< Page:Béranger, oeuvres complètes - tome 3.pdf
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Oui, mon berceau me semble doux encore,
Et la berceuse a pourtant disparu.

Lieux où jadis m’a bercé l’Espérance,
Je vous revois à plus de cinquante ans.
On rajeunit aux souvenirs d’enfance,
Comme on renaît au souffle du printemps.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.