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ment à mes recommandations, particulièrement

pour ce qui regardoit le secret. Afin d’être plus sûre d’elle-même, elle me dit qu’elle alloit se mettre au lit tout le jour, comme si elle avoit le rhumatisme, et qu’ainsi elle ne parleroit à personne. Un de mes domestiques porta ma lettre à M. M’Léod, et rien ne m’empêcha plus de faire mon somme du matin.

Joe Kelly entra dans ma chambre à l’heure ordinaire. Je détournai la tête et je lui dis d’un ton fort calme : j’ai passé une mauvaise nuit ; c’est dans mon appartement que je déjeûnerai.

Quelque temps après arriva M. M’Léod. D’un air fier il me présenta ses comptes, et je l’en laissai parler jusqu’à ce que le domestique qui étoit près de nous fût sorti ; alors je lui expliquai la raison pour laquelle je

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