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ALY LE JUSTE
I
— Que veux-tu, femme ? le Mauvais marche avec celle-là qui court hors du harem, après le soleil couché, et l’épaisseur du voile ne remplace pas la pudeur perdue.
Aly avait un visage sévère, mais la femme se jeta à genoux, les mains jointes, se tordant les bras, les coudes sur le divan.
— Pour celle qui a tout perdu, il n’y a plus de ménagements, cria-t-elle ; qu’elle sauve au moins son âme !
En entendant cette plainte poignante, cet
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