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Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s’étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu’au temple accroché sur l’abîme ;
Un bonze m’accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J’ai rompu le lien de mes désirs passés.
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