< Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
La Menace et la Corruption
I
Les hustings sont dressés et le sabbat commence :
Vieille Corruption ! Entends-tu le pays
Frémir et s’agiter comme une mer immense
Au vent des passions qui soulèvent ses fils ?
As-tu bien élargi l’antique conscience ?
II
Ô fille à l’œil sanglant, aux entrailles d’airain,
Ô ma digne compagne, ô puissante menace !
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.