< Page:Gautier - Fleurs d’orient.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— Que d’abord mes Khri-Habi, les magiciens excellents, soient consultés.
Et il se fit apporter un coffret d’or pour y enfermer le trésor magique.
Pendant ce temps, les beaux fiancés, ne sachant plus dans quel lieu du monde ils se trouvaient, se regardaient avidement, dans une telle plénitude de joie, que le souvenir seul de cette joie aurait suffi à enchanter toute leur existence.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.