pieds de poule, 1. Capnos toufíue, m. Acoron ou agrion, xxv. Cotylédon ; espèces, uyremèdes, mu.loubarbe des tolts ou buphtbalmon ou zoophthalmon ou stergethron ou amèrimnon ou grand sèdum ou oculus ou dlgitellus ; remèdes, xxxx ; potit sedum, xxxn. Andrachle sauvage ou lllecebra, xxxu. Remèdes pour les incommodltès des narines. Remèdes pour les douleurs de dents. Séneçon ou érlgéron ou pappos ou acanthis, vm. Éphémêron, II. Bassin de Vénus, 1. Renoncule ou batrachlon ou strumos ; espèces, IV ; remèdes, xxv. Stomatice, composition contrela mauvaise haleine. Résumé : Remèdes, histoires et observations, 1292. Auteurs : LIVRE I. XCVII XCVIII XCXIX C CII CII CIII CIV CV CVI CVII CVIII CIX CX Les mêmes que plus haut, et en outre Xanthus.

Livre XXVI, traitant des autres remèdes que fournissent les plantes, et qui sont classés par genre de maladie.

Les Punrss, BT QUI som : cussis un cannes ne naμnxs. Des maladies nouvelles. liolgbdœna, I. Capnos prima, qua : pedes galllnacei, I. Capnos fruticosa, III. Acoron, sive agrîon, xlv. Colyledon : généra ll ; médecinœ I.xI. Aizoum majus, sive buphthalmon, slve zoophthalmon, slve stergethron, slve amefimnoll quœ sedum magnum, aut oculus, aut digltellus : medic. xxxl. Alzollm mlnus, xxxll. Andrachle agria, quœ illecebra, XXUI. Remedia ad narium vítza. Remedia ad dentium dolores. I-Zrigeron, sive peppos, slve aeanthis, qua : seneXCVII xcvIII XCIX G CI cII CIII Cl ! C7 cio, vm. cv ! Ephemeron, II. CVII Lsbrnm Venereum, I. CVIII Batrachion, quœ ranunculus, me strumos : généra Iv ; mediclnœ xlv. au Stomalice, ad fœtorem. CX Somme : Medlcinœ, et historiœ, et observation es, Ioexcu. Ex Aucloribus : lisdem qulbus supra, et prœler eos Xanlho. LIBRO XXV] œN’l’IREI¢’l’Ul IBIJQILB BX IIBIIBIS PEB CENEIIA IORBOBIJI umcuuz. De novis morbis. Ce qu’est le llchen. Quand le lichen a-t-il commencé à paraître en Italie ’I Du charbon. De l’éléphantiasis. Du colum. De la nouvelle médecine. Du médecin Asclèplade. Comment on a change (Io) l’anclenne médeche. Contre les maglclens. Remèdes contre le llchen. Ilerbe appelée lichen ; remèdes, v. Angine. Scrofules. Befils ; remèdes, n. Condurdum, I. De la toux. Bèchion ou chamzèleuce, xv. Salvia. Douleurs de côté, de poltrlne et d’estomac. Molon ou syron. Amomon, ux. Ephedra ou anabasls, m. Gèum, m. Pour le fole, pour les relns, pour le vomissement, 1. Trlpollum, ux. Gromphœna. Malundrum, xx. Chalcetum, u. Molemonium, 1. Halus ou cotonée, v. Chamœrops, 1. Stœchas, I. Remèdes pour le ventre. Quld slnt lîchenes. Quando prîmum in Italia cœperlnt. llem carbunculus. Item elephanlîasls. Item colum. De nova medlcina. De Ascleplade medlco. Qua rallone medlcînam veterem mutavernnt. Contra magos. Licllenis remedia. Lichen herba : medic. v. Anginœ. Strumis. Befils, II. Gondurdum, I. Tussi. Bechlon, sîve chamœleuce, Iv. Salvia. Laterls, et pectoris, ac stomachi daloflbus. Molon, sive syron. Amomon, III. Ephedra, sive anabasis, Iu. Gcum, III. Hepati, renibus, vomitionl, I. Trlpollum, In. Gromphœna. Malundrum, ll. Chalcetum, u. Molemonium,1. Halus, slve cotonea, 1. Chamœrops, I. Stœchas, I. Alvi remedía. Astragalus, III. 55 II III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVII III III I ! V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV X ! XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII xxIII XXIV XXV XXVI XXVII xxvIII XXIX 56 Astragale, III. Ladanum, vm. Chondris ou faux dlctame, 1. Hypocisthls. Laver ou slon, 11. Potamogeton, v111. Statice, 111. Ceratia, 11. Léontopodlou ou leucéoron ou doripétron ou thorybethron. Lagopus, 111. Éplthymon ou hippopheos, VIII. Pycnocomon, 1v. Polypode, 111. Scammonée, v111. Tithymale characlas. Tit hymale myrtltes ou caryites, 11111. Tlthymale paralius. Ti thymale helioscoplos. Tlthymale cyparissías, 11111. Tlthymale larges feuiiles ou corymbitès ou amygdaiitès, III. Tithymale arbrisseau ou cobios ou leptophyllos, xvm. Aplos lschas ou raifort sauvage, 11. Remèdes pour les tranchées. Pour la guérison de la rate. Pour les calculs et la vessie. Crethmon, 111. Cachrys. Anthyllion, 11. Anthyllis, 11. Cepœa, 1. Hypéricon ou ehamœpitys ou corison, 111. Garos ou hypéricon, 11. Ladanum, VIII. PLIN E. XXIX XXX XXX ! XXXII XXXIII XXXIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XL XLI XI. Il XLIII XLIV XLV XLVI XLVII XLVIII XL] X L LI LII Llll LIV XXX Chondris, sive pseudodictamnum, !. Hypocislhis. xxx ! Laver, síve sion, 11. xxx ! ! Polamogeton, VIII. Statice, III. XXXIII Ceralla, ll. Leontopodion, sive leuœoron, sire doripelron, sive thorybetron. Lagopus, ! ! !. Epithymon, sive hipp oplneos, VIII. Pyonocomon, IV Polypodion, ! ! !. Scammonia, VIII. Tîthymalos charabias. Tilhymalos myrliles, sive caryites, 11x !. Iithymalos paralius. Tithymalos helioscopios. Tithymalos cyparissias, 11111, XXXIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII XXXIX XL XL ! XLII XLIII Tithymalos plalyphyllos, sive oorymbites, sive amygdalites, III. Tilhymalos dendroides, síve cobios, sive leplopl ! yllos, XVIII. Apios ischas, sive raplxanos agria, ll. T01-*minibus medendals. Lieni sanando. Cçzlculàs et vesicœ : Crclhmon, 111. Cachrys. Àlllhy||Îol1, ll. Anthyllis, 11. Cepœa, !. Hypericon, sive chamœpitys, sive corison, 111. Caros, sive byperiqon, 11. XLIV XLV XLYI XLVII XLVIII XLIX L LI Lll Llll UV Callithrlx, 1. Perpressa, 1. Chrysanthème, 1. Anthemis, 1. 1.v Silaus. 1.v1 Herbe de Fulvlus. 1.v11 Pour les affections des testicules et du siège. 1.v111 lnguinalis ou argemo. 1.111 Pour les tumeurs. Chryslppeos, 1. 1.11 Aphrodisiaques. 1.11 1 Orchls ou serapla, v. 1.1111 Satyrion ou erythraîcon, 1v. 1.11111 Pour la goutte et les maladies des pieds. 1.111v Lappago ou mollugo, 1. Asperugo, 1. 1.11 v Phycos ou algue de mer ; trois espèces. Lappa hoaria. 1.11 VI Pour les maux qui se portent sur tout le corps. 1.11v11 Géranion ou myrrhis ou myrtis ; espèces, 111 ; remèdes, 1v. 1.11 v111 Onothera ou onuris, 111. 1.11111 Pour d’épilepsie. 1.1111 Pour les fièvres. 1.11111 Pour la phrenitis, pour le lethargus, pour le charbon. 1.111111 Pour l’hydropisie. Acte ou ebulum. Chamœacte. 1.11x111 Pour la guérison du feu sacré. 1.11x1v Pour la guérison des luxations. 1.11 xv Pour i’ictere. 1.11 xv ! Pour les furoncles. 1.1111v11 Pour la guérison des fistules. 1.1111v111 Callilhrix, !. Perpressa, !. Chrysanlhemum, !. Anthemis, !. Lv Silalls. Lvl llerba Fulviana. 1 v11 Testmm ac sedis vitiis. Lflll Inguinalis, sive argemo. 1,11 Ad panos. Chrysippeos, !. 1,1 Ad venerem. 1,111 Orchis, sive serapia, v. 1,111 Satyrion, sive erylh raicon, !v. 1.11111 Ad podagram, et morbos pedum. μm* Lappago, sive mollugo, 1. Asperugo, 1. 1,111 Phycos, quod fucus marinus, généra III. Lappa b081’Î8. 13111 Ad mala quae tolis corporibus grassantur. LXVII Geranion, sive myrrhis, sive myrlis : généra III ; IIIØÖÎCÎDE IV. LX VIII 011011 !era, sive o ! !uris, III. 1.1111 Ad comiliales. 1,111 Ad 1,311 Ad phrenesim, lethargwn, carbunculo.1. 1.1111 Ad hydropicos. Acte, sive ebulum. Cl !ama :› 80%. — LXSIII Ad ignem sacrum medendum. 1××1v Ad luxata sananda. Lgyy Ad morbum regium. 111111 Ádf2l1’*lDiC2ll08. ’ | ;(g~|| Ad fstylas sanandas., “~,1, LIVRE I.` Pour les dépôls et les tumeurs dures. LXXIX Pour 11*s brûlures. LXKX Pour les ligaments et les articulations. LX XXI Pour les hémorragies. LXXXII Híppuris ou éphédron ou anabase ou equiselum ; espèces, II ; remèdes, xvm. LXXXIII Stephanomelis.. LKXXIV Pour les ruptures et les convulsons. Lxxxv Pour le phtiriasis. LXXXVI Pour les ulcères et les plales. LXXXVII Polycnémon, 1. LXKXVIII Pour enlever les verrues et faire disparaître les cicatrices. LXXXIX Pour les maladies des femmes. xe Arsénogonon et thólygonon. xC1 Mastos. — X011 Pour les cheveux. Lysimachie. Ophrys. XCIII Résumé.- Remèdes, histoires et observations, 1 1 28. Auteurs : Les mêmes que pour le llvrfl précédent.

Livre XXVII, traitant des autres espèces d’herbes et des remèdes.

Études des anciens sur ce sujet. 1 Aeunit ou thélyphonon ou cammoron ou pardaiiauches ou scorpion ; remèdes, lv. Il Ad collection es, et duritias. LXXIXId ambusla. LXXXId : servos et articulons. LXXXIId sançuinis profluvium. LXXXII lippu ris, sive ephedron, sive auabasis, quœ equisetum : généra II ; medio. XVIII. LXXXIII Stephanomelis. LXXXIVId rupta et c1m1›uLsa. LxxxvId phlhiríasin. LXXXVIId ulcera et vulnera. LXXXVII Polyenemon, 1. 1.xxxv1111d verrucas tollendas, et cicatrices : anandas. LXXXIXId mulierum morbos. xc Al’$ellog0IlolI, et Ibelygonon. XCI llaslœ. XCII Ad capíllos. Lysimachia. Ophrys. XGIII Summa : hledicíuœ, GI historiœ, et observation es, |1cxxv1 II. Ex auctoribus : lisdem, quibus anleriore libro. LIBRO XXVII œanxuatrun IHZLIQIJA c1~ : u1 :11/1 ueamuuu, ur 111~ : mc1 :*z.1= :.Intiquorum circa hœc cura. 1 Acouilum, sive lhelyphonon, sive cammoron, sire |)8I’d8Il3IlCIIÖ, sive scorpion : medicine rv. II fillúopis, lv. III 1Ethlopls, IV. Agératon, 1v. Aloes, XXIX. Alcea, XXIX. Alypon, 1. Alslue, pour les mêmes usages que l’helxlne, v. Androsaces, v1. Androsœmon ou ascyron, v1. Ambrosia ou botrys ou armoise, 111. Anouls ou ononls, v. Anagyros ou acopon, III. Anonymes, II. Aparlne ou ompIracocarpos ou philanthropes,111. Aretion ou areture, v. Asplénon ou hemionios, II. Asclepias, II. Aster ou bubonion, III. Ascyron ou ascyroides, III. Alfacate, III. Alciblum, 1. La crête de coq, II. Alon ou symphyton des pierres, XIV. Algue rousse, 1. Aclœa, 1. * Vlgne sauvage, IV. Absinthe zespèces, IV ; remèdes, XLVIII. Abslnthe marine ou seriphium. Ballote ou porreau noir, III. Botrys ou ambrosia ou armoise, 1. Ageralou, IV. Aloe, xx1x. Alcea, XXIX. Alypou, 1. Alsíne, ad cadem quœ helxine, v. Androsaces, VI. Androsœmon, sive ascyron, VI. Ambrosia, sive botrys, sive artemisia, III. Anonis, sive ououis, v. Anagyros sive acopon, III. Anonymes, II. Aparine, sive omphacocarpos, sive pl1ilantl1ropos, III. Arclion, sive arclurum, v. Asplenon, sive hemionios, II. Asclepias, II. Aster, sive bubonion, III. Ascyron, sive ascyroides, III. Alfacale, III. Alcibium, 1. Aleclorolophus, quœ orisla, II. Aion, q110d gymphylon pelrœum, x1v Alga rufa, 1. Aolœa, 1. Ampelos agría, lv. Absinlhium : généra IV ; medicinœ XLVIII. Absim11111m ma1-’in11m, sive Seriphium. Balloles, sire porrum uigrum, III. Bolrys, si ve ambrosía, sive arlemisía, 1. Brabyla, 1. 57 III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX XXX XXXI IV V VI VII VIII IX X XI XI XIII XIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX XXX XXXI XXXII PLIN E. 58 Brabyla, 1. 111111 Bryon marin, v. 111111111 Buplevron, 1. XXXIV Catanance, 1. Cemos, 1. xxxv Culsa, III. xx11v1 Autre calsa ou auchuse ou rhlnochisia, Il. XXXVII Cîrcœa, III. 11111111111 Cirsion, 1. 111111111 Cratœogonon ; espèces,111 ; remèdes, v111. 111. Crocodilion, 11. 111.1 Orchis ou cynosorchis, xv. 111.11 Chrysolachanum ; espèces, ll ; remèdes, 111. Coagulum de terre, 11. 111.111 Culicus ou strumus ou strychnos, vr. 111.111 Conferva, 11. 111.1 Grain de Guide, 11. XLVI Dipsacos, 111. 111.111 Dryopteris, III. ° XLVIII Dryophonon, 1. 111.111 Élatine, 11. 1. Empetros ou calcifraga, 111. 1.1 Epipactis ou elleboriue, 11. 1.11 Epimédion, 111. 1.111 Ennéaphyllon, 111. 1.1v Deux espèces de fougères que, parmi les Grecs, les uns appellent pteris, les autres blachnon, ou thelypteris, ou nymphœa pteris. LV Cuisse de bœuf. LV1 Galeopsls ou galéopdolon ou galion, v1. 1.v11 Bryon marinum, v. 111111111 Buplevron, 1. ' xxxrv Calanance, 1. Cemos, 1. xxxv Calsa, 111. 11x11v1 Calsa aitera, sive anclrusa, sive rlrinoclrisia, 11. xxxvrr Circœa, 111. xxxvrn Cirsion, 1. 11111111 Cralœogonon : généra III ; l1IB(“CÎlíl3 vm. 111. Crocodilion, II. ` 111.1 Cynosorchis, sive orchis, rv. 111.11 Clrrysoolachauum : généra Il ; medio. 111. Coagul11m lerrœ, II. 111.111 Culicns, sive slrumus, sive stry1 : 11110s, vr. XLIV Couferva, 11. 111.v Coccum Gnidium, 11. XLYI Dipsacos, 111. 111.111 Dryopteris, 111. XLVIII Dryophonon, 1. 111.111 Elaline, II. 1. Empetros, `quœ calcifraga, 111. 1.1 Epipactis, elleborine, ll. 1.11 lipimedion, III. 1.111 lšnneaplryllon, 111. uv Fílicis généra duo, quam Grœci plerin, alii blaclmon, item thelypterin, Dymflliœölll pterinvocanl. LV Femur bubulum. 1.v1 Galeopsis, sive gaieopdoiou, sive galiou, vr. 1.v11 Glaux, 1. 1.v111V H I I 1- Glaux, 1. Glaucion, III. Collyrîon, 11. Glycyside ou pœonia ou pentorobon, xx. Gnaphalium ou chamœzélon, v1. Gallidraga, 1. Holcus, 1. HyOsiris. Holostéon, 111. Hippophœston, VIII. Hypoglossa, 1. Hypécoon, 1. Idœa, 1v. Isopyron, 11. Lathyris, ll. Lcontopétalon, 11. Lycapsos, 11. Lithospermon ou œgonychon ou dios pyron ou heracleos, 11. Mousse qui vient sur les pierres. Limeum, 1. Leuce ou mésoleuce et Ieucas, 111. Leucographis, v. Médion, 111. Myosotis ou myosota, 111. Myagros, 1. Nyma, 1. Natrix, 1. Odontitis, 1. Othopna, 1. Onosma, 1. Glaucion, 111. Collyrion, 11. Glycyside, sive pœonia, sive penlorobon, xx. Gnaplralium, sive chamaezelon, vr. Gailidraga, 1. Holcus, 1. llyOsiris, 1. Holosleon, 111. liippophœslon, vm. Hypoglossa, 1. Hypecoon. ldœa, rv. lsopyron, 11. Lathyris, II. Leonlopelalou, 11. Lycapsos,11. Lilhospermon, sive œgonychon, sive diospy ron, sive heracleos,11. Lapidis muscus. Limeum, 1. Leuce, sive mesoleuce, el lencas, III. Leucographis, v. Medion, III. Myosota, sive myosotis,111. Myagros, 1. Nyma, 1. Nalrix, 1. Odonlitis, 1. Otlrmma, 1. Ouosma, 1. Onopordou, v. LVIH LIX LX LX ! LK ! ! LX ! ! ! LXIY LXV LXVI LSVII LKVHI LXIX LXX LXXI LXXII 1.11111 LXXIY LXXV LXXVI LXXVII LXXVIII LXXIX LXXX LXXXI LXXXII LXXXHI LXXXIV LXXIV LXXXVI IJ ! LI LSI LXII LXIII LXIV l.Y LXÎI LXHI LXYIII LIIX LI ! l.X.I LX ! ! ! LXXIII LXXIY LSI ? LXXYI LXXVII LXXVIII LXXIX LXXX LXXII LIXXII LXXXIII LXXSIV IJXXY LXXXYI LXXXVII LIVRE I. Onopordon, v. Lxxxvn Osyris, lv. Lxxxvm Oxys, u. Lxxxrx Polyanthemum ou batrachlos, nr. xe Polygonon, ou thalasslas, ou carcinéthron, ou clema, ou myrtopetalos, ou sangninaria, ou oreos ; espèces, nv ; remèdes, xx.. xcl Pancratium, xu. xcn Peplis on sycé on méconion aphrodes, 111. XCIII Períclyménon, v., xcrv Pelecinum, 1. xcv Polygala, 1. xcvr Potérlon, ou phrynlon, ou nevars, xv. xcvu Phalangítes ou phalanglon, ou leucacnnthon, lv. ~ xcvm Phyteuma, 1. xcix Phyllon, 1. c Phellnndrion, 11. ci Phalaris, n. en Polyrrhizon, v. cm Proserpinaca, v. civ Rbaeoma, xxxvx. cv Réséda, II. uvi Stœchas, nr. cvu Solannm, que les Grecs appellent strychnos, n. cvux Smyrnium, xxxu. Sinon, n. cnx Téléphíon, Iv. cx Trichomanes, v. cxr Thalitruum. cxu Osyrîs, lv. Lxxxvm Oxys, ll. Lxxxlx Polynnthemnm, síve balrncllíos, III. xc Polygonnm, sive tbalassias, sire carcine" thron, síve clemn, sive myrlopetalos, quœ sanguin aria, síve oreos : générn rv ; media. XL. -XC ! Pancratium, xu, xou Peplis, sive syce, síve meconion aphrodes, ru. xcm Peñclymenon, v. xclv Peiecînum, l. xcv Polygala, 1. xcvn Potes-ion, sire plrryníon, sive nevms, rv, xcvu Phalangites, sive phalaugiou, sive leucacauthon, lv. xcvm Phytenma, 1. xcrx Phyllou, l. c Phellandrion, u. cr Phalaris, u. cu Polyrrhízon, v. cul Proserpínnœ, v clv Rhnœma, xxxvl. cv Reseda, nr, cvl Sto-rhas, ul. cvu Solanum, quam Grœcí stryclmon, u. cvm Smyrníum, XXXII. Sinon, ll. cnx Telephium, lv. cx Tnichomaues, v. cxn 59 Thlaspi, rv. cxur Trachinia, I. cxiv Tragonls, 1. cxv Tragos ou scorpion, lv. cxvi Tragopogon, 1. cxvn De la durée des propriétés des herbes. cxvm De quelle façon les vertus de chaque plante sont le plus efficaces. cxxx Maladies particulières à diverses nations. cxx Résumé : Remèdes, histoires et observations, 752. Auteurs : Pompelus Lenœus, Sextlus Niger qui a écrit en grec, Julius Bassus qui a écrit en grec, Autonius Castor, Celse. Auteurs étrangers : Théophraste, Apollodore de Citium, Démocrite, Aristoglton, Orphée, Pythagore, Magon, Ménandre qui a écrit des choses utiles á la vie, Nícandre.

 Médecins :

Mneslthée, et les mêmes que dans le llvre précèdent.

Livre XXVIII, traitant des remèdes tirés des animaux.

Remèdes tirés de l’espèce humaine. 1 et u Les paroles ont-elles quelque vertu médlcatrlee ? au Thalílruum. cxu Thlaspí, lv. CXIII Trachínía, 1. cxlv Tragonís, I. cxv Tragos, síve scorpío, rv. cxvr Tragopogon, l. cxvu De œlalibus llerharum. cxvm Quomodo cujusque vires eflícacíores. cxrx Genlíum vîtín diverse. cxx Summn z Medícinœ, et lrísloríœ, 81 observnlíones, nccur. Ex nuctoribus : Pompeío Lenœo, Sexlío Nigro qui Graece scrípsíl, Jnlío Basso qui item, Antonio Caslore, Cornelío Celso. — Extemís : Tlleophrasto, Apollodoro Cítíense, Democríto, Aristogílone, Orplleo, Pyllragora, Magone, Menaudro qui 5 :6yçpm-ra. scrlpsíl, Nicandro. Médicis z Mnesilbeo, et cœterís lísdem qulbus in priore libro. LIBRO XXVIII CONTINENTUR IIEDICINJB EX ÀNIIALIBUS. Ex homíue remedin. lei ll An sítín medendo verburum vis nlîqun. un 60 Que l’on peut et conserver et détourner l’effet des prodîges. Usages divers. Remèdes tirés de l’homme et observations, ccxxvr. De la salive. Du cérumen. Des cheveux, des dents, etc. Du sang, du coît, etc. Des morts. Rêverles diverses des magiciens. Des ordures provenant du corps humain. Remèdes qui dépendent de ia volonté de i’homme. De l’éternuement. Du coît. Remèdes divers. De i’urine. Pronostics relatifs à ia santé, tirés de l’urine. De ia femme : remèdes, xu. Du lait de la femme. De ia saiive de la femme. Du sang des règles. Des animaux étrangers : de l’éléphant, vm. Du lion, x. Du chameau, x. De l’hyène, Lxxix. Du crocodile, xxx. De la crocodi-Iée, xr. Du caméléon. Ostenta et sallcîrí, et depefi. Varii mores. Ex viro medicinœ et observaliones, CCXXYI. lfx saliva. Ex sordibus aurium. Ex capillo, den tc, clc. Ex sanguine, vénère, clc. Ex mortuis. Magorum commenta varia. Ex sordibus hominls. Ab anima hominis pendenles medtcinœ. Ex sternutamento. Ex venerc. Promiscua remedía. De urina. Auguria valetudinis ex urina. 1-Ix lnllllere, medlclnae xu. Ez [acte mutieris. Ex sativa mutieris. Ex mcnsibus. Ex pèregrinis animalibus. Eleplianlo VIII. Leone, x. Camelo, x. Hyœna, Lxxix. Crocodilo, xix. Crocodllca, xr. Çhamœteonc. Sciuco, IV. PLINE. IV V VI VII VIII IX X XI XII XIIIXIV XV XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX lv V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI XVII xvlll XIX XX XXI xxll XXIII XXIV XXV XXVI XXYII XXVIII XXIX XXX › 1 4 › Du scinque, rv. De l’hippopotame, vu. Du lynx, V. Remèdes communs, tirés des animaux sauvages ou des animaux apprivoisés de même espèce. Usage du lait, et observations, uv. Des fromages, xn. Du beurre, xxv. Du petit-iait, 1. Usage de la graisse, et observations, Lu. Du suif. De la moelle. Du fiei. Du sang. Remèdes particuliers tlrés des anl maux et rangés par ordre de maiadies : contre ies serpents : du cerf, ur ; du chevreau ; de l’ophion, du sangiier, xn ; des chèvres et des boucs, xcvr ; de i'åne, LXXVI. Contre la morsure du chlen enragé : remèdes tirés du veau, Lvnr. Contre les maléfices. Contre les polsons. Pour la tête et l’alopécie. Pour les affections des yeux. Pour les douleurs et les affections des orellies. Pour les douleurs de dents. Pour les affections du visage. Pour les amygdales et les tumeurs strume uses. Ilippopotamo, vn. l.ynce, v. Illetlicinae communes ex anîmalîbus ferls, aut cinsdem generis placidis. Lactis usus, et observatîones, LIV. De caseis, XII. Blrlyro, xxv. Oxygala, I. Adipis nsus, et observation es, ui. De sevo. De medulla. Felle. Sanguîne. Privatae ex anímalíbus medicínœ dîgeslœ in morbos. Contra serpentes. De cervis, III. Hlnnuleo. Opliione. Apro, XII. Caprîs et hœdls, xcvl. Asîno, LXXVI. Contra canis rabidi morsus Ex vitnlo um. ° 9 Contra veneyîcia. Contra venerla. Ad caput, et alopccias. Ad oculorum vitia. Ad aurium dolores, et vîtia. Ad dentium dolores.. Ad faciei vitla. Ad tonsillas. et strumas. Ad cervlcum dolores. ' xxx ; xxx ! xxxrx XXXIII XXXIY XXXY XXXVI XXXVII XXXVII I XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV XLY XLVI XLVII XLVIII XLIX I. LI XXXI XXXII J XXXIII XXXIV XXIV XXXVI XXXVII XXXYIII XXXIX XL SLI XI.II XLIII X LIY XLV XLVI XLVII XLVIII XLIX L IJ IJI Pour les douleurs du cou. Pour la toux et le crachement de sang. Pour les douleurs d’estomac. Pour les douleurs de foie et l’asthme. Pour les douleurs des lombes. Pour la guérison de la rate. Pour le bas-ventre. Pour le ténesme, le ténla, et la collque Pour la vessie et les calculs. Pour les affections des parties génitales et du siège. Pour la goutte et les douleurs de pied. Pour l’épilepsie. Pour l’ictère. Pour les fractures des os. Pour les ñèvres. Pour la mélancolie, le léthargus et la phthlsie. Pour l’hydropisie. Pour Peryslpèle et les éruptions dues à la pîtuîte. Pour les luxations, les endurcissements et les furoncles. Pour les brûlures. De l’épreuve de la colle de taureau, et remèdes qu’on en tire, vn. Pour les douleurs des nerfs et les contusions. Pour arrêter les hémorragies. Pour les ulcères et les carcinomes. Pour la gale. Pour l’extraction des corps enfoncés dans nos parties, et pour la guérison des cicatrices. Ad tussim, et sanguînis exscréationes. Ad slomachi dolores. Adjocineris dolores, et suspiria. Ad lumborum dolores. Ad lienem sanandum. Ad alvum. Ad tenesmum, tlneas, colum. Ad vesicam, et calculos. Ad genltaliwn et sedis vitia. Ad podagram et pedum dolores. Ad mmitialem morbum. Ad morbwn regium. Ad ossa fracta. Adfebres. Ad melancholicos, lethargicos, phthislcos. Ad hydropicos. Ad îgnem sacrum, et erupliones pltuilœ. Ad Iuxata, ad durifias, elfurunculos. Ad ambusta. De gíutino taurlno probando, et medicine : ex eo, vu. Ad nervorum dotorcs, et contusa. Ad.sanguine slslendum. Ad Imlcera, et carcinomata. Ad scabiem. Ad extrahenda quœ sunt infixa corporl, et cicatrices sanandas. LIVRE I. 61 Lll Llll LIV LV LV ! LVII LVIII LIX LX LXI LXII LXIII LXIV LXV LXVI LXVII LXVIU LXIX LXX LXXI LXXU I-XXIII LXXIV LXXV LXXVI Llll LIV LV LV1 LVII LVIII NX LX LX] LXII LXIII LXIV LXV LXVI LX VII LXVIII LXIX LXX LXXI LXXII LXXIII LXXIV LIXV LXX YI

H I x Pour les maladies des femmes. Lxxvn Pour les maladies des enfants. Lxxvm Pour le sommeil et la sueur. Lxxut Aphrodisiaques ; contre l’ivresse. Lxxx Observations remarquables touchant les animaux. Bemedes tlrés du sauglíer, vu ; du porc, LX ; du cerf, III ; du loup, xxvu ; de l’ours, xxrv ; de l’onagre, xu ; de l’áne, Lxxvr ; du fumier d’ânon, ur ; du cheval sauvage, xr ; de la prêsure de poulain, r ; du cheval, xr.n ; du fromage de jument, 1 ; du bœuf sauvage, u ; du bœuf, Lxxxr ; du taureau, un ; du veau, ux ; du fièvre, Lxrv ; du renard, xx ; du blaireau, u ; du chat, v ; de la chèvre, cxvr ; du bouc, xxxr ; du chevreau, xxr. Résumé.* Remèdes, histoires et observations, 1682. LXXXI Auteurs : M. Varron, L. Plson, Fahlanus, Valérlus Antias, Verrlus Flaccus, Caton le Censeur, Servius Sulpleius, Liciuius Macer, Celse, Massurius, Sextius Niger qui a écrit en grec, Bltlxus de Dyrrachium, Opllius médecin, Granius médecin. Auteurs étrangers.-Démocrite, Apollonius qui a écrit sur Part d’employer les aromates, Mllétus, Artémon, Sextilius, Antœus, Homère, Théophraste, Lysimaque, Attalc, Xénocrate, Orphée qui a écrit sur les choses spéciales (H), Archélaüs qui a Ad muliebrla mala. u Lxxvu Ad infantium morbos. Lxxvm Ad somnum et sudorem. |, ××|× Ad venerem, et ebrielatem. Lxxx Mira de anímalibus. Lxnr Sum medlclnœ ex apro VII. Sue, Lx. Cervo, III. Lupo, xxvu. Urso, xxlv. Onagro, xu. Asino, Lxxvl. Poíea, III. Equlfero, xl. Equuieî coaguío, 1. Equo, xul. Hippace, 1. Bubus ferîs, ll. Bove, LXXXI. Tauro, Llll. Vituío, ux. Lepore, LXIV. Vulpe, xx. Mele, ll. Fcíe, v. Capra, cxvl. Hîrco, xxxx. liœdo, xxl. Summa : Medicinœ, et ílîsloriœ, et observalioncs, nmcnxxxu. Ex aucloribus : M. Varrone, L. Plsone, Fabiano, Valerio Anlîate, Verrîo Fíacco, Catoue Censorîo, Servlo Suípícîo, Licînîo Macro, Celso, Massurio, Sexllo Nigro qui grœce scripsîl, Bylho Dyrracíleno, Opliío medîeo, Graulo medlco. Exlernis : Democrilo, Apoílonîo qui μúpmmv, Miíeto, Artemone, Sexliíio, Antœo, Homero, Theophraslo, Lysímacho. Atlaío, Xeuocrate, Orpheo qui ’lö¢o<puñ, Arcíleíao qui item, Demetrio, Sotira, Laide, Elepírantide, Salpe, Olympiade 52 PLIN E. écrit sur le même sujet, Démétrius, Sotira, Lals, Éléphantls, Salpé, Olyinpias Thébalne, Diotime Thébalu, Iollas, Mieton de Smyrne, fEsehine médecin, Hippocrate, Aristote, Métrodore, lcétidas médeeln, Ilésiode, Dalion, Cœcilius, Bion qui a écrit sur les vertus des substances, Anaxilaüs, le roi Juba.

Livre XXIX, traitant des remèdes fournis par les autres animaux qui ne sont pas susceptibles d’être apprivoisés, ou qui sont sauvages.

De l’origine de la médecine. I D’Hippocrate. Quand a commencé la médecine elinlque. Quand a commencé Piatraliptique. Il De Chrysippe et d’Éraslstrate. nx De la secte empirique. xv D’Hérophile et des autres médecins celèbres. Combien de fois la thèorle de la medeelne a été changée. v Quel a été le premier médecin à Rome, et quand. vi Ce que les Romains ont pensé des anciens médecins. vu Défauts de la médecine. vm Remèdes tlrés de la laine, xxxv. IX Du suiut, xxxn. “ x Des œufs, xxx. xx Des œufs de serpent. xu De la confection du comagène ; remèdes qu’on en tire, Iv. xm Thebana, Diolimo Thebano, Iolla, Miclone Smyrnœo, Alsehine medlco, Hippocrate, Aristotele, Metrodoro, lcetida medico, Hesiotlô, Dalione, Cœcilio, Bione qui moi öuváμwv, Anaxilao, J uba rege. LIBRO XXIX C*)N’l’lNEN’l’UR Il-ZDICIMB EX RBLIQUIS ANIIIALIBUS, QUE AUT PLACIDA NON SUNT, AUT FERA. De origine medieinae. 1 De Hippocrate : quando primum elinice, quando primnm iatraliptice. || De Clirysippo, et Erasistralo. 111 De empirice. “-De Heroplailo, et reliquis illustrions medieis. Quolíes ratio medieinac mulata sil. v Quis prímus 'Romœ inedieus, et quando. v| Quill de medícis anliquis Romani judicaverínt. vu Vilîa medlcínze. vm Remedía ex Ianís, xxxv. U ; De œsypo, XXIII. X Ovis, xxl. xl De serpenlium ovis. 1" De comageno conficiendo. Medieínœ cx eo, xv. xm Remedia ex cane., uv Remedia per morbos corporis dígesta. Adversus serpen ttum ictus. I l h I l 1 Remèdes tirés du chien. xrv Remèdes rangés par ordre de maladie : contre les morsures de serpent. Remèdes tirés du rat. xv De la belette. xvi Des puuaises. xvu Des asples. xvur Du basilic. xix Du dragon. xx De la vipère. xxl Des autres serpents. xxu De la salamandre. xxm Remèdes tirés des oiseaux contre les serpents : Du vautour. xxiv Des gallinacees. xxv Des autres oiseaux. xxvl Des phalangiens ; espèces de ces Insectes et des araignées. xxvn Du stelllon. xx vm De divers insectes. xxix Des cantharides. xxx Contre certains venins. xxx : Contre la morsure du chien enragé. xxxu Contre les autres venius. xxxm Contre l’alopécie. xxxr Contre les lentes et le porrigo. xxxv Pour les douleurs et les plaies de tête. xxxvx Pour les cils. xxxvn Pour- les affections des yeux. xxxvu. Pour les douleurs et les affections des oreilles. xxxrx Pour les parotides. 11, Résumé : Remèdes, histoires et observations, 854. EI MIITE. 17 Ex mustela. xv ; Ex cimicibus. nu De aspidibus. nm Ex basilisco. 11 ; Ex dracone. xx Ex vipera. ` gm Ex reliquis serpen libus. nn De salamandre. gm, Ex volucribus, adversus serpen les Ex vulture. gm Ex gallinacés. nv Ex reliquis avibus. μm Ex phatangiis. Eorum généra, et araneofflm- XXTII EI stellione. xxfl" Ex diversis insectis. un Ex canllzaridilms. nx Contra venena aliqua. “U Contra canis rabidi morsus. xxxu Contra reliqua venena. nxμi Ad alopecias. : mm Ad landes et porrigincs. un Ad dolores et vulnera capilís. xxxvi —44 17f'1P¢Ö1`¢lS- xx : vu Ad oculorum vitia. : nem Ad aurium dolores et vitta. : xxl : Ad parolidas. μ, LIVRE I. Auteurs : M. Varron, L. Pison, Verrius Flaccus, Valérius Antias, Nigidius, Cassius Hemina, Cicéron, Plante, Celse, Sextius Niger qui a écrlt en grec, le médecin Cœcilius, Metellus Sclpion, le poëte Ovide, Llcinius Macer. Auteurs étrangers : Philopator, Homère, Aristote, Orphée, Démoerite, Anaxilaûs. * Médecins : Botrys, Apollodore, Archldème, Aristogène, Xénocrate, Diodore, Chrysippe le philosophe, Horus, Nicandre, Apollonlus de Pitane.

Livre XXX, traitant des autres remèdes fournis par les animaux.

De l’origine de la magie. 1 Quand et par qui elle a commencé. Quels sont ceux qui l’ont cultivée. u Si l’Italie l’a pratiquée. Quand, pour la première fois, le sénat a défendu les sacrifices humains. Des druldes des Gaules. Des espèces de la magie. v III IV Faux-fuyants des magiciens. vr Opinion des magiciens sur les taupes ; remèdes, v. vu Pour les douleurs de dents. vm Summa. Medieinœ, el historiœ, et observahoncs DOCIerZlJY¢ Ex aucloribus : H. Varrone, L. Pisone, Verrio Flacco, Antiale, N igidio, Cassio Hemina, Cicerone, Plaulo, Celso, Sextio Nígro qui grœee scripsil, Cœcilio medico, Metcllo Scipione, Ovidio poeta, Licinio Macro. Externis : Philopatore, Romero, Aristotele, Orpheo, Democrilo, Anaxilao. Medicis :Bnt11*e, Apollodoro, Archidemo, Aristogene, Xenocrate, Dlodoro, Chryslppo pluîlosopllo, Horo, Nicandro, ApollonioPitanœo. LIBRO XXX 1 com-uvmrrun uxmcnvs zx zuuuxunus aeuocaz. Deorigine magices. r Quardo, el a quo cœperil : a quibus eelebrala sa. An exercuerit eam Italia. Qnando primum se- u nains vetuerit hominem immolari. un De gennribus magiœs. V Magna-um perfugia. vl m I l 1 F 63 Pour le mauvais goût et les ulcères de la bouche. rx Pour les taches de rousseur. x Pour les affections de la gorge. x 1 Pour les anglnes et les tumeurs strume uses. xu Pour les douleurs des épaules. xm Pour les douleurs de la région précordiale. XIV Pour les douleurs de l’estomac. xv Pour les douleurs du foie et les vomissements de sang. xvr Pour la rate. xvu Pour les douleurs du cótéet des lombes. xvm Pour la dyssenterie. x ix Pour Piléus et les autres affections duventre. xx Pour les calculs et la vessie. xxx Pour les affections du siège et des parties génitales. xxn Pour la goutte et les affections des pieds. xxm Pour les maladies qui sont à craindre pour le corps tout entier. xxrv Pour les frissons. xxv Pour la paralysie. xxvr Pour l’épilepsie. xxvu Pour l’ictère. xxvm Pour la phrénitis. ’ xxlx Pour les fièvres. xxx Pour Phydroplsie. xx xr Pour Péryslpèle. xxxu Pour les charbons. xxxur De talpis opiuio magorum : mediciuzc v, vn Ad dentium dolores. vm Ad orls.raporem et utcera. rx Adfaciei maculas. x Ad vitiafaucium. xr Ad anginas et strumas. xn Ad humerorum dolores. nm Ad prœcordiorum dolores. xav Ad stomachl dolores. xv Ad jocineris dolores, et rejectiones.sanguiflåî. xV| Ad lienem. xv" Ad laterls et lumborum doloms. xvm Ad dysenterícos. xr ; Ad iteon, et reliqua ventrls vitia. xx Ad calcule. :, et vesicam. xxx Ad.redis et verendorum villa. xxu Ad podagras, et morbos pedum. xxm Ad mala qua : lotir corporibus meluenda sunt. xxrv Ad perfrlctiones. ny Ad paralysln. un Ad morbum comltialcm. : xvn Ad morbum regium. nm ; Ad PÎITBHCSÎH. xpqx Ádfåbfeån X xx Ad hydfûpiîffl. xxx] Ad ignem sacrum. nm Ad carbunculos. nm ; 64 PLINE. Pour les furoncles. xxxrv Pour les brûlures. xxxv Pour les douleurs des nerfs. xxxvx Pour les affections des ongles et des doigts. xxxvn Pour arrêter l’écoulement du sang. xxvm Pour les ulcères et les plales. xxxrx Pour les fractures. xr. Pour les cicatrices et les taches. xu Pour l’extraction des corps étrangers. xml Pour les maladies des femmes. xun Pour aider l’accouchement. xmv Pour malntenlr le sein. xav Pour la dépilation. XLVI Pour les maladies des enfants. xum Pour le ommeil. xavm Pour exciter à l’acte vénérlen. xnix Pour le phthírlasis, et remèdes dlvers. 1. Pour l’ivresse. LI Choses remarquables chez les animaux. Ln Autres faits merveilleux. un Résumé :Bemèdes, histoires et observations, 854. ’ ° Auteurs : M. Varron, Nigidius, Cicéron, Sextius Niger qui a écrit en grec, Liclnius Macer. Auteurs étrangers : Eudoxe, Arlstote, Hermlppe, Homère, Apion, Orphée, Démocrite, Anaxllaüs. Médecins : Botrys, Horus, Apollodore, Ménandre, Ar-Adfumnculos. XXXIV Ad ambusta. xxxv Ad nervorum dolores. xxxvn Ad ungutum et dîgitomm vîtîa. xxxvu Ad sanguine sistendum. ’ xxxv111 Ad ulcera et vulnera. xxxlx Ad ossa fracta. xl. Ad cicatrices, et vitiligines. xL1 Ad sa quœ extrahenda sunt corperi XLII Ad muliebria mala. XLIII Ad partum juvandum. xuv Ad mammas servandas. xu* Ad pllos tollendos. XLVI Ad morbos infantlum. XLVII Ad somnos. XLVIII Ad Vencrem. x1.1x Ad phthiriasln, etalia nonnulla promiscua. L Ad’ ebrietatem. LI Nolabllia animalîum. 1.11 Reliqua mirabilis. 1.111 Snmma : Medlcînœ, et.hîslorlœ, et observation es, ncccuv. Ex anctoribus : M. Varrone, Nlgidlo, M. Cîcerone, Sextio Nîgro qui grœce scripsil, Liclnio Macro.

i II i Il chldème, Arlstogène, Xénocrate, Diodore, Chrysippe, Nicandre, Apollonius de Pltane.

Livre XXXI, traitant des remèdes tirés des eaux.

Choses merveilleuses touchant les eaux. Différences des eaux. Remèdes tlres des eaux. Quelles eaux rendent les femmes fécondes. Quelles eaux guérissent la folie. Quelles eaux guérissent les calculeux. Quelles eaux guérissent les plaies. Quelles eaux préservent de l’avortement. Quelles eaux enlèvent les taches de la peau. Quelles eaux donnent une couleur à la laine des moutons. q Quelles eaux changent la couleur du corps humaln. Quelles eaux donnent la mémoire ; quelles eaux l’enlèvent. Quelles eaux rendent les sens plus subtils ou plus obtus. Quelles eaux rendent la voix harmonieuse. Quelles eaux dégoûtent du vin. Quelles eaux enivrent. Quelles eaux remplacent l’hulle. Quelles eaux sont salées et amères. Quelles eaux rejettent des pierres. Quelles eaux font rire ou pleurer. Quel-Externls :

I II III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV Endoxo, Arlstotele, Hermlppo, Homero, Apîone, Orpheo, Democrllo, Anaxllao. Medîcls : Bolrye, Horo, Apollodoro, Menandro, ›rcl1ídemo, Arlstogene, Xenocrale, Dlodoro, Cl1rys1ppo, Nicandro, Apollonlo Pltanœo. LIBRO XXX ! courlsasrun IIEDICINE ax AQUATILIBUS. Aquarnm mlrabilla. Aquarnm differenllae. Aquarum mediclnœ. Qnales fœcnnditalem faclanl, quales însahiae medeanlnr. Qnales calcnloslsl Qnales vnlneribns. Qnales partnm cuslodiant. Qnales vlllligînem tollant. Qnœ colo1*em lanls faciant. Qnœ homlnibns. Qnœ memoriam : quœ obllvlonem. Qnœ sensns subtilitalem : qnœ tardîtatem : quœ canoram vocem. Qnae vlni tœdlnm faoîant : qnœ lnebrienl. Qnœ olei vicem prœslent. Qnœ salsac, el amarœ. IV V V ! VII VIII 1x X Xl XII XIII XIV XV les eaux passent pour guéa-lrl’amour. Eaux qul, mêlées dans uns boisson, restent chaudes pendant trois jours. Ilsrvellles des eaux. Eaux dans lesquelles tout s’enfonce, dans lesquelles rien ne s’enfonce. Eaux qui donnent la mort. Poissons venlmeux. Eaux qui deviennent pierres ou qui forment des pierres. De la bonté des eaux. Des défauts des eaux. Epreuve -des eaux. De l’eau Marcia. De Peau Vierge. Moyen de trouver les eaux. Signes de l’existence des eaux. Différences des eaux d’après les espèces de terrains. De l’état des eaux d’après les saisons. Observation historique au sujet de l’éruption subite ou du tarissement de sources. Moyen de condulreles eaux. Comment on doit user des eaux mlnérules. Comment on dolt user des eaux de mer. Utilité de la navigation. Comment on peut faire de l’eau de mer au milieu des terres. Mélange d’eau de mer et de miel, ou tbalassomeli. Hydromel. Quœ saxa egeranl : qnœ risum, ’el píoratum faeianl : quœ amorem sanare dioantur. Per triduum caíentes hanstu. aquamm miraeuía. In quíbus omnia mergaulnr z in quibus nihií. Aqua neeantes : pisces venenali. Qu : Iapidene fianl, aul íapídem facianl. De salubrilate aquarum. De viuis aquarum. Probslio aquamm. De aqua blareia. De aqua Virgins. Aqua iuveuiendi ratio. Sign : aquarmn. l)ifl’ereuliœ aquarum per générs term. Ratio aquarum per tempora anni. Aquarum subilo uaseenlium anl deslnenfinm observaüo historien. Ratio aqua dueendze.. Quomodo medicalís nlendum. Item marinis. Quid prosil navlgalio. Quomodo marius aqua ln modilerrsneo lieri possit. Quomodo líaalassomeíi. Quomodo hydromel. Beruedium contra pèregrínas aquas. lx muscu, medieinœ vn. Medicina : ex arenls. PLINB. — T. I.

LIVRE I. 55 XVI XVII XVIII XIX ’ xx xxl nu xxm xxrv xxv xxvl xxvn XXVIII XXIX XXX XXX] XXXII XXXIII XXXIV XXXV XXXVI XVI XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXVI XXVII XXVIII XXIX ’ xxx xxxn xxxu xxxm XXXIV XXXV XXXVI XXXVII XXXVIII Remèdes contrè les eaux étrangères. xxxvu Remèdes tlrés de la mousse, vr. Bemèdes tirés du sable. xxxvm Du sel ; de ses espèces ; de sa fabrication ; des remèdes qu’il fournit ; observations, cetv. xxxrx Ds la saumure. xr. Des meilleurs sels ; faits historiques, exx. xx. : Fleur de sel, xx. Salsugo, u. xm Garum, xv. xun Alex, vm. ’ xuv Nature du sel. Ecume du sel. x|.v Du nitre ; desesespèces ; de sa l’abrlcation ; des remèdes qu’il fournit ; observations, ccxxx. nv : Des éponges ; remèdes et observations, xcu. x|.vu Résumé : Remèdes, histoires et observations, 924. Auteurs. M. Varron, Cassius de Parme, Cicéron, Muclanus, Cœiins, Celse, Trogue Pompée, Ovide, Polybe, Soruatius. Auteurs étrangers : Callimaque, Ctésías, Eudlcus, Théopbraste, Eudoxe, Thóopompe, Poiyclyte, Juba, Lycus, Aplon, Éplgène, Pelops, Apelle, Démocrits, Tbrasyiie, Nieandre, Menandre le poêts eomique, Attale, Sallustius Dionysius, Andreas, Nleeratus, Híppocrate, Anaxiiaûs. De salis générions, el confeclnrls, et medíciuis, observation es, ocnv. xxxnx De mnria. xr. De saíis auctoritate, ínistorica, cxx. xu Fíos salis, xx. Saísugo, n. XI-Il De garo, xv. Il-NI De aíece, vm. : uv De nanars saíis : de spnma saíis. xav De nilri généribus, et confeeluris, et mediclnis, observaliones, ccxxn. XI-V1 De spongiis. medieinœ, et observalíones, xcn. xum Snmma : bledieinœ, el historiœ, el observaliones, uococxxnv. Ex auolorlbus : M. Varrone, Cassin Psrmeuse, Ciœrone, Muciauo, Cœllo, Ceíso, Trogo, Ovidio, Poíybio, Sornatio. Exteruis : Caílimaeho, Clesis, lšudioo, Tíneopbrasto, Išudoxs, Tíneopompo, Poíycíylo, Juba, Lyco, Aplone, Epigeue, Pelope, Apelíe, Demoorito, ’l’ínrasyilo, Nícandro, Mensadro comœdo, Allaío, Saííustio Dionysio, Andrea, Niceralo, Hippocrate, Anaxiiao.

Livre XXXII, traitant des remèdes que fournissent les animaux aquatiques.

(18) Du rémora. De la torpllle, vn. Du Ilèvre marin, v. Merveilles de la mer Rouge. De l’instinct des poissons. Propriétés admirables des poissons. Où lls mangent à la main. Où des réponses se donnent par l’intermédiaire des poissons ; et ou ils recennalssent la voix. Où les poissons sont amers ; où lls sont salés ; où Ils sont doux. Qu’il y a des sympathies et des antipathies de localités. Quand les poissons de mer ont commence å être en usage pour la première fols. Règlement du roi Numa touchant les poissons. Du corail ; remèdes et observations, xμx. De la haine des animaux marins entre eux. Du galéos, du surmnlet et de la pastenague. Des animaux amphibies. Du castoréum ; remèdes et observations, Lvl. De la tortue ; remèdes et observations, uvx. Remèdes tirés des animaux aquatiques, par ordre de maladies. Contre les poisons et les maléfices. De la dorade, de l’étoile de mer. LIBRO XXXII cormsetrrun IEDICIIIEZ sx soumclnns De eêheneide. De torpedine, vu. De lepore marino, v. Mirabílía Rubrí maris. De íngeníis píscíum. Pmprielates píscium mírllblltfl. Ubi edant e manu. Ubi response denlur ex píscíbus, et ubl vocem agnoscanl. Ubi amarí sinl písces, ubl salsí, ubl dulces. Essecl locorum sympalhiam el anlipalhlam. Quando maríní pièces in usu primum esse emperiut. Numœ regis constitullo de písclhus. De curalío, medicínae el observaliones. xux. Dediscordia inter se marinorum. De galeo, mullo, el pasliuaca. De hls quibns III terra, et ln aqua vlctus est. De castoreis, medicinœ el observalíones, Lvl. De tesludine, mediclnœ et observations, Lxvl. Remedia ex aquatilibus in *morbos digesza. Contra venena, et venqficta. Ex aurais. Ex stella marina. o PLINE.. LES I II III IV V VI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XVI I Il III IV Y YI VII VIII IX X XI XII XIII XIV XV XI I Contre les morsures de serpent, de chien, et contre les animaux venlmeux. Du dragon marin. Des poissons salés. De la sardine. Du cybium. Baudroie. Grenouille. Grenouille rubette ; observations, xxxv. Enhydris, vr. Écrevlsses de rivière, xrv ; écrevisses de mer, vn. Limaçons d’eau douce, vn. Goracins, lv. Cochons de mer. Veau marin. Mnrène. Hlppocampe. Herisson de mer. Des huîtres ; de leurs espèces ; observations et remèdes, ux. Pourpres. Algue marine, 11. Pour l’alopécie, les cheveux, et les ul cères de la tète : rat marin. Scorplon marin. Sangsues. Murex. Coquilles, etc. Pour les yeux et les clis : graisse de poisson. Callionyme. Fiel de coracin. Sèche. lchthyocolle. Pour les nffectlons des oreilles : batla, baccbns ou m yxon. Poux de mer, etc. Pour les douleurs de dents : chien de mer, etc. Pour les lichens et les taches du visage : Cétacé. Dauphin. Colytie ou corytíe. Halcyoneum. Thon, etc. Pour les scrofules, les parotides, les angínes et les affections de la gorge : Mènes. Scolopendre. Saurus. Gonque. Silnre, etc. Pour la toux et les affectons de poitrine. Contra serpen tium íctus, et canum morsus, et vencnata. l-Lx dracone marino. Ex salsamentls. Ex sardís. Ex cybío. Rana marine. Fluvíalílís. Rana rubeta. Observationes circa ces, xxxv. Enhydris, vi. Cencri Iluvlaliles, xlv. Cancrí marini, vu. Gochleœ fluvialíles, VII. Coracíni, lv. Porci. Vílulus mariuus. Murœna. lllppocampi. Ecbíni. Ostreorum généra, et observation es, ac medicínœ, ux. Purpura. Alga marina, ll. Ad alopecias, et captllos, et capilis ulcera. Mus marínus. Scorpio marínus. Sanguisugac. Murices. Concliylía, etc. Ad oculos, et palpe bras. Píscíum adeps. Calliouymus. Coracíní fel. Sepiœ. Iclilliyocolla, etc. Ad aurium vitia, Balia. Bacchus, sive myxon. Marini pediculi, elc. Ad dentium dolores. Canicule, etc. Ad tichenas, etfaciei maculas. Celum. Dciphinus. Colylia, sive corylia. Halcyoneum. Tliynnus, elc. Adstrumas, parotides. anginas, et fmu : ium vitia. lllœnœ. Scolopendre. Saurus. Conclnna. Silurus, ctc. XVII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXV ! XXVII XXVIII XXIX VII XVIII XIX XX XXI XXII XXIII XXIV XXV XXV ! XXYII XX VIII Pour les douleurs du foie et du côté. Strombe ou conque longue. Te-LIVRE I. thée, etc. xxx Pour les affections du ventre : Chou marin. Myaces. Mltule. Pélorlde. Séripblum. Érythln, etc. xxx : Pour la rate, les calculs et les affections de la vessle : Sole, turbot, hlendée, ortie de mer, poumon de mer, onyches, etc. xxxn Pour les entérocèles et les affections du sige :De la couleuvre aquatique. Ds l’hydre. Du muge. De la pélamlde, etc. xxxm Pour les tumeurs, pour les affectons des parties génitales : Solene. Perche. Squatine. Smarlde, etc. ` xxnv Pour Pincontinuace d’urine : Ophldlon, etc. xxxv Pour la goutte et les douleurs de jambes : Bièvre. Bryon, etc. xxxvl Pour les épileptiques. xxxvn Pour les fièvres : Aselle. Pagre. Baleine, etc. xxxvm Pour le létlmrgus, la cachexle, l’hydropisie. XXXIX Pour la brûlure et l’érysipèle. xl. Pour les affectons des nerfs. xu Pour arrêter le sang et pour eu tirer : Potypes. Suugsues, etc. xm Pour l’extraction des corps étrangers. nm Pour les ulcères, les carcinåmus et les charbons. xuv Ad tussim, et pectoris villa. : ux Adjoeiaoris, et lateris dolores. Strombus, sive couche longa. Telhea, etc. xxx Ad alvl uma. Olus msñnum. Myaœs. Miluli. Pelorides. Seripllium. Erytllinus, elo. xxxl Ad lieues, calculos, ac vestcœ villa. Solea Bhombos. Blendes. Urtica marlos. Pulmo marinus. Onyches, etc. xxxu Ad snterocelas, et sedls villa. Ex colubro aqustioo. Ex hydro. Mugile. Pelamide, elc. xxxm Adpanos, et verendorum uma. Soiœus. Percœ. Squsliuœ. Smarides, etc. xxxlv Ad uflnœ inœnllnentiam. Ophldiou, etc. xxxv 44 podagras, et pedum dolores. Ex fibro. Br-you, etc. xxzm Ad comtliales. XXXYII Adfebres. Ex uello pisœ. Ex pagro. Ex balœns, etc. xxxvm Ad lellzarglcos, cachecticos, hydropicos. naux Adanabuuta, et ignes sacros. xl. Ad nzrvorum vitta. xu Adslstendumsanguinem, el ad extrahendum. Ex poiypo. Ex ssuguisugis, etc. XIII Ad eztrahenda corporl inhœrsntîa. xuu Ad ulcera, carcinomala, sl carbunculos. xuv Ad uerrucas, et unguium scabritiem. Ex glano, ele. uv —1 l I I l 61 Pour les verrues et l'åpreté des ongles : Glanls, etc..uv Pour les maladies des femmes : Glauclsque, etc. xav : Pour faire tomber les poils : épilatoires. xnvn Pour les maladlss des enfants. nvm Pour empêcher l’ivresse : Bubelllon. Anguille. Balsin de mer. xux Pour réprimer ou excher les déslrs vénériens : Hlppopotamie. Dent de crocodile, etc. 1. Pour les maladies des animaux. LI Desautres animaux aquallques. Adarca ou calamochnus. Calamus. Encre de sèche, etc. un Noms de tous les animaux qui vivent dans la mer, cnxxvl. un Noms qui se trouvent dans Ovide. uv Polssons qu’aucun auteur n’a nommés. LV Résumé : Remèdes, histoires et observations, 990. Auteurs : Liclnlus Macer, Tréblus Niger, Sextius Nlger qui a écrit en grec, le poète Ovlde, Casslus Hemlna, Mécèue, Iacchus, Soruatius. Auteurs étrangers : Juba, Andréas', Salpó, Apíon, Pélops, Apellu de Thasos, Thrasylle, Nlcandre.

Livre XXXIII, traitant des métaux.

Des métaux. Ad mulierum morbos. l-ix glaucisco, etc. Ad ptlos tollendos, psltothra. Ad mfanttum morbos. Ad sbrletatem arcendam. Rubellîo. Anguilla Uva marina. Ad Venerem mhlbendam, vel concilandam. ltippopotamia. Deus crocodile, clc. Ad anlmaltum morbos. De reliquis aquatllibus. Adarca, sivc calamochnus. Calamus. Sepiaz atramenlum, cic. Animallum omnium in mari viveuliuln nomiua CLIXYI. Apud Ovidlum posila nomîna. Pisœs a nullo auctore nominatl. Summa : Mediciuœ, el historiœ, el obser ncccexc. Ex auclonbus : I XLYI XLVII X LYIII X LÎX I. IJ LI] LUI LI V LY valioncs, Licinio Macro, Trebio Nigro, Sexlio Nigro qui grzcce scripslt, Ovidio poeta, Casslo Hemiua, Mœcenale, laccllo, Sornalio. Externis : luba, Andrea, Saipe, Apione, Pelope, Apelie Thasio, Tbrasy lio, Nicaudro. LIBBO XXX ! ! ! conrmuzrruu lersenouul lwrume. De metafils.

De l’or. Quelle estlme on eut d’abord pour ce métal. De l’origine des anneaux d’or. De la quantité de l’or chez les anêleus. Du drolt de porter l’anneau d’or. Des décurles de juges. De l’ordre équestre. * Comblen de fols le nom de ~l’ordre équestre a été changé. Des dons militaires en or et en argent. Quand, pour la première fois, une couronne d’or a été donnée. Autre emplol de l’or dans la parure des femmes. De la monnale d’or. Quand, pour la première fols, on a frappé de la monnaie de culvre, d’argent et d’or. Quel était l’usage du culvre avant l’emplol de ces métaux. Quelle a été la plus grande somme d’argent dans le premier recensement. Comblen de fois, et å quelles époques, on a moditie la valeur du cuivre et de l’arPLINÉ. IlII IV V VI VII VIII IX X XI XII gent monnayé. xm Sur la sol ! de l’ol. xrv Quels sont ceux qui ont possédé le plus d’or et d’argent. xv Quand, pour la première fols, l’argent a-t-ll été employé à décorer l’amphithéâtre ; quand, la scène. xvr A quelles époques le trésor du peuple romain a-t-il contenu le plus d’or et d’argent 7 xvn De auro. n Qnœ prima commendatio ejns. m De annnlornm anœornm origine. nv De modo am-l apnd antiques. v De jure annnlorum aureornm. vn De decuriis judicum. vn De squeslrl ordlue. vm Qnotles nomcn equestris ordlnls immntatnm. nx De douis militaribus, aureis, et argentes. x Qnando primnm em-ons anrea data. xi De reliqno nsn anri feminarnm. xn De nummo aureo. Qnaudo primum sîguatum aes, argenlnm et am-nm. Anlequam ea signarenlur, quis mos in aere : et qnœ prima maxima pecnuia primo censu. Quolles et quibus temporibns ancta sit œris ant nnmmi signal ! azstinnatio. xm De cnpiditate anri. xav Qlll plnrimnm anri et argenti posséderiut. xv Qnando primum argentum apparnerlt ln arena. Quando in scena.. xvi Quibus temporibus plurîmnm ln œnrio Popnli Romani auri et argenti fuerit. : vn Qnando primum lacunaria inaurala. xvm Qnibns de cansis prœcipua IUCIOTÎÎES suro. aux Quand, pour la première fois, on a doré les lambris. xvm Quelles sont les causes qui font que l’or a le plus de valeur. nx Procédé pour dorer. xx Comment on trouve l’or. XXI De l’orpiment. xxn De l’électrum. xxun Premlères statues d’or. xxrv Remèdes tirés de l’or, vm. xxv Chrysocolle. xx vn Emplol de cette substance dans la peinture. xxv 1 r Remèdes tirés de la chrysocale, vr. xxvnr Dela ehrysocolle des orfevres, ousanterne. xxlx Merveilles de la nature dans la soudure et l’aftlnage des substances métalliques. xxx De l’argent. xxx ! Du vlf-argent. ’ xxxu Du stîmmi ou stlbl ou alabastre ou llthasls ou larbase ou platyophthalmos. xxxnr Remèdes qu’on en tlre, vn. xxxrv De la scorle d’argent ; remèdes qu’elle fournit. xxxv Du mlnium : à quel usage religieux il servalt chez lesnnelens. xxxvt Découverte et orlglne du mtnlum. xxxvnr Cinnabre. xxxvnn Emploi du clnnabre et du mlnlum en pelnture. xxxtx Diverses espèces du mlnlum. ’ xr. De Phydrargyre. xu Ratio îuauraudi. “gg De învenleudo sum. un De auripigmento. xxu De electro. xxm Prima : anrere slalnœ. amv Medicina : ex auro, VIII. ~ : xv De cllryäocolll. ny ; Ratio eius in piclnris. : nn Ex clnrysocolla, mediclnœ vn. xxvm De anrificum clnrysoeolla, sive saulema. : xix Mirabllia uamrœ, glnliuaudis luler se, et perfl-cieudis metallicis rebus. xxx De argeuto. un De argelllo vlvo. 11111 Destinnmi. slve stibl, slve alabsstro, sire lithasi, sive larbaso, sive platyoplnthalmo. : nm Ex eo medlcinœ vn. “ny De scoria argentl. Medicinœ ex es. : nv De minio. Qnam rellgiosnm apnd antiques fuerilxxxvn De Inventions ejns, et origine. xxxvn De Cllllllbflfl. gxxvm Ratio cinnabaris, et minll ln picturis. xxxrx Genera minii. “ De inydrargyro. gm LIVRE I. 60

De la dorure de l'argent. XLII Des pierres de touche de l'or. XLITI Des espèces de l'argent, et des moyens

de l’éprouver. XLIV Des miroirs. ‘XLV De l’argent d'Égypte. XLVI Opulence excessive. Quels sont ceux

qui ont eu les plus grandes richesses, xLvir Quand pour la première fols le peuple

romain a fait des cotisations volon-

talres. XLVIII Da luxe dans les vases d'argent. XLIX Exemples de la simplicité des anciens

dans l’usage de l'argent. L À quelle époque on a pour la première

fois plaqué les lits en argent. LI

Quand on a fait des plats d'argent d’une dimension énorme; quand on a ajouté de l’argent aux buffets; quand pour la première fois on a

fait des plats appelés tympana. LIT Prix énorme de l’argent ciselé. LIIT Des statues d'argent. LIY Chefs-d’œuvre en argent renommés,

et artistes célèbres en ce genre. LV

Du sil; quels sont ceux qui i’ont em-

ployé les premiers dans la pelnture,

et comment. LVI De l’azar. LVII Remèdes tirés de l’azor. LVIII

Résumé : Remèdes, histoires et observations, 1125. Auteurs :

L. Pison, Valérius Antias, Verrias, M. Varron,

De argento inaurando. XL! De coticulis aurartis. XL! Argenti genera, et experimeuta. XLIV De speculis. XLY De Ægyplio argent. XLYI De immodica pecunia. Quorum maximæ opes foeriut, XL9I! Quando primum Populus Rom, stipem sparseril, xLvi11 De luxuria in vasis argentleis, XUIX Frugalitatis antiquæ ju argeuto exempla, L Quando primum lectis argentum additum, LI

Quando lances Immodicæ factæ. Quando reposito- ris argentum addifum, Quando primum {ym-

pana facta, LI! Immodica argenti pretia. LI De statuis argenti, LIV Nobilitates operum , et artificum In argento. Lv | De sile, et qui priml sile pinxerint, et qua ra-

tione. LN De cærulec. LV) Medicinæ ex cæruleo, LI!

Saomma : Medicinæ, et blstoriæ, et ohservationes, ACT.

Ex auctoribus : L. Pisone, Antiale, Verrio, M. Varrone , Corn. Nepo-

C. Nepos, Messala, Junlus Gracchanus, Atticus Pomponlus, Muclanus, Calvus Licinius (19), Boc- chus, Fetialls, Fenestella, Valerius Maximus, Jullus Bassus qui a écrit en grec sur la médecine, Sextlus Niger qui a écrit de même, le poëte Marsus.

Auteurs étrangers :

Démocrite, Théophraste, Juba, Timée l’his. torien qui a écrit sur les remèdes fournis par les métaux , Héracllde, Andréas, Dlagoras, Botrys, Archldème, Dlonysius , Arlstogène, Démoclès, Mnésis, le médecin Attale, le médecin Xéno- crate, Théomneste, Nyrphodore, Iollas, Apol- lodore , Pasitèle qui a écrlt sur les chefs-d’œuvre, Antigone qui a écrit sur la ciselure, Menæchme qui a écrit sur le même sujet, Xénoerate qui a écrit sur le même sujet, Duris qui a écrit sur le même sujet, Ménandre qui a écrit sur les ouvre ges de clselure, Héllodore qui a écrit sur les of- frandes des Athénlens , Métrodore de Scepsis.

Livre XXXIV, traitant du cuivre.

Du cuivre. ï Des espèces da culvre. Ul Airaln de Corinthe. nil Alraln de Délos. EV Alraln d’Égine. v Candélabres. v1 Ornements d’airain employés dans les

temples. vH Des IIts de table ornés d'airaln. VIIT

te, Messala, Junlo Gracchano, Altico Pomponie, Muciano, Calvo Liciulo, Boccho, Fetiale, Fenestella, Vaterio. Maximo, Jullo Basso qui de medicina græce scrlpsit, Séx- tio Nigro qui Ilem, Marso poeta.

. Externis :

Democrlto, Theopbrasto, Jubsa, Timæo hlstorico qui de medlclna metallica scrlpsit, Heraclide, Audres, Dia- gora, Botrye, Archidemo, Diouysio, Aristogene, Deino- cle, Mneside, Attalo medlco, Xenocrate item, Theomnesto, Nymphodoro, lolla, Apollodoro, Pasilele qui mirabilla opera scripsll, Antigono qui de toreutice, Menæchmo qui ltem, Xenocrate qui ilem, Duride qui item, Menau- dro qui de toreutis, Heliodoro qui de Atheniensium ana< hematis, Metrodoro Scepslo,

LIBRO XXXIV

CONTINENTUR ÆRIS METALLA | Æris metalla,

Genera æris, H Quæ Corinthis. mi Quæ Deliaca. A Que Æginetlca. Y De candeiabris. vi De templorum ornamentis ex ære. ve De tricliniis æratis. vus

e10 PLINE. Quelle est la ptemlère statue d’un dieu falte en alraln, å Rome ; de l’origine des statues, et de l’estlme qu’on en fait. IX Espèces et formes des statues. ` 1 Quels sont ceux à qui on a érigé pour la première fols des statues aux frais de l’État. Quels sont les premiers a qui on en a èrlgé au haut d’une colonne. Depuls quand existent les rostres. Il Aquels étrangers Rome a-t-elle élevédes statues ? xix Quelle est la première statue équestre érigée à Rome aux frals de l’État, et a quelles femmesa t-on dressé à Rome des statues dans un lleu publlc. xm A quelle époque a-t-on fait disparaître des lieux publles toutes les statues dressées par des particuliers ? xav Quelles sont les premières statues érlgées en public par des étrangers. xv Qu’il y a eu anciennement des statuaires dans l’ltalle aussi. xvx Prlx excessif de certaines statues. xvi : Des colosses les plus renommés dans Rome. xvm Chefs-d’œuvre en alraln et artistes célèbres en ce genre, cccLxv1. xxx Différences du cuivre et alliages. Pyrope. Alrain de Campanie. xx Des moyens de conserver l’alraln. xxl De la cadmie. xxn Remèdes fournis par l’alraln, xv. Cul-Quod primum dei slmulscrum Romœ ex aere factum. De ortgine statu arum, et honore. IX Ststuarum généra et llgurœ. x Qulbus primum publics posltœ : quibus priulum in columna : quando rostra. xl Quibus externis Romœ publlce posltœ. xu Quœ prima Roma : status equestris poslta publice. et quibns ltomœ mutlerlbos tn pubtico posltœ. xm Qusndo omnes privatim statuœ ex publico sublalœ. xlv Quœ primœ ab externis puhllœ posltœ. xv Fulsse antlqnitus et tn llalla statuerions. xvi De pretils slgnorum lmmodlcls. xvu De eoiossis ln Urbe eeieberrlmls. xml Nobllítates ex œreoperum. et artlñcum, CCCLXVI xix Difùrentiae œris, et mlxturœ. De pyropo. De Øsmpano œre. xx De servando seré. xxl De cadmla. un Iediclnœ ex ea, xv..iris ustl effectue in medi-GÎM I- xxm De scoria œris. De llorc œris. Squlima œrisî xxlv De stomomata œris. Medlcinœ ex his. xxvu. xxv årugo : medlclnœ ex ca, svn. xxvl Blsraclum. xxyμ vre brûlé, effets médicaux, x. xxm De la scorie de cuivre. De la fleur de cuivre. Des écailles de cuivre. xxiv Stomoma d’airaln ; remèdes qu’on en tlre, xnvn. xxv Vert-de-grls ; remèdes, xvu. xxvx Hléracium. xxvir Seolex d’alrain ; remèdes, xvu. xxvm Cbalcltis ; remèdes, vn. Remède pour la gale. xxnx Sory ; remèdes, xm. xxx Mlsy ; remèdes, xiv. xxx : Chalcanthe ou noir des eordonnlers ; remèdes, xvi. xxxu Pompholyx. xxxnx Spode ; remèdes, vl. xxxav Quinze espèces d’antispod e. xxxv Spegma. xxxvx Dipbryge. xxxvn Trlens des Servlllus. xxxvm Du fer. xxxxx Statues en fer, ciselures en fer. xr. Des diverses espèces du fer et de sa trempe. xu Du fer vif ou almanté. xm Procédés pour empècher la rouille. xun Remèdes tirés du fer, xx. xuv Remèdes tirés de la rouille, v. nv Remèdes tlrés de la limaille de fer, xvu. Emplåtre liqulde. x1.v1 Du plomb. Du plomb blanc. De la double orlgine du plomb noir. xnvu De l’étaln. De l’étain argent aire. xnvm Du plomb noir. * xux Scolex amis : medlclnœ ex eo, nu. xxvm De cllalcltl : medlcínœ ex ea, VII. Psorícon. xxlx Sory : medicinœ ex eo, xm. xxx Mlsy : mediclnœ ex eo, xn. xxxl Cbalcanthum. sive atramentum sutorlum : mediclnœ ex eo. xvi. xxxu Pompholyx. xxxm Spodlum. Medíelnœ ex his, vl. xxxn Anlispodii généra, xv. xxxv Spegma. xxxvr De díphryge. xxxvu De triente Servllio. xxxnu De ferri metafils. xxxix Slmulacra ex ferro. Caeiaturœ ex ícrro. xr. Dlfferentla : ferrl, et tempe ratura. xu De ferro quod vlvum appellent. xul ltubigînis remedia. ` xun Medlclnœ ex ferro, lx. xuv Mediclnœ ex rubiglne, v. xur Medicina : ex squama ferri. xvu. Il ygœmptaslrum. x|.v| De piumbi metallis : de plnulbo aibo : de nlgri origine duplíci. xavn De stanno : de argenlarîo. xum De piumbo nigro. xux

Ex ptumbo. mediciaœ xv. la
Remèdes fournis par le plomb, xv.
Remèdes fournis par la seorle de plomb, xvi.
Spode de plomb.
De le molybdène ; remède qu’elle fournit, xv.
Du psimmythium ou céruse ; remèdes qu’il fournit, vi.
Sandaraque ; remèdes qu’elle fournit, xi. Arsenic.
Résumé : Remèdes, histoires et observations, 915.
Auteurs :

L. Pison, Valérius Antias, Verrius, M. Varron, Corn. Nepos, Messala, Rufus, Marsus le poëte, Bacchus, Julius Bassus qui a écrit en grec sur la médecine, Sextius Niger qui a écrlt en grec sur le médecine, Fabius Vestalis.

Auteurs étrangers :

Démocrite, Métrodore de Scepsis, Menæchme qui a écrit sur la ciselure, Xénocrase qui a traité le même sujet, Antigone qui a traité le même sujet, Duris qui a traité le même sujet, Hellodore qui a écrit sur les offrandes des Athénlens, Pasitèle qui a écrit sur les ouvrages admirables, Tlmée qui a écrit sur les remèdes métalliques, Nymphodore, Iollas, Apollodore, Andreas, Héraclide, Diagoras, Botrys, Archidème, Dionysius, Aristogène, Démocles, Mnésls, Xénocrate fils de Zénon, Théomneste.

Livre XXXV, traitant de la peinture et des couleurs.

Estime où est la peinture.
Cas que l’on fait des portraits.
Quand pour la première fois on a sculpté des portraits sur les boucliers, et on les a exposés en public.
Quand on a exposé de semblables boucliers dans les maisons.
Des commencements de la peinture. Des peintures monochromes. Des premiers peintres.
Antiquité des peintres en Italie.
Des peintres romains. Quand la peinture a commencé à être en honneur à Rome, et pour quelle cause. Quels sont ceux qui ont exposé des tableaux représentant leurs victoires.
Quand les tableaux étrangers ont commencé à être estimés à Rome, et quels ont été exposés en public.
Procédés de la peinture.
Des couleurs naturelles et artificielles, et des préparations des couleurs, excepté celles qui sont fournies par des substances métalliques.
De la sinopide ; remèdes qu’on en tire, xi.
De la rubrique. De la terre de Lemnos ; remèdes qu’ou en tire, xi.
De la terre d’Égypte.
De l’ocre. Remèdes fournis par la rubrique.
Leucophorum.
Parætonlum.
Melinum ; remèdes qu’on en tire, vi. Céruse.
Usta.
Terre d’Érétrie ; remèdes qu’on en tire, vi.
Sandaraque.
Sandyx.
Syricum.
Du noir.
Purpurissum.
Indigo ; remèdes qu’il fournit, iv.
Arménium ; remèdes qu’il fournit, i.
Vert Appien.
Annulaire.
Couleurs qui ne prennent point sur l’humide.
Couleurs employées par les anciens dans la peinture.
Quand pour la première fois on a peint et exposé des combats de gladiateurs.
De l’antiquité de la peinture. Énumération des chefs-d’œuvre et des peintres les plus célèbres, cccv.
Premier concours de peinture.
Quels sont ceux qui ont peint avec le pinceau. Quelles sont les inventions et les inventeurs dans la peinture. Quelles sont les plus grandes difficultés de cet art.
Des divers genres de peinture.
Du moyen de faire taire les oiseaux.
Quels sont ceux qui ont peint à l’encaustique et au pinceau.
Qui le premier a peint les lambris. Quand on a commencé à peindre les voûtes. Prix excessif de certaines peintures.
De l’encaustique.
De la peinture des étoffes.
Premiers inventeurs de l’art de mouler.
Qui le premier moula une image d’après la figure et d’après les statues
Mouleurs célèbres.
Des ouvrages en poterie.
Variétés des terres. Du sable de Pouzzoles, et des autres espèces de terre qui se pétrifient.
Murs de forme.
Murs de brique. Fabrication de la brique.
Du soufre et de ses espèces ; remèdes, xix.
Du bitume et de ses espèces ; remèdes, xxvii.
De l’alun et de ses espèces ; remèdes, xxxix.
De la terre de Samos ; remèdes, iii.
Des diverses espèces de terre d’Érétrie.
Du lavage des terres qu’on emploie dans la médecine.
De la terre de Chios ; remèdes, iii. De la terre de Sélinonte ; remèdes, iii. De la pnigitis ; remèdes, ix. De l’ampelitis ; remèdes, iv.
Emploi de la craie pour dégraisser les étoffes. Terre cimoliée ; remèdes, viii, Sarde ; ombrique ; saxum.
Craie argentaire. Affranchis très puissants qui ont été marqués de craie.
Terre de Galatie, de Clupée, des Baléares, de l’île d’Ébuse ; remèdes, iv.
Résumé : Remèdes, histoires et observations, 956.
Auteurs :

Messala l’orateur, Messala le vieux, Fenestella, Atticus, Verrius, M. Varron, C. Nepos, Déclus Eculéon, Mucianus, Melissus, Vitruve, Cassius Severus Longulanus, Fabius Vestalis qui a écrit sur la peinture.

Auteurs étrangers :

Pasitèle, Apelle, Mélanthius, Asclépiodore, Euphranor, Héliodore qui a écrit sur les offrandes dans la ville d’Athènes, Metrodore qui a écrit sur l’architecture, Démocrite, Théophraste, Apion le grammairien qui a écrit sur les médicaments métalliques, Nymphodore, Andreas, Héraclide, Iollas, Apollodore, Diagoras, Botrys, Archidème, Dionyslus, Aristogène, Démoclès, Mnesis, Xénocrate fils de Zénon, Théomneste.

Livre XXXVI, traitant de l’histoire naturelle des pierres.

Luxe en fait de marbres. 1 Quel est le premier qui a falt voir du marbre dans des constructions publiques. Il Qui le premier a en à Rome des colonnes en marbre étranger. m Quels sont les premiers qui ont acquis du renom en sculptant le marbre, et a quelles époques. Énumération des Summa : Medicina, et hlsloriœ, Gl observation es, nceccun. Ex auctoribus : Messata oralore, Messaia senc, Fenestella, Attlco, Yerrio, Il. Yarrone, Corneiio Nepote, Decio Ecuieouc. lluciano, Melissa, Yilruvio, Cassio Severe Lougulauo, Fabio Vestale qui de picture scripsil. Exteruis : Pasitele, Apelle, Metauliiio, Asclepiodoro, Euphranore, Heliodoro gui åvaûúμma scripsil Alhenis, Melrodoro qui de architectonie scrlpsil, Democril.o, Theophrasl.o, Aplone Grammatieo qui de metallica medicine scripsil, Nymphedoro, Andrea, Heraciide, loila, Apotiodoro, Diagora, Botrye, Archidemo, Diouysio, Aristogene, Democle, Mueside, Xeuoente Zenonis, Theomnesto. LIBRO XXXVI comma- : rue umnui mruna. Luxuria in marmorîhus. 1 Quis primumin pubiicis operibus marmor osteoderit. n Qui primes peœgrino marmore columnas ltomœ |IåbllGI’ll. au Qui primum laudati in marmore scaipendo, et 7 8 chefs-d’œuvre en marbre et des artistes célèbres, ccxxv. IV Quand ou a commencé à employer le marbre dans les édifices. v Quels sont les premiers qui ont scie le marbre, et a quelle époque. vn Qul le premier à Bome a fait revêtir rflncrustations de marbre les murs de sa maison. vu A quelle époque ou a fait usage à Rome de chaque espèce de marbre. vm Sciage des marbres. Des sables avec lesquels on les scle. nx Plerre de Naxos. Plerre d’Arménle. x Des marbres d’Alexandrle. XI Onyx. Alabastrlte ; remèdes qu’on en tlre, vr. xn Pierre lygdlue, eoralllque, d’Alabande, de la Thébaíde, de Syène. xm Des obélisques. nv De l’obélisque qui sert de gnomon dans le champ de Mars. xv Ouvrages merveilleux dans le monde : pyramides. xvn Sphinx d’Égypte. xvn Lephare. *vm Les labyrinthes. xxx Jardlns suspendus. Vllles suspendues. xx Du temple de Diane å Éphèse. xxl Merveilles d’autres temples. xxu De la pierre fugitlve. Écho septuple de Cyzlque. Edîflces sans clous dans cette ville et å Rome. xxm Monuments admirables å Bome, au nombre de xvm. xxlv quibus temporibus. Nobiiilates operum, et artiücum in marmorihus, ccxxv. iv Quando primum marmorum in œdificiis usus. v Qui primi marmora secuerinl, el quando. vr Qui primus Romœ crus lavé rit paneies. vu Quibus œtatibus quœque marmora in usum Romœ veneriul. vm llalio secandi marmora. De arenis quibus sceaullIl’¢ IX De Naxiot de Armeuio. x De Alexandrinis marmorihus. xr De onyche, de alabastrite. Medicinœ ex iris, vi. xu DeLygdino : Corailico : Alabandico : Tiiebaicoz Syenite. xm De obeliscis. xav De eo qui pro gnomone in campo Marlio. xv Opera mirabiila in terris. Pyramides. xv : Sphinx Ašgypliaca. xm Pharos. Hm Labyrlnthi. xix Pensiies hor ti zpensrte oppidum. xx De lempio Ephesiœ Dianœ. xxl Aiiorum tempiorum admirabiiia. xxu De iapide fugitivo. Echo septles resonans Cyzíci ; sine clavo œdilicia : el Romœ. XXIII s PLINE. 7 4 De l’aimant ; remèdes, vr. xxv Pierre de Scyros. xxvr De la pierre sarcophage on d’Assos ; remèdes, x. xxvn Chernlte ; pore. xxvm Pierres ossenses, palmées, ténarlenues. Pierres coranes. Marbres noirs. xxrx Pierres meulières. Pyrite ; remèdes, vn. xxx Ostracite ; remèdes, 11. Amiante ; remèdes, 11. xxx : Géode ; remèdes, m. xxxu Mélitite ; remèdes, vr. xxxm Jais ; remèdes, vl. xxxlv Spongite ; remèdes, vn. xxxv Pierre phrygienne. xxxvr Hématlte ; remèdes, v. Sehiste ; remèdes, vu. xxxvu Pierre ethloplque. Androdamas ; remèdes, n. Pierre areblque. Míltile ou élatite. Anthrache. xxxvm Aétite. Taphiusienne. Callime. xxxrx Plerre samienne ; remèdes, vm. xr. Plerre arabe ; remèdes, n. xu Plerre ponce ; remèdes, rx. xur Des pierres à mortier employées en médecine et autres. Pierre étésienue, thébaïque, chalazienne. xun Plerre slphnienne. Pierres molles. xmv Pierre spéculaire. x1.v Phengíte. x1.v1 Des pierres à aiguiser. xnvn Des tufs. x1.v111 Bomœ operum míracula, XVIII, xx1v De magnete iopíde : medicinze VI, xxv Scyrius iapis. * XXV ! De sareophago sivc Aselo z medicinœ x. xxv11 De cherníte : de poro. XXV ! ! ! De lapidibus osseis : de paimatis : de Tœnarlis z de coranis : de nígris marmoribus. xx1x De moiaribus lapidibus. Pyrites : medicinao ex eo, VII, XXX Ostracítes : medicinae ex eo, 11. Amiantus, medicínœ ex eo, 11., XX XI Gœndes : medícíuœ ex eo, III, xxxu Meiitites 1 medicínœ ex eo, VI» xxx111 Gagates : medíci na : ex eo, VI, xxx1v Spongites : medicinae ex eo, v1. xxxv Pilrygíus. XXXV ! llœmatites : medícinœ ex eo, v. Sclnistos. Medicínae ex eo, Yll, XXXY ! ! Jšthiopleus. Androdamas : medíc. ex eo, 11. Arabicus. Miitiles, sive eiatítes. Anthracítes. XXXVIII Aetítes. Tapùíusíus. Cãmlfllläs XXX !X Samius : medicínœ ex eo, VIII. XL Arabus : medicínœ ex eo, 11. XI-I De pumice : medícínœ ex eo,1x. ' 11.11 De mortariis medicinaiibus, el aliis. Êteslus lapís, Thebaícus, chalazíus. x1.111 Sipllnius. Lapides molles. X !› !V uv Lapis specularis. Des autres pierres à bâtir. L Des divers genres de construction. L, Des citernes. Lll De la chanx. un Diverses espèces de sable ; des mélanges du sable et de la chaux. my Défants dans la construction. Des endÎlÎtS. Ly Des colonnes et de leurs espèces. Lvl Remèdes fonrnls par la chaux. Lvu DE la malthe. 15'111 D" gypse- ux Des carrelages. De la salle non balayée. LX Quand on a commencé à employer le carrelage à Rome. Lx ; Des carrelages en pleln vent. mu : Carrelages à la grecque. um Quand pour la première fols on a -employé la mosaique. Date de l’introduction des voûtes vltréee. muv Origine du verre. 1.xv Des espècœ du verre et du procédé de fabrication. mm Pierres obsidiennes. Lxvu Mervellles du feu. Lxvm Remèdes tlrés du feu et de la cendre, 111. LXIX Prodiges relatifs an foyer. Lxx Résumé : Remèdes, faits et observations, 5 2 3. Pllengíiee. x1.v1 De cotibus. XLVII De tophis. XLVIII De siiicum natuvis. xux De ri-iiquís ad structura lapídíbus. 1. Genere structura. 1.1 De císternis. 1.11 De caice. u1 : Arenae généra. Arence eïcalcis míxturœ. uv Villa structurœ. De tectoriis. * 1.v De coiumnís. Genere coiumnarum. 1.v1 Medicina : ex caiee, v. Lv ! ! De maitila. Lv ! ! ! De gypse. L ! ! ! De pavimeutis : de asaroto œco. IJ Quando primum pavimenteux Romœ. 1.x1 De subdiaiíhus pavímenlls. un Grœcanica pavimenia. 1.x !u Quando primum lilhoetrota. Quando primum camerœ vitœœ. mv Origo vítrí. Lxv Genere ejus, et ralío faciendl. l-XV ! De obsidíanís. LXVII Miracuia ígnlum. !-XY ! ! ! Ex igui et cinere, medicinœ 111. LX ! ! Prodigia foci. I-X ! Summa : Medicina :, et l1is1o1-iae. et ob6d’VIUOIl¢5› DXSIIL LIVRE I. — Auteurs : M. Varron, Cœlius, Gaiba, Cincius, Mucianus, C. Nepos, L. Pison, Tubéron, Sénèque, Fabius Vestalis, Annius Fetiaiis, Fabianus, Caton ie Censeur, Vitruve. Auteurs étrangers : Théophraste, Pasítèie, ie roi Juba, Nicandre, Sotacus, Sudine, Aiexaudre Poíyhistor, Apion surnommé Píistonícus, Duris, Hérodote, Évbémère, Aristagoras, Dionysins, Artemidore, Butoridas, Antisthene, Demétrius, Démotèíe, Ly-

Livre XXXVII, traitant des pierres précieuses.

Origine des pierres précieuses. 1 De ia pierre précieuse du tyran Poiycrate. Il De ia pierre précieuse de Pyrrhus. in Quels ont été ies meiiieurs graveurs. Chefs-d’œuvre de gravure. iv Quei a été à Rome ie premier écrin å anneau. v Pierres précieuses transportées dans ictriomphe de Pompée le Grand. vi Époque de introduction à Rome des vases murrhíns ; iuxe dont tis sont |’objet. vu Nature des vases murrbins. vm Nature du cristal ; remèdes qu’il fournit. ix Luxe dont ie cristai est l’objet. x Ex auctoribus : M. Varrone, Cœlio, Gaiba, Cinclo, Muciano, ùepote Cornelio, L. Pisone, Tuberone, Senecs, Fabio Vestaie, Annie Fetiale, Fabiauo, Catone Censorio, Vitruvio. Exlernis : Theophrasto, Pasîlele, Juba rege, Nicaudro, Sotaco, Sndine, Alexandre Polyhistore, Aplone Piistonloo, Duride, Herodoto, Enbemero, Aristagora, Dionysio, Arternidoro, Bnlorida, Antistiiene, Demetrio, Demoteie, Lyon. LIBRO XXXVII sans cos*rtnsm*ua. Drign gemmarum. I De Polycratis tyranni gemme. tt De Pyrrhi gemme. tu Qui scalptores optimi. Nobilitates sealpturœ. tv Que prima Romœ dactytiotiieca. v Gemmœ in Pompeíi M. triumpho translatœ. vl Qnando primum invecta mnrrhina. Lnxnria cir-C8 tl. VII iîatnra mm rhinorum. vm Ratnn crystaiii : mediciuœ ex ea. tx bnxnria in crystalio. x De snocino : qtœ de eo mendaeia. xt 78 Du succin ; mensonges debités sur cette substance. xt Six espèces de succin ; remèdes fournis par cette substance. xu Lyngurium ; remèdes, u. nu Des pierres précieuses rangées par ordre des eouieurs principales. xiv Diau1ant ; espèces, vi ; remèdes, u. xv Des émeraudes.. xvi Variétés des émeraudes. xvu Défauts des émeraudes. xvm Tanos. Chaicosmaragdos. xix Des béryies ; vm espèces ; défauts. xx Des opaies ; espèces, vu. xxx Défauts des opaies, et manière de ies éprouver. xxu De la sardotne ; espèces et défauts. xxm De i’onyx et de ses espèces. xxiv Des escarboucles ; espèces, xu. xxv Défauts des escarboucles, et manière de ies éprouver. xxvi Anthracite. xxvn Sandrastos ou sandarèse. xxvm Lychnis ; rv espèces. xxix Pierre carthaginoise. xxx Sarde ; v espèces. xxxi Topaze ; u espèces. xxxn Callals. xxxm Prase ; ux espèces. xxxiv Nilion. xxxv Malachite. xxxvi Jaspe ; xiv espèces ; défauts. xxxvu Cyanos ; espèces. xxxvm Genere succiuorum, vt. Medicina ; ex his. l xu Lyngurium : medlclnœ tt. XIII De gemmls per généra colorum princlpalium. xtv Genere adainantts, vt : medicinae tt. xv De stnaragdis. xv : Gûllêffl OONIIII. XVII Villa eorum. nm Tanos. Chaicosmaragdos. xix De lieryliis : généra comm, vm. Villa eorum. xx De opaiis : geltera eorltm, vu. xxl Villa et experlmenia eorum. xxu De sardonyche : généra ejus : viiia ejus. xxm De onycite : généra ejus. xxw De carbunculis : geuera eorum, xu. xxv Vitia eorum, et experiments. xxvt Anthracitls. xxvu Sandraslos, sive sandaresus. xxvm Lychnis : généra ejus, tv. xxtx Carchedonius. xxx Sarda : généra ejus, v. xxx ; De topazlo : généra ejus, tr. xxxu De Oflliillttfl. xx||| De prasio : généra ejus, ut. xxxiv NÎIÎOII. ° xxxy Molochites. un ; DG ÎNPÎCÎG 2 Sfileffl 010$. xtv. Vitia eorum. xxxm De cyano : geuera ejus. IXXVIII

76 Saphir. Améthyste ; v espèces. Hyacinthe. Chrysoiilhe ; vu espèces. Chryseiectrum. e Lcucochrysos ; IV espèces. Meiichryse. Xanthe. Pœderos, ou sagenon, ou ténile. Astérie. Astrios. Astroîte. Astroboie. Céraunie ; IV espèces. Bétyles. Iris ; deux espèces. Lepor. Des pierreries, par ordre alphabétique. Agate. Acopos, remèdes qu’on en tire. Aiabastrite, remèdes qu’on en tire. Aiectorie. Androdamas. Argyrodamas. Antipathe. Arablque. Aromathe. Asbèste. Aspisatis. Atizone. Augitis. Aphidane ou chrysocoiie. Aphrodisiaque. Apsyctos. flägyptifia. Baianite. Batrachite. Bapte. (lîii de Beius. Beius. Baroptène ou baripe. Botryite. Bostrychite. Bucardie. Bronte. Boioê. Cadmitis. Cailaîs. Capnitls. Cappadocle. Callaîque. Catochltis. Cutoptritis. Gépitîs ou cépolatîtis. Céramitis. Cinédie. Ceritis. Cireos. Corsoide. Corailoagate. Corallis. Sapphlros. Amelhyslus = généra ejus, v. Hyacinlllus. Chrysolillius : généra ejus, vu. De chryseleclro. Leucoclirysos : généra ejus, iv. Meliclirysi : xanlhi. Paederos, sive sagenon, sive Ieniles. Asleria. Aslrios. Aslroiles. Aslrohoion. Ceraunia : générs ejus, iv. Betull. Iris : généra ejus, u. Lepor. De gemmis lillerarum ordine. Aeiiates. Acopos : medicinœ ex es. Alabaslrites = medicinœ ex ea. Alectorîœ. Androdamas. Argyrodamas. Anlipalhes. Arahica. Aromalites. Asbestos. Aspisalis. Atizone. Augilis. Aphidane, sive chirysocolla. Aphrodisiaca. Apsyctos. Egyp. li a. Baiauitœ. Balraèhites. Baples. Bali oculus. Beius. Baroplenus, sive baripe. Bolryiles. Bostrychiles. Bucardia. Bronte. Boioe. Cadmllîs. Cailais. Capnilis. Cappadocia. Callaica. Catochitis. Catoplrilis. Cepilis, sive cepoiatitis. Ceramitis. Cinandiœ. Cerills. Cir-PLIN E. XXXIX XL XLI XLII XLIII XLIV X LV XLVI XLVII XLVI ll XLIX L LI LU LIII Q LIV LV xxx !X XL XL ! XL ! ! X L ! ! ! X L !Y XL XLV ! XLV !l X’LV !ll XLIX L Ll Lll LI ! ! L ! Y LY Crateritis. Crocailis. Cgtis. Chaleuphone. Chéiidoine. Chéionie. Chéionitis. Chioritis. Choaspitis. Chrysoiampis. Chrysopis. Cépionide. Daphnie ; Diadoque. Diphye. Dionysias. Dracontite. Encardie ou ariste. Enorchis. Exébène. Èrystaiis. Érotyios, ou amphieomo, ou hiéromnémon. Eumèce. Eumithre. Eupétaie. Eunée. Eurotias. Eusèbe. Epiméias. Galaxias. Gaiactite, ou ieueogée, ou ieueographias, ou synophitis. Gaiiaïque. Gassidienne. Giossopètre. Gorgonic. Goniée. Heiiotrope. Hephestltis. Hermuœdœon. Hexecontaiithos. Hieracilis. Hammitis. Come d’Ammon. Hormision. Hyénie. Hématite. Dactyic de l’lda. lcterias. Pierre de Jupiter ou drosoilthe. ludique. lon. Lepidotis. Lesbias. Leueophthaimos. Leueopœciie. Llbanochrus. Llmoniatis. Lipare. Lysimaque. Leueochryse. Mnêmonie. Médée. Méconltes. Mlthrax. Morochtis. Morion, ou Pramnium ou Aiexaudrine. Myrrhites. Myrmecias. Myrsinites. Mesoieucos. Mesomelas. Nasamonitls. Nebritis. Nympharène. Oique. Ombrie ou notie. Onocardie. cos. Corsoîdes. Goralloachales. Corallis. Cralerilis. Crocallis. Cylis. Chalcophonos. Chelidoniœ. Clœlonia. Clielonilis. Chloritis. Clioaspilis. Chrysolampis. Clirysopis. Cepionides. Daphnla. Diadochos. Diphyes. Dlonyslas. Draèonlites. Encan-dia, sive arisle. Enorchis. Exebenus. Erystaiis. Erolylos, sive amphioome, sive laieromnemon. Eumeces. Eumilhres. Eupetalos. Euneus. Eurolias. Eusebes. Epimeias. Gaiaxias. Galactîtes, sive leucogœus, sive leucographlas, sive sy nophilis. Galiaica. Gassidiana. Giossopetra. Gorgonia. Gonissa. Heliotropion. Hapiiœslllis. Hermuœdœon. Hexecontalilhos. I-lieracilis. Hammilis. Hammonis eornu. Hormislon. Hyœniœ. Hœmalites. ldœi dactyii. léteiias. Jovis gemme vel drosolilhos. lndlca. lon. Lepidolis. Lesbian. Leucophlhaimos. Leucopmciios. Libanochrus. Limonialis. Lipare. Lys !machos. Leucoehrysos. Memnonia. Medes. Meconlles. Mithrax. Moroehüs. Morton, sive Prsmnium, sive Aiexandrinum. Myrrhites. Myrmecias. Myrsiuiles. Mesoleuoos. Mesomelas. Nssamonitis. Nebrîtis. Nymplnarena. Olca. Omhría, (sire notia. Onocardia. Orilis, l.I LVII LVIII. LII LX LX I LXII LXl !l LXIV LV ! LVII LY ! ! ! LI ! LX L ! ! LX ! ! LX ! ! ! LI !V Oritis on slderltls. Ostraclas ou ostracitis. Ostrltes. Opbleardelos. Obsidienne. Pancbrus. Psngonlns. Paneros ou paederastos. Pontlques, IV espèces. Phloglne on Cbrysltis. Phœnicltis. Phycitis. Périleueos. Pœanltlde ou gzanide. Gemma du soleil. Sagde. Samolbratienne. Saurltis. Sarcltls. Selenltls. Siderítis. Slderopœclle. Spongltls. Synodontltis. Syrtltls. Syringltls. Trichrus. Tellrrblzos. Tellcardle ou muchul. Thraclennes, IV espèces. Tephritis. Tecolltbos. Cheveux de Vénus. Vélentane. Zanthùne. Zmllampls. Zoranlscée. Pierres gemmes dont le nom est emprunte å une partle du corps :Hépatilis, stéatites, adadunepbros, adaduophthalmos, adadudactylos (rein, œil, doigt, d’Adad), trlophlbalmos. Pierres gemmes qui sont déllommées d’après eertslns animaux : Carcina, éebltis, scorpltls, scarltls, trlglltis, égopbthalmos, byoophlhalmos (œil de chèvre, œil decochon), geranltis, aélills, myrmeeltis, cantharias, Iyeopbthalmos, taos, chélidoine. Pierres gemmes qui tirent leur nom d’autres objets : Ammocbrysos, censive sidérites. Ostracias, sive ostracitís. Ostrites. Ophlcardelos- Obsidîana. Psnellrus. Pangoníus. Paneros, slvc pœderaslos. Ponticarum généra lv. Plllogiuos, slve ehrïsilis. Pllœulcîlls. Pllycîiis. Perîlencos. Paeanitides, sire gœanides. Solis gamma. Sagda. SamollIracia. Saurills. Sarcilis. Sclcnílis. Slderîlis. Sideropœcílus. Spongílis. Synodonlllís. Syrlilîs. Syringîlls. Tñchms. Telirrhízos. Telicardios, slve murhul. TlIracia : généra tu. Tephritls. Tecolitbos. Veneris erines. Velenlana. Zanlhenc. Zmllampis. Zoranlscœa. De gemmis, qnœ a mcmbris corporis haben ! nnmîna. Hepatitis, slealalls, adadunephros. adaduûlllllbalmos, adadudaclylos, lrioplllhalmos. De gemmis qua ! ab animalibus haben ! nomina. Carcina, echltîs, scorpílîs, scarllis, ifigfllís, œgopll lhamos, hyoopb thalmos, geranilis, aetllis, myrmecllis, canlharias, Iycoplutilalmoa, lans, cluelldonia. Qure a cœleris rebus. Ammocllrysos, cenchrilis, dryills, cissilis, narcissilis, cyamea, pyren, chalazías, pyrills, polyzonos, aslrapias, LIVRE I. 11 LXV LXVI LXVII I-XVIII LXIX Lxx LXXÎ LXXII LXY l.XVl LXVII IÃVIII |-XIX LXX LXXI LXXII cbrltls, dryltls, clssltis, narclssltis, cyamée, pyren, chalazlas, Pyfltisr polyzoner astraphfi phlogltls, anthracllis, enhydros, polytriches, léontlos, pardallos m elle brus, mellebloros, croclas, pollas, spartopollas, rbodltls, melltls, chalcitls, syeltls, borsycltls, gemltls, anancbltls, synochltls, 1 ÖBDÖPÎÎÎS, CIC. Lx ; 1" Pierres préclellses récemment découvertes et encore sans nom züocblldes. LX XI v De la forme des pierres précieuses. Lxxv Moyens de les éprouver. Lxxvg Comparaison des choses naturelles par contrées ; éloge de l’ltalle et de l’Espngflfl-Lxxvr Résumé : Falts, histoires et observations, 1300. Auteurs : M. Varron, les Actesdes triomphes, Mécène, lacchus, Cornéllus Bocchus. Auteurs étrangers : Le roi Juba, Xénocrate fils de Zénon, Sudine, Eschyle, Phlloxène, Eurlplde, Nlcandre, Satyrus, Tbéophraste, Charès, Phllemon, Démostrate, Zenothèmís, Métrodore, Sotacus, Pllhéas, Tlmée de Sicile, Nlclas, Thèoebreste, Asaruba, Mnaséas, Théomène, Ctéslas, Mltbrldate, Sopluocle, le roi Archélaûs, Callislrate, Démocrlle, Isménlas, Olympleus, Alexandre Polyhistor, Apion, Horus, Zoroastre, Zachalias. plllogills, antlIracilis, enhydros, polylricllos, leoulios, pardalios, melichrus, l’Il8|Î(’11101’08, crocias, pollas, sparlopollas, rhodîlis, melilis, chalcîlis, sycills, borsycilis, gemilis, auancllllis, sy nocllills, dendrltis, etc. Lxxm De gemmls repenle novis, ac sine nominíbus : coclllilles. LXXIV De figuria gemmarum. un Raiîo probandarum. LXXVI Comparaiîo naiurœ per tems. Lans llalíœ ei filspanlar. LXXVII Summa : Res, et hisloriœ, et observation es, lccc. Ex auctorillusz M. Varrone, Aclis triumphorum, Mœoenale, laeollo, Coruel|o Boccho. Exlernis : J uba rege, Xenocrale Zenonis, Sudino, Aeîschylo, Plllloxeno, Eurlpíde, Nîcandro, Satyro, Tlleophraslo, Claarele, Philemone, Demoslralo, Zenotluemi, Melrodoro, Sotaco, Pylluea, Timœo Slculo, Nick, Theochreslo, Asaruba, Mnasea, Tllcomene, Clesia, Mllllrldale, Sophocle, Archelao rege, Callistralo, Demoorito, Ismenia, Olympico, Alexandre Polyhisiore, Apione, Horn, Zoroaslre, Zaclualia.


INDEX ALPHABÉTIQUE

DES AUTEURS NOMMÉS PAR PLINE, SOIT DANS LA LISTE ANNEXÉE AU PREMIER LIVRE, SOIT DANS LE RESTE DE L'OUVRAGE.

(J'ai noté avec soin les endroits où Pline cite ces différents auteurs dans le corps de son Histoire, et mis entre parenthèses les chiffres qui indiquent ces citations.)

A.

Accius, ou Attius (Lucius); fleurit vers l'an de Rome 615, 130 avant J. C. Aulu-Gelle, XX, 2, cite de lui un ouvrage intitulé Pragmatica; c'est le même ouvrage que celui qui est nommé par Pline Praxidicum (XVIII,55). Il avait composé aussi des Annales en vers. Enfin, il était auteur de tragédies.

Accius Plautus. Voy. Plaute.

Acopas. Voy. Agriopas.

Acron, d'Agrigente, médecin; fut le contemporain d'Empédocle. Suidas, au mot Acron, dit qu'il avait écrit en dialecte dorien sur la médecine, et entre autres un livre Sur le régime des gens bien portants (XXIX, 4.)

Acta populi romani, Actes du peuple romain (VIII, 61); Acta temporum Augusti, Actes des temps d'Auguste (VII, 11 ). C'est la même chose sous deux dénominations différentes. On les trouve cités aussi sous le nom de Diurna populi romani, Journal du peuple romain (Tacite, Ann., XVI, 22). C'était, en effet, un véritable journal qui paraissait tous les jours, et qui contenait les nouvelles de la ville. Voy. sur ce sujet l'ouvrage intéressant de M. Leclerc, intitulé Des journaux chez les Romains, Paris, 1838. (II, 57; VII, 11, n° 2; 54, n° 7; X, 2, n°3.)

Acta triumphorum, Actes des triomphes. C'étaient les procès-verbaux de ces cérémonies ; par exemple, les actes des triomphes de Pompée. (XXVII, 6.)

Aculeo. Voy. Eculeo.

Adimantus de Lampsaque; cité par Strabon, XIII, p. 589.

Æglosthènes. Voy. Aglosthènes.

Ælius Gallus, préfet d'Égvpte, ami de Strabon, qui parle longuement de son expédition d'Arabie, liv. II, p. 118; XVI, p. 780, et XVII, p. 815. (VI, 32, n° 17.)

Ælius (Lucius). Il avait deux surnoms : Præconinus, parce que son père avait été crieur public, et Stilo, ou Stylo, parce qu'il avait l'habitude d'écrire des discours pour les personnages les plus nobles ( Suétone, lib. De illust gram., 3). C'était un grammairien. Aulu Gelle (XVI, 8) le nomme savant, et maitre de Varron. Cicéron, étant jeune, suivit ses leçons. (IX, 59; XXXVII, 4.)

Ælius (Sextus), jurisconsulte. Il écrivit Commentarii juris civilis, cités par Cicéron (de Orat. 1). Un vers d'Ennius a sa louange a été conservé : Egregie cordalus homo Catus.Eliu Sextus. AElius portait le surnom de Catus. ll fut consul avec T. Quintius Flaminius, l'an de Rome 556, avant J. C. 198. ( IX, 59. )

Æmilius Macer, de Vérone, poëte. La Chronique d'Eusèbe place la mort de Macer Ol. 191, l'an 16 de l'ère chré tienne. Ce poéte eut de la réputation ; il fut ami de Virgile. Voy.Servius, ad Virg.ecl.V.Ovide le cite ences vers, Trist. IV, eleg. X, 43: Saepesuas volucres legit, mihi grandior (Pº0, Qu(ºque necet serpens, quae juvet herba, Macer. Le livre de Macer sur les oiseaux était intitulé Ornithogo nia , il est cité par Diomède, I, p.371. Ce poëte avait aussi composé un ouvrage intitulé Theriaca; un ouvrage Sur les herbes; un ouvrage Sur les Abeilles ; des Iliaca, que cite ovide, E Ponto IV, eleg. XVI, 6; des Annales, dont le XVIe livre est cité par Priscianus, x, p. 695. Quant au livre in titulé De virtutibus herbarum, et portant le nom d'.Emi lius Macer, il n'appartient ancunement au poëte dont il s'a- git ici; car on y trouve cités Pline, Galien, Oribase, et des auteurs encore beaucoup plus récents.

AEschines, médecin, dans l'index du livre XXVIII ; est dit Athénien dans le même livre. (xxvIII, 10.)

AEschiron;est dit dans l'index du livre VIIIavoir écrit sur l'agriculture. Varron et Columelle, dans le premier chap. de leurs ouvrages, le placent parmi les écrivains les plus estimés sur cet objet. AEschylus. Voy. Eschyle. AEsopus. Voy. Ésope.

Agatharchide, de Cnide; florissait vers l'an 176 avant Jésus-Christ. Il avait écrit une Histoire de l'Asie en dix livres ; un ouvrage Sur les choses de l'Europe, en qua rante-neuf livres; Sur les vents singuliers; Sur les Troglo dytes, en cinq livres ; Sur la mer Rouge, en un livre ; et d'autres ouvrages énumérés par Photius dans sa Bibliothè que. Il ne ſaut pas le confondre avec un autre Agatharchide qui est de Samos. ( VII, 2, n° 5 et n° 22.)

Agathocle, de Babylone, d'une époque incertaine. Il avait fait l'Histoire des Cyzicéniens; c'est pour cette raison qu'il est nommé Cyzicénien par Athénée, XII, p. 515.

Agathocle, de Chios, avait écrit sur l'agriculture ; Varron et Columelle le mentionnent honorablement. Le Scholiaste de Nicandre in Thériac., p. 29, cite un Agathocle in libro de Diacta. Un autre Agathocle, de Milet, avait écrit sur les fleuves. Voy. Plutarque, de Fluminibus.(XX1I,44)

Aglosthènes, à y)oa9évr; pour à ſ)zoa0évr;, contrac tion employée par Pollux, IX, 6; dans les éditions de Pline avant Hardouin, on lisait AEglosthènes et AEdosthènes. Cet auteur, d'une époque inconnue, avait écrit l'Histoire de Naxe citée par Hygin, Astron. poe. II, $$ de l'ours et de l'aigle. ( IV, 22. )

Agriopas, nommé dans les mss. vus par Hardouin, et dans les anciennes éditions, tantôt Acopas, tantôt Copas. Gelenius, sur la foi deses mss., y a substitué Agriopas, leçon adoptée depuis. Cet auteur avait composé un livre LIVRE I. ~ 79

Ialé Dlyuuioniques, c’est-A-dlrs les Valnqueurs des jeux 0|’ !11*b5’I'¢S- (WU, 3% 0° 3-)

Agrippa, prénom Marcus, nom Vlpsauins, aml el grudre de l’empel-eur Auguste. Il est auteur de Mémoires (de Vita sua), etil avait fait exposer une carte de la terre. ¢lu, s, u°’ a. l3etl4 ; ltl,5 in fine ; lll, 14 ; tll,15 ; lll, 29 ; IV, IS ; IV, 20 ; IV, 24 ; lV, 25 ; lV,2o, n°’3 et 4 ; IV, w’3I›’ 35’ U. v’ 6"2’ 28’ vi’ l’n° ’S' no vl’ 'ED’ U. 2i’n° no 33’ “° 35’ no aa 1- 2 er s ; VII, s ; xxxv, s ; xxxvt, 24, u° 17.) agríppiue, [Ille de Germaníctts et d’Agrippine, fille d’Agrippe, arrière-petite-lille d’AngusIe, femme de Cn. Douitius Abeuobarbns, de Passieuus et eufin de l’empereur Claude, mère de Néron. Elle avait laissé des Mémolres (deI›’ilan|a).(VII, e.)-Aluée,

poote lyrique, de Mityleue, dans l’lle de Lesbos. Il a donné son nom au vers alcaique. Il florissait vers l’an son avant Jésus-Christ. (XXII, 43.)

Alexandre le Grand, roi de Macédolne. On clle de lul deslïphémérldes et des Lettres. (VI, 17, n’ 3 ; 18, n° 4 ; IQ, n’ 2 ; 2t, n°8 ; VII, 30.)

Alexandre Polyhistor. Voy. Cornelius Alexander. Alllus Flavins, disciple de Gestius, contemporain île I. Séueque. tl llorlssaitdn temps de Tibère, comme on le mit par Séneque, Conlrov. tt. Festus, an mot Mamertini, ledit auteur d’une Histoire de la guerre puuique. (IX, 8, 1° 1.)

Amometns avait publié un llvre Sur les Attacores, peuple de l’tude, d’après Pline, Vt, 20. Antigone de Carysle, Hirtor. rntrabll., cap. 166, rapporte que de Memphis il avait navigue jusqu’à la source d’lsis. tl est encore clté par Bliss, Dc Animal., XVtl, 6, et par Sotion, Exlrait sur les flenves et les fontaines, p. too. (Vt, 20, n° 3.) Arnphiloque, d’Athènes, clté par Varron et Columelle parmi les meilleurs écrivains sur agriculture. llllue le dlt auteur d’un livre sur la luzerne et le cylise. (XVIII, -la.) Anacréon, de Teos, poêle lyrique, florissait vers la 62’ olymplnde, 530 ans avant Jésus-Chrlsl. Le Schollasle de Nicandre, tn Tlur. p. 28, cite d’Anacréon un livre lntitulé De la Botanique, Ilrpl ’Pt(oroμ.n¢ñ¢. (VII, 5, u° 3 ; 47, n’ I.)

Anaxagore, de Cl-azomène, maître de Périclès, d’Eiu’lpide, deSocr-ate, avaitéerlt des livres sur la nature, qui saut perdus. (Il, 59.) *

Anaxitans. Saint Jérome, dans la Chronique, p. 154, dit de lol : ¢ Anaxilaüs, de l.arisse, pythagoricien et nage, est exilé par Auguste de Rome et de l’lIalie. =› Il son aussi rneaeeiu. (XIX, 4 ; xxv, 95 ; XXVIII, 49 ; XXX, 22 ; XXXII, 52 ; XXXV, su.)

Anaxlmaudre, de Mllet, qu’on dit disciple de Thales. Apollndore dans ses Ghronlques, suivant Dlogene Laêrt., Vie d’Anaxlmandre, disait que ce philosophe érait mort dans la cinquante-huitième olympiade (av. J.-C. 568). D’apresStrabon, I, p. 7, Anaximaudre avait le premier représente sur une carte leglobe terrestre. (11, o ; II, 78 ; II, 8l ;IV,20 ; XVIII, 57, n° 5.)

Aaaximene, de Lampsaque, eut pour maître Diogeue le Gyaique. Il avait composé une histoire d’Alexandre, qu’il annompagnadans ses expéditions. (Xtl, Index.) Anaximeue, de Milet, dlsciple d’Anaxlmandre, avait composé un livre de physique, denl les auteurs anciens ont eitédiverses propositions. On prétend que le premier ll montra dans la ville de Lacédémoue un cadrau solaire. Dioeeue Laêrte cite deux lettres à Pythagore qui sont attribuées à Anaximèue, mais qui sont fausses. (ll, 7s.) Anaxipolis, de Thasos, cité parVarrou et Columelle parmi les écrivains sur l’agriculture.

Andreas, cité par Celse dans le préambule du livre V ; par Dioscorlde dans sa préface ; par Galien dans le Glossaire des mots hippocratiques, au mot ’Ivör× :í, où il est I

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appelé Andreas, fils de Chrysar ; par le Schollasle de Nicandre, in Thor., p. 32, qui cite un livre de lui inlllulé Nápflm (la bolte) ; et par Alhénée, VIII, p. 3l2, qui cite de lui nu llvre Sur les morsures venimeuses, et un autre Sur les choses qu’on à tort de croire ; il ne faut sans donle pas le confondre avec le médecin Andron cité par Cclse, V, 20, å. (XX, 76 ; XXII, 69 ;XXXll,27.) `

Androcyde, philosophe contemporain d’Alexandre lc Grand. (XIV, 7 ; XVII, 37, n° 18.)

Androtiou, cllé parmi les auteurs sur l’agriculture par Théophrastc, Hist. plan t., tl, 8 ; par Alhéuée, III, p. 75 ; par Varron et Colnmelle. Alhénée, lll, p.75 et 82, nientiouue les Géorgiques d’Androtion, ouvrage lntllulé De agriculture, par Pline (Vttt, index). Pausanias, Vl, 7, et Ilarpocration, art. itμçînohç, disentqn’il avait écrit nu ouvrage sur l’Altlque.

Annales pontificum, Annales des pontifes ; Annales maarimt, Grandes Annales, expressions synonymes. Voici ce que dit M. Leclerc dans le résumé de son travail sur ces Annales :.¢ Les Annales des pontifes étaient des espèces de tables chronologiques tracées d’abord sur des planches de bols pelnlesen blanc. etoù le grand ponlife, peut-être dvpuis le premier siècle de Rome, mais au moins depuis l’an 350 jnsqn’a l’an 6’z3, on peu de temps après, indiquait, année par année, d’un slyle bref et simple, les événements publics les plus mémorables. Ces tables, solt qu’on les eut laissées sur bois, solt qu’on les ent transportées sur pierre ou sur bronze, ne périrent pas toutes dans l’invasion des Gaulois ; el, conservées avec le soin que Rome donna toujours aux anciens monuments écrits, elles furent consultées par Calon, llolybe, Varron, Cicéron, Verrins Flaccus, et par d’autres écrivains, que Denys d’Halicarnasse, Tite-Live, Quintilien, le premier Pline, Aulu-Gelle, Voplscns, ont eus entre les malus. Il est probable même, d’après Aulu-Celle et Servius, qu’elles furent recueillies en corps d’ouvrage, quoiqu’il ne fallle pas les confondre avec beaucoup d’autres recueils qui poêlaient le nom des pontifes. » (Des Journaux chez les Romains, p. 170.) (ll, 54 ;VII, 3, n° 3 ;VII, to, u°2 ;VIII, 54, n’ 5 ; et, n° 3 ;69, n°3 ;78, n° 2 ;82, n° 3 ; X. 17 ; x, zs ; xxx, 2s, u° s ; XXVIII, 4 ; XXXIII, s ; xxxlv. Il.)

Annius Fétlalls parait avoir composé une Histoire ou des Annales de Rome. (XXXIV, 13.)

Antec, médecin, clté dans les Index des livres XII et XIII, et XXVIII, 2.

Aullas. Voy. Valérius Autias.

Antlclldes avait écrit un livre IIzpi Nócrwv, c’est-à-dire sur le retour soit des Grecs de l’expédltlou de Troie, solt des Argonautes de l’expédition de la Colchide. Cet ouvrage, cité par Athénée, XI, p. 465, et par Eusèbe, Prœp., IV, p. 157, avait au molns selze livres. Il avait aussi couv posé une Hislolre de Délos, suivant le Scholiasle d’Apollonius, I, au v. 1207. Son époque est incertaine. Il est cilé par Plutarque, Vie d’Alexandre, parmi les hlsloriens de ce prince. (tV,22 ;VII, 57, n° 3.)

Anligene, historien d’Alexandre, cité par Plutarque dans la vie de ce prince.

Antigone de Caryste, vécut du temps de Ptolémée fils de Lagus, et de son successeur Ptolémée Philadelphe. Il avait écrit la vle d’hommes célèbres, par exemple de Timon, de Pyrrhou, de Polémon, d’Antipater, de Nléuédeme, etc., des mémoires sur les animaux. un recuelld’hís› toires merveilleuses, et d’autres ouvrages. Antigone, de Cymes en Éolirle, cilé par Varron et Columelle parmi les écrivains sur l’agriculture. Antlgone avait écrit sur la toreutique ou art de graver, sur ln peinture el sur les tableaux des peintres. llardonin pense que cet Antigone est le même qu’Anligoue de Caryste. L’auteur de l’Index des écrivains, dans lédition de Lemaire, pense qu’il faut distinguer l’Anti¿ ; oue qui avait , O runs.

écrit sur la toreutique, de cetui qui avait écrit sur la peiuture et tes tabteaux. (XXXtV, 19, u° 34 ; XXXV, 36, u° 8.) Autincllus Manilins, te premier écrivaiu tatiu sur t’astrouomtc. Brotier dil qu’it fut te père de ttt. Manitius, dont uous avous un poëme sur cette scieuce, dédié ù Auguste. (XXXV, 58.)

Autipater (Lucius Cœtius), maître de d’orateur Lncius Crassns, dit Cicérou dans son Brutus, p. 545. tt florissait vers l’au de Rome 624, avaut Jésus-Christ 128. lt avait composé une Histohe de la guerre puuique, adressée ll L../Elius Stilou, maître de Varrou. M. Brntus faisait un tel cas de cette histoire, qu’it eu avait rédigé un abrégé, il ce queditCicérou, Xllt, Epist. 8ad Attic. (tlt, 23 ; XXXI, 18.)

Autipater, auteur d’un livre Sur tes animaux, cité par le Scholiasle d’Apoltouius, tt, v. 89 ; ué la Rhodes, maître de Pauœtius, dout Cicérou parle si souvent ; il était contemporain de Tibérius Gracchus. (tt, 67 ; Vllt, 5, u° 8.) Antipater, de Sidou, poële et philosophe stnicien, maître de Catou d’Utique ; il avait composé un livre Sur les devoirs. (Vtt, 52.)

Autistheue, auteur d’un livre Sur les pyramides d’Ègypte ; époque ignorée. (XXXVI, 17.)

Autistins Labéou, auteur de nombreux ouvrages, suivaut Aulu-Gelle, XI lt, to. Ou cite de lui des Commeutaires sur le droit pontifical (Festus), un livre Sur les disciplines étrusques (Fulgeuce, De prisco sermone, u° 4). Ce fut un jurisconsulte célèbre. tl se fit remarquer dans te séuat par sa liberté il combattre les avis de l’empereur Augusto. (x, 17.)

Autoine (Marc-), triumvir, avait composé un livre, ou il faisait l’apologie de son goûtpour le viu. (XtV, 28, u° 7.) Antonius Castor. Pliue dit avoir visité son jardiu, et avoir profité de ses connaissances botaniques ; mais quel est cet Autouius Castor ? tl y eut un persouuage de ce uom qui était de Rhodes, dit aussi par quelques-nus Galate, parce qu’it vécut dans la Galatie. Il avait écrit sur Babylone, sur le Nil, sur l’ignorante de la chronologie, sur ceux qui avaient en l’empire de la mer, et d’autres ouvrages. Le roi Déjotsre en avait fait son geudre ; mais ce prince leñt mettreà mort avec sa femme. Ce fail, rapporté par Strabou, empéche que cet Autouius Castor ne soit le vieillard dout le jardiu botanique fut visité par Pliue. L’auteur de l’iudex des écrivais, dans l’édition de Lemaire, conjecture que l’Autonius Castor de Pline était le fils de celui que Déjotare lil mettre lt mort, et que c’est la lui qu’apparlieut le suruom de Philoromœns, attribué il l’autre paråuidas. (XX, 66,89, 98 ; XXIII, 83 ;XXV, 5 ; XXVI, ss.)

Autouins Musa, archiatre de l’empereur Auguste. Deux fois il guérit ce prince d’atTections graves ; el c’est pour la première cure que les Romains lili élevèrent par souscripliou une statue auprès de celled’Esculape, Suétoue, Vie d’Anguste, 59. tl ya sous son uom un livre intitulé De herba belonica, qui n’est pas de fut. (XXV, 38 ; XXIX, 5, 39 ; XXX, 39.)

Apelle, de Cos, nu des plus célèbres pelutres de l’antiquité, avait écrlt sur la peinture. Contemporain d’Alexandre, qui ne voulut être peint que par lui. (Vlf, 38 ; xxxv, ss, n° 17, n° lc.)

Apelle, de Tnasos, médecin, cité par Galien, De antãd., If, 8, et De medlc. sec. gen., V, 14. (XXVlll, 30 ; XXXll, te.)

Aptcíuà Cœlius, gastronome célèbre du temps de Tibère, s’empoisonna parce qu’it ne lui restait plus de sa fortune que dix millions de sesterces. On a sous son nom un livre intitulé De re cullnaria, de l’art de la cuisine. (Vlil, 77, n° 5 ; IX, 30 ;X, 68 ;XIX, lil, n° 2.) Apion, natif d’Oasis, ville d’Égypte, surnommé Plistontcus, lt cause des nombreux triomphes qu’it avait remportés ; gramulairieu. Tibère rappelait la Cymbaledu monde, comme ou te voit dans ta préface du Pliue. Apiou avatt écrit un tivrc contre tea Juifs (nous avons la réfutation qu’eu fit Josephe), une Histoire d’Égypte en cinq livres, un tivre Sur le luxe d’Apleiua, Athén., Vtt, p. 294 ; un tivre Sur tes médicaments métalliques, un livre Sur ta lugue romaine, Atbéu., XV, p. 680 ; un livre Sur les pyramides. (XXX, 6, 30 ; XXXt, 18 ; XJLXJI, 9 ;XXXV, 36, n° 26 ; xxxvt, tv ; xxxvtt, 19.)

Apottodore, d’Arlemite en Mésopotamie :Histoire des Parthes, Strabou passim ; Traité des ttes et des villes, Tzetzes, chiliad. 8, hist. 100 ; Catalogue des vaisseaux, Athéu., lll, p. 82 ; Histoire du Pont, Scholiasle d’Apollouius, lt, v. 159.

Apottodore de Citium, médecin. Il est probable qu’il y a ici une confusion de noms, tresfacile, du reste, à commettre, et qu’it faut lire Apottouius. Apollonius de Citium est, eu effet, un médeciu discipte de Zopyrc, lequel Zopyrc pratiquait la chirurgie à Alexaudrie : il avait beaucoup écrit ; il ne uous reste de lui qu’un Commentairesur le traité Des articulations d’Hippocratc. (XX, 13, 34 ; XX.lt, 8, 15, 29 ;XXlV, 102 ; XXVltt, 2.)

Apottodore, grammairien célèbre, ll qui les amphictyons accordèrent des honneurs publics. (Vlf, 37.) Apottodore, de Lcmnos, a écrit sur l’agriculture ; cilé par Varrou, l, t :

Apottodore, auteur d’un livre Sur les animaux venimaux, cité, outre Pline, parAthéuée, XV, p. 681 ; A-Zlien, Hist. animal., VIII, 7, el le Scholiasle de Nicandrve, ln Theriac., p. 33 et 39. (Xt, 30.)

Apottodore, auteur d’un livre Sur les odeurs, citédans l’iudex du livre XLL, et par Athéuée, XV, p. 675, nous le titre : Des parfums et des couronnes. (XXt, 69.) Apollodore, de Tareute, auteur d’un livre où il prescrivait au roi Ptolémée les vius doulce prince devait user. Ou ne sait si cet Apottodore et les deux précédents sont des personnages différents. (XlV, 9 ; XX, 13.) Apollonides, époque incertaine, auteur d’un périple de l’l-Iurope, cité par le Scholiasle d’Apollonius, lV, v. 983, et par Strabou, ll, p. 309. (VII, 2, n° 8.) Apottouins Mys, c’esl-à-dire le rat, médecin appartenait à la secte hérophilieuue, auteur d’un livre intitulé Des médicaments qu’on se procure facilement, Ilcpl ulmpítrrtov çapμáwv. Plusieurs des auteurs qui ont écrit ill l’histoire de la médeciue regardent Apoltouius My : comme le même qu’Apollonius (ou Apollodore) de Citiutn. (xxxvtt, xt.)

Apollonius, de Pergame, mis an rang des écrivains sur l’agriculture par varron et Solumelle, 1, l. Apottouins, de Pitaue. On ne sait si c’est le même que l’Apollouius dout le Scholiasle d’Apollonius, I, V. 430, cite les Mémoires. (XXtX, 38.)

Apollophane, médeciu d’Anlioclnls le Grand. (XXtt, 29.) Aquila, Julius, auteur d’un traité Sur ta discipline étrusque. (Xl, Index.)

Aralus, de Soles en Cilicie, suivant la plupart ; de Tarte, suivant d’autres ; né vers l’an 284 avant Jésus-Christ ; auteur d’un poëme astronomique intitulé Les phénoméues ; ce livre est venu jusqu’à nous. Il avait composé plusieurs autres ouvrages qui ont péri. Arcbélaüs, roi de la Cappadoce, auteur «Pnn livre Sur les pierres, que Plutarque a cité De flumin., p. t 153. (XVIII, I ; XXXVll, tl, 25.)

Arcbélaüs. Il y a un Arcllélaüs d’Égyple, auteur d’épigrammes au roi Ptolémée sur la nature merveilteusedea ani› maux, d’après Antigone de Caryste, Hlstor. mirab., p.13. Le Schol. de Nicandre, ln Tller. p. 88, cite, de son côté, un Archélaüsauteur d’un livre intitulé Desanimaux qui sont de deux natures, ’Ev raï ; Aupuím ; mais ce livre appartientå Archélaüs de la Chersonuese, qu’Athénéc, IX, p. 409, citctv uvns 1. si

rot ; `Iào1›oé¢n ; car c’est ainsi qu’tl tant tlre. L’Archélails de Pline est ce dernier. (VItl, 76, n° 3 ; 8t, n° 2 ; XXVlll, 6, t0 ;XXXVt|,25, 30, 3t.)

Arehemaehoa ce Archlmachus, auteur d’une Histoire de l’Euhce, cité par Athéoée, llt, p. 465, qui le nomme Archemachusd’Bubée. (Vlt, 67, n° 16.)

archibios, auteur d’un écrit adressé au roi Antiochns. C’est probablement le même que t’Archlbtns médecin cité par Galien, Coinp. medicom. see. gen., V, 14, et par Oribasednnslaûollectionde Gocchlus, p. 196. (XVItt, 70.) Archldamus, médecin ; on a de tnt quelques chapitres insérés dans les Veterin. medtc. scrtptores, Bale, 1537. Archimède, de Syracuse, le plns célèbre des mathéntaticleus de fantlqulté, Int tué par un soldat romain Im de la prise de Syracnse, 3 ladélense de laquellell avait lieaocoup contribué par ses inventions mécanlques. On ade lui plusieurs ouvrages, mals il en a perl plns qu’il nenoos en reste. (Vtt, 38.)

Archytas, de Tarente, philosophe pythagoricien, astronome et géomètre, placé par Varron et Colnmette parmi een : qui ont écrit sur Pagrlcultnre ; tt vivait du temps dellenys l’AncIœ.

Arlstagoras, auteur d’un tlvre lntltulé Ašgypttaca ; Il était contemporain de Doris de Samoa, et par conséquent llorimit sous le roi d’Égypte Ptolémée Philadelphe, c’est-I-dire, vers l’an 160 avant Jésus-Ghrlst. (XXXVI, 17.) Ariatuder, auteur d’un livre Sur les prorliges. Varron et Golomelle, I, 1, citent parmi tes écrtvatns sur d’agriculture un Aristandrus d’Athcnes. (XVII, 33, n° 2.) Aristarque, de Stcyonei Il par-alt avoir ecvtt sur la géographie. (V, Index.)

arütée, fils de (lastrobins, de l’lle de Prooonnèse, pète, d’aprü Hérodote, IV, p. 229. Il vécut du temps de Cyrus et de Crésns ; voy. Snidas. Autenr d’on poème intitulé Les Arimaspes, etd’on autre intitnlé Théogonie. (Vtl, 2, n° 2 ; 53, n° 2.)

Aristide, de lfilst, auteur d’I-llatoires de Sicile, d’Itatte, de Perse ; auteur aussi des lillbluques, recnelt de contes ohacènes. Le Scholiaste de Pindare, p. 216, cite un Aristide auteur d’un ouvrage sur Cnide. (tV, 2t ; tV, 23) Aristoeréco, paratt avoir décrit la terre, on du moins t’¿|’|-ipee (V, 10, 11° tt ; VI, 35, n°6 610° 13.) Aristoeñle, auteur de Icmoires eufhtilet, @après le Selaoüaste d’Apotlonies, t, v. 136. (V, 37.) grtsaogene, de Guide, esclave du philosophe Ohryatppe, fut le uédecindïntigone Gonatas ; Arlstogens deThasos, médecin, auteur de dtflérents llvrea médicaux, et entre autres d’un Abrogé des aecoura physiques, adressé s Anllgnne. Suidaa Iatt deux personnages de ces Arislogène ; Harúouil n’eu fait qu’un, et suppose qufltrlstogene de Cnide iut dit Tlaasien perce qu’tt séjourne longtemps 3 Thasos. sa-isangiton, meaeem du reste, meemm. (xxvn, ra.) Ariatooaaque, d’Athènes, parait avoir écrlt sur les planiea. (xlu, 41.)

Ar-Hotnque, deåoles, euteurde livres Burla préparation d|uiel, Sur lapréparationdn vin, Surles abeilles. (XI, 9 ; xlv, 24 ; xix, ss, n° 4.)

Ariaaophane, poete comlpeatbénlen, auteur d’on tresgnnd nombre deconédles, dont il nenons resteptusque one. Il Iorinait vers l’aa 430 avant.léaua-Christ. (XXI, 16 ; XXII, 38.)

Aristophsne, de Milet, mais, d’apl’es Varron, I, t, deMaIles en Cilide, avait écrit sur Pagricolture. (VIII, Index.) Aristote, de Stsgire, illustre philosophe, disciple de Platon, précepteur d’Ale×andre. (II, 60 ; II, -tut ; tV, 22 ; IV, 2s ; v, s7 ; vtt,2, n°7 etn°ts ; ao ; s1, o~ s, s, s, 14 eus ; VIII, ro, n° un, 44, s4 ; |x, s, n° I ; ao,40,4t ; x, is, ss ; xt, m, ua ; xvm, 77, n° 4 ; xxvlu, 14, zi ; xxx, 2.) Àlflllfillfi et non Amntius, auteur d’une Histoire de la guerre panique ; Séoèque, ép. tt4, en fait t’éloge, et dit de fl. NEO 1 rv Il

lul qu’il avait écrit dans le genre de Sallnstc. Il vécut du temps d’Augnste.

Artémidore, d’Éphèse, géographe, vlvait vers l’an 100 avant Jésus«Chrlst. Antenrd’un Périple en onze livres, dont cetnt de Marclen est l’abrégé. (tt, t 12 ; tV, 24, 37 ; V, 6, 9 ; V, 10, n° ll’ ; 35 ; Vt, 15.n° 2 ; 22, n° 7 ; 32, n° 13 ; 33, n° l ;35, n°6 ; 38, n° 2 ;Vlt,2, n° 23 ; XXXVt, 17.) Artómon, médecin ; du reste, inconnn. (XXVltl, 2.) Asarubas, contemporain de Pline, avait écrit sur le sucein. (xxxvu, 2.)

Asolépiade, île Pruse en Blthynie, contemporain du grand Pompeo ; d’abord rhéleur, Il abandonna cette proíessiou pour se faire médecin. Ou ctte de fut un ttvre Snr la conservation de la santé, Gelse, t, 3 ; Sur la conservation du vin, Pline, Xxttl, 19 ; Snr t’hydroptsie, Gœttns Anrelinnns, ttt, 8 ; Snr la médecine, écrit adressé à Mlthrldate, Pline, XXV, 3 ; et d’autres ouvrages. Tontes ces prodiguons om pert. (VII, s1 ; xtv, s ; xx, zo ; xxu, ze ; xxttt, rs, za, 2s ; xxv, s ; xxvt,9 ; xxvt, 1, s ; xxtx, s.) Asctépiade, de ’fragile en Thrace, disciple d’tsocrate ; auteur d’un livre intitnté Tpaypöoóμwa, des choses célébrées dans tes tragédies.

Aretepteaore, fifiire am nam du uvre xxxv, qnt est tout entier consacré s la peintnre ; en conséquence Hardouln pense que cet Ascléplodore est le peintre dont Pline vante t’habiteté dans tes proportions. (XXXV, 36.) Ascontns Pedtanus, amt de Vtrgite ; on a de fut des Commentalres sur les dlsconrs de Gicérou. (VII, 49, n° 6.) Astntns Pottton. tt y à une lettre de tui à Cicéron, X ad fam., 3t. Virgile tni a dédié une de ses églognes. Horace le nomme, ll, od. 1, 13. Valère-Maxime, VIII, 13, l’appelle : Mm mtntma pars romani styli. Asintns Polliou était auteur d’une Histoire romaine qui a perl. (VII, 3t, n° 7,) Astynome, géographe, ctté par Étienne de Byzance, art. xfmpeq. (V, ss.)

— Attale Philometor, rot de Pergame, lits d’l£nmène, tnstitna le peuple romain pour son héritier. Ptntarque (in Demetrio, p. 897) dtt qu’Attate Phitometor cultivait les plantes vénéneuses, et vante te sotn qu’il donnait å la bota› nique. Ilardonln pense que cet Attale n’est pas différent de cetnt qui est appelé Attate, médecin, dans tes Index des tivres XXXII et XXXtll. Gullen dit qu’Attale, roi de Per. game, avait étudté avec beancoup d’attention les médicaments de toutes sortes (De medio. sec. gen., I, ts, et De antid. I, t), et qu’tt avait écrit sur tes remèdes fournis par tes animaux (Defacult. stmpl. medio., X, t).(XVU1, 5 ; XXVtIl, 5 ; XXXII, 27.)-Atteius

Oapiton (Lucius), jnrisconsntte de la plus grande autorité, vivait du temps d’Augnste ; tl appartenait à la secte des sabintens, c’est-lt-dtre de cenx qui tenaient a lp tradttton. Onvrages, qui sont tons perdns : Recueils, Traité sur le droit pontlllcat, Antn-Gelle, IV, 5 ; Traité dessacríti. ces, Macrobe, Saturn. III, 10. (XIV, 15 ; XVltl, 28.) Attetns le Phllotogne. Snétone, Detllustr. gram., m, 3 dtt de lnl : u Attetns Ie PhBologne, fils d’alI’ranchi, né a Athènes z Attelus Gapiton, le jurisconsulte, le disait rhéteur parmi tes grammairiens, grammairien parmi tes rhéteurs. Il Int très-lié avec Saltnste ; et, après la mort de ce dernier, avec Asinins Polllon. » Ouvrages : Gtoses, Festns an mot Ocrem ; Tables, wivoxeç ; Soslpater, I, p. 108 ; Hyle, ouvrage très-volnminenx, cité par Snétone, ih.

Attlcns Julius, contemporain de Celso et de Cotnmette, qni, I, I, Ie dtt auteur d’un livre Sur une enttnre particulière de la vigne. (XVII, 18.)

Mttcos (Titns Pom ponins). chevalier romain, bien connn par sa vie, que Cornétins Népos a écrite, et surtout par sa correspondance avec Cicéron. Onvrages : Annales, Asconlus Petlianns, Oral. Cic. in Pixon, p. 6 ; Portraits des hommes itlnslœs. (XXXV, 2.)

Anlidins Bassins, auteur d’une Histoire romaine. ’Pline S, PLINE.

avait commencé, la où finissait Auñdlus, un ouvrage historique, qui n’est pas venu jusqu’it nous. C’néfâfiffi Vt 10.

Ãugnšte, l’empereur. Ouvrages ; Mémoires en trelze livres, au rapport de Suetone, August. 27 ; Discours sur l’état des municipes, De limit. agr., p. tl, in Scriptores rd agrariar ; Exhortations à la philosophie, citées par Suétonei un poème en vers bexametres sur la Sicile, Suétone, Ang. 85 ; Lettres, Quintllien, I, 6 ; Auin-Gelle, XV, 7. Ouvrages posthumes ; Index remm gestarum ; ce morceau très-important a été retrouvé grave sur pierre à Ancyre (cet tndex commence a l’an 7l0 de Rome, et résume tous les faita de la vie politique d’Augnslejusques et y compris le troisième cens, qui est de l’an 766) ; La statistique de l’empîY¢› BN viariam ralionum imperit. (ll. 5› 3 ; Ui 23 till. Gi 111.95 Vl, sl, n° lt ;VII, 3l, n°6 ; XVIII, 38 ; XXt,6.) . 3

Bacchius, de Milet, complé parmi les auteurs sur l’agri› culture par Varron, Columelle et Pline. Bacchins, de Tanagre, médecin, de lsecte d’Hérophile, et de peu postérieur in ce médecin, par conséquent florissans dans le cours du troisième siècle avant Pere chrétienne. Ouvrages : Explications sur le Vt’ livre des Épidemies d’Hippocrate, sur les Aphorismes, sur le Traite de Pofficine du médecin ; les Dictions ou explications des mols difficiles de la collection hippocratique ; Abrége sur le pouls.

Bœton, compagnon d’Alexandre. Ouvrage :Stations de l’expédition d’Alexandre, a-raflμoi 1-ii ; : oû Îalsåávôpou sropstaç. (Vt, 2t, n°6 ; 22, 0° 6 ; Vil, 2, tl" 3.) Basllis. Ouvrages : Mesure de l’Etltiopie, Agatharchide, dela mer Rouge, 3l ;Descriplion de l’Orienl, Pliotius, Bibl., p. 1360, cod. 250 ; Histoire de l’Inde, Athénée, IX, p. 390. (YI, 35, n° 6.)

Bassus (Calpurnius), auteur inconnu, cilé dans les index du livre XVt et de quelques-uns des livres suivanta. Bassus (Julius), médecin du temps d’Auguste, quoique Latln, écrivit en grec. Ouvrage : Dela médecine, Dioscorid., préface.

Bérose, vivait du temps d’Alexandre te Grand ; il était Babylonien. Ouvrage : distoire de Babylone ou de ta Cbaldée. (VII,37 ; VII, 50, u° 1 ; 57, 0° 8.) Biatoon. (XXVtlt, 80.) ttardouin pense qu’il faut lire Dalion. Voy. ce mot.

Bion, de Sotes en Cilicie, auteur d’une Histoire d’Élhiople. Il est cité dans tes index des livres V et VllI.Plutarque (Thésée, p. 12) le nomme Bion Ptlistorien. (VI, 35, ii" I, 3, 6, 13 et 15.)

Bion, auteur d’un livre Sur les vertus des plantes, cite dans Piudex dulivre XXVIU. Pliue(XXVItt, 57)le nomme Cmcilius Bion. Cet auteur est sans doute diffèrent du Bion de Soles ; mais est-ce le même que Caecilius9(Voy. ce nom.) Bocclius(Cornelius), époque incertaine, citépar Solin, 1, parmi les écrivains qui ne manquent pas de mérite. (XVI, 79 ; XXXVlI, 9, as, ts.)

Bœus. Ouvrage : l’Ornithogonie, citée par Athènes, IX, p. Itfiÿî, et par Antoninus Liberalis, Matam., fab. 5. (X, 3, u° 2.

Bolrys, d’Athènes, médecin. Les compositions médicales de Bnlrys sont citées par Galien, de Loc., ltt, 1. Brutus (Marcus Junius), le meurtrier de César. Lettres, citées par Pline (XXXtll, 12) et par diffénenls auteurs. Bntorides, mis par Pline au nombre des douze auteurs qui avaient écrit sur les pyramides d’Égypte. (XYXVI, 17.) Bytlms, de Dyrrachiuui, auteur inconnu ; Ptine le cite it propos des effets extraordinaires produits parle sang menstrues. (XXVttt, 23.)

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Cœcilius, médecin qu’il ne faut pas confondre avec le rliéteur Cœcilius de Calactó en Sicile. Ouvrages = Haiieuti-lçliéntše, au 13, ’qui : ndit Argilzn Pig : 27. -ce e in e que œctlins ci

xxvnf, 512 voy. sion.

Caeciua. Ouvrages ; De la discipline ótrnsque. Homme éloquent, ditâéneque, Natur. quœsl., ll, 56, en parlant de Cœoina, et qui aurait eu un certain renom dans l’art oratoire si le voisinage de Cicéron ne lui avait fait tort. (tl, Index.)

Cœlius Lucius. Voy. Antipater.

Cœlins Marcus, orateur, dont Pline cite une phrase vlvc et injurieuse contre un homme sans doute suapectde mauvaises mœurs. (XXXV, 46, n° 5.)

Cœpion, du lemps de Tibère. Ouvrage : Des flasrs et des couronnes. (XX t, 10.)

Cœsennlus. auteur d’un livre sur Pliorticulture, d’après l’index du livre XtX.

Calippus, de Cyzique, d’après Ceasorin, ll, astronome très-anclen cité par Geminus, Elem. astnon., 6, et parPtolemee, De appar., p. 03. (XVlll,7t, n° 3.)

Callierale géographe d après l index du livre V. cnuaemå, pmssbiaåmi géographe min, auprès l’indes du livre tV. tl esl citópar Soün, lt. (lV, 2l.) Callimaäue, de Cyrène, polygrlîtopfêe, vzaèl du temps de Ptolémée ves-gets. tl avait com un -graad nombre d’ouvrages, soit ea vers, soit en prose, entre autres ; Sur ceux qui ontete célèbres dans les différentes sciences ; tes Origines des lies et des villes ; des Choses admirables dans le Pelqionèsa et t’ttalie ; Des poissons ; Des vents ; Des oiseaux ; Des fleuves du globe terrestre. Nous avons de lui des Hymnes. (ltt, 25 ; tlt, 30 ; tV. 19 ; IV, 21 ; tv, ašàxî 4, ¿i°, xllš šts ; xxl, 9 ; xxu, ss ; xxv, 06° 5 *.

Callipliaise, cite dau ; las index des livres ttt etvtl, auteur d’un trailó de géographie. (Vtt, 2, n° 7.) Callippns. Vog. Calippus.

Callisthene, d’Olyntlie, élève et panent d’Aristnte. Ocvrages : Deschoaes faites partesGœes, DiodoredeSicile xav, p. sas ; ses Propriete. ass mines et des punis. : Épiphaue, adv. Hœr., I, 3 ; Macódoniques, Ptutarque in Pamll., p. 307 ; Tltraciques. Ienème, p. 313 ; Métamorptioees, le même, p. 106- Peraiques Saidas au motscfdanapale ; Exptoits dïlexandre, Strabon, XVtl, p. 813 ; Póripte, Scholiastedfltpollonins, I, v. 1040. Callistrate, parait avoir écrit sur les pierres précieuses. (XXXVtt, 12, 25.)

Callixenus, parait avoir écrit quelque chose concernant Ptolémée Ptiiladelphe ; du moins, Pline cite de tui des détails surüerection d’un obeliaqile ordonnée parce prince. (xxxvi, it, n° s.)

Calpurnius. Voy. Bassns Calpurnius.

Calvinus Domitius, cite dans l’bdex du livre XI. Festus, in Frayfls. p. -t, faitmentiund’anOn. DomitinsOalvinus. Oalvns (Oaias Lieinins), poète et eratenr, amt de Oatnlle. lldispntaleaceptre det*etequeaeeaCieéron M. senequs, nr, cam»-¢v. 1s. ouvrages 1 un poème enå par Charlsius, t, p. 120 ; Discours, cite par le même, Il, p. sas. (Vtl so iv s- Juuuu so.)

cassis túmaiis viåsu vm lian iso avant Jésus-clem. Ouvrage : Annales, Aulu-Galle, XVII, 21. (XIII, 2.7 ; XVIIt 2- XXIX.o- XXXtl, lo.)

csiliuå de vamå, un des marina-s as cam. n senvit à Antoine une Lettre citee par Pline (XXXI, 8). Ses Opusculessoat cités par Horace, I, epist. 4, v. 3. H. Cassius Severus Longulanus appele ainsi de la vi mans on il um ne, nsnmn sur la fin au vegas «rssLIVRE I. 83

gusta et sous le rùgue de Titlere. Qnintiiieu, X, S, te dit erstenr remarquable. Charisius, S, p. 79, cite de lui un ivre ù Mécene ; eS Dioraéde, I, p. 470,011 livre à Tibère. (VSS, S0, 0° 5 ; XXXV, 46, 0’ I.)

Cassius Siianus, précepteur de Gœmmlcns, Ms de Drnsnst

Castor. I-’oy. AntontuaCaator.

Csstritiua, auteur d’u0 livre sur Fhorticultnre, d’spres Pline, index du Sivre XSX ; sana douSe Se père du rnéteur Cnstritius, dont Autu-Gelte, XISI, 2S, dSt avoir été S’étéve, ou Semps de D’empereur Adrien.

CahnleCeuseor(lttsrens Porclus). Ouvrages : um’rsSSe de S’art militaSre ; Origines de Rome ; Traité d’agrScuSlure, le seul de ses ouvrages qui nous soit parvenu. (ISS, 8 ; ISS, S5 ; SSI, 19 ; ISS, 20 ; ISI, 2S ; SSI, 23 ; ISI, 24 ; VSI, 28, 3S, n’ 3 ; 52 ; VSSS, 5, 0° 3 ;78 ;XSV, 5, S0, S2 ; XSV, S4, S9, 0° 7 ; 25, II’ 7 ; XV, 6, 8, S3, 16, Io, S9, 0° 4 ;20 ; XV, 2S, 0° 4 ; 22 ; 23 ; 24, 0°4 ; 37 ; XV, 39 ; XVt, 38,00,67, 69, 75, 84 ; XVlS, 3, 0’ 8 ; 6, 0° 5 ; 7 ; 14, n°2 ; SU ; S9 ; 2S ; 24, 0’ 8 ; 26.0° 2 ; 29 ; 35, 0° S4, eSn°’ 30,34, 30et37 ; 37,0’ 6 ;47,0° 4 ; XVtSt,8, 0° 2 ;`5 ;6 ;7, 0’2 ; 8, lt’5 ; S7 ; 42 ; 46 ;49, 0’ S ; GS ; 65, 0° 6 ; 67, 0° 8 ; 7S ;77, 0’ 5 ; XIX, 19. 0’ 7 ; ao ;4t ; 42 ;XX, 33, 36 ; XXI, S ; XXSSS, 87 ; XXV, 2 ; XXVI, 58 ; XXVSI, IOS ; XXVIII, 4, 79 ; XXII, 6, 8 ; XXXIV, S4 ; XXXVI, 53.) CntaIIe(Quintus Vsterius), poète célèbre de Vérone, lou-ns au monrentoù legnsrre civile éctntait enim César etlieupée. made tnidesóptgrlmlnrsetdes poésies diverses. C’réface, XXVI|I,4 ; XXXVI, 7, 42 ; XXXVSI, 2S.) / Cdae (Cornelius) vivait du Semps d’Augusts et de ’I’i› bere. II avait composé des traités aur S’ntstotre, sur S’éloqnsnce, sur Pagrlcuttare, sur le médecine. De tous res traités Ie dernier seul nousest parvenu. (X,74, 0°n ; XSV, 4, u’ 11 ;XX, S4 ;XXt, S04.)

oensorinles(Lots) : c’étaient Ses édlts des censeurs. Pline les cite quelquefois.

Oensorintœ (Tables). (XVIII, 3, n’ 3.) Oéanr (Jutes), dictateur. Onvrnges : Mémoires sur le guerre des Genies, sur tu guerre civile, sur le guerre d’Atexaudrie ; Auticatou ; u0’I’rattéeugrec aorS’nstreoornte ; uuïraitésnr S’nnlogSe ; un ’I’reSté sur les auspices ; un entre sur les angures. (Vlt, 3S, 9 ; XSV, 8, 0° n ; XVSIS, 57, n°4 ; 66 ; 65 ; tt6 ; 67, 0° 4 ;08, 0°5 ; 74.) Charrues, dfittbeues, cité partut les meilleurs écrivains sur Vagrienttsre parVarron at Cotnlette, I, t. (XX, 99.) Civeristus, d’AtS›enes, cité parmi Ses écrivains sur ïagrientture, par Cotnrnet lesoua le uomde ohrestus, et par Vnrrun sous oeSuS de Cbœristeus.

Cbsrcs, de Mltylène, auteurdtnue Histoire d’Alexaodre, Ptutnrque, ASex., p. 096. IS paraSt aussS avoSr écrit quelque clsesesur tesuccin, saos duutedans an Traité sur Ses arbsu et sur les plentus. (XII, Indes ; XXXVII, tt.) Chrysertne, médecin ; ditfenent de Cinryserme tristerinu, deCoriothe, dootpartePtntarque, deFSsm., p. ttao. Itvécut versI’an 200, etapparteusitàltsectedes hérophihu. (XXII, 32.)

Chrysippe, deCoide, ruédeci0, msttred’Èrasist1-ate, au*tenrd’on trslté Sur tesSégumos, flcltoliaste delicsndre, S0 lier., p. 39. (XX, 8, 33, 36, 43, 1548 ; XXII, 40 ; XXVI, tu ; XXIX, 3.)

Chrysippe, de Soles en Cttlcte, philosophe stolcien, dtsdplede CIéauthe. Sn vSe a étéécrtte par Dlogène Lnérte, Vtt. vécut du temps de Ptolémée Évergéteet de Ptolémée Phitopntor. tt avait composéuu grand nombredhnvrngss, qui ont tous péri. (XXX, 30.)

Cicéron (Marcus ’I’nlSius), le plus eétbre orateur rolnsin ; périt dnnslesprosc|*iptionsorrlsuruâesparAnteSneet Octave, lt t’oge de soixante quatre ans. Quoique nous possédions beaucoup rfouvrages de Sai, nous eu avons perds beaucoup aussi. (VII, 2, 0° 10 ; 21 ; 3t, 0’ 8 ; Vtt, 64 ; |

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Xlll, 4, n° 2 ; XVSS, 3, 0° SS ; XVSSS, 60, US ; XXSX, Sc, * 29 ; XXX, 52 ; XXXS, a, B, 28.)

Ctnctns. Dans S’Soflex du SSvre XXXVS ; Se SexSe ordSnatre porte C. IcSSus. Déjà tlardouin avaiiconjecturé qu’iS SaSSait Sire CSnciua, auteur donS un ouvrage sur S’arS miSitaSre est cité par Aulu-Gelie, XVS, 4. CeSte conlectnre est complètement jnsttlléepar Se manuscrit de Bamberg. Voy. le Pline de SSlSig, t. V, p. 489.

Claude, quatrième empereur romain. Ouvrages = mg. toire romaine en qearente-Irola Sivres, de Sa 010rS de César ù fépuque coniemporalne ; des Mémoires sur sa vie, en huSS livres ; un›SSvre de Lettres ; unetllstoire des Étrusques ; Sme histoire de Carthage. (V, SS, 0° 4 ; V, S0 ; VS, S2, 0° 2 ; Bt, 0° 3 ; VIS, s, 0° 2 ; XSI, 39.) Cléempore. Quelques-uns le disaient auteur d’u0 SSvre Sur les propriétés médicales des plantes, Sivre que S’autiqutté attrlbuatt gútéralement à Pythagore. (XXII, 44 ; XXIV, SOS.)

Ctéobnle, géographe sana doute, a en juger par Sa place qu’iS occupe dans S’Index du SSvre IV. (V, 88.) Cléopbsute, médecin, d’une époque incertaine, male du moins antérieure a ceSSe d’AscSépiade de Pruse, ll avait écritsur S’emploi du vin dans les maladies, Celae, III, St. (XX, 15 ; XXIV, 92 ;XXVt, B.) *

Ctéostrate, de Ténédos, astronome. Censorin pense qu’it dt l’auteur de S’ootuétérSde, ou pérlodsdennit ans. (il, s.)

Ctitarque, compagnon d’Alexandre le Grand, écrivit S’bIstoire de ce prince en plusieurs SSrres. Pline (X, 70) Se dit fils de Phtstorten Dtnon. 00 estime, dl Qtùi-Sieu, X, 1, le taSent de Ciitarque, maison attaque sn bonne rd- (luv 93 vir 45 › n’1 ;36. u’43v“*12› Un Cœrnnus, d’origine grecque, et pbllosophestoicien, di.. prés Tacite, Anni., XIV, 59. IS vécut du temps de Néron. Colamells Onciua.luniua Moderatus), de Godes. comme iS Se dit Sui-même, De re rustics, V, 5. IS tlurissait sous D’empereur Clnnde. Outre le livre Sur Vagricutture et un autre Surlesarbres, que nous possédons, il avait composé unouvragesur les Sustrationset sur Sessscritieesdesancteus pour leprospérttéies grains, et un autre neutre Ses astrologues et les Chaldéens. (VSSS, 03, 0° a ; XVII, 6, 1192 ; XVtI,30, 0° 8 ; 35, 0’9 ; XVtSl, 12, 0°6 ; XVSII, va, v z, xix, aa, iv s.)

Commenlaris poutiticum, Commentaires des pontifes. (lCVItI, .9, n° 5.)

Commiade, auteur d’u0 Sivre sur le prépsretioa du vin, uonsmépar Pltue De appnratu vint, ou Gonditure viui. (XSV, 24 ; XV, index.)

Couon, de Ssmus, célèbre asirsuome, vécut vers S’su 300 avant J. C. (XVIII, 74, 0’ J.)

Corbulou (Domitius)› personnage consulaire, vécut du temps de Claude et de Néron. Ou- voit, par les dittérents passages où Pline Se cite, que Corbuion svaitcotuposé une description des contrées où SS avait tait Isgusvre. (tt, 72 ; V, 20 ;VI, 8, 15, 0° 6.)

Cœdus Crématiusμnlus), auteur d’sne Htstaîre d’1taguste et des guerres civiles, fut condamné à mort par Se sénat, pour avoir loué Brutus et Cassius. Séoèque fut au long le récit de se mort, Consulat. ad Marc., 62. (X, 97 ; XVI, 45.)-Cornelius

Alexander, surnommé Petyhistor å cause de ses composititms variées. De Milet, suivant Suidas ; de Cotyœum, dans le petite Piirygie, d’après Étienne de Byzance ; nommé Cornelius d’après uncertstu Lentulus, dont it fut @abord t’esulave, puis t’at’frnnehSet le μréceptettr. II vivsit du temps de Sylla. Ouvrages : Recueil des choses attmirabtes, eu six Sivres, Photins. p. 668, cod. 1818 ; des Choses indiennes, Clément d’Alexandrle, Strom. Itl, p. éåt ; deI’tlS1rie, Vater. Max., VUI, tt ; Histoimie l’ltalle, P|lIIll’([Il0, P&I’l“-, Q,3151ïÁlÎIltllIX VGIIIDOU3-sïï s.

84 PLINE.

Iiaste de Nicandre, in Thor., p. 42 ; Histoire de Crete, Soholiaste d’.4poIIonins, tV, v. 1492 ; de la Carie, le même, I, v. 925 ; des Juifs d’Assyrie, lšusobe, Prœpar., IX, p. 418. (III, 2I ; VII,49, n° 2 ; IX, 56, n° 4 ; Xltl, 89 ; XVI, 6 ; XXXVI, 17.)

Cornelius Bocclius. Voy. Bocclins.

Cornelius Népos, né sur les bords du Po, dans la Gaule Transpadane, gendre d’.4ttiens ; il fut lié avec Cicéron, et mourut sous le rogne d’.4uguste. Ouvrages : les Hommes illustres, en plusieurs livres, Anln-Gelle, XI, 8 ; Chroniques, en trois livres, Anln-Gelle, XVII, 2I ; Opuscnle sur la distinction entre l’l|omme lettre et l’l|omme érudit, Suétoue, de Gram., tV ; les Exemples, .4uIu-Gelle, Vtt, 18 ; Lettres de Cornelius Népos å Cicéron, et de Cicéron à Cornelius Népos, Laclance, HI, 15. (lt, 67 ; III, Préamb. ; III, 2l ; lll, 22 ; lll, 23 ; lV, 24 ; V, l, n° 4 ; Vl, 2 ; 12, n° 2 ; 86, n° 2 ; IX, 28 ; IX, 63 ; X, 30 ; Xtll, 82 ; XVt, lb ; XXXIII, 52 ; XXXV, 5 ; XXXVI, 7, 12.)

Cornélins Valériauns, parait avoir écrit vers la fin du règne de Tibère. Il avait parlé du phénix. (ltl, 17 ; X, 2, n" 3 ; XIV, 3, u° t-)

(VII, 24 ; XXXV, 2.1,

Coruucanius, de ta amille Junla, écrivain d’nue époque inconnue, avait parlé des qualités des victimes otfertes aux dieux. (Vllt, 77, n° 2.)

Corvinus Messala (Valérins), de la famille noble des Messala, orateur disliugné, d’après le témoignage de Quintilien, X, 1. Il perdit complètement la mémoire deux ans avant sa mort ; il mourut vers la fin du règne d’.4uguste. Cotta Messalinus, lits de Corvinns Messata, d’après Pline. (X, 27.)..

Crassns (Lnctus), très-célèbre oratenr, l’un des Iulerlocutenrs misen scène par Cicéron dans le de Oralore. Il était oncle paternel de M. Crassns, le plus riche des Roraahs, triumvir avec Pompée et wear, et qui fut tuédans son expédition contre les Parthes. (XXXV, 8.) Craies, de Malle en Cilicie, dil Ie Grammairieu, à cause desa profession, « Le premier, selon uous, dit Snétuue, de Grammaticts I I, qui introduisit l’élude de la grammaire ii Rome, fut Crates de Malle, contemporain d’.4ristarque, et envoyé au sénat par le roi Attale, entre la seconde et Ia trohieme guerre punlque, vers Ie Iemps de la mort d’15nnins. » Ouvrage : du Langage attique, Atlienée, XI, p. 497. (tV, 20.)

Crates, de Pergame, cité par./Elien, Hist. anim., XVII, 8. (VlI,2, n°’ 5, 2l et 23)

Gratevas, célèbre botaniste, vivait du temps de Milliridate. Ouvrage : Traité de botanique, psšoroμtxôv, Scholiaste de Nicaadre, tn Ther., p. 32. (XtX, 50 ; XX, 26, u° 2 ; XXII, ss ; XXIV, lon ; xxv, 4, za.) Crémulius. Voy. Oordns Crémutins.

Critodeme, astronome. Lambecins, VII, p. 284, cod. til, dit quetes Apotelesmatica de Critodème existent manuscrits dans la bibliothèque impériale de Vienne. (Vtl, 57, n° 3.)

Criton. Galien. Sec. loc., 1, 3, dit que Criton avait été attaché en qualité de médecin il la maison impériale, et qu’il avait composé quatre livres Sur les cosmétiques. (XVIII, 74, n° 3.)

Ctésias, de Cnide, accompöflm. en qualité de médecin, le jeune Cyrus dans son expédition, fut fait prisonnier, et devint le médecin d’.4rtaxerce. Ouvrages :Histoire de la Perse, Histoire de -l’Inde : on a des extraits de ces deux histoires dans la Bibliothèque de Photius ; VOPSGS. Soholiaste d’Apollonins, II, v. lol7 ; Périple d’Asie, Harpocralion, au mot aiuúuoöeç ; des Fleuves, Plutarque, de Flum., p. It60 ; des Tribute de l’Asie, Atllénée, X, p. 442. On peut croire qu’il avait aussi écrit sur la médecine, car Orilvaec, Med. Synagogœ, VIII, cilede lui un passage sur I’elnploi de D’ellébore ; et Galien, dans son Comm. sur le Traité des Articulations, d’Hipporrate, 8, text. 40, dit que Ctésias avail. critiqué Hlppocrnte pour la réduction de I’os de la cuisse, et prétendu que la Iuxation se reproduisait aussitôt après. (II, tl0 ; Vtl, 2, n°’ 15 et 2t ; 57, n° te ; Vtll,30, n°3 ; XXXI, 5, 18, 19.)

Cnriou, le père. Snétone, Jul. Cœs., XLIX, citedesdlsconrs de Cnrion le père, dans lesquels il attaquait la réputation de César. Cicéron parle de Cnrion le fils, ad Alt., II, epist. 22.

D.

DHÎÎOII. VOYOSBIII’ qui s’avança le premier au delà de Mémé, en Éthiopie, et qui avait écrit sur cette contrée. (VI, 85, n°’ 6 et 16.)

Dalion, botaniste, le même peut-elre que le précédent. (XX, 73, n° 8.)

Damaste, de Sigée en Troade, contemporain d’Hérodete-Il avait pnbllé un Périple. Cet auteur est cité par Snidas, par Valère-Maxime, Vltl, 18, et Plntarque, Camil., p. 138. (Vtt, 49, u° 2 ; 57, n° 16.)

Damiou, médecin. Il avait écrit sur les oignons. (XX, 40 ; XXIV, 120.)

Damocrates. Voy. Servilins Damocralea. Damon, de Cyreue, avait écrit sur les philosophes, Diogèue Laerte, in TIiaI. ; et sur les Tribus de t’AtIique, Atliénée, III, p. 96. (Vtl, 2, n° 9.)

Damostrate. Voy. Demostrate.

Déruétrius, avail écrit quelque chose sur le nombre quaternaire (XXVIII, 17). S’agit-il ici du. célèbre Demetrins de Phalere, disciple de Théopltraste, et bibliothécaire de la bibliothèque dllexandrie du Iemμs de Ptolémée lilo de Lagus et de Ptolémée Philsdelphe ? Pline (XXXIV, 12) paile des statues que les Athéniens consacrèrent à Démétrius de Phalère.

Démólrius le physicien. Est-ce le même quete précédent ? (VIII, 2l, n° 6 ;.XXVIII, 17.)

Démélrins dont il esl fait mention (XXXVI, 17) pourrait être l’l|istorien byzantin qui, d’après le témoignage de Diogene Laêrl. in Demelr., avait compose une Histoire de Ptoléméeet d’.4ntioclius et une description de la Libye. Démocede, médecin, de Crolone, pratique la médecine dans l’tle d’Išgine, traits Polycrate, tyran de Samoa, et gnéril Darius d’une affection qui avait résiste aux traitements administrés par les médecins égyptiens, Hérodote, III, p. 5 10. Snidas lui attribue un livre sur la médecine. Démocles, auteur du récit que Pline (tl, 93) fait de la destrnclion de Sipylos. C’est ce que nous apprend la comparaison avec Strabon, I, p. 50.

Démocrates, fausse leçon, au lieu de Damocrates. Iby. ce mot.

Démocrite, dfltbdere en Tbraoe, florissait vers l’an 460 avant Jésus-Christ : les écrits sont énumérés par Diogena Laêrte in Democr. ; il avait lait îles ouvrages sur la cosmegrapliie, sur l’histoire et sur Vagrlculture. Il est anleur du système des atomes. Pline (XXVIII, 29)lui attribue un écrit sur le caméléon. dont Diogene Laèrte ne fait pas mention. Son traité Sur les pestes ou maladies pestilentielles est cité parAuln-Gelle, IV, 13. Colnmelle, Xt, 8, cite. le traité intitulé Géorgíques. Fnlgeuce, Mythel., tl, cap. de Peleo, cite un livre intitulé <buoio1oyoúμ.sva. Pline (XXIV, 102) cite un livre intitulé Xstpóxμnra. Colnmelle, VII, 5, se plalnt que l’on donne le nom de Démocrite à plusieurs trailés de Bolns, de Mendes, qui contiennent différents traitements médicanx. Pline (XXV, 5) parle des voyages de Démocrite. (VIII, 22 ; X, 70 : XI, 28, I|°2 ; XIII, 47 ; XIV, 4, n° 1 ; XV, 40, n” 5 ; XVII, 2, n° ll ; lt, u° 2 ;XVtll, 8, n’ 7 ; 45, n° 3 ; 62 ; 68, n” 9 ; 74, n° 3 ; 75, 78 ;XX. 8, 18, 58 ; XXI, 36 ;XXlV, 99, 102 ;XXV, 5 ; XXVI ; 9 ;XXVII, 114 ; XXVIII, 2, 16, .29, 42 ; XXIX, 22 ;XX.X, 2 ;XXX. Il, 18 ;XXXVll, 18 ; 54, n° 7 ; 55, 58,70.) LIVRE l. 8-5

Dénnorlamas, de Milet, général des rois Sélencns et Anttnchas. Pline déclare qu’il le sait particulièrement pour ln description de l’expédition d’Alexandre. D’après Atbénée, XV, p. 682, il avait écrit sur la villed°l-lalicarnaaee. (Vt, 18, n° i.)

Démostrale on Damoatrate, cité par Aãlien, Hist. an., XV, to, et ailleara ; il avait composé un ouvrage Sur la pèche, qul, d’après Suidas, était en vingt livres. Suidas aioetequ’II était auteur d’un Traité de la divination par l’eau, et de plusieurs ouvrages historiques. Platarque, in Alcib, le dit oratenr. (XXXVtl, lt, 23.)

Démotele, avait écrit aurles pyramides d’Égyple. Tertallien, De speetac., cap. 8, dit que Hermatèle avait écrit sur leeobéliequeazllardonln pense qu’il faut lire Démotèle. (xxxvl, 11, lo, u- I.)

Diagorae, médecin, avait écrit sur les plantes ; eilé par nimeofiee, nv, sa. (xx, vs.)

Dicùrque, de Measine en Sicile, disciple d’Arlstole d’après Schol. Aristoph., in Pace, 7l6 ; et d’après Suidas. Ouvrgea : Mesures des montagnes du Péloponèse, Pline (tl, o5) ; trois livres sur les peuples et lescltés de la Grèce ; cieeron, u, ¢uum¢., ¢pn :. 2, etvt, epm. 2 ; le Panathénaique, Schol. Aristoph., ln Vcspis, p. 4c7 ; le Tripnlitique, Athénée, lll, p. 460.

Dieuches, médecin, est compté parmi les disciples de lkaxagore, et vivait par conséquent vers l’an 300 avaut Jésus-Christ ; il avait écrit un livre Sur le chou, et un Traltédethérapeutique. Oribase, Synag. IV, cite beaucoup de fragments d’un livre debieuchès Sur la préparallon des aliments. (xx, |s, sa ;1s, n°s ; XXIII, 29 ; xx|v, 9’1.) Dinochares on Dinocralès, architecte. (V, ll, n° 3 ; vu, ss.)

Dinon, père de l’historie Clitarque, et hlslorlen lui-uaème ; il avait écrit une Histoire de Perse, doul le 5° livre est cité par Athénée, XIII, p. 809. (X ; 70.) Diodes, de Caryste dans l’lle d’l£ubée, célèbre médecin, et qu’un a nommé le premier après Hippocrate eu bte et en réputation. Ouvrages : De la botanique, Schol. liimd., in Tber., p. 30 ; De la preparaliou des aliments, Oribase, Synag. IV, 3 ; Des alTectious et des traitements, Calin : Aurelianus, Cbrou. l, 4 ; Traité d’hygiène, adressé å Phatarque, Atbénée, VII, p. 320 ; Des poisous, Athéuée, XV, p.681 ; Derofficinedu médecin, Erolien, GI., au mot Î-μ.6m. (XX, 9, 17,23, 40, bl, u° 7 ; 83, 96 ; XXI, ss, |os ; xx11, ss ; XXIII, 17 ; XXIV, |2o ; XXVI, tc ; xxxvn, 13.)

Diodore, philosophe qui enseignait la illalectlque, mourut de honte, pour n’avoir pu répondre å un argument. (VII, 54, n° 1.)

Diodore, de Priènc, avait écrit sur l’agriculture, Columelle, l, 1. Plutarque, in Themist. p. 128, parle d’un Diodore le Pérlégète et de son Ilvre Sur les monuments. (XXIX, 39.)

Diodore, deSicile, était né dans la ville d’Agyre, comme Il le dit lui-même, I, p. 5, et nen à Syracuse, comme le dit Pline dans les index des livres III et V. Contemporain deOésar et d’Augnste, auteur d’un ouvrage historique intitulé Bibliothèque, enXL livres, dont il ne reste que XV. f

Diodote Pétronins. Dioecorlde sépare Dlodote de Pétronine, et fait deux écrlvalns distincts do ces personnages ; Pline, an contraire, réunltces deux noms (XX, 32 et XXV, 84) ; ce n’est pour lui qu’un seul et même écrlvaln. lïapres Pline, llavait composé uaécrlt intitulé Les lleors, (XX, 82) ; et nnautre Intitulé Expériences (XX,48). Dioguete. appelé par Pline mesurear des marches d’Aïaxrnozre, ainsi que)Bœton, dont nous avons parlé plus t vl, 2|, u° o.

Dion, de Colophon, avait écrit sur l’agriculture, au dire de Varron et de Colamelle.

Dionyaiaa, compagnon d’Alexandre, et historien de l’expédition de ce prince, t’Iine, Iadex, IV ; auteur d’une description et d’uae statistique des contrées placées sous l’empire de Ptolémée Philadelphe. (Vt, 2I, n° 3.) Dlooysius, surnommé le Périégète, de Charaxdans la Suäane. Auteur d’un poème élégant en vers hexamètres, infitulé Periegesis, ou Description du monde, poème qui existe encore aujourd’hui. Il vivait du temps d’Augusle : (IV, 21 ; V, 36, n° 3 ; Vt, 3I, n°*14.) Dionysius, qui traduisit Magon ; il se nommait Cassius Dionysius, et était d’Utlqueen Afrique. Il fit on vlngt livres, du carthaginois en grec, une traduction «Ie D’ouvrage de Magou sur l’agriculture, et l’envoya au préteur Sextilius. C’est ce que disent Varron et Columelle, I, I. Étienne de Byzance, au mot tniam, cite un ouvrage de Dionysius d’Uti«|ue sur la botanique ; et le Schol. de Nicand., in Then :, p. 25, cile un traité de botanique de Dlonystus. (Xl, 15, u° 2 ; xxv, 4.)

Dionysius, qui avait écrit sur les pyramides d’Égypte. (xxxvr, 17.)

Dionysius, médecin, de Mllet, d’après Galien, Sec. loc., IV, 7. Un Diouysius médecin, cité par Rufus et surnomme K yrtns, avait parlé de la peste a bubons qui régna dans la Llbye, l’Égypteet la Syrie (Class. auct. e Vntic., oodd., t. IV, curaute A. Maio, in-8 ; Romœ, Isol, p. It). Un autre Diouysius, médecin aussi, avait écrlt un livre intitulé Les lllets, öm-uaxà, Photius, Bibl., p. 2l0, ed. Hoeechel. Tous ces Dlonysius, médecins, ne sont sans doute qu’un seul et même personnage. (XX, 9, 44, 83 ; XXII, 32.) Diouysius Sallustius. Voy. Sallustius. Dlouysodore, de Mélos, géomètre. Qu trouva dans son tombeau une lettre écrile aux dieux. (Il, 1 12.) Dlophaue, qui avait tait un abrégé de Dionysius, Index du livre VIII ; il avait réduit en slx livres les vingt livres de la traductlou du Traité d’agriculture de Magon, traduil par Diouysius d’Utique, et avait dédié cet ahrqé au roi Déjotare. Asiuius Polllon, d’après Suidas au mot llœlliœv abrégea cet abrégé, et le mil en quatre livres. Diophane esl dit de Nicée par Varron, I, l, et de Bithyuie, pays où esl la ville de Nicée, par Columelle, I, l. Diotime, de Thèbes. On ne sait quel est ce Diotime. Estce celui dont Étienne de B yzauce cite, au mot -naooayápöat, le 65° livre de Lectures de tout genre, *navvoöarróv åvœyvœoμúvznv ? ou bien est-ce Diotime le gymnaste, qui, d“après Théophraste, de S-udor. p. 153, avait écrit sur les sueurs ? (xxvm, 2a.) 2

Dlyllus, d’Athènes, avait composé une histoire qui allait jusqu’au temps de Philippe, père d’Alexandre. DiodoredeSiclle, XVI, p. 418, rapporte qu’il avait publiévingl-sept livres d’une Histoire de la Grèce et de la Sicile. Domitius Calvinus. Voy. Calvinus.

Domitius Corbulon. Voy. Corbulon.

Domitius Marsus. Voy. Marcus.

Dorothée, d’A»thènes, auteur inoonnn. On ne suit si c’est le Dorothée médecin, cité par Phlégon Itrabit., cep. 26, ou leborolhée auteur d’âne Histoire d’Ataxaudre, citée par Athénée, VII, p. 276 ; d’une Histoire de Sicile, cilée par Stobée, Serm. 148, p. sli ; d’une-Histoire d’tIaIie, cilée par Eusèbe, Prœpar., IV, p. 157. (XXII, 45.) Dosladès. Pline, traitant de Ia.Crète, le cite ; Athénée, IV, p. 143, et VI*, p. 284, panle d’un quatrième livre de I’Histoire deCrète par Dosiadès ; il estcitéausai parbiodore desicileet par solln. Ensebe, Prœpar. IV, p. 1o7, Ieaonune Bosidas. (IV, 20.)

Dosithée, du bourg de Oolone dans l’AItique, astrononne. D’après Censorin, cap. 18, on le disait auteur de l’octaétéride, attribuée å Eudoxe. Il ne faut pas centoadre ce Dosithée avec Doeithée D’historien, cité par Plutarque. (XVIII, 74, n° a.)-Dossenusqu

Dorsenus Mundos ; cjélaientlà ses surnoms, gg PLINE.

son nom était Fablus. Poele comique, auteur d’atellanes ; llorace en parle, ll, eplst. I, v. 173. Sénéque, eptst. 69, rapporte l’inscription gravée sur le monument de Dossenus. XIV 15.

(nain, ag samœ, se aussi se la nmme auisabiaae ; Plutarque, in Alelb., p. 209. Il florissait du temvs de Ptolémée Philadelplie. Ouvrages : une Histoire de Macédoine, en quinze livres, Scliol. Aristopli., in Nub., 150 ; une Histoire d’Agatl|ocle, Atlnénée, XII, p. Mt ; Des pyramides d’Égypte, Pline, XXXVl, 17 ; un Llvre sur Euripide et Sophoçle, Athénéc, iv, p. tsá ; une Hlsloire de Libye, Suidas au mot Xáμta ; un Livre sur les combats des jeux publics, Suidas au mot esltvoo oftçaveç ; un Llvre sur les llmlles de Sames, Athénée, XV, p. 6963 un Llvre sur la peinture, Dlogène Laërte, ln That. ; un Llvre sur la tonutlque ou clselure, Pline, index XXXIV. (VII, 2, n° 23 ; VIII, 6l, n° 2 ; XXXtV, 19, n° 12 ;XXXVt, 17.) E.

Ernléon, prénom Décius(XXXV, 36, n° IO). Toutefois Hardonin pense que ce nom, qui dans l’Index avait été transformé en Décnléon par la réunion du d du prénom, est allére, et qu’il faut lire Aculéon avec le prénomde Déeimus. Sa raison est qu’on ne connatt point d’Eculéon parmi les noms romalna, et qu’an cou traire on connaît plus leurs Furlus —Acnléon. Quol qu’il en aoil, l’auteur donl il s’agit lcl avait écrit une Histoire de Tibère, ou tout au moins uu livre sur les tableaux.

Egnatlus Calvinus, préfet des contrées alplnes, du reste inconnu, avait écrlt ou sur les Alpes, ou sur les oiseaux. (X, 68-)

Éléphantlde, femme poete, célèbre par l’extnéme licence de ses poésies, Suétone in Tiber., a3. Galien, dans ses livres Sec. loc., parle d’un ouvrage d’Élópliautide sur les cosmétiques. (XXVtlt, 23.)

Empédocle, d’Agrigente, vivait vers l’an 450 avant Jésus-Christ, d’aprèa Diogèue Laërt. tn Emped. Ouvrages : Des propriétés des animaux, en vers, Élien, Hm. anim., XVt, 29 ; De la nature des choses, eu vers. Celse, dans la prétacede son ouvrage, le dit homme inslruit dans la médecine ; ll nenous reste que des fragments des écrits aampedœta. (xxx, 2 ; xxxvi, cs.)

Ennius (Quintns), un des plus anciens poëtes latins ; mort ll Rome l’an 169 avant Jésus-Christ. Ouvrages : Annales, dix-huit livres en vers ; Histoire de la guerre punique, en vers ; Satires, Comédies, Tragédles. Detoutœlail ne reste que des fragments. (Vtl,3l, n° 5 ; XVIII, 19.) lqlhippe, de Cuma, disciple d’Isocrate. Ouvrages : Histoire, en trente livres ; Merveilles, en quinze livres ; et autres qu’on peut voir dans Suitlas.

Éphore, de Come, ville de l’Éolide, disclple d’Isocrate. Ouvrages : De l’origine des villes, Polybe dans Strabon, X, p. 665 (ces deux écrivains donnent à Éphore de grandes lonanges) ; Deslnventtons, Strabon, XIII, p. 622 ; De la crue du Nll, Sehol. Apoll., IV, v. 269. Sénèque, Natur. quœst., VII, tt, suspecte la véracité de cet historien. Porphyre, dans Eusebe, Prœpar. I, p. 467, rapporte que Lysimaque avait écrit deux livres sur les plagiats d’Éphore. (Iv, st, ss ; v, sa ; vt, ss, n°’1 etz ; v||, 49, n° 2.) Épicharme, de Cos, mais amené de très-bonne heure en Sicile, et pour cette raison regardé souvent comme Sicilien, philosophe pythagoricien ; auteur de comédies, de traités sur la nature des choses, sur la médecine, sur la gnomonique. Columelle cite en particulier un Traité de médecine vétérinaire, dû a Épicharme. Pline lui attribue un livre sur le chou. Il n’esl passùr que le poëte et le philosophe solent un seul et même personnage. (VII, 57, n° 2 ; XX, 36, 36.)fipidluaûaius ouvrit une écoleetenseignala rhétoriqueμitreautresaliane-Antoineetå Auguste. Voy. Suétene,

Declan : rimer., 4. (xvu, aa, n° 2,)

Éplgéne, de Rhodes. Varrou et Columelle, l, l, le comptenl par-ml les écrivains sur l’agriculture ; il est cité par Censorinus, XVlt. Pline, dans l’index du livre II, le dilauteur d’une gnomonique. Épigeneseglorifiail d’avoir étudié chez les Chaldéens, Sénèque, Natur. quand., VII, 3. (VII, 50, n° t ; 57, n° 3 ;XXXl, N.)

Epiazeas, Lem-ss. Pline (xvm, st) che des Lettres, existant encore de son temps, adressées l’emper-eur Auguste par son procurateur d’Atrique.

Érasistrate, de Iulis, ville de l’lle de Céos, disciple du médecin Cliryslppe, et lui-même médecin uèscélèbre ll florissait vers l’an 300 avant Jésus-Christ. On raconle de lui qu’appela près du jeune Antioclius, fils de Séleucua, il découvrit, en lui talent le pouls, l’amour du prince pour Stratonice sa belle-mère ; mais cetle histoire est extrêmement douteuse, car on en raconte une toule semblable au sujet d’Hlppocrals à la courde Perdiccas tl, roi de Macédoine. Éraaistrate est un des premiers médecins qui aient disséqué des corps humains ; il avait composé plusieurs ouvrages qui sont aujourd’hui perdus. llécole des lšrasistratéens subsistait encore du lemps de Galien. (XIV, 9 ; XX, 34, 40, 76 ;XXlt, 38, lit ; XXW, 47 ; XXV, 35 ; XXVI, 6 ; XXIX, 3.)

Ératostlièue, de Cyrene, appelé par, Ptolémée Évergèle l", vintd’Athèues en Égypte, et Iut bibliothécaire d’Alexandrle. tl composa un grand nombre d’ouvrages : une Géographie, Schol. Apoll., tv, v. 259 ; une Mesure de la surface île la terre, Censorin, là ; une Histoire de la Galatie, en quarante livres, souvent cilée par Elieune de Byzance ; une Cbronographie, Denys d’Halicarnasse, t, p. 60 ; un Livre des vents, AchilleTatius, Phœnom., p. làs ; un livre Des positions des éloiles, ou calaslerlsmes. (ll, 76 ; ll, lt2 ; lll, 10 ; V,6,7,33, n°4 ; 86 ;’l, l, n° 3 ; là, n° l ; 2l, u° l ; 24, n° 2 ; 28, n° l ; 33, n° 1 ; 34, n° 3 ; 35, n° 6 ; XLL, 30 ; xxln, ts.)

I-Lrinna, femme poete, auteur de l’ode Xatpe μm, ’P¿›μ.u. (XXXIV, 19, n° 8.)

Eschyle, poële tragique athénien, très-célèbre par ses tragédies, dont il neuous reste que quelques-unes, florissait vers l’époque de la bataille de Marathon. (X, -is ; XXV, 5 ; xxxvit, ll.)

Èsope, Phrygien, auteur de fables, contemporain de Selon. (XXXVI, 17.)

Étrusques(I.ivres), Tuacorum Lilterœ. (lt, 53 ; tl, 85 ; X, 17.)

Euclide, mathématicien célèbre, qui florissait du temps de Ptolémée fils de Lagos. Ouvrages :Éléments, qui existent encore ; Phénomènes, et autres écrits de géométrie et de musique.

Euctémon, rangé parmi les anciens astronomes par Géminus et Ptolémée ; ce dernier, Ahnag., ltt, .2, p. 59, le qualitle d’observateur des solstices avec Méton, avant le temps d’Alexandre le Grand.

Eudicus, historien. (XXXt, 9.)

Eudoxe, de Guide, auditeur de Platon, dit Cicéron, Ds divin. 2, et, au jugement des plus savants, le premiersaus contredit des astronomes. Diogèue Laërte, VIII, p. 235, énumère ses écrits. Agatliémere, I, p. 2, cite de lui un Périple de la Terre- ll écrivit aussi un traité des phénomènes, en deux livres, au dire d’Hlpparque, Comment. ad Arai., dans Uranologium de Petau, et unautre traité intitulé Mlrolr, tvan*upav, au diredu mémelllpparque, p. 177. (XVIII, 74, n° 3 ; XXX, 2 ; XXXL, 13.) Eudoxe, de Cyalque, célèbre navigateur, florissait du temps de Plolémée Évergete. (ll, 48 ; VI, 36, n° I ; vu, 2, n°11.)

Eumaque. Phlégon, Mirabit., XVIII, p. 66, citeun I’.umaque auteur d’une description de la terre. Athènes, XIII, p. 577, cite un Eulnaque de Naples auteur d’une Histoire d’Annibal.

Ituphonlus, d’AIbenes ; mts par Varrou et Columelte, I, I, parmi les écrivains sur Pagricalture. (XIV, 24.) Bnphranins, médecin. Altlútlle, XI, p. 465, cite les Mé» nlclresdïšnphranlus.

I-Jupbranor, statuaire et paintre excellent ; écrivit sur la symétrie et les couleurs. (XXXIV, 19 ; XXXV› 40, a° t.) Buriptde, cétèbrepoête tragique d’Atheues, coatarnporain de Socrate et d’Ar-istepllane ; il est compté parmi ceux qui avaient écrit sur la crue du Nil par le Schol. spell, IV, v. ses. (XXXVII, ll.)

Évagon ou Evagoras, de ’I’hasos| compté par Varron et Oelumelle plrrrnl les ócrlvalns sur l’agriculture. Evaalbe, dellilet, d’apresDiogèue Laerte, laflal., p. 7 ; poète Iléroique, ’Athénée, VII, p. 296 ; écrivain grec non méprisable, Pline (vm, 34, ll’ 2), auteur de llytniques, Scllol. Apull., I, v. 1065.

lïvenor, médecin, auteur d’an ouvrage Burlea traitements, dont te cinquième livre estelle par Gœlhs Alretiauus, Citron., III, 6. (XX, 73, n° I ; XXI, IO5.) Evtlémère, de llessine en Sicile, vécut du temps de Ptolémée fils de Lagos ; Il avait été Ir-adult en lallu par Iànnius, Cicéron, deNnt. deor., I, p. 49 ; Itesl cite aussi par Cotumelle IX, 2. Il avait écrit pour prouver que les dieux du polythéisme étaient des hommes dtviniséå. Il avall écrit aussi sur les pyramides. (XXXVI, 17)

Explorateurs de Néron, Iswploratores Neronls ; tirent, par ordre de ce prince, un voyage de découvertes en Éthiopie. (VI, 85, n°6.)

F.

Fabianus Paplrius, très-versé dans la connaissance dela nature, dit Pllne (XXXVI, 24) ; émlaent par ses mœurs, par sa science, et, ce qui vient après, aussi par son éloquence, dil Séaeque, cpist. 40. Il lloriasail sous le règne de Tibère. Sénèque, epist. 100, le compare avec Clceron, Asiuius Potliou et Tite-l.lve. Ouvrages : Des animaux ; Des causes naturelles. (ll, Ire ; ll, IOB ; lx, s, a° s ; xll, 9 ; xv, 1 ; XVIII, ss, 6° lt ; xxlll, so ; xxym, la ; xxxvl, 24, n° 20.)

Fabius Dossenus. Voy. Dossenns.

Fabius Pictor (Quinlus) le plus ancien des historiens romains, dit Tlte-Live, I, p. 16 ; pril pour modèle de son histoire Dtoctes de Péparethe, dil Plutarque, ln Rom., p. 19 ; écrivit en grec, dit Denys d’IIalicaruasse, I. p. 5 ; vécut da temps de la guerre d’Aunibal, Tlle-Llve, XXII, p. 210 ; parent du Fabius tllaxlmus qui arrête Anuibal, Plutarque, ln Fab., p. lat. Ouvrages : Histoire romaine ; Des clloses naturelles, Nonnius, XLL, 3, v. Plcumuus ; Du droilpontitioat, Ilacrobe, Saturn., III, 2. (VIII, 34, n"3 ; X, 34 ;XIV, lt ; XXIX, 39.)

Fabius Vestatis ; cité dans l’Index du llvre IX. (VII, 60, u’ :)

Fabricius Tnscus ; cité dans PIndex du livre III. Favouius. Mauvaise leçon de quelques éditions, au lleu de Fabianus, nommé plus llaul.

Fenestetta Lucius, historien et poète ; mourut la dernière année du règne de Tlbère. Nous savons par Nonnlus, cap. I, qlfll avait composé desAnnaIes. (VIII, 7, n° 2, 74, n° I ; IX, 30, 59 ; XV, I ;XXlI], 6, 52 ; XXXXV, 46, n° 3.) Fetialis. Voy. Annlus Felialis.

Flgulus. Voy. Nigidius Figulus.

Fîrmus, auteur d’un traité d’horticulture, Pline, ludex XIX.

Flavins Atltus. Voy. Allius Flavius.

Flavins Ouetus, lila de l’aIIrauclll Aunius et secretalre rlktpplus Cœcns. Il rendit publics les jours fastes, allu que le peuple sul quand tl était permis d’lnlenfer une action jükiairc. Il [nl édite curute t’an 305 de Rome. G.

Galba Servius. Hardoutn pease qu’il s’agil du Galba doat Cicéron, Deorat., I, p. 275, vante l’éloquence. Autre est Gatba Sulpicius, dont il est fait mention par Pline, XXXIII ; celui-la était frère de l’elnpereur.

Gallus. Voy. Sulpiclus Gallus. Gelllanus, historien ; du reste, inconnu ; cité III, 17. Gellius (Cneius), contemporain de Varron, auteur d’An : nales citées par Auto-Gette, XIII, 22, et PGI’ Macrube, SaIurn. I,16. (vl|, :›7, n°’2,4, cet 1.). Gerluanicus, lits adoplil de D’empereur Tibère, .elemd’un poëme sur ua cheval d’Auguste. (VIII, 64, n° 3.) Gtaucias, médecinernpirique, appartenant au troisième siècle avant Pere chrétienne. Ouvrages : Des remèdes simples ; Explication, suivant l’ordre alphabétique, des mots obscurs des livres hippocratiques, Erotien, p. 16, éd. Franz. (xx, os ; xx|, loa ; xxu,47 ; xxlv, s1.) Glaucon, que Pline (XXII, 22) dit avoir employé comme Nicandre le bupleuron, plante vantee par Hippocrale, est sans doutete même que le médecin du consul Pause. Pansa, blessé il la bataille de Modène, ne tarde pas a succomber, et son médecin fut soupçonné de I°avoir empoisonné. Voy. Brut., Eplsl. ad Glccr., 6 ; la le médecin eatnornaléGIaucon ; mais dansåuétoue, Octau., ll, ilesl nommé Glycou. (XXII, 35.) Graccllauus. Voy. Junius Glaccllauus.

Gracilts. Voy. Turranills Gracilis.

Graacinus. Voy. Julius Grœciuus.

Granius, compté parmi les médecins par Fabricius, Bibt. gr., parce que, d’après Pline, il regardait un calcul extrait de la vessie par l’instrument tranchant, cl attacllé au pubis, comme plus propre à soulager les douleurs de cet organe qll’lln calcul sorti spontanément. Ce passage, sans autre désignation particulière, ne suffit pa ! pour qu’on melle ce Granius au nombre des médecins. (XXVIII, 9.) H.

Ilannon, navigateur carlbaglnots, auteur d’un Per-iple de l’AIrlque, Athéuée, III, p. 83, qui fut traduit eu grec, et dont nous possédons un fragment. (ll, 67 ; V, l, n°7 ; VI, 36, n° 4.)

Ilarpale, célèbre malbématlclan, qui corrigea l’octaótéride de Ctúzlstrate. Il fut à son tour corrigé par Melon, qui ù foclaétéride substitua la période de dix-neuf ans. Il est lait mention d’Harpale dans Geuscriu, cap. 12, et dans Festua Avieaua, adaratl Phmt., lol. 65 b. Ilécatée. Il y a deux Hecatée l l’un de Milet, qui vlvait. vers l’an 550 avant l’ere chrétienne ; l’autre d’Abdere, qui accompagne Alexandre to Grand dans son ex.perIilioa. 11écalée de Iitel avait composé une descripttea de ta terre, Festus Avienus, Dncrtpt. orœ morts., v. 42, et un outrage historique cité par Enaèbe, Prœpar. X, p. 466 ; Hóltalålt d’Abdere, unllvre sur tes hyperboréens, cité par Éliens Htsl. an. XI, I, et par Schol. Apotl., Il, v. 677. Gomme ce que Pline áte d’llécatée est relatif aux nations du Nord, Il est vraisemblable que l’Heeatée dont llparle est celuidlbdèrs. (IV, 27, n° 4 ; VI, 20, n° 3.)

Hégesias, de hlaronee en Thraca. Varron.eI Octumelte, I, 1,10 placent parmlles écrlvatna sur Vagricutture. Vitru ve, VIII, 4, dilqu’tl avattexposé avec beaucoup n’exaelitude, et un soin lnllnt, les propriétés. des lieux. et les vertus des eaux. (VII, 57, n° 16.)

Hégesideme, de Cylbnos, ettépar Sotin, cap. 12. (IX, B n° 6. Iléllodzrre Athènes, VI, p.229eIIX, p. 406, donnequet ques extraits d’un ouvrage d’Héticdore, Athénien, tePérlógèle, intitulé De l’acropole dúttbùnss, ouvrage qui était en qulnœ livres. Iëlarpocration en fait aussi mention au mot llporrólata, p. 255. Qtobéa, såfîfis 242, p. 792, Gite un livre rrtiéllodore Sur les spectacles d’lulis.

88 PLINE.

I-lcllanicus, de Mitylène, blstorien ; de douze ans antérleura Hérodote, d’après Aulu-Gelle, XV, 23.ouvrages : Établissements des peuples et des villes, Athénée, t, p. 667 ; Schol. Pindar., p. 63t ; Égyptiaques, Aulu Gelle, t, 2 ; Des dénominations des peuples, Athéuée, Xt, p. 662 ; Schol. Apoll, IV, v. 322. (tV, 22 ; Vlt, 69, n° 2.) ltemina. Voy. Cassius Hemina.

liéraclide, auteur du livre intitulé ’A1wcu ;. (VII, 63, 11° 2.)

ltéraclide, cité sans autre désignation dans l’index du livre IV. Est-ce l’l-léraclide auquel aalnt Clément d’Alexandrie attribue un livre sur-l’origine des villes, Protrept., p. 25 ? ou est-ce un Héraclide de Crète dont Apollonius, Hist. comment., cap. ln, cite un llvre Sur les villes de la Grèce ? liéraclide, d’Érythres, nou loin d’Éphèse, dans t’Asle Mineure ; médecin, de la secte Hérophllienne, le plus célèbre des disciples de Chryserme, Galien, De differ. puls., IV, 10. Ouvrages : De la secte d’IIérophile ; Commentaire sur le troisième livre des Éphlémies d’lil|›pocrate ; Explication des caractères attachés ä ce troisième livre ; Commentaires sur le sixième llvre des Épidémies. Il parait, d’après Strabon, XIV, p. 645, qu’Héraclide était contemporain de ce géographe. liérsclide de Tarente, médecin très-célèbre de la secte empirique. On le place vers le milieu du troisième siècle avant l’ère chrétienne. Ouvrages : Des traitements luté rieurs, Cœlius Aurélianus, Chron., t, 6 ; Desanimaux sauvages, Galien, De antid., tt, 16 ; Desslmples, Galien, tbid., I, t ; De la préparation et de l’épreuve des médicaments, Galien, De simpl. medio., Vi, in proann. ; un Commentalre en plusieurs livres s’étendant a tons les écrits hippocratiques. (IV, 23 ; XX, 17, 73, n° 6 ; XXlt, 8.)

Hermlppe, de Smyrne, dont Josephe, Contr. Apion, t, loue l’exaelltude historique. Ouvrages :Des mages (Pline, XXX, 2) ; Vles des hommes illustres ; “Sur les sages ; Sur Pythagore, et autres ouvrages que Diogène Lsërte cite in Heal., p. 8 et 10.

liermodore, d’Éphese, interprète des lois des décamvira. (XXXIV, tt.)-Iiérodieus.

Voy. Prodlcna.

Hérodote, d’I~lalicamasse, auteur d’une histoire qui est entre les mains de tout le monde. Il liorissait dans le cinquième siècle avant l’ère chrétienne. (li, 87 ; V, 10, n ° 8, 16, n° 2 ; VII, 2, n° 2 ; VIII, 6 ; XII, 8 ; XII, 60, 62 ; XXXVI, 17, 19, n°1.)

iiérophile, de Chalcédolne en Blthynie, célèbre médecin, vivait vers l’an 300 avant Jésus-Christ ; fondateur d’une secte médicale qui dura longtemps. Ouvrages : Anatomie, Galien, Daanat admin. ; Vl,8 ; Du pouls, id., De differ. puts., IV, 2 ; ’l’raitements, Cœlius Aurelianus, Citron., lI, 13 ; Commentaire sur le Pronostic d’lilppocrate, Cœlius Aurelianns, Citron., IV ; 8 ;Des yeux, Aétiua, Ibtrabtbl., VII, p. 132, Ald., 1636 ; Diététique, Sextus Empiriens, Ado. math. X, 3. Hérophile disséqué des corps luunains ; Celse, Préf, etîertuliien, De anima, cap. 10, ont même dit qu’il avait diaséqué des hommes vivants condamné sa mort pour crimes. (XI, 88 ; XXV, 6 ; XXVI, 6, 8 ; XXIX, 6.) Hésiode, de Cumes dans l’Éolide, ASÎG Mineure, mais qui résida à AUCH dans la Béotie. Il composa un livre Sur les astres, Pline (XVIII, 67) et Athénée, XI, p. 491. Cet ouvrage est perdu ; mais on ade lui les poèmes suivants = Des travaux et des jonns ; Théogonie ; Bouclier d’Hercule. On ne sait pas au juste Pêpoque où il vivait ; toutefois on le place d’ordinaire dans le neuvième siècle avant l’ère chrétienne, et a peu près au même temps qu’Homère. (VII, 69, n°1 ; 67, n° 6 ; X, 83, n° l ;XlV, 1, n° 2 ; XV, 1 ; XVI, 11 ; XVIII, 66, 67, n° 6 ; XXI, 21, 68, 86 ; XXII, aa, ss, ss ; XXIII, sa ; xxv, s ; xxvm, is.) liicéaius, médecin de la secte Érasistratéenne. On le place dans le premier siècle avant l’ère chrétienne. l)’sprèa Pline (XXVII, 16), ses écritsjouisaaient d’une assez grande autorité. Ouvrages : De la matière médicale, Athénée, Vil, p. 29i ; Des parfums, id., XV, p. 689 ;DesPoisanns, id, Vil, passim ; De la préparation du vln, Plin., Index XV. (XtV, 2-i ;XX, 17 ; XXII, 18 ; X.XVIt, tt.) Hiéron, roi de Sicile. Varrou et Columeile, I. t, le mettent parmi les écrivains sur l’agriculture, avec le roi de Pergame Attale Philométor. (XVtll, 6.)

Himilcon, général carthaginois, auteur d’un périple eu punique, Festus Avienus, Descrtpt. ora : martt., v. 612. (tl, a1.)

Hipparque, de Nicée en Bilbynie, le plus grand des astronomes de l’antiquité ; il florissait vera le milieu du deuxième siècle avant.l. C. On a de lui des Explications sur lesPhénomènes d’Aratus et d’Eudoxe. Il avait composé plusieurs autres livres, qui ont tous péri. (II, 9 ; Il, to ;11, 24 ; 11, ts ; 11, ua.)

Hippocrate, de Cos, le plus célèbre médecin de l’antiquité, liorisaait dans le cinquième siècle avant l’ère chrétienne, et était contemporain de Socrate. On a plusieurs livres qui portent son nom, mais qui ne paraissent pas être tous de lui. Il ne faut ajouter aucune foi au récit touchant son entrevue avec Démocrite, regardé comme fou par les Abdéritains, touchant les services qu’il rendit aux Athéniens dans la peste d’Athèues, et touchant son refus d’aIler combattre la peste qui désolait l’empire du grand roi : toutes les pièces sur lesquelles ces récits reposent sont apocryphes. (Vit, 37, 52 ;XVIII, 16 ; XIX, ts ; Xx, 22, 23, si, st, n° 1 ; ss, ss, sa, nee ; 93 ; xxl, to, 11, es ; XXII, ts, sa, ss, as ; XXIV, 92 ; XXV, 18 ; XXVI, 6, 50, 76,90 ; XXVllt, 16 ; XXIX, 2, 30,38 ; XXX, 2 ; XXXtt, 46 ; XXXVI, 69.) Ilipponax, poète. (XXXVt, 6, n° 2.)

Ilomère, prince des poètes grecs. Dans l’antiquité, aa patrie était un objet de controverse ; son époque n’est pas non plus exactement connue ; ce qu’il y a de certain, c’est qu’il estIe plus ancien des écrivains grecs. (tl, 6 ; II, 66 ; ll, 87 ; tll, 9 ; lIl, 12 ; ttt, 15 ; lV,6 ; tV, 16 ; lV, 16 ; tV, 19 ; IV, 23 ; V, 8, 10, 11° 6 ; 33, n° 2 ; 60, n°’t et 3 ; VII, 2, n° 19 ; ls, n°2 ; vu, so, so, rv* s ; v111, 73, 11° s ; 76,1|°2 ; IX, en, n°3 ;X, 3, n° l ; 70 ;XlII, t ;XIll, 2l ; XIII,27, 30 ;XlV, 6,9 ;XVI, 8, 26, -’s6 ; XVII, 3, n°10, 6 ; XVIII, 7, 19, 20, ma ; x1x, e ; XXI, st ; xxu, 21 ; xxlu, sa ; xxtv, 60 ; XXV, 6, 8, 38, 79 ; XXVltl, 6 ;XXIX,8 ; XXX,2 ; XXXI,32 ; XXXII, 63 ; XXXItl, 3,6, 23, 38 ; XXXtV, 41 ; xxxv, a, n’a ; sa, 6° ss ;6o, 11° 1 ; xxxvi, s, ao.) Horace (Quintus Horatius Flaccus), l’amide lttécène et d’Anguste, né à Venusium denx ans avaut la conjuration de Catilina, et mort l’an de Rome 767. (X, 76, n° 2.) Hortensias, célèbre oratenr romain, ami et rival de Cicéron. Il plaida pour Verres. Auteur de bsrangues, d’annales, de poésies ; tous ses ouvrages ont péri. Horus, roi des. Assyriens, inventeur de plusieurs médicaments. (XXX, 6l ; XXXVII, 62.)

Iiygin (Caius Julius), surnommé Polyhistor, dit aaintãér6me, Clu*on. ad Olymp. CXCII, ann. 4. Hygin, dit Suétone, De tllustr gramm., cap. 20, affranchi d’Auguste, Espagnolde nation, très-lié avec lepoête Ovide, fut bibliothécaire de la bibliothèque Palatine. Ouvrages : Des villes d’Ilalie, Macrobe, Saturn., I, 7 ; Commentaiie sur Virgile, id., VI, 9 ; Des hommes illustres, Asconius Pedianus, Orat. in Picon., p. 6 ; De l’agriculture, Columelle, IX, 2, lequel falt un grand éloge de ce livre ; Astronomtcum poelicum, ouvrage qui existe encore aujourd’hui. Quant au livre intitulé De limitibus constituendis, il est d’un autre llygin, de beaucoup postérieur, lequel était arpenteur. (XIII, 67 ; XVI, 86 ; XVIII, 63 ; XIX, 27 ; XX, 65 ; XXI, 29.)

Hylas ; avait écrit sur.les augures. (X, 18.) LIVRE I. en

I.

Iaeebns. grammairien. Suétone. De tlluslr. gramm. ap. 3. (XXXtt dans t’iudex ; X.XX’tI. 54. n” 8.) Icüius. Voy. Hicésius.

Icétidas. médecin ; mais ce nom est douteux. car à laudnit lire plutôt Hicétidas. (XXVtII. 23.)

tclius Caius. Voy. Cinetus.

Ioltas. de Bithynie. médecin. Dioscoride. tn prœfat. Ouvrages ; Des propriétés des plantes Scliot. Nicandr. tn ner.. p. 32. (XX 73. n° t. 76 ; XXXtV. 22.) tsidore de Charax vitte dans la Parttiie. décrivtt cette contrée dans un tivre qui subsiste encore ; Xrobμoi mpflmol ; il vivait du temps d’Auguste. (It. tt2 ; IV. 5. 30. 37 ; V. 6. 9 ;33. n°4 ;35. 36. 37.38. 39. 43. n°4.) Isigone, de Nicee. Autu-Gelte. IX. 4.te range parmi tes écrivains qui ne jouissent pas de peu d’autorité. Ouvrages ; Deschoses incroyantes. (VtI. 2. n°’ 4. 8 et 20.) lsménias ; paratt avoir écrit sur tes pierres. (XXXVtt. 23. as.)

J.

Julia. fils du Juba roi de Mauritanie. qui fut vaincu par César. et qui se donna ta mort Son fits fut mené en triomphe. Auguste te maria à une titte d’Anl.oine et de Cléopatre. et tui rendit te royaume de son père. Le roi Juba tut un homme très-savant ; à composa un grand nombre d’ouv|-âges : De d’expédition en Arabie. Ptiue (Vt 3t) ; De ta Libye. Ptutarque in Pareil. p. 3tt ; Histoire d’Assyrie. Tatien. Orat. contraGrœc..p.t84 ;Det’euptiorbe(Ptine. XXV 38) ; Des peintres. Harpocration au mot Parrhasius : De ta peinture. id.. au mot Polygnote : histoire du théâtre. Athénée, tv. p. 175.(V. 10.n° tt ; VI. 26. n° I ; 30. n° 7 ; 3t. n" 13 et 14. 32. n°° 7. 8 ett3 ; 34 n°° 2. 6 et 7 ;35. n° 2 ; 36, u°4 ; 37 ; Vttt. 4. 5. n° 6 ; 13 ;45 ; 64. n°3 ; tX. 56. n’ 4 ; x.et ; xrt 22.3l.32. n° 2 ; 4o ; xttt. 7. n° 5 ; 9. n°6 ; XIII. 29. 52 ;XV. 28 ; XXV. 6.38 ; XXXC. 15 ; XXIII. 4 ; XX.Xttl 40 ; XXXV. 22 ; XXXVt. 46 ; XXXVlt 9. 18. 32 ; XXXVtt 35.)

Julius Aquila. Voy. Aquita.

Jutius Atticus. Voy. Atticus Julius.

Jutius Bassus. Voy. Bassus.

Jutius Grœcínus ; avait composé un ouvrage en deux tivre : sur la Cuttnre de ta vigne. Cotumetle. t. t. It était sénateur. orateur étoquent et homme de bien ; à fut mis à mort par d’empereur Catiguta. (XtV 4 n° It ; XVt. 90.) Junius Cracchanus que Varron ctte. De lingua latina. V. p. 50. sous te nom de Junius Gracchus ; avait été ainst appelé d’après C. Gracctius. tribun du peupte. au rapport de Pline (XXXltl. 9). Ouvrages ; Mémoires historiques. lherobe Saturn.. I. 13 ; Des magistratures Utpieu. de 0./je.. quam. I.

L.

Labéon. Voy. Antistius Labóon.

Laberius ; son prénom était Décimus. d’après Maerobe Satan.. II 6 ; auteur d’une espèce de pièces de théâtre mon appelait Mines. lt mourut Irès›peu de temps après le meurtre de César. Horace, I. Sat.. X. 6.te citeavec éloge. (II, 28.)

Lœlius ; cité à côté de deux autres jurisconsultes du reste inconnu ; peutfétre était-ce un juiiseonsutte ; peut-être même. au tien de Lœlius. faut-il lire 1E.lius (Voy. ce nom.) (XtV. 15.)

Laîs, sage-femme ; paratt avotr écrit sur d’avortement ou sur les ms ladies des femmes. On connaît deux Lais ; l’une. la mère, contemporaine d’Atcibiade ; t’autre. sa Iitle naturelle on sdoptive. Est-ce une de ces deux Luis. ou une troisième, qui estcitée par Ptine ? (XXVltI. 23.) Lenœus Pompeius aflîrauctii du grand Pompée. t’accomtfqua dans presque toutes ses expéditions. et. après tu mort de son patron ouvrit une écote pour gagner sa vie. Suétone, De ttlustr. 9ramm. cap. 15. tt fut un des premiers qui parmi tes Romains écrivirent sur la médecine. (XV,39 ; XXIV. 41 ; XXV. 3. 27.)

Lea : duodeeim Ihbularaun. Loi des douze Tables (Vtt. 60 ; Xt.58 ; XVt 6 ; XVII. t. n°5 ; XVttt. 3. n° 4 ; XIX. t9. n°2 ;XXt.5 ;XXVItt. 4 ; XXX.3.)

Licinius Catvus. Voy. Catvus Licinius. Ltcinius Macer (Caius). accusé de péculat. tt fut condamné par Cicéron. Bpist. ad Attic.. t. 4. Ouvrage :Histoire. Macrobe. Saturn.. t. 10 et 13. (XXXlt 3. 5.) Licintus Mucianus. Voy. Mucien.

Livius Titus. Voy. Tite-Live.

Livius Fitius cité dans t’index du tivre V ; mais à est possible que cette leçon soit vicieuse. et née de quelque erreur de copiste. Quintitien X. t. cite une tettre de Tito-Live à son fits sur ta tecture de Démosttiène et de Ctcéron. Lucite (Caius). le premier qui parmi tes Latins écrivit des poésies satiriques. tt avait servi dans ta cavalerie sous te second Scipion t’Atricain. dans ta guerre de Numance. Velleius. tl. 9. (Vtlt.74. n° 2 ; XXXVt Gt.) Lucrèce (Titus). ptiitnsophe épicurien et poète excellent. contemporain de Cicéron. tt est auteur d’un poëme tntitulé De la Nature des choses. et qui est parvenu jusqu’à nous.

. Lycées. de Naucratis ea Égypte. auteur d’un ouvrage intituté Égyptiaques. Atbénóe. XIII. p. 560 ; et XtV. p. 616. (XXXVI. 19. n° t.)

Lycus. historien. de Rtiégium. Ouvrages : Histoire de ta Libye etdeta Sicite ; Des fleuves et des sources ; Sur Alexandre. (XXXt. 19.)

Lycus. de Naptes médecin. cité par Érotien. Gloss.. p. 216. éd. Franz ; auteur d’un Commentaire sur te livre d’IItppocrate intitulé Des tieux dans t’homme ; à avait aussi écrit sur ta matière médicate à en juger par tes extraits qui sont conservés dans Oribase Vttt et IX. tt ne faut pas te confondre (cette remarque est tai te par t’auteur de t’index dans t’éditions de Lemaire) avec Lycus de Macédoine. médecin aussi. mais qui était presque contemporain de Galien. tandis que t’autreest sntérieurà Pline. (xx. aa.) Lysimaque ; écrivit sur t’agricutture. d’aprée t’index du tivre XVII. et d’après Varron et Cotumelte. t. 1. M..

Macer Ašmilius. Voy. Aãmitius Macer.

Macer Licintus. Voy. Licinius Macer.

Magi tes mages. XX 30. et ailteurs en beaucoup d’endroits. Ilagon. de Carthage ; avait écrit Sur d’agriculture, en carthaginois. un ouvrage qui fut traduit en grec par Dionysius. Voy. ce nom. Columette. t. 1. nomme Magon te père de t’agricutture. (XVtt. tt. n° 3. tô ; XVtt. 19. 30. n" 2 ; XVttl. 5. 7. n° 3. 23 ; XXt. os. 69.) Mamitius Sure. de ta famitte des Mamitius. avait écrit Sur fagricutture. (XVIII. /12.)

Manilius Titus. sénateur. jurisconsulte. versé dans d’histoire et toute espèce de littérature tiorisssit du temps de Marius et de Sytta. Cicéron. De orat.. I. et Epistfam-. Vit. to. te nomme Marcus Msnitius ; presque toujours it le cite avec P. Mueius Scœvota jurisconsulte très-habite. Le Msnitius dont nous avons un poême Sur d’astronomie n’a rien de commun avec cetni-ci. (X. 2. n° 2.) Marcion. de Smyme. avait écrit sur tes effets des médicaments simptes. Hardouin pense que Mardon est une faute de copiste, pour Micton. Voy. ce mot. (XXVtII. 7.) Marsus Domitius, poète. contemporain de Virgite. Ouvrages : le Combat d’Hercute contre les Amazoues ; Fabtes. Charisius. I p. 55.

Marsyas. de Pella en Macédoine, frère d’Antigonc. qui ou PLINE.

régna après Alexandre. Ouvrages : Histoire de l’Attique, en douze livres ; Histoire de la Macédolne, en dix livres. Voy. Suidas.

Masurius ou Massurius Sabinus, chevaler romain, jurisconsulte très-célèbre, du temps d’Auguste. Perse le cite, Sal., V, 90. Ouvrages : Du droit civil, Aulu Gelle, tV, t ; Ittémorial, id., V, 6 ; Des triomphes des Romains, Pline, xv, as. (vtt, 4, n- s ; vtt, 44 ; x, s ; xv, ss, to, n° 2 ; XVt, 30, 86 ; XXVtlt, 37.)

Matius (Caius), chevalier romain, ami de D’empereur Auguste. Columelle, Xtt, 44, cite de lui trois ouvrages. Matius avait inventé l’art de tailler les bosquets. (XII, 6.) Maximus Valérius. Voy. Valère-Maxime. ~ Mécèue (Caius Cilnlus), chevaler romain, favori d’Auguste, protecteur de Virgile et d’IIorace. Ouvrages :Dia-Iogues, Poésies. (Vlt, 46, 52 ; Vtll, 68, n° 4 ; tX, 8, n° 2 ; XIX, 57.)

Médius, très-ancien médecin grec, probablement du quatrième siècle avant l’ère chrétienne. (XX, 13.) Mégasthène, historien, sité par Strabon, ll, 76, qui lui accorde peu de confiance. Son ouvrage sur l’tude est cité par saint Clémeut d’A|exandrie, Sh’om.› t, p. 305, qui le fait contemporain de Séleucus Nlcator. (VI, 2I, n° 3 ; 22, n° 6 ; 24, n° t ; VII, 2, n°’ 14, l8et22 ; Vltt, te.) Mégès. Celse, V, 28, le nomme le plus habile des chirurgiens. (XXXtl, 24.)

Méla (Pomponius) de la Bétique, province d’Espagne ; vécut sous le règne de l’empereur Claude ; auteur d’un ouvrage géographique intitulé De situ orbis, qui est parvenu jusqu’à nous. tl ne faut pas le confondre avec Annœus Ittéla, fils de M. Annœus Seneca.

Melior Umbricius. Voy. Umbricius.

Méllssus. Suélone, De lllustr. gramm., cap. 3, parle d’un Lenœus Melissus ; cap. 2I, d’un C. Melissus Mœcenas, al franchi de Mécène, chargé des bibliothèques du portique d’Octavie, et auteur d’un livre Intitulé Facéties. Enfiu, Albert le Grand, Vt, De animal. tract., cap. 6, cIte un Mélissus, auteur d’un livre Sur les animaux. Hardouin pense que c’est plutôt ce demler dont Pline a fait usage. (XXVIII, 17.) Ménœchme, de Slcyonez Ouvrages : Des artistes, Athéuée, XIV, p. 635 ; De la ciselure, Pline, XXXIV, 19 ; Itistoire de Sicyone, Athénée, III, p. 27t ; Histoire d’A-Iexandre, Suldas au mot Mdnœchmo. (tV, 2t ; XXXIV, 19, 0° 30.

Ménåndre, poète comique célèbre, disciple de Théophraste. tl avait composé un graud nombre de comédies, dont il ne reste que des fragments. (Vtt, 8I, n° 2 ; XIII. 2, n° 7 ; XX, 93 ; XXIII, 8l ; XXX, 2 ; XXXII, 24 ; XXXVI, 5 ; XXXVtt, al.)

Ménandre, d’HéracIée (on ne sait de quelle HéracIée) ; avait écrlt sur l’agrieuIture, Varron, I, t. C’line, XVIIt, t4, ou bien le Ménandre suivant.)

Ménandre, de Priène en Ionle ; avait écrit sur l’agriculture, Varron et CoIumelle, I, I.

Ménandre, auteur d’un livre lnlilulé Biochrestes, c’est à-dire, Recueil de choses utiles à la vie ; cilé dans l’iudex des livres XIX, XX, XXI et«XXlI. (XIX, 34, u° 3.) Ménécrale, d’Épl1èse, auteur d’un poème sur l’agriculture, ’arron, I, t.

Ménécrate de Syracuse, cité dans l’index du livre XI ; sans doute le médecin nommé par Atbénée, VII, p. 289, et que Galien, Sec. loc., VI, 9, dit avoir composé un exceiient livre Sur les médicaments. (XI, 7.) Messala l’Orateur. Voy. Gorvinus Messala. Messala Rufus, cilé dans l’Index du livre VII. (VII, 53, n° i.)

Messala Senex, appelé Messala le censeur par Pline, VII, 10, et Messala l’augure par Aulu-Gelle, XIII, to. Ouvrages :Des auspices, Aulu-Gelle, ibid., ou bien De l’explication des augures, Fesíus v. Marspedis ; des l

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familles romaines : Pline a puisé des renseignements dans cet ouvrage..(XXX.Ilt, 14 ; XXXIV, 38 ; XXXV, 2.) Messalinus Cotta. Voy. Gotta Messaliuus. Metellus (Qulntus), auteur d’une oraison funèbre de son père L. Métellus, fut consul l’an de Rome 546 ; avant J. C. 208. (Vtt, 45, n° t.)

Métellus Sciplon, beau-père de Pompée, chef du parti pompéien après la bataille de Pharsale ; continua la guerre en Afrique, fut battu la Thapsus par César, et se perça de son épée. (VIII, 74, n° 3.)

Méton, astronome athénien ; inventa Pennéadécatéride, ou nombre d’or. Il florissait vers le commencement dela guerre du Péloponèse, 430 ans avant l’ère chrétienne. Métrodore ; écrivlt sur D’architecture (Inrlex du livre XXXV). Est-ce le même que le Métrodore, philosophe et peintre, du livre XXXV, 40, n° 10 ? Métrodore, de l’IIe de Chios, auteur d’un Abrégé de botanique, Pline, XX, 8l ; Cicéron, Acad. quœst., p. 58, cile de Métrodore de Chios un livre Sur la uature. (VIII, 14 ; XX, Sl ; XXV, 4 ; XXXVLI, lt.)

Métrodore, de Scepsis, dans la Troade, appelé aussi Miaoromée, à cause de sa haine pour les Romains (Pline, XXXIV, to). Dans Cicéron, Dc orat., tl, p. 545, Anloiuc, un îles inler-Iocuteurs, dit que Ittétrodore vivait encore de son temps. Il avait écrit sur l’aliptique ou l’art de faire les ouclions, Athénée, Xlt, p. 552. Comme il est cité par t*Iine dans l’iudex du llvre III, et dans le chapitre 20 de ce meine livre, lequel est consacré Iout entier à la géographie, Itardouiu pense que le Métrodore, sans autre désigualion, nonuné dans l’index des livres tV et V, qui sont aussi tout entiers géographiques, est le Métrodore de Scepsis. (tII, 20 ; V, 88 ; VII, 24 ; xxvtu, 23 ; xxxtv, ts ; xxxvn, ts, ss.) Mlclon, médecin, nom diversement écrlt dans les mss. ; mais Hardouin ponse qu’il faut Ilre Micton, attendu que d’après Pline (XX, 96) le médecin dont il s’agit est auteur d’un llvre de botanique, et que le Schol. Nicandr. tn Ther., p. 29, cite un Traité de botanique d’un certain Micton.(XX, 96.) Milétus ; peut-être, dit Hardouin, faudrait-il écrire Mé-Iilus, car Suidas cite un Mélitus, orateur et auteur tragique, contemporain de Socrale ; ce Mélítus est nommé par le Schol. Aristoph. tn Ran., p. 273, et par Ašlien, Var. Hist., X, 3. (XXVItt, 2.)

Mithridate, roi de Pont et de Bilhynie, célèbre par ses guerres contre les Romalus. Il avait écrlt des Mémoires sur les remèdes secrets des maladies ; ces Mémoires furent transportés à Rome par Pompée, qui chargea son affranchi Lenœus l’ompeius de les traduire en latin. (VII, 24 ; XXIII, 77 ; XXV, 3, 27, 79 ; XXXVII, Il.) Mnaséas. de Patare en Lycie, cité parmi les écrivains sur l’agriculture par Varron et Columelle, I, t. I I avait composé un livre Sur les choses de l’Europe, Athénée, IV, p. 158, et un Pénple, id., VttI, p. 331. Columelle, XII, 4, le dit auteur qui ne manque pas de renom parmi les Grecs. (xxxvu, xL)

Mnésidès, médecin, du reste Inconnu, cité par Primes, vt, p. 1o1.(xx,1s.)

Mnésigilon, auteur incounu. (VII, 57, n° Io.) Mnesithée, d’Atbènes, médecin, d’une époque Inoertaine, cependant fort ancienne, peut-elre vers le temps d’Aristote ou d’Érasistrate. Uue lettre de lui, sur l’actioa de bolre à grands coups, est citée par Athéuée, XI, p. 483 ; le même, III, p. 80, parle d’un IívredeMuésithée sur lesaiiments, duquel Varron avait extralt des renseignements sur les diverses espèces de vins, comme on peut voir dans Aulu-Gelle, XIII, 30. Pline (index XXI) le dit auteur d’ua traite Sur les couronnes. (XXI, 9.) Monumenta (Pline, II, 57). M. Leclerc, Des journaux chez les Romalns, p. 227, pense que cette expression dans le passage de Pline, désigne les Acta diurne. Voy. Acta populi romani.

LIVRE I. tlt

Iœchion, auteur n un livre Sur le raphanus. C’est sans doute le ltoschion Diorthôtes, qui vivait dans te premier siècle avant t’ère chrétienne. Quant au Mosehion dont nous avons un traité Sur tes tnaludiesdes femmes, tt appartient au troisième siècle après Jésus-Christ. (Xtx, 26, n° 6.)

lucien (M. I.icintus Crassus Mucianns), trère de P. Muciusãcœvola ; passa, adopté par Crassns, de la famille Mucia dans la famille Licinia. Favori de Vespasien, qu’it contribua å élever à t’empire, à fut trois fois consut, et Pline se sert de cette particularité pour le distinguer des autres. (tt, 106 ; tV,22 ; IV, 24 ; V, 9, n° 4 ; 20, 34, 36 ; Vtt, 3, n° 3 ; 49, n° 6 ; Vttt, 3, 76 ; n° 2, 60 ; tX, 10, 31, 4t,49,85 ; xl, os ; xu, s ; xnl, 27 ; xw, c ; xvi, 79 ; xix, 2, u° 5 ; xxl, 17 ; Lui, 1a, io ; xxxu, 2i ; xxxw, 17 ; xxxvt, 27,29.)

Muudus Donsènus. Voy. Dossenus Illundus. Musa. Voy. Anlonius Musa.

Musée, d’lšleusis, poële, disciple d’orphée ; personnage fabuleux, sous le nom dnquell’antiquité possédait plusieurs écrits apocryphes qui ne’nous sont pas parvenus. (XXI, 2t, 84 ; XXV, 5.)

. Myrsile, ou Myrlile, de Lesbos ; auteur d’une titstoire de Leshoe, Antigone de Caryste, cap. 5. Strabon le cite, Xlll, p. et7. fut, la ; IV, 22.)

N.

Néarque, amiral d’Alexandre ; fut chargé par fut de descendre t’Indus, et de parcourir t’océan tusqu’à d’embouchure de I’£uphrate ; auteur du reclt de cette expédition maritime. (VI, 26, n°t ; 27, 28, n’2 ; 30, n° 7.) llécepeos, rold’Égyp1e. Galien, Defacult. stmpl. medlc., tl, 2, cite le quatorzième livre d’un ouvrage du rot Nécepsos. (II, 21, n° 4 ; Vtt, 60, n’ t.)

líáoptoteme, auteur d’un traité Sur la manière de préparer et de conserver te miel (Pline, tndex Xt). Attiénée pile d’un Néoptoleme de Parium, auteur d’Eplgrammes, X, p. 4t›4 ; de GIuses, XI, p. 476, et d’une Dionystade, tIt, p. 62 ; ce n’est sans doute pas le même que te Néoptolerne de Pline.

llepoe Cornéllus. Voy. Cornelius Népos. Neveu, d’empereur. Pline (XXXVII, 12) cite de lui un peine sur Poppee.

Nîcmdre, de Colophon, poete, medecln et grammnlrlen ; vivait dans le deuxième siècle avant t’ere chrétienne. On ade lui deux poëmes, les Thériaques et les Alexipharmaques ; mais il avait compose un grand nombre d’autres ouvrages qui sont perdus : un Recueil de remèdes, Suldas, v. Ntauldre ; une rédaction en vers du Pronostic d’Hippocrate, lI|t¢I. ; desG6orgiques, Cicéron, Deorat., I, p. 284 ; de la Préparation du miel, Athénée, It, p.68 ; des Glogeg, id., VII, p. 228 ; une Histoire d’Étolie, id., Vt, p. 295 ; une Histoire de Beetle, id., Vtt, p. 329 ; une Histoire de Colophon, id., XI, p. 496 ; des Métamorphoses, id., III, p 82 ; un llvre lutitule Hyacinthe, Schot. Nlcandr. tn Tlter., p. 28 ; un livre sur l’l-Iurope, Schol. Apoll., IV, v. 57. (XX, 13. 96 ; XXI, 1os ; xXll. ls, 32, s :› ; XXVl, so ; xxx,2s ; xXxl1,22 ; XXXVl,25 ;XXXVll, lt, 28.)

Ricénttll, médecin ; vivait du lemps d’Augusle. Cœlius Anrelianus, Citron., Il, £›, cite nnlivredeNiceretus Sur la catalepsie. Galteu, Sec. loc., tll, 1, et VIt, 7, cite deNiceratnsdesœpositions médicales. (XXXlI. sl.)

Niáas, de Malle eu Cilicie, qu’il laut distinguer de Nieias de Solos, qui fut médecin de Pyrrhus. Nicias de une ann écrit un traité Sur ruptures. (xxxvn, il.) lticobule ; parait avoir accompagné Alexanilre dans son expédition, solt au même titre que Néarque, soil au même titreque Diognète et Breton.

Niger Sextius, du premier siècle avant l’ere chrétienne ; Iain, écrivit en grec sur la médecine ; d’après Dioscoride, I

i

I

Prqï., tt avait commis beaucoup d’erreurs dans t’exptication des plantes ; au contraire, Ptine (XXXlt, 13) te dit écrivain medicattrèseuct. Nous savons per Érotien, G-loss., p. 240, éd. Franz, qu’it avait composé un tivre Sur ta matière médicale. (XVI, 20 ; XVttt, 68, u° 10 ; XX, 50, 84, n° 4 ; xxvtn, ao, 34 ; xxlx, 2a ; xxxn, ts.) Niger Tnábins. Voy. Trébius.

Nigidius Figutus, sénateur, le plns savant des Romains après Varmn ; à aida Cicéron à etoutfer ta couiuration de Cntiliua. Q. Sórenus Sammouicus, dans Macroh., Saturn., tt, 22, le nomme très-grand investigateur des choses naturelles, et cite te quatrleme tivre de son Traite des animaux. Aulu-Getle cite de fut un tivre Sur le vent, tt, 22 ; un livre Surtes entrailles des victimes, XVI, 6 ; Servius, in Georg., un livre Sur la sphère des barbares et celle des Grecs ; Lucain, t, v. 639 en parte ences termes :

Al Flgulus, cul cura deos secretaque mundl Nosse full, quem non stellarum Il-îgyptta Memphls zliquaret vlsu nurnerlsque rnovenllbus astra, etc. (VI, 39, u° 7 ; Vtt, 13, n’ 4 ; Vtll, 77, n° l ; 82, n° 3 ; tx, sa ; X,17, ts ; x, 52, wa ; xt, sfr, 52 ; xv1, s, n°6 ; XXtX, 21, 39 ; XXX, 24.)

Nympliodore, de Syracuse, auteur d’un périple cité par Athénée, Yttl, p. 33t. D’après Ilardouiu, Pttne cite plu toi Nymphodore de Syracuse que Nymphodore d’Amphiputis, àqui saint Clémentitättexandrie, Protrept., p. 43, attribue un livre Sur les rites des barbares. llardouin pense aussi que œtut que cite Ailien, Hist. an., XI, 20, et XVI, 34, Sur les merveilles de la Sicile et de la Sardaigne, est de Nymphodore de Syracuse. (VtI, 2, n° 8 ; XXXIV, 22.) 0.

(Enopide, de Chtos, astronome. contemporain de Démocrite ; cité par Diodore, I, p. 38 ; par Ašlien, Var. Hm, X, 7 ; et par Ptutarque, Dc plac. phtlos., tt, 12. Otyrnpias, de Thèbes ; citée par Ptinius Valerianus, Medtc., lV, 5, et parPoltux, Onom., X, l. (XX,64, u° 4 ; XXVlll, 77.)

Olylnpicus. Ilardoutn propose de tire Olymplacus, et de voir dans ce nom le nom d’un médecin de Milet appartenant à la secte méthodique, et cité par Galien, lntrod., cap. 4.

Olympiootore ; paratt avoir ócrlt l’Histoire d’Aleaandne le Grand, et l’avoir accompagné dans ses expéditions avec Néerqueet Onésterite.

Onésicrite, d’Astypalée, ou, suivant d’autres, de t’lle d’Égine, disciple de Diogène ; accompagna Alexandre dans ses expéditions. Il avait écrit un livre Sur l’éducation d’A. lexandre, d’après le modèle de la Cyropódie de Xénophon. Voy. Diogene Laërte, liv. VI, au mot Oncsicrite. lt est elle par Strsbon, pa.rsim. (Il, 75 ; VI, 24, n° l ; 26, n° l ; 28, n° 2 ; 30, n°7 ; VIl, 2, n° 2t ;XLL, 18 ; XV, 19.) Ophélion, médecin, du reste inconnu. On n’est pas même sur de la manière d’écrire son nom ; ou fit dans les rnss. tantôt Opinion, tantôt Opltlon, tantôt Opiett. (XX, 17 ; XXlI, 38.)

Opillus (Aurelius). Festus, v. Fomttes, che quelque chose du livre d’Opllius Sur les arbres forestiers. Le nom de cet ailleur est écrit å tort Oppius dans lllacrobe, Saturn., tl, l 4 : Vlr doclus Oppius, in libro quent fecit De sylves tribus arboribus. Hardouln pense que cet Opillus est différent de celui qui avait lntilulé son livre les Muses, livre cite par Aulu-Gelle, I, 25, et par Suótone, De tllustr. grarmrt., cap. 6. (XXVltt, 7.) I

Oppius. I-lsrdouin pense qu’il s’agit du Caius Oppius regardé comme l’auteur des Commentaires sur la Guerre civile, sur la Guerre d’Alexandrie et sur la Guerre d’AMque, Commentaires que d’autres attribuent tl Htrtius Pansn = c’est ce que dit Suetone dans la Vie de Jules-César, 92 PLINE.

chap. 52. Ouvrages : Vie de C. Marlus (Pline, XI, !o4) ; Vie de Pompée, Plutarque, Pompée, p. 623 ; Vie de Cassius, Charlslus, l, p. 119 ; Vie de Scipion l’Africain, Aulu-Gelle, VII, 1.

Orphée, personnage plulol mythologique qu’historique, a qui l’antiquité avail altribué beaucoup d’écri !s. Ce fu ! le premier, dil Pliue (XXV, 5), qui écrivil avec quelque soin sur les plantes. On a aujourd’hui sous son nom : les Argonautiques, des Hymnes, un Opuscule sur les pierres, a !trlbué toutefois par quelques anciens à Onomacrile, et des fragments, tous ouvrages qui n’appartlennenl pas a une époque reculée. (Vl !,57, n° 13 ;XX, 15 ;XXV, 5 ; XXVl !l, 6, 10 ; XXXL 2.)

Ostanes ou Otanes. Pllne (XXX, 2) cite deux personnages de ce nom : le premier accompagna Xerxès dans son expédi !ion ; le second, Alexandre ; tous deux donneren ! crédi ! à la magie par des livres qu’ils composèrent ! sur ce ! ar ! pré !endu.(XXVl !l, 19 ; XXV !ll, 77, 80 ; XXX, 2, 5.) Ovide (Publius Ovidius Naso), chevalier romain e ! poele remarquable, né à Sulmon dans le pays des Péligniens ; exilé par Auguste, pour des causes demeurées inconnues, ll Tomes sur les bords de la mer Noire, où il mouru !, sous le règne de Tibère. (XXX, 12 ; XXX ! !, 5, 54.) P.

Panœ !lus, de Rhodes, dlsciple de Diogène de Babylone c ! d’Anlipa !er de Tarse, e ! aml de Lœlius e ! de Sciplon ; il appartenais ! à la sec !e s !o’icienne. Ouvrages : Des devoirs, livre don ! Cicéron a lai ! un !rès-grand usage dans son De qfficlls ; Des sectes des philosophes ; Du gouverne men ! ; De la tranquillité de l'åme ; Commen ! on doi ! supporter la douleur ; De Socrate ; etc.

Papirlus Fablanus. Voy. Fabianus Papirius. Parménisquo, grammairien. Ouvrages : Commentaire sur Ara !us. Voy. Ératosthene, ad Arati Phœn., p. 267 ; histoire mythologique des astres ; Hygin, ll, p. 59 e ! 60. Le Scholiaste d’Euripide sur la Médée cite un fragmen ! de Parménlsque. (XV ! ! !, 74, n° 3.)

Pasl !élès, sta !naire, né dans la Grande Grèce, reçu ! le drol ! de cité romaine. !l es ! donc différen ! d’un au !re Pasltélès, qui eu ! Phldlas pour mal tre. llcomposa un ouvrage lntitulé Chelsd'œuvre, où, en cinq livres, il parlai ! de tous leamorœaux célèbres dans le monde. (XXXV !, 4, n° 26.) Patrocle ; vlsita par l’ordre de Séleucus Nicalor la mer des Indes, ll la lete d’une llo !te. S !rabon regarde la rela !lou que Patrocle fl ! de ce !te expédillon comme le meilleur guide pour la géographie de ces coutrées. (VI, 2t, n° 3.) Paulinus (Caius Suelonius) ; fn ! consul avec L. Ponlius Teleslnus, sous le règne de Caligula ; propréteur, en Numldie, il avai ! soumis les Maures, comme l’apprend Dion, LX, p. 670. (V, 1, u° 14.)

Paulus Serglus ; cité index ll e ! XVI !I. Pedianus Asconius. Voy. Asconius.

Pélops. Pline (XXXlI, 16) cite, il es ! vral, une opinion médicale de Pélopa ; e ! il es ! probable que ce ! au. !eur a été médecin. Cependan ! il n’es ! pas sur que ce soi ! le Pélops que Galien eu ! pour mal !re dans sa jeunesse, ce que prétend Hardouin. En effe !, Pline publia son Histoire na !urelle en l’an 80 ; par conséquent ! il écrivl ! le livre XXXll en 78 ou 79. Pélops, pour être déjà cité, devai ! avoir écrit, etne pouval ! pasavoir moins de vlng ! ans. D’un autre côté, Galien naqui ! en 13 ! ; j11squ’a l'âge de dix-sep ! ans ll sulvi ! les philosophes ; il n’a donc entendu Pélops qu’a dixbui ! ans au plus tot, c’est-a«dire un 149. Or, en 149 Pélops avait au motos qua !re-ving !-onze ans. Que sera-ce si Pon écarte la supposition invraisemblable qu’il ait écri ! des l'âge de ving ! ans ? Si Pélops avai ! trente ans quand Pline composait son Histoire, il aurai ! en cent un ans quand Galien Suivi ! ses leçons. L’iden !i !é du maître de Galien e ! du Pélops de Pline 11'esl pas absolument impossible, mais elle n’esl guère vraisemblable.

Póriandre, lyran de Corin !he, compté parmi les sept sages de la Grèce ; vécul dans le sixième siècle avan ! Père chrétienne. !l avall composé en vers héroïques des préceptes moraux. Un autre Périandre étail médecin, e ! ailleur de mau valses poésies : Archldamus, fils d’Agésilas, d’après Plutarque, lui demanda pourquoi il almall mieux passer pour mauvais poete que pour bon médecin. On ne sai ! lequel de ces deux Pérlandre Pline désigne, ou sl même il n’en désigne pas quelque au !re. (IX, 4 l.) Pétosirls, as !rologue égyptien duquel Juvénal a dil, sat. Vi, V. 581 :

.......... Caplendo nulla vlde !ur`

Apllor bora clbo, nlst quam dederl ! Petoslrls. JuliusFlrmic11s, Mathes., IV, in Prœf. 45, nomme PétOsiris e ! Nécepœs des hommes divinsetdignes de toute admiration, don ! l’habileté a péné !ré les secreta même de la Divini !é. (l !, 2 !, n° 4 ; VII, 50, n° !.) Pétrichus, médecin, auteur d’un livre sur les serpen !s Ophiaca, Schol. Nicandr., ln Tirer., p. 27 et 30. (XX, 96 ; XXl !, 40.)

Pé !ronius Diodo !us. Voy. Diodote.

Pé !ronius (Publius), chevalier romain, gouverneur de l’Égypte sous Auguste ; ll ! une expédition en É !hiopie. (VI as, n° 5.)

Phanlas le Physicien, cilé par Antigone de Caryste, Histor. mlrab., cap. 171 ; de Lesbos, suivan ! Plutarque ln Solone, p. 85, elin lnîhem., p. ! 15 ; ou d’Érésos, 811ívau !Athénée, I !, p. 151, e ! Diogene Laêrte, ln Aristlpp. ; Èrésos est une ville de l’lle de Lesbos. Ouvrages :Sur les plan !es, Athénée, ! !, p. 84 ;Des !yra11a de Sicile, id., V !, p. 232 ; Contre les sophismes, id., XW, p. 248. ; e !c. (XXl !, !5.) Phémonoé. Diogene Laêrte, in That., parle d’une Phémonoê, prelresse ll Delphes, qui fu ! inventrice du vers hexamètre. Mais Labbe, Nova Blbl. llbror. mas., p. 172, parle d’un traité sur les oiseaux (ofnlthosopI|lon) de Phémonoé, !rai !é qui renferme beaucoup de choses semblables à celles que Pline attribue à Phémonoé. !l s’agi ! probable men ! non pas de Phémonoé, mais de Pltœmenon, don !on a un Gyneco. phion, imprimé à Wi !tenberg, !545, in-16. (X,3, n° 2 ; X, 9.) Phérécyde, de l’lle de Scyros, personnage sur lequel Qu ne sai ! rien de bien certain. Andron d’Ephese, dans Diogene Laêrte, en dis !mgue deux, l’un astronome et précepteur de Thalès, l’au !re théologien e ! précepteur de Py !bagore ; mais rien ne prouve que ces deux Phérécyde ne soien ! pas un seul e ! même homme. (Il, 81 ; VII, 52 ; 57, n° 14.) Philémon. Apulée, Florid., !l !, p. !9, di ! de lui : à Poète comique de la comédie moyenne, il tl ! jouer des pièces avec Ménandre, e ! lui disputa le prix ; peu !-être inférieur, il fu ! du moins son rival, car il l’emporta sur lui plus d’ul1g fois. » !l florissait ! du temps d’Alexandre le Grand. Suidg lefai !Syracusain ; au’con !raire, Strabon, XIV, p. 67 !, rapporte qu’il étai ! né à Pompéiopolis, ville de la Cilicie. Philémon avai ! écri ! sur les oracles de toute espèce, d’aprèa Athénée, IV, p. 114. Il es ! cité parbiomede, lll, p. 186, et par d’au !res grammai riens. (IV, 27, n” 4 ; XXXVI !, 1 l, 31.) Philinus de Cos, médecin, disciple d’Héropl1lle et chef de la secte empirique. Il avai ! écri ! sur les plantes et les fleurs, A !l1éuée, XV, p. 681, et composé un ouvrage en six livres, où il interprétaimippocrateet combattait Bacchius, au !re commenta !eur de ce médecin. (XX, 9 !.) Philippe, astronome !res-ancisn, citéparGeu1lnus, Elan. astron., cap. 6 ; par Ptolémée, De appar., p. 89, e ! par Hipparque, In Phœnom., l, p. 179 ; ll compose des Parapegmes as !ronomiques, di ! VI !ruve, IX, 7. (XVIII, 74, n° 3.) Philiscus, de Tbasos ; élevan ! des abeilles dans des lieux déaerta, il fu ! surnommé Agríus on Sauvage ; il écrivit sur les abeilles. (XI, 9.) LIVRE I. 93

Phitistidè, de Malle en Cllicie ; du reste, inconnu. (IV, i0› 36-)

Philistion, de Sicile, dit aussi de Locres, pnrce qu’ll avait longtemps séjourné dans cette cite de l’Italie ; maître, pour la médecine, d’Endor.e de Cnide. Aulu-Gelle, XVII, II, le dit médecin ancien et renommé. Le livre du Régine, qui fait partie de la collection hippocratique, était, dans Iutiqnite, attribué par quelques-uns à Philistiou. Un here dere Philistion avait compow un traité des remèdes, dont Czlius Anrelianus cite le vingt-deuxième livre, Citron. V. I. (XX, 15. 34, 48.)

Piiilistus, de Syracuse, historien. Son nom se lronve aussi écrit Philiscus, dit Snidas. Il était parentde Denys lsncien, qu’il aida à parvenir au pouvoir souverain. Onrrages : Histoire de Sicile en onze livres, Diodore. XIII, p. 222 ; Égypliaques en douze livres, Suidas. D’après Quintilien, X, I, il imita Thncydide, mais avec plus de clarté. Cicéron, De divin.. I, p. 173, l’appelle homme instruit et exact ; toutefois, ailleurs, Brut. p. 534, il dit que de son temps on avait cessé de legonter. ('ltl, 61, u° 2 ; 64. n' 5.) ` -

Philométor. Voy. Attale.

Philouides. Ou connaît un Philonides de Dyrrachium, médecin, dont Étienne de Byzance a fait mention v. Dyrrachium, et qui avait publié un ouvrage Sur l’art de guérir, en quarante-cinq livres ; un second Philonidès de Catane, en Sicile, qui, cité par Galien et Alliénée, avait écrit Sur les couronnes et les parfums ; un troisième Philonidès, dlathenes, poète de l’ancieunc comédie, et auteur de pièces dont il ne reste que quelques fragments. (V, 35.) Philopator. Galien, Dc cognosc. curandisque anlmi nanrbis, cap. 8, a fait mention d’un Philopator, philosophe

 Mais comme les mss. de Pline varient sur ce

nom de Philopator, et que quelques-nus lieeut Phalapatas. il serait possihle, d’après Hardouin, qu’au lieu de Philopator il fallut écrire Palzephatus ; or, il y a plusieurs Palœphatne. comme ou petit le voir dans Suidas, et entre antrœ Palœphatus d’AIhènes, le plus ancien poete après Phémonoé, et auteur d’une Cosmogonie ; Palœphatus de Priene, qui fut contemporain dïtrtaxerxe, et qui compose un livre Sur les choses incroyables ; Palœphatns d’Abydos, qui compose des Histoires de Chypre, de Délos, de l’AtIique cl de l’Arabie. et qui fut très›lié avec Aristote. Philostcphanus, compatriote, contemporain et aml du poète Callimaque de Cyrùne, ainsi que le dit Alhóuée, VIII. p. : sl. Ouvrages :Des cilés de l’Asie, Athéuéc, VII, p. 297 ; Des inventions, Cleniens Alexaudr., Slrom.. I, p. 308 ; des Iles, Harpocration, v. Xrpúμn ; de Cyllene, Schol. Pind., p. 55. (VII, 57, n° 16.)

Philoxène, de Cytlière. poete diffiyrambique, d’apree Athénée, VIII, p. Mt. qui cite de lui un ouvrage intitulé le Festin, IV, p. 146 ; Il vivait du temps de Denys le Jeune, a Iaconr duquel Il séjourne. (XXXVII, I I.) Plnylarque, florissait du temps de Ptolémée Évergète : le 35' livre de ses Histoires est cité par Athénée, IV, p. l4l. Le même Athénée, II, p. 58, et Suidas ne savent s’il est dktttiencs on de Naucratis. Ouvrages, dans Suidas : Des éventions ; un Ahrégé de la mythologie ; Histoire d’Antigpneetd’Bumcne, etc. (VII, 2, n“9 ;VIII.64, n° 5 ; X.96.) Piudare, deTheheseu Béotie, poâtelyrique très-célèbre. (II,9 ; VII, 3o.).

Piou (L. Calpurnlus Piso Frngi), consul l’an de Bonne 621. avant J. C. 133, et treize ans après censeur avec Q. Cœciiias llctcllna Baleerices. Ouvrages : Annales, citées pas. sins par Lulu-Gclle, et particulièrement VI, 9 (Il, 54 ; III, 23, n°4 ;VIII,6 ;XIII, 27 ;XV, 38 ; XVI, 74 ; XVII, 38, n" 4 ; XVIII, 8, n°4 ;XXVIII, 4 ; XXXIII, lI ;XXXlV, 8, 13, 14.) Pinon (Domitius), cité dans la Préface par Pline, qui rapporte de lui un mot heureux. Ilest possible que Pison, personnage d’ailleurs inconnu, ait composé quelque ouvrage et que le mot rapporte en ait été tlré ; mais cela même n’est pas sûr.

Platon, le célèbre philosophe d’Athènes, disciple de Socrate. (Il. 92 ; VII, lil. n’I ;Xl. 18 ; XXII, 5I ; XXX, 2.) l1laute(M. Accins Plautus), appelé le Père de la comédie latine ; il était né à Sarsina ; il mourut l’an de Rome 570, les avant J. C. De cent trente comédies qui portaient son nom du temps d’Auln-Gelle, il en reste vingt anjonrrt’hni. (XIV. 15 : XVHL28 ; XIX. lo.n° 2 ; xxlx. ls.) Plistonicns, médecin, élève de Praxagore. Ouvrages :Sur les humeurs, Galien, De aim bile, cap. l ; Des avantages qn’il y a ahoire de l’eau, Athéuée, ll, p. 45. (XX, 13, 48.) Pollion Asinius. Voy. Asinius.

Polybe, de Mcgalopolis, en Arcadie. Il mournl dix-sept ans avant la naissance de Cicéron, et fut lie avec le deuxième Scipion l’Africain. Il écrivit une histoire, dont il ne nous reste que quelques livres dans leur intégralité, avec des extraits des autres. (III, IO ; IV, 24, 86, 37 ; V, I, n° 8 ; 4, n° I, 6 ; VI. 36. n° 2 ; 38, u° I ; VIII, lo, n°4 ; 18.) Polyhe. Il est dit (XXXI, 46) que d’après cet auteur une espèce d’éponge qu’on trouve vers la Lycie procure le sommeil. suspendue au-dessus du chevet du malade. Sans doute il s’agit ici non de l’historien Polyhe, mais d’un médecin. Quel est ce Potybci' ce n’est pas le gendre d’Hippocrate, dont rien ne reste, si ce n’est ce qui existe dans la collection Ilippocratique et sous le nom même d’IIippocrate (Voy. dšuvres d’Hippocrate, t. I, p. 345) ; mais c’est peut-elre un certaiu Polype, ou plulot Polyhe, qui est cité par Cœlius Aurelianus (Acul., III, 15), et qui avait parlé de l’hydrophobie.

Polycrite, de Mendes, en Sicile. Il écrivit l’Histoire de Dcnys le Tyran, d’après Diogène Laerte, In.Eschin. Antigone de Carysle, lfistor. mirab, IV. 150. le cite. (XXXI, 14.) Polyhistor. Voy. Coruélius Alexander.

Poiupéius Lenœus. Voy. Leuœus.

Pompéius Trogus. Voy. Trogue-Pompée.

Pomponius Alticus. Voy. Atticus.

Pomponius Méla. Voy. Méta..

Pomponius Secuudus, personnage consulaire, poète. Pline avait vu entre ses mains des autographes de Tihérius et de Caius Gracclius. (VII. 18, n” 3 ; XIII, 26.) Posidonius, d’Apamée, dit aussi de Rhodes, parce qu’il exerça des fonctions publiues dans cette Ile. Il était stoicieu. Strahon, XI, p. 491. l’appelle ami de Pompes, et recommande, I, p. 6, son livre Sur l’Oceau et la marée. Le seizième livre des Histoires de Posidouius est cité par Athénée. X, p. 439. (Il, 21 ; VI, 21, u° 2 ; VII, 3l. u° 3.) Praxagore, deCos, médecin, cite par Celse, Préface du livre I. Son livre des Traitements est mentionné par Cm» liussurelianus, Citron., l,4 ; et son livre Sur les humeurs par Galien, De alfa bile, cap. I. Il est renommé pour avoir le premier régularisé l’étude et l’emploi du pouls. (XX, 13, za. 26. n° 4 ; xxvi, c.)

Procilius, grammairien très-savant ; cité par Varron, De tiny. lat.. IV, p. 36. (VIII. 2.)

Prodieus de Sélymhrie (il faut lire Hérodieus, les deux noms ont été très-souvent confondus), un peu plus ancien qu’Hippocrale. Il appliqua la gymnastique au traitement des maladies, Platon, Répuhl., III, p. 406. Il y avait sans doute nnécrit de Iui ; du moins Asclépiade (dans Ceelius Aurelianns, Chron., III, 8) rapporte le traitement qu’Hérodieus opposait à D’hydropisie.

Ptolémée fils de Lagus, le premier roi grec de Ptšgypts. Il avait écrit l’Histoire d’Alexandre le Grand, sous lequel il avait fait la guerre ; voy. Quinte-Curce, IX, 5, et Plutarque in Alex. Marcien d’IIéraclée dit qu’il était aussi auteur d’un ouvrage de géographie. Ptolémée élahlit le Musée d’Alexandrie et la célèbre hihliothèque de cette ville. Pnhlius Syrus, ainsi nommé de la Syrie, sa patrie, fut affranchi par son mettre, à cause de ses talents. Il se livra 94 PLINE.

a la composition des mimes, et mourut sous Auguste. (VIII,77, n° 5 ; XXXV, 58.)

Py thagore, de Samos ; fondateur d’u-ne philosophie et d’un ordre secret qui l’ut longtemps florissant dans la Grande Grèce ; il vivait dans Ie ›ixième siècle avant l’ère.chrétienne. Quant aux écrits qui portaient son nom dans l’anliquilé, ils paraissent avoir été lous apocryphes. Pline lui allribue un livre Sur le chou (XX, 3Zs) ;Surles bulbes et la scille (XIX,30) ; Sur lesberbes magiques (XXIV, 99). (ll, 6, n° 7 ; ll, 19, 20,8I ; XVIII, 30, 11° 2 ; XIX, 30 ; XX, 33, ss, sl, n° 3 ; 72, va, n°4, sa, s7 ; xx1, ss ; xx1v, 72, 99, 100, tOI, 102 ;XXV, 5 ;XXX,2 ; XXXIV, 12 ; XXXV, as ; xxxvl, la, n° lo.)

Pylhéas, de Marseille, marin et voyageur, vivait dans le troisième siècle avant l’ère chrétienne. Strabon, ll, p- 104, ell, p. 63, dit qu’ilne faut attribuer aucune loi åses récits. Toutefois, Pylhéas parail mériter plus de confiance. Il avait visiló les cóles occidentales de l’Europe. (ll, 77 ; ll, 99, n° 6 ; lV,27, n° 5, 30 ; XXXVII, lt, n° 5.) B.

Babirius ; il y a eu un Rabirius (Caius), poete épique, qul tut renommé ; il est clléparOvide, Dc Ponto, XVI, v. 5 : Quum forêt et Mar-sus magntque Rabtrtus orls. Sénèque en fail aussi mention, De benef., VI, 3. Toulefois, c’est une opinion médicale de Babirius que Pline rapporte. y a-t-il eu un Rabirius médecin ? ou le poële Rabirius avail-il composé quelque poême médical ? (X XVl ll, 2l) Rulus (Publlus Rulillus), consul avec C. Manilius l’an de Rome 649, 105 avanl J.C., puis proconsul en Asie, ainsi que le dill’omponius, IDigest., til. 2, de orig.jurts, § 40. Ouvrages : Histoire romaine en grec, Athénée, Vt, p. 274, el XLL, p. 5113 ; Hislolrecflflspagne, Appien, I ber., p.303 ; Des acleurs tragiques et comiques, des danseurs, des lhéàlrcs, des jeux, des joueurs de flute, elc. Voy. Photius, Bibl., Codex 161. Plutarque, in Mario, appelle Rutus un homme probe et véritlique.

Rufus Messala. Voy. Messala Rufus.

S.

Sabinus Fabianus, cilé index XVIII : est-ce le même que Fabianus Papirius P Voy. ce nom.

Sabinus Masurius. Voy. Masurlus.

Sabinus Tiro ; dédia à Mécène un livre Sur l’horticulture. (XIX,57, ss.)

Sallustlus Dionysius, médecin. (XXXII, 26.) Salpé, sage-femme de Lesbos, avait écrit sur les remèdes des maladies (les femmes, et de plus des poésies batlines, d’alu*ès Nyniphodore, dans Alhenée, VII, p. 32t. (XXVtlt, 7, 18, 23, 80 ; XXXIt, 47, 5l.) Saserna, père et fils. Ils avaient écrit après Caton sur l’agriculture. Ils sont cités par Cotnmelle, I, t, et par Varron, I, 2. (Xvtt, 35, n°37.)

Salyre. Pline parle d’un auteur de ce nom qui avait écrit sur les pierres et les pierres précleusea. On connatt un Satyre philosophe péripatéticien, el postérieur d’un siècle a Arislote, qui avait composé une vie de Philippe, roi de Macédoine, et un autre Satyre, d’Olynthe, comédien, et auteur d’une pièce lutilulée Pamphile. D’après Hardouiu, c’est ce dernier de qui Pllne entend parler ; mais rien ne prouve qu’il en soit aiusi. (XXXVII, t 1, 24, 25.) Scmvola (Quinlus Mucius), qui fut très-célèbre par son habileté dans te droit et par son éloquence, Cicéron, De cmt., tl. Il fut proscrit par Marius, et tué tenant embrassé I’autel de Vesta, saint Augustin, De civil., III, 28 et 29. Scœvola avait rédigé un traité de droit en dix-hult livres. (xlv, 15.)

Scaurus, auteur de Mémoires sur sa propre vle, adressés la Futirlius. Clcéron, in Bruto, c. 29, citece livre. (XXXIII, s, tr* 5.)

I

Scipion Métallos. Voy. Métallos.

Scrofa (Cn. Scrofa ’l’rémellius) ; rendit l’agriculture éloquente, dit Colnnselle, I, 1. Plutarque, in Grosso, npporte que Scrofa fnl questeur. (XVII, 35, n° 37.) Sebosus Statias. Voy. Statius.

Semprontus. Voy. Tnditanus.

Sóuèque, philosophe, lnaître de Héron. Outre les écrits de lui que nous possédons encore, lt avait compose un ouvrage Sur la géographie ; Sur la situation de l’Ègypte et les cérémonies sacrées des Égyptiens, Servlus in.›£neld., Vl, 154 ; et Sur le hasard, Tentullieu, Apolog. in tine. (Vl, 2l, n° 5 ; IX,78 ;XIV, 5, n°5 ;XXIX, 5.) Sérapiou, d’Anlloche ; auteur d’un ouvrage de géographie dans lequel il reprenait souvent Ératoslhène, ainsi que le dit Cicéron adsttic. II, epist. 6. Clcéron, ep. 4, se plaint d’entendre a peine la mlllième partie des écrits de cet auteur.

Sergius Paulus. Voy. Paulus Sergius.

Servilius Damoerates. Il faut l’appeler ainsi, et non Démocrales, car c’est toujours sous le nom de Damocrates qu’il est ciló par Galicn et Aélius. Pline nous apprend qu’il guóril la fille de M. Servilius, personnage consulaire. Harilouiu pense que ce Servilius tnl consul l’an de Rome 755, après J. C. ; mals M. llarless, dans une disserta lion speciale sur Damocrales, Bonn, 1833, pense qu’il s’aglt du Servilius que Pline dit avoir vu consul (XXXVII, 20), et qui l’ut revelu de celle dignité sur la fin du règne de Tibère, l’an de Rome 7 87 ; en conséquence, M. Harless regarde Damocrates comme contemporain de Pline, quoique plus âge. Ouvrages : le Clinique, Galien, Sec. yen., X, 2 ; le Philiatre, id., Sec. loc., VI ; le Pythique, id., Sec. loc., V ; Livres des medicamenls, ld., Sec. gen., VII, 2 ; des Anlidotœ, id., de Antid., I, 15. Tous ces écrils de Darnocrales élaient en vers iamblques ; M. Harless a recueilli les fragments qul en restent. (XXlV,28 ; XXV, *t9.)

Servius (Sulpicius), lrès-hablle jurisconsulte, d’ap|-sa ci. céron. Il fut consul avec M. Marcellus l’au de Rome 703, époque où éclata la guerre enlre César el Pompée. Il avail composé un très-grand nombre de livres, ainsi que le lémoigne Pomponius, I Digest., til. 2, Deorlg. juris, § 43, Comme il périt dans une ambassade de laquelle parle Cl» céron dans la neuvième Philippique, le peuple romain lui fit élever une statue devant les rostres d’Augusle. (XXVlll, 5.)

Severus Casslus. Voy. Cassius.

Sexlllius. Ce nom est romain ; cependant il figure au nombre desócrivains étrangers dans l’index du livre XXXI ; il n’est pas cité une seule tfols dans tout le cours de l’ouvrage. Sextius Nlger. Voy. Niger.

Sibyllini Librt. Livres sibyllins. (ItI, 2t ;VII, 35 ; XVII, as, rv* 3 ; xvm, ss, n° os.),

Silanus Décimus ; peu après la ruine de Carthage traduisit du carthaginois en latin. par ordre du sénat, tes vlngt-huit livres «le Magon sur Pagrieivlture. Voy., pour les lraductioas de cet ouvrage, Dlonyslos et Diophane. (Xvttl, 5.)

Silène, historien, doquet Cicérou dil, Dc divin. I, p. t 76 : a It en est de même dans l’histoire grecque de Silène, suivie par Cœlius ; Silène a exposé avec beaucoup d’exactitude les faits et gestes d’Anuibal. » (IV, 36.) Slmon ; a écrit te premier sur t’équltatIon. (XXXIV, 19, n° 26.)

Slmonide, poète lyrique, cëlèbreet fort ancien, du shiùne siècle avant Père chrétienne. (VII, 2’«, 29, 57, *n" 2 et ta.) Simonide le jeune, très-différent du poète de ce nom, et beaucoup plus récent. Il avait écrit sur l’Éthîopíe. (VI, 35, n° 6.)

Slmus, médecin ; auteur touta fait inconnu. (XXI, 38 ; XXII, 82.)

LIVRE I. 95

Selon, deSmyrne, médecin. Ilesl appelé Solon Ie Dié-Iètc pu Gaäen. Set. loc., Itt, t. (XX, 83, 86.) Sophocle, poète tragique d’Atl1enes ; il ne IIOU8 reste qo’un très-petit nombre de ses tragédies ; il mourut l’an 406 avant J. C., et avait vécu près d’un siècle. (Vtt, 30, 54, n°l ;XVttl,12, 11° 2 ; XXt,88 ;XXXVll, tt.) Sophncle, médecin, du reste inconnu. La leçon même n’est pas sûre ; des tnss. portent Sectes, d’autres Socrate. (XIII, 32, n° 4.)

Sonnns. Voy. Valérius Soranns.

Sornatins, cité index XXXt et XXXII ; du reste, inconnu. Hardouin se demande si Sornatius ne serait pas nue faute de copiste, pour Soranus. (XXXII, 23.) Sosigène, astronome d’Atexandrie, que César employa pour la reformation du calendrier. D’après Proctus, Hypotyp., p. 45, il avait écrit un tlvre Sur les révolutions des as1res.(lt. 6, 10 ;XVlll, 57,11° 5.)

Sosimène, médecin ; avait écrit sur ta matière médlcate ionrele par les végétaux.(XX, 73, n° 4.) Sotacus ; avait écrit sur tes pterres et tes gemmes. (XXXVI, 25, 38 ; XXXVtt, tt, 23, 24, `5I, 57.) Sotade. Il y a plusieurs écrivains de ce nom : I° un poète atlrénien de la moyenne comédie, clté par Athé11ée, Vtt, p. 293, et IX, p. 368 ; 2° un autre, Atliénien ausst, pt1ílosopt1e, auteur d’un livre Sur les mystères, Snidas, v. Zu-róûne ; 3° un troisième, Byaanfin, philosophe, dont parte Aristote dans Suidas I. c. ; 4° un quatrième, de Maronée en Crète, tre-connu par ses poésies Iicencienses, cité par Athénée, Vlt, p. 293.

Sotira, sage-t’emme, auteur d’un Ilvre sur les remèdes des tièvres. (XXVIII, 23.)

Staberins Eros, grammairien. tl enseigne la grammaire àllrntns et à Cassius. (XXXV, 58.)

Staphylus, de Nancratis. Ouvrages : Histoire de Parcsdie, Sextus Elnpir., Advers. matlum., l, 12 ; histoire des Pélasges, Schol. Apoll., t, v. 580. Staphylns est cité ansst par Atl1énée, tl, p. 45, et par saint Clément d’.4texandrie, Prolrept., p. 24. (V, 36. 11° 3.)

Statius Sebosns, ami de Calnlle, connue nous l’app1-end Cicéron, ad Amc., tl, ep. 14. tl parnlt avoir érrlt un Périple et Sur les merveilles de l’tude. (Vt, 35, n° 6 ; 311, n° 4. 31 ; lx, 17.)

Stésichore, poete lyrique, de Hlmereen Stcile, florissait vers l’an 600 avant J. C. ; RS écrlts sont perdus. (tt, 9.) Stilo I.. ållins. Voy. A-Ztins.

Straton, de Lampsaque, philosophe peripatóticien. Il fut le maître de Ptolémée Pt1iladelphe. Il dirigea l’école å Athènes. tl est appelé Ie physicien par Stnbou, t, p. 49, et parflioéren, Denal. door., I, p. 19. Ouvrages : Des inventions ; Des animaux incertains et fabuleux ; Du dieux ; De la nature de l’l1o1mne ; et autres écrits très-nombremt, dont on peut voir l’énumération dens Diegene Lnirtn, qui a écrit la vie de ce pl1ilesopl1e.

Sudines ; avaitécritsur les gemmes.(IX,56, n°4 ;XX.XVt, t2 ;XXXVlI, 9, II, 23, 95, so.)

Suetonius Pantinns. Voy. Panltnus Suelollns. Snlpicins Gallus (Caius) ; d’après Cicéron, ln Brut., c’étaít celui de tous les patriclans qui s’était le plus livróa t’étude des lettres grecques. Ouvrages 1 Des éctipses du soleil et de la lune ; Histoire romaine, .tuba dans Plutarque, in Rom., p. 28. (lt, 9, 19.)

Snlpicius Servius. Voy. Serviue.

Snra lamilius. Voy. Mamilíua.

Sylla ; avait composé des Mémoires sur sa vle.(XXl1, 0-)

Syriation, médecin, d11 rule inconnu. (XX, 53.) T.

Taratius Lucins, de Firuutm ; mathématicien célèbre, ami de Varron et de Cicéron. Plularque le cite, in Rom, p. 24. tt avait écrit en grec sur les astres. Tarquitius. Ammien Marcellin, XXV, p. 289, cite les livres Tarquitiens, et Macrob., Saturn., ttt, 7, t’ostsnlarium tuscum, Prodiges étrusques, de Tarqnitius. Tauron ; auteur tnconnu. (Vtt, 2, n° 17.) Tetestes en Tetestus, peut-être, d’après t’a111enr de t’io. dex, danst’édit1ou Lemaire, le poète de Sétiuonte, en Sicite, qui florissait vers l’an-400 avant J. C., et qui est cité par Athénée.

Tergitta ; avait sans doute composé quelque discours on quelque écrit contre te fils de Cicerou. (XIV, 28, 11° 7.)I’t1atès de Milet, un des sept sages de ta Grèce. Sa vie a été écrite par Diogene Laerte ; il avait composé un fivre Sur le solstice et t’éq11inoxe, et un poème en deux cents vers Sur D’astronomie. (ll, 9 ; XVIII, 57, n- 5 ; XXXVI. 17.) Thémison, de Laodicée en Syrie, contemporain de Pompée ; fonda une nouvelle secte médicale, ta secte des me-IÎIOÖÎQIICB. Ouvrages : Des Affections ct1roniques, Cœtius Aurelianus, Chron., I, t ; Lettres, td., ttt, 6 ; De t’11ygiène, id., tl, 7 ; Sur le plantain (Pline, XXV, 39). (XIV, 2t ; XXV, 23, 39 ; XXIX, 5.).

T11éochreste, histoire de la Libye, citée par Schol. Apoll., tV. V. 1750. (XXVIII, 4, n° 5.)

Tneocritc, de Syracuse ; le prince de la poésie bucolique. « ttorissait du temps de Ptolémée Ptuladetplne, qu’il célèbre dans ses vers. (XXVtIt, 4, n° 5.) Théodore, médecin, cité par Pline, XX, 40. Diogène Laêrte, m Aristtpp., dit qu’It fut le disciple du médecin Athéuée. Atbénée fut le che ! de la secte pneumatique, et vivait vers l’sn 70 avant J. C. (XX, 40 ; XXtV, 120.) Théotnène avait écrit sur t’ambre. (XXXVII, 11.) Théomneste : il reste de lui quelques fragments Sur ta médecine vétérinaire, dans les Vetortn. medtc. script. ; et Sur fagrienltnre, dans les Géoponiques. 1 Ttiéophraste, d’Erésus, élève et successeur d’ArisIote å Athènes ; la liste de ses ouvrages est donnée par Diogene Laêrte. (I, Prél’., n° 23 ; ttt, 9 ;Vtt, 57, n°’ 5, 6, et 14 ; VIII, 43, 49, 54, 11° 3 ; 69. 11° 4 ;82, 11° 2 ; IX,8, tl°6, 83 ;X, 41, n°4 ; Xt, 116 ; XItt,30 ; XV, t,3, n° 4 ; XV, 40, n" 5 ; XVt, 62 ;XVtt, 37, n° 8 ;XtX, 10, 48 ; XX, 3 ; XXt, 9, 68 ; XXV, 5, 32 ; XXVI, 63 ; xxvll,40 ; XXVttt, 4 ; XXVIII, 14, 15 ; Xxxt, 9, 10,1/1, 16, 19, 40, 46 ; XXXttt, 37,43 ; XXXVI, 28,29,42 ; XXXVtt, tl, 13, 19, 25, 74.)-Théepornpe,

de Chios, disciple d’tsocrate. Ouvrages 1 Histoire grecque (continuation de celles de Thucydide et de Xénophon). Diodore, XIV, p. 303 ;D0811’Bl’l’tlklGll8 de 16110, Phlegon, Dcfebttl mtrab., cap. 19 ; Histoire de Philippe, en quarante-huittivres ; Diodore, XVI. (tt, ll0 ; ltl, 9 ;111, 15 : IV, 1 ;Vlt, 49, n’a ; xvi, 2a, u° 3 ; XXXI, 13, 14, 19.)

Thessalus, médecin ; vtvait sous Néron. tl introduisit de grandes modifications dans la secte méthodique, et entre autres la mdlasyncrtse, qui, dans les maladies chroniques, consistai ta renouveler parletraitemsntetladlete toute |’å5O1101BÎ6› (XXIX, 5.)

Thrasytlns, de Mendes ; vécut du temps d’Auguste et de Tibèr0, S11étoue, p. 37 et 51. Tacite, Amtal., Vt, 20, dit qn’1l était très-habite danst’art des Chaldéens, ou astrologie. Ouvrages : Desgemmes, Plutarque, Ds ftumin., p. 1167 ; Histoire dïgypte, id., p. 1158. (XXXll, 19.)

Tbueydide, contemporain et historien de la guerre du Péleponèoe ; il estconnude tout le monde. (ttt, 14 ; Vtt, 3l, n°2 ; 57, n° le.)

Titnngène, däAlexandrie, enseigne å Rome : il ent la faveur de Pompée et de César. Ouvrages : Péripleen cinq livres, Snidas ; Desantlqultésde la Gaule, Ammien Marcellin, XV, p. 50. Séneque, le père, psrIedeTimagene, Centres., 34. (ttt, 23 ; XXXIII, 40.).

90 ’ PLINE. l’imago ras, de Chalcls, peiulre, auteur d’un poëme Sur sa lule avec Pauœuus, lrère de Phidias. (XXXV, 35.) Timaris, reine, auteur d’un petil poëme En l’honneur de Vénus. (XXXVII, 66.)

Tiuiarisle ; écrivil sur les planles. (XXI, 105.) Timée, de Tauromiuium en Sicile ; Ilorissail du temps du roi Agalhocle. Alhénée, VI, p. 250, cile le viugl-deuxléme livre de ses Histoires. Timée avail composé d’autres ouvrages, qui soul énumérés par Suidas. Cicérou, ep. ad Luceium, nous apprend que Timée avail écril l’Histoire de la guerre de Pyrrhus. (III, 13 ; IV, 27, u° 3 ; 30, 36 ; xxxm, 13.)

Timée le Malhémalicien, de Locres dans la Grande Grèce ; philosophe pylhagoricieu. Il écrivil sur les malhémaliques. (Index Vel XVI ; V, 10, u° 6.)

Timée, qui écrivil sur la malière médicale fournie par les minéraux (Pllne, Index XXXIII) paratl être différeul el du Timée de Siclle el du Timée de Locres(Il, 6, 9 ; XVI, 34 ;XXXVll, ll.)

Timoslhene. Slrabou, livre IX, p. 422, qui le nomme amlral du second Plolémée, fixe par la l’époque où il vécul. Éraloslhèue lalsail cas de son ouvrage sur les porIs, eu dix livres ; maisslrabou, I I, p. 92, y signale des erreurs en assez grand nombre el assez considérables. Scymuns de Chios, p. 5, le mel parmi les géographes du premier rang. Élieune de Byzance, v. îayáun, cite son Stadiasme ou mesure de la lerre par stades. (V, 9,35 ; VI, 51. 33, u° I, 35, u°6, 36, u° I.)

Tirou. Voy. Tullins Tlrou.

Tlle-I.lve, Tilns Livius, célèbre historien romain, né ti Padoue el mort ti Page de soixante-seize ans, la quatrième année du règne de Tibère. Il ne nous esl parvenu qu’une petite portion de son Histoire- (I, Préf., u° 12 ;Iit, Préamb. ; III, 23.)

Tilus, l’empereur, fils de Vespasien, auteur d’un poême Sur les cometes. (ll, 22.)

Tlépolerne, sulvaul d’autres Tlnéopoleme, médecin. (XX, 73, n° 5.)

Trébius Niger, un des compagnons de L. Lucullus, proconsul de la Bélique ; avail écril peut-élre sur cette cou trée, du moins sur les productions marines qu’ou y voyail. (IX, il, 48 ; X,20 ; XXXII, 6.)

Trogue-Pompée, Trogus Pompeius ; vécut du tempa de Tite-Live, sous le règne d’Auguste ; du pays des Voeouces, dans la Gaule uarbonaise. Ouvrages : Histoires phillpplques, en cinquante-quatre livres, dont nous possédons un abrégé fait par Justin ; Dsa aulmaux, Charisius, I, p. 79. Pline a emprunté quelques renseignements ti ce dernier ouvrage (Xl, I 14), et il nomme Trogue-Pompée un auteur ulelu degfavité- (VII. 3, u° 1 ; x, 51, u° s ; x1,94, 114 ; XVII,9 ;XXXl, 47.)-Tubéron,

avec le surnom de Quintus (ll, index). Il faut distinguer trois Tubéron : le premier est Qulntus Ašlius Tuhérou, gendrede Paul-I.-’1mIle, ou, d’après Cicéron, in Brut., p. 649, son petit-fils ; le second est Lucius Aîllus Tuberon, l’historien, qui fut le lieutenant de Cicéron en Asie, et duquel Cicéron lui-même parle, la Q. /ralr., ep. I ; le troisième est Quinlus Ašllus Tubéron, fils de l’historien ; il écrivit beaucoup sur le droit, et Cicéron, pro big., le nomme aun parent. (XVIII, 64.)

Tuccius Valla. Voy. Valla.

Tudltanus (Caius Seinpronius), fut consul avec M. Aqullius, l’an de Rome 625. Ouvrages : Commentaires historiques, Aulu-Gelle, XIII, 15 ; Des magistratures, Macrobe, sam ;-n., 1, 13. (XIII, 27.)

Tullius Laurea, allranchi de Cicéroa, auteur de quelques épigrammes. (XXXI, 3.)

Tullius Tiron ; écrivlt la vie de Cicéron, son patron, dont il fut l’affranchi, Asconius Pedianns, in Oral. pro Mil., |~. 24. ¢ Tullius Tiron, dil Aulu-Celle, élève et alïrauchi

de Cicéron, l’aida dans ses compositions Ilttéralrsa ; il composa plusieurs ouvrages sur l’usage el la théorie de la langue latine ; de plus, des livres sur des questions variées et mélangées ; le priuclpal de ces derniers livres parall être celui qu’il a mtilulé Paudectes. » Un bel éloge de Tiron se trouve dans ce même Aulu-Gelle, VII, 3. Turraulus Gracilis ; d’après Pline (Préambule du livre III), Il étall Espagnol, et né auprès de Mellaria dans la Bélique. Cicéron, I ad Alt., ep. 6, vaule l’érudltiou de Décimus Turrauius ; el Ovlde, ex Ponlo, IV, ep. 16, v. 29, place Turranlus parmi les poètes tragiques : slusaque Turranl tragtcis subnlxa cothurnes. (III, 1, u°4 ;IX,4, n° 3 ; XVIII, 15.) Tuscus Fabricius ; cilé index III.

U.

Uml›ricius Melior, que Pline (X. 7) dil le plus habile des aruspices de son temps. C’esl cet Umbricius qui annonça 3 Galba, faisaul un sacrifice, des enrailles iunestsa, des embuches imminentes el un ennemi domestique, comme le rapporte Tacile, Hist. I, 27. Ouvrages = Sur la discipline étrusque. C’line, XI, index.) V.

Valère-Maxime, Valerlus Maximus ; il véeul du lernps d’Auguste el de Tibére. Auleur d’un livre intitulé Exemples mémorables, Iequel nous esl parvenu, si toutefois D’ouvrage qui porle son nom esl bien de lui ; quelques érudits en douteul.

Valérius Cornéius. Voy. Cornélius Valérius. Valérius Antias, hlslorieu ; vécul du temps de Sylla. Auleur d’Auuales lrés-étendues ; Aulu-Gelle, Vlt, 9, en cite le I.XXV° livre. (Il, III ; III, 9 ; XIII, 27 ; XXXIV, s.) Valérius Sorauus, cité ti la du de la Préface de Pline el Ilt,9. « Q. D. el Valérlus Sorauus, dil Cicéron in Brat., mes voisins et mea amis, aussi admirables par leur éloquence que par leurs connaissances dans les lettres grecques et Iatlues. v Tous deux Iurent médecins. Quinlus lul le plus célèbre ; il avail publié des Vies de médecins, eulre autres cette d’HIppocr-ate. Varron, De ling. lal.,1v, en a fait aussi meuliou. C’reface, in fine ; III, 9, u° I I.) Valglus (Caius Valgius Rufus). Pline, XXV, 2, cite de lui un livre luachevé, qu’il avail dédlé ti Auguste, Sur l’usage des plantes ; et Aulu-Gelle, XII, 3, un ouvrage iutilulé Des choses demandées par Ietlre. Valgius est mis par sem). que au nombre des écrivains qui ne sont pas sans renom, ep. 1.1. (xxv, z.)

Valla (L. Tucclus), médecin ; mort en buvant de Phydromel. (VII, 54, n’ 4.)

Varron (M. Térentius), le plus savant des Romains. Outre les livres Sur l’agriculture et Sur la langue latine, qui sont parvenus jusqu’à nous, il avait composé un ouvrage en quarante et un livres. divisé endeux parties, intitulées, l’une Deschoses divines, l’autre Deschoses humaines ; Il mouruta quatre vingt dix ans, l’an 26avaut J. C. (I, Préf., n° 13 ; ll, 3, II° 3 ; III, 3 ;6 ; 15 ; 16 ; 17 ; 26 ; IV, 20 ;22 ; IV, 24, 35, n°’ 8 et4 ;VI,15, n° 3 ; 19 ; VII, 2, lI°5 ; 16, ll. 3 ; 19, 2i ;3I, n° 7 ; 53, n° 3 ; 59 ; 60, n° 3 ; VIII, 43, 68, 74, n’ 1 ; IX, 82 ; x, 53 ;XIl|, 2I ;XIII, 27 ; XIV, 5, 14, 17 ; xv, s, 18, Il’2i XVI,3, 50, 75 ; xvu, s, 37, n° 17 ; xvm, 4, n° 2 ; 5 ; io, n° 5 ; 15, 30, n° 2 ;42, 6l, 69, n" 5 ; 70, 73, n° 2 ; 79 ;XIX ; 2, n° 2 ; XX, 20, 54, 82 ; XXII, 6, 53, 69 ; XXV, 7 ; XXVI, 8 ; XXVIII, 4, t 5, 17 ; XXIX, 2, 18, 34 ; XXXI, 5, 3, 12 ; is, 19, 41 ;XXXlIl, 15, 25, 47, 55 ;XXXlV, 19, n°7 ; XXXV, 2 ; 37 ; 40, n° Il ; 46, 49, n° 4 ; XXXVI, 4, n° 4 et n° 6, el n° 26 et n° 27 ; 19, n°7 ; 29, 69 ; XXXVII, 5.) Varron, d’Atax (Publius Térentius Varro Atacinus). Il était né dans les environs de Narbonne ; il florissant du tempa de César et des tflumvlrs. Ouvrages : Argouautique ; LIVRE I. 97

Guerre des Séquanais. On peut voir dans Quintitien X. t. quel était te caractère de son style.

Verrius Ftaccus grammairien ; instruisit Caîns et Lucins. petits-lits d’Auguste å Rome et mourut dans un âge très-avaucé, sous te règne de Tibère dit Snétone, De tlluslr. grasses.. cap. 17. Antn›GeIte cite de tnt un ouvrage Sur les choses dignes de mémoire. tV 5 et un Sur la signification des mots, V. 17 ; et Macrohe Saturn.. t. 4, un opusente intitulé Saturnus. (Vtt. 54. u° t ; Vltt 6 ; IX. 39 ; XVtlt. ; XXVttt 4 ;XXXttt. 19 36.) Vestatis Fabius. Voy. Fabius Vestatis. Vestínus (C. Jutius Attiens Vestinus) ; Int consnt avec Silius Nerva t’an de Rome 818 å ta fin du règne de Néron qui tui lit ouvrir tes veines, Tacite. Annal. XV. 48. Vetus Lncins commandant t’armée contre tes Germains, sous te règne tte Néron ; conçut te projet d’unir parnn canat la Mosette etta Saône, Tacite..4nnal., Xttt tt. Vibius Rulinus auteur inconnu. llardouin remarque bien qu’un certain Vibius Rufus est cité par Séuèque te père, Con lrov., t, 8, et par Dion, LVII ; mais t’ideutité deces deux personnages n’est aucunement étabtie. Virgile (P. Virgílius Maro) te prince des poètes tatius. favori d’Auguste et de Mécène ; mort å Briudes an de Rome 735. Ptiue a beaucoup puisé dans tes Géorgiques. (t, Préf., u’ 17 ;Vtl, 3t, u° 6 ; VttI, 65, n° 3 ; Xt, 23 ; Xtt, 8 ; Xttl. 26 ;XIV. t. u° 5 ;3. u° 8 ;4. u°5 ; 8. 11° 7 ; 25, n’ 6 ; XV, 2, 16, 17 ; XVI, 56 ; XVtl, 2, 0° 8 ; 3, u* 4 ; 7, 23 ; 24, u° 4 ; XVttt, 7, n° 3 ; 30, n° 3 ; 45, n’ 1 ; 49, 0° 5 ; 50. 56 ; 57, 0° 3 ;65, 0° 5 ; 7t 72, 75, 78 ; XIX, 19, u°9 ; XXtt, 77 ; XXVIII, -4, 0° 5 ; 80 ; XXtX, 8 ; XXXV, 23.)

Viteltius un des amis de Germauicus prouonça un dts» cours coutre Pison, discours qui existait du temps de Ptiue. xt 11.)

(Vitrnve (M. Vitrnvius Pottio). It est ctté dans Ptndex des tivres XVI, XXXV et XXXVt. Son tivre Sur t’aretiitecture est entre les mains de tout te monde.

Volestius, snmommé Sedigitus, poete célèbre. Voy. Anlu Gelle XV té : Ptiue te nemme (Xt, 99). X.

Xambus, fils de Candaute te Lydicn. Ptiue, XXV 5, te dltauteur d’histoires. Xanthus étatt de Sardes ; tt florissait vers t’an 500 avant J. C. Ouvrages : Histoire de ta Lydie, Strabon, Xlt, p. 572 ;Magie, saiotClémeot dïttex. Strunat., ttt, p. 43t. (XXV 5.)

Xénsgore. Pstrieet époque incertaine. Ouvrages : Chroniques, Schot. Apott., tV, v. 2c2 ;Des Iles, Étymct., v. Sei, utz. (V, 35 ; Vtt, 57, n° 16.)

Xéuocrate, d’Aptirodise, médecin ; vécut du temps de Tibère ; nous avons de fut un ttvre Sur tes atiments fonmts par les poissons. tt avait composé p tus leurs autres ouvrages, dont on peut voir la liste dans Diogèue Laêrte. (XX 55, 82,8 !¢, n° 4 ; XXI, 105 ; XXtt 32, 43 ;XXVlt 62.) Xénoa-ste, d’Éphåse, fils delénon ; cite dans t’index des tivres XXXttt. XXXV et XXXVtt. tl vécut «tn temps «te Nérou et de Vcspssteu, et écrivit sur ta peinture. (XXXV 36. n° 8 ; XXXVt 67 ; XXXVtt. 9. 10 ; XXXVtt. tl. 63.) Xéuocrate étève de Tisicrate ; or. Tisicrate est éteve «te Lisyppe qui vécut du temps d’Atexandre te Grand ; donc ce Xénocrate statuaire a dû vivre du temps des premiers successeurs d’Atexandre. lt écrivit sur ta cisclnre. (X X XtV. t9. nv 33.)

Xénophon d’Attiènes discipte de Socrate ; accompagna Cyrus te Jeune dans son expédition. fit ta retraite des Dix mitte ete0écrívítte récit. Ptiue. Vtt. 49. cite un Pértpte de Xénoption ; mais à n’est pas sur que cet ouvrage soit dn célèbre Attiénieu. (Vtt. 49. n° 2 ; XVttl 5 ; 60 ; XXXtV, ts. u" 29.)

Xénoption de Lampsaque cité par Sotin cap. XtX. (tV, 27.n° 5 ; Vt.36 0° 3.)

Z.

Zachatias, de Babylone. auteur d’un livre sur les gemmes, qu’it dédiaå Mithridate. (XXXVtt 60.) Zénen de Citium, chef de t’écote stoique : Diogène Laërte a écrit sa vie et donné d’énumération de 908 ouvrages, tous perdus sujourd’hut. (XXV, 21 0° lt ;XXX1V 19, 0° ét.)

Zéuon, deLaodicee sur te Lycus, médecin de ta secte Hérophitlenue. tt passatt pour un médecin habite, mais pour un mauvais écrivain. tt avait composé un Commeutatre sur le ltt’ tivre des Éptdsmles d’Hippocrate Galien t. V, p. 410, ed. Baslt. tt consacra aussi un ouvrage å t’tnterprétation des Caractères de ce même ltt’ tivre. Apottontus de ta secte empirique y répondit ; mais Zénon ne se tint pas pour battu, et répttqua par un neuvel ouvrage. (XXII, 44.)

Zénothemis, Tzetsès, Chtllad. Vlt, hist. CXLtV, v. 163, le cite parmi tes auteurs qui ont écriten vers surtes formes Iabuteuses attribuées aux hommes ; à cite de tui un Péripte, V.685. Aîlteu, Hist. anim., XVlt, 30, et Schot. Apott. tt, v. 967, en font aussi mention. (XXXVtt, tl, 23, 24 5t.)

Zoîte d’Amptiipotis en Macédoine ; quelques anciens cependant te disent d’l-Îptièse. tt Iut surnommé Homeromastix, a cause d’un onvmge en neuf tivres qu’tt avait composé contre les poèmes d’Homere. lt est compté parmt tes maîtres de Démosttiène.

Zoroastre. y a-1-iteu un seut Zoroastre, ou ptnsteurs ? C’est sur quoi on n’es1 pas d’arcord, dit Pttne, XXX, 2. Zoroastre est dit t’auteur des ttvres connus sous te nem dezeud-Avesta, et écrite en tangue send ; mats dans t’antlquite on colportait sous son nom des ouvrages sur ta nature, sur tes pterres, sur tes présages ttrés de t’tnspectton des étottes, tous sujets qui se rapportent aux objets traités par Pline dans le livre XVttt ; or, c’est dans t’index de ce tivre et au chapitre 55 de ce même tivre qu’il cite Zoroastre. (Vtt, 15, n° 5 : Xt, 97 ; XVttl, 55 ; XXX, 2 ; XXXVtt,69, 55, 57, ss.)

runs. — 1. 1. 7

NOTES DU PREMIER LIVRE.


(1) Catulle, Carm. I.

(2) Objicere, Vulg. (J’appelle Vulg. l’éd. de Lemaire.) — Obiter est donné par des mss., et me parall préférable.

(3) Catulle (Carm. XII) reproche à Asinius Marrucinus, frère d’Asinius Pollion, de lui avoir dérobé des sudariade Sætabis (Sætabis était une ville d’Espagne, renommée pour la beauté de son lin). Pline dit ses premières serviettes, attendu que plus loin (Carm. XXV) Catulle se plaint de nouveau du vol d’un sudarium sœtabum.

(4) Domitien, avant d’être empereur, fit quelques essais poétiques par simulation, dit Suétone dans la Vie de ce prince, chap. 2. On peul voir, dans la table qui suit la Préface, au mol Titus, l’indication d’un poème qui est peut-être celui auquel Pline fait ici allusion.

(5) Voici les diverses leçons de celle citation de Lucilius : Ed. princeps : Nec doctissimum omnium Persium hoc legere volo (leçon suivie dans l’édition de Lemaire). Ms. de la bibliothèque du Mans : Nec doctissimum ; Manium Persium hoc legere nolo (leçon suivie par Hardouin et par Sillig). Dalechamp : Hæc doctissimum Persium legere nolo. Dans Cicéron, De orat. II, la citation esl : Persium non curo légère (hic enim fuil, ul noramus, omnium fere nostrornm bominum doctissimus), Lœlium Decimum volo. C’esl a l’alde de ces éléments que j’ai corrigé le vers de Lucilius ; j’en ai fail un lrochaîque. Lœlium Decimum de Cicéron esl donné par quelques mss. de Pline.

(6) Il s’agil ici de Caton d’Utique. Le lexte de Vulg. porte : facere pro innocenlia, quod in rebus b. s. e. Deux mss. que j’ai sous la main (n° 263 bibl. du Mans, el 776 Suppl. lal. Bíbl. roy.) el l’édifions princeps (1469) onl la leçon que j’ai suivie.

(7) Genies supplicanl el m. L s. Vulg. — Supplicqpl manque dans plusieurs mss., el est inullle. M. Slllig a trouvé cette phrase très-vicieuse, et l’a ainsi refaite par conjecture : genles e more faciunt qui alia non habent. Il est vrai que des mss. ont more pour meta, et omettent thura.

(8) Jam μoïmu, Vulg. Des msn. ont iantjam. Hardouin a proposé el Brolier adopté la., au lien de jam. M. Sillii 8 substitué lumá ; je l’ai suivi.

(9) Arliumque, quam facetissimi. Lucubralionem, pulo, qui ait Bibaculus eram et vocabar, paulo minus asserit ; Varro, Vulg. — Artiumque, tacetissimi, lucubrationem, ni qui Bibaculus eral el vocabalur ; paulo minus serio Varro, Sillig. — Ce texle esl très-altéré dans les mss. Pai combiné les différences varíanles pour en lirer la plirase lelle que je l’ai imprimée. Furius Blbaculus esl un grammaårien, que Quinfilien, XI, l, mel entre l’époque de Calulle el celle d’Horace.

(10) Sesculixes venl dire Ulysse et demi. Quanl a (lexibula, c’esl un mol douleux, sur lequel les mss. varienl beaucoup. M. Sillig a mis flextalmla. Je crois que la vraie leçon est flexlbula. Les salyres de Varron avaienl généralement deux lilres, l’un latin, el l’autre grec. Le lilre grec de celle salyre esl mp ! ènapxtüv, sur les magistratures. Letilre latin doll contenir quelque chose qui s’y rapporte, par exemple Boum dans le sens de sénat, assemblée geuvefnante ; el tlexibula pourra être, comme sescnlixes, un mol hybride, sígnifianl les moyens par lesquels on réussil après du sénat.

(ll) Pnbllcœ, Vulg. — M. Silllg, d’après un ms., a donné propriœ, ce qui vaul bien mieux.

(12) Nos, Vulg. — Mox, Sillig, d’après pluüeurs mss.

(l3) Partoul oû il y a des points, les mss. ne fournissent aucun chitïre ; perte, du reste, forl peu à regretter, car ces chiffres sonl généralement défectueux.

(l4) Terrœ mensurœ comparatœ, Vulg. — L’édition princeps porte per mensuras, leçon suivie par Brotier el Sillig.

(15) Non, Ed. princeps. — Les éditions récentes omeltenl a lorl la négation.

(16) Mutaverunt, Vulg. — M. Sillig a mls, avec raison, mutaverint.

(17) Dlophîos, Codd. — ötpueïç, Hardouin. — iötoçuí, Lobeck, in Aglaoph., I, 768 seq.

(18) On trouvera dans la table de ce livre et des suivants de notables différences avec les éditions précédentes. Ces différences proviennent du très-ancien ms. de Bamberg, doul M. Jabn a publié une collation complète avec des notes excellentes ; collation et notes que M. Sillig a reproduites dans son édition de Pline, et que j’ai mises a profil.

(19) Les éditions depuis Hardouiu répètent ici Contelio Nepote, a tort, comme cela a été remarqué dans 1’édition de Lemaire.

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