< Page:Dostoïevski - L’Idiot, tome 1.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tons que tout ce qui vient de se passer là soit éphémère,

romanesque, inconvenant ; en revanche, avouez-le, cela ne manque ni de couleur ni d’originalité. Mon Dieu, que n’aurait-on pu faire d’un pareil caractère joint à une pareille beauté ! Mais, en dépit de tous les efforts, en dépit même de l’éducation, tant de dons sont perdus ! Un diamant brut, — je l’ai dit plus d’une fois…

Et Afanase Ivanovitch poussa un profond soupir.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.