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dans sa vie au foyer de la Comédie-Française. Léon Gozlan qui l’accompagnait eut toutes les peines du monde à le faire rester en place, dans sa stalle, à la première représentation des Burgraves. À chaque instant, comme un enfant revêche, il lui disait :
— Est-ce fini ? Quand cela sera-t-il fini ?
Et pourtant il admirait beaucoup Victor Hugo. Mais il n’aimait pas à accorder une longue attention à un spectacle quelconque.
L. Gozlan.
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C’était dans la solitude la plus complète, la plus absolue, les volets,
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