< Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
Comme du sable, en vain sur l’abîme des temps
L’un par l’autre écrasés s’entassent les systèmes ;
Ton génie est pareil au soleil radieux
Qui, toujours immobile au haut de l’empyrée,
Verse tranquillement sa lumière sacrée
Sur la folle rumeur des flots tumultueux.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.