< Page:Gautier - Le Collier des jours.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ma sœur, Parisienne déjà blasée, laissa tomber

sur moi, un jour où j’avais peur d’un cheval, que je trouvais trop grand, et qui se cabrait !

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.