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Que quelqu’un te suivait, innocente divine,
Et mettait… mettait, pas pour pas,
Sa botte où tombait ta bottine ?…
Qui sait ? Dieu te sculpta peut-être pour l’amour,
Ô svelte vase humain ! élancé sur ta base !
Pourquoi donc n’es-tu pas, ô Vase !
L’urne de ce cœur mort que tu fis battre un jour !
Août 1875.
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