< Page:Aimé-Martin - Plan d’une bibliothèque universelle.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.
que nommer Kant, le moderne Aristote ; l’éloquent, l’inspiré Lavater ; Justus Mœser, vigoureux écrivain, l’admirable investigateur des antiquités germaniques ; Lichtenberg, satirique aujourd’hui trop oublié, qui le cède à peine à Swift ; les agréables romanciers Weit Weber (Wœchter), Hippel, Miller, Heinse ; Matthison, poète secondaire, mais plein de charme et de délicatesse. Telle est la seconde moisson de la Germanie littéraire, moisson préparée par quatre siècles d’orages et de douloureux combats, et qui annonce une autre récolte plus éclatante dont nous nous occuperons bientôt.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.