< Les Dernières Colonnes de l’Église
Mercure de France (p. 177).


Mon livre est fini et je devrais m’arrêter ici, la matière étant épuisée. Toutefois, comme l’Évangile dure toujours, j’ai pensé qu’après l’outrageante hospitalité des Pharisiens Jésus-Christ se reposerait volontiers dans l’humble demeure d’un Publicain de la Poésie que les Convertis qui se croient élus ne voudraient pas même regarder.


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