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avec une immense tristesse en plus, la fin de tout, la vie mourant de la mort de cet enfant.

Mais Sandoz, qui se récriait, plein d’éloges, resta saisi d’entendre Claude lui dire :

— Vrai, tu aimes ça ?… Alors, tu me décides. Puisque l’autre machine n’est pas prête, je vais envoyer ça au Salon.

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