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vaise habitude de ne pouvoir travailler

en compagnie.

Alors lady Géraldine s’éleva contre les prétentions de ces riches amateurs, qui accordent une protection insolente et dédaigneuse au génie et croyent l’honorer beaucoup.

« Quel ridicule orgueil ! on m’accuse d’en avoir moi-même, mais je pense qu’il est d’une autre sorte. J’espère qu’il ne ressemble pas à celui de ces Mécènes grossières qui regardent les hommes de talens comme des histrions faits pour les amuser, mais des histrions qu’il est même inutile de payer et qui sont assez récompensés s’ils obtiennent quelques louanges. Ils se croyent même en état de conseiller, de diriger le génie et de l’employer selon leurs petites vues et pour leurs stupides plaisirs ; comme

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