posé horizontalement dans l’ellipse d’un serpent à cinq têtes.
Sur la plinthe du bas, serpents debout ; de leur bouche découle un liquide qui engendre la harpe. Ces serpents sont rouges, tachés de noir ; la bordure indique la harpe rouge, plus pâle, bordée d’une ligne noire.
Côté du fond en entrant : uræus droits, la queue repliée sous eux et posés sur des espèces d’échasses bifurquées à leur base.
Plinthe du milieu quatre béliers, la toison est en gros bleu, le corps en jaune, portant le pschent, les plumes, la boule.
Série de têtes à des potences. Est-ce une généalogie ?
Chacune de ces potences a à côté d’elle des hiéroglyphes différents ; ce n’est donc pas une répétition de la même chose, quoique toutes ces représentations se ressemblent.
Barque tirée par des hommes ; au milieu, debout, sous l’arceau d’un serpent, Ammon tenant le crochet.
Côté gauche, plinthe inférieure crocodile vert avec les écailles d’un joli travail, sur un rocher de sa taille, qui a à son extrémité, sous la tête du crocodile, une tête humaine ; le rocher est tacheté et porte à son extrémité, sous la patte environ du crocodile, un œil humain, deux têtes humaines et deux signes méconnaissables pour moi.
Plinthes du milieu sortes de couches terminées par des têtes humaines.
Il y avait, au milieu de cette admirable chambre, deux piliers l’un, fût renversé par le docteur Lepsius ; sur le deuxième pilier, d’un travail exquis