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breux pieds, ayant des corps sans tête, qui dansaient d’une

manière effrayante. Les porteurs d’étendards, les porteurs d’armes de trait, et les porteurs d’épées

3303. Tremblèrent, ô roi, quand ton fils fut tombé. Les étangs et les puits vomirent du sang, ô le plus grand des rois,

3304. Les fleuves au cours rapide coulèrent à contre courant. Les femmes prirent la nature masculine et les hommes la nature féminine,

3305. Quand Douryodhana fut tombé, ô roi. À la vue de ces merveilles et de ces prodiges, les Pâñcâlas et les Pândouides

3306. Furent tous terrifiés, ô excellent Bharatide. Les dieux, les gandharvas et les apsaras, se dispersèrent à leur fantaisie,

3307, 3308. Racontant le merveilleux combat de tes deux fils, ô Bharatide, et les Siddhas, ainsi que les Câranas s’en allèrent comme ils étaient venus, glorifiant ces deux lions (d’entre les) hommes.





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