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crinière ondoyante, longue et touffue, chacun entendait ses hennissements et le bruit sec et sonore de son sabot.
Était-ce une simple hâblerie de Balzac ?
Le secret de ce galop à travers l’idéal fut que de Balzac avait réellement l’intention de donner ce cheval à son ami Jules, et il se l’était représenté l’enfourchant déjà !
Werdet.
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Balzac arrêtant une fois Léon Gozlan sur le boulevard des Capucines, lui dit avec accablement :
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