< Page:Œuvres de Blaise Pascal, II.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
HYMNE TRADUITE EN VERS PAR JACQUELINE PASCAL 433
VIII. 8 novembre 1650.
« Il faut souffrir que les personnes, comme M. Singlin, qui craignent de faire des avances en s'engageant aux choses à quoy Dieu ne les appelle pas, ne déterminent rien jusqu'à ce qu'ils ayent consulté Dieu plusieurs fois. C'estoit une maxime de M. de Saint-Cyran, qu'il falloit parler cent fois à Dieu des choses importantes avant que de les résoudre, et cela par imitation des grands retardements. que Dieu a apportez dans les plus grandes œuvres. »
��II - r28
�� �
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.