< Page:Barbey d’Aurevilly - Les Poètes, 1889.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
sûr que M. Théodore de Banville n’a pas besoin d’être consolé… d’un silence que je voudrais rompre pour lui avec éclat. En lisant ses Idylles Prussiennes, j’ai complété la haute idée que j’avais de son talent poétique. Il était pour moi tête de colonne parmi les Flamboyants. Le voici, à présent, tête de colonne parmi les Profonds.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.