vement alternatif et de perpétuelle trépidation ; un état d’essai, d’effort et d’irritation, occasionné par cette répercussion ; de là cette espèce de fureur du feu et de la chaleur, dans certains cas.
[1]Les deux espèces de sujets où cette différence est le plus sensible, sont la flamme et les liqueurs bouillantes qui font de continuelles vibrations ou oscillations ; on les voit alternativement s’élever par petites portions et retomber aussi-tôt, C’est ce qu’on observe aussi dans ces corps dont l’assemblage est si ferme, que, fortement chauffés, et même jusqu’au rouge, ils ne se dilatent point et n’augmentent point de volume ; tel est un fer rouge dont la chaleur, comme l’on sait, est très active, très âpre.
Cette différence sera encore plus facile à saisir, si l’on considère combien, dans
- ↑ le méchanisme qu’on veut décrire n’est pas nettement conçu, le terme propre échappe, on se prend aux métaphores, et de physicien on devient rhéteur.