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telligent ; il écrivait mal toutes les fois qu’il ne décrivait pas ; il ne connaissait rien de l’homme qu’il prétendait peindre, qu’il prétendait connaître et que, seulement, il méprisait ; il avait des parties de poète septentrional et un art de composition qui sentait le Latin ; et il savait faire remuer et gesticuler des foules. »

Et il est possible aussi qu’elle n’en dise rien.

ÉMILE FAGUET,
de l’Académie française.


Paris. Imp. A. EYMÉOUD, 2, place du Caire.
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