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Baptiste a pris une motte dans ses mains porphyriennes il l'écrase et l’émie. Des larmes noient ses pupilles troubles sa face porphyrienne se creuse encore aux traces des rides profondes.

– Mal, mal, mauvaise.

Cyrille hausse les épaules et fait signe de s'asseoir. Ils s'étendent à l'ombre épaisse des chevaux, sur la terre récemment polie.

Alors, les pipes fumelant, le vieux narre, de sa voix écrasée. Il dit les moissons d'antan florissantes et belles. Et son geste gourd encadre le pays jusqu'aux nuages.

Comme la terre montante a gagné

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