< Page:Barbey d’Aurevilly - Poussières.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Elle oublia. Moi, non. Et nulle de ces femmes
Qui, depuis, m’ont le mieux passé les bras au cou,
N’arracha de ma lèvre avec sa lèvre en flammes,
L’impression de ce genou !



    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.