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LA PERDRIX
Son sang pur de couveuse à la chaleur divine
Sur son corps déchiré mouille sa plume fine.
Elle tournoie et tombe entre les joncs épais.
Dans les joncs, à l’abri de l’épagneul qui flaire,
Triste, s’enveloppant de silence et de paix,
Ayant fini d’aimer, elle meurt sans colère.
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