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VI
Ainsi mon cœur, qui s’englue
À la beauté superflue,
S’en va par monts et par vaux
Loin de la route voulue.
Ainsi, doublant mes travaux,
J’ai sur des rhythmes nouveaux,
Seul, d’une main résolue
Dévidé mes écheveaux.
O lecteur de race élue !
O sapience absolue !
O char à quatre chevaux !
Le tout petit te salue !
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