< Page:Bacon - Œuvres, tome 11.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
[1]qu’elle est dans l’état d’ébullition, augmente de la même quantité.
Observations du berger de Bambury.
10. Dans l’espace de huit années, le vent souffle autant du sud-ouest que du nord-est[2]. Ainsi, il y a autant d’années humides que de sèches. (Mais l’humidité domine de plus en plus, quoique les deux extrêmes se succèdent alternativement).
2°. Si, en octobre ou en novembre, on a de la neige ou de la gelée, on aura vraisemblablement un temps doux et clair, en janvier et en février[3].
- ↑ sances actuelles, et de celles qui s’en éloignent peu ; l’expérience et l’observation même nous ayant appris que les plus belles découvertes sont presque toujours le produit des observations fortuites, ou des expériences hazardées.
- ↑ Cette assertion est fausse, comme on le verra plus bas.
- ↑ En fait d’hiver, comme de toute autre chose, astreinte à une certaine quantité et qu’on ne peut éviter, ce qu’on a de bonne heure, on le perdra ensuite ; et ce qu’on n’a pas d’abord, on l’aura plus tard.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.