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sœur et à ses enfants. Jules Mazarin, dont le nom devait être si grand dans notre histoire, employé par la Cour de Rome en diverses négociations, s’était donné à la France ; et propre par son génie et par ses correspondances à ménager les esprits de sa nation, il avait fait prendre un cours si heureux aux conseils du cardinal de Richelieu, que ce ministre se crut obligé de l’élever à la pourpre. Par là il sembla montrer son successeur à la France, et le cardinal Mazarin s’avançait secrètement à la première place. En ces temps Michel le Tellier encore maître des requêtes, était intendant de justice en Piémont. Mazarin, que ses négociations altiraient

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