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cadavre recouvert d’un suaire sanglant. On lisait sur l’inscription :
pottin mort pour la liberté, le 29 juillet 1830.
Tous les passans ôtaient leurs chapeaux, s’inclinaient en silence et pleuraient. C’était quelque chose de sublime à voir que ce peuple héroïque pleurant un frère mort, agenouillé sur les barricades, au milieu des vestiges fumans d’une grande dévastation.
FIN DES NOTES.
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