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peut manger crues, telles que la laitue, le céleri, la chicorée sauvage, le pourpier, l’estragon de jardin, le cresson, le concombre, le melon ordinaire, le melon d’eau, la rave, le radix, etc. D’autres ne sont comestibles que bouillies, rôties, etc. De ce genre sont le persil, l’orvale, la sauge, la carotte, le panais, le navet, le chou, l’asperge, l’artichaud, etc. le dernier toutefois peut être mangé cru, lorsqu’il est encore très petit et[1]
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7°. Enfouissement Dans une terre végétale, dans la marne, la craie, la glaise, le sable, les creux de roches, etc. au fond d’un puits, d’un étang, etc. 8°. Clôture simple.
Puis les différentes combinaisons de ces moyensLes renfermer dans des boîtes, dans des vaisseaux de terre, de faïence, de porcelaine, de verre, d’ivoire, d’os, de métal, etc. et en scellant l’extrémité du pédicule avec cire à cacheter ; cire d’abeilles, poix, etc. Il ne s’agit pas ici d’une énumération complète, mais d’une simple distribution, pour mettre un peu d’ordre dans les expériences de ce genre.
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