La Bouche féminine
Journal de Vienne et de l’Isère du 12 mai 1897 (p. 3).


LA BOUCHE FÉMININE

C’est peu d’avoir uni dans la reine des fleurs
Quelque parfum sans âme à de pures couleurs,
Femme ! Dieu n’eût rien fait, s’il n’eût fait que la rose !
Mais la fleur prend un souffle et ta bouche est éclose !

Gabriel Monavon.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.