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les cancérés et les malades incurables admis dans les hospices par

voie de translation des hôpitaux. De pareilles mesures sont regrettables et il est à désirer qu’elles soient promptement rapportées[1].

  1. Un nouvel arrêté préfectoral a remis les choses en l’état (mai 1875). Deux sorties par semaine sont accordées aux pensionnaires des hospices.
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