< Page:Bossuet oraisons.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

C’est ce qui justifie le pécheur ; c’est ce qui soutient le juste ; c’est ce qui rassure le chrétien. Que dirai-je des saintes prières des agonisants, où dans les efforts que fait l’Eglise on entend ses vœux les plus empressés, et comme les derniers cris par où cette sainte mère achève de nous enfanter à la vie céleste ? Il se les fit répéter trois fois, il y trouva toujours de nouvelles consolations. En remerciant ses médecins, Voilà, dit-il, maintenant mes vrais médecins : il montrait les ecclésiastiques dont il écoutait les avis, dont il continuait les prières, les psaumes toujours à la bouche, la confiance toujours dans le cœur. S’il se plaignit, c’était seulement d’avoir si peu

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.