< Page:Allart - L Indienne.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.
68

son front décoloré une résignation céleste.

L’Indienne portait la religion partout : c’était Julien, c’était Dieu qu’elle aimait ; c’était un être qui pouvait souffrir et mourir, et avec lequel il fallait aussi souffrir et mourir.


    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.