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IV

À D’INDULGENTES LECTRICES[1].

21 octobre 1817.


Ô vous, dont l’aimable indulgence
D’un coup d’œil daigna me flatter,
Pardonnez, ma reconnaissance
N’ose et ne saurait éclater.
Ah ! privé de votre présence,
Sans vous voir puis-je vous chanter ?
Votre aspect seul serait ma muse,
Seul, il m’inspirerait des airs
Dignes de vous, mais quelle excuse !
Si je vous voyais, je m’abuse,
Songerais-je à faire des vers ?


  1. Je viens d’apprendre que la chute de ce madrigal appartient à Segrais. (Note du manuscrit.)
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