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Géraldine ; les uns attaquoient, les

autres défendoient les illustres étrangères.

— Lady Géraldine ! Je vous assure que malgré ce qu’on a dit de madame Norton, et du général ***, il ne s’est rien passé de répréhensible.

— Oui, ma chère Géraldine, quoique madame Hauton ait été long-temps en coquetterie avec certain Lord, on n’y peut rien trouver à redire. Elle avoit seulement envie de rendre sa femme jalouse, car vous savez bien que ce Lord n’est pas un homme dont on puisse devenir amoureuse.

— Ainsi, vous pardonnez à cette femme, parce qu’elle est conduite par la haine, plutôt que par l’amour ; parce que son seul motif, est de rendre une pauvre femme malheureuse, et de mettre le trouble dans

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