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Traduction par Ernest Falconnet.
Les Petits poèmes grecs, Texte établi par Ernest Falconnet, Louis-Aimé MartinDesrez (p. 275).

VIII.

DIEU.

Les tristes maladies qui nous accablent ne sauraient atteindre sa nature divine. Son amour constant et nécessaire pour le bien l’empêche de succomber à aucune faute. Le grand maître du monde accorde à peu d’hommes de conserver une vertu pure jusqu’à l’heure des cheveux blancs, et d’éviter tous les malheurs avant d’entrer dans l’ornière de la vieillesse.

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