< Page:Barbey d’Aurevilly - Poussières.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Que l’on prend dans sa main et qu’on met sur son cœur,
Mais qui n’y restent pas, légers, prompts, infidèles,
Faits pour nous fuir après être venus à nous,
Ô mon vieux Goëland, c’étaient bien là des ailes !
Et toi, — tu t’en sentais jaloux !
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.