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coups de canne, heureusement pas très vigoureux.

Grand-père, lui, fut très stupéfait de mon machiavélisme ; mais j’étais trop malade pour être grondée. On s’efforça sans me convaincre, de me démontrer que si l’on m’avait fait mal, c’était pour mon bien.

Cependant, quand je pus porter, sur mon bras guéri, une pile d’assiettes, j’allai au devant du docteur et, moi-même, je lui demandai pardon, de l’avoir pris pour le loup.

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