< Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

C’est un volcan fumeux et toujours en haleine
Qui remue à longs flots de la matière humaine ;
Un précipice ouvert à la corruption
Où la fange descend de toute nation,
Et qui de temps en temps, plein d’une vase immonde,
Soulevant ses bouillons déborde sur le monde.


Octobre 1831.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.