C’est par-ci, c’est par-là, C’est le diable en falbala. À l’église, Dieu ! quel ton ! Suisse, au banc menez Gotton, Pour lorgner le sacripant Qu’elle-même a fait serpent. C’est par-ci, c’est par-là, Trala, trala, tralala ; C’est par-ci, c’est par-là, C’est le diable en falbala. Mais quoi ! l’infâme, aux jours gras, Du beau curé prend le bras ; L’appelle petit coquin Et l’habille en arlequin ! C’est par-ci, c’est par-là, Trala, trala, tralala ; C’est par-ci, c’est par-là, C’est le diable en falbala. Elle a tout : meubles, chevaux, Bals, festins, atours nouveaux ; Riche, on l’accueille en tout lieu. Puis, courez donc prier Dieu ! C’est par-ci, c’est par-là, Trala, trala, tralala ; C’est par-ci, c’est par-là, C’est le diable en falbala.