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électoral trop bas dans le conseil ; et
quant à nous rendre l’influence, ne vous y fiez pas, dans l’agitation où se trouverait le peuple, possédé comme il l’est par l’idée que la réforme abolira les taxes énormes et lui donnera le bien-être.
— La réforme est grande sans doute, dit M. Bolton, mais nous ne faisons qu’exercer les droits que la constitution nous laisse : chaque comté jadis devait envoyer aux Communes deux chevaliers, chaque ville deux bourgeois, chaque bourg deux membres ; les comtés ont retenu ce nombre qui devient trop mince pour les plus considérables ; les villes nouvelles n’ont pas de représentans, tandis que les bourgs ruinés ont conservé les leurs. Nous remettrons
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