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LES PRINCESSES D’AMOUR
de l’enclos et piétine les fleurs ravissantes. Hélas ! hélas ! les sentiments les plus subtils, vont être pétris avec la boue et le sang !
« Dans l’alcôve désertée, les cordes de la lyre, avec un tintement lugubre, se brisent d’elles-mêmes !
« L’angoisse serre ma gorge ; pourtant mes larmes ne peuvent pas couler : l’ouragan déchaîné ne laisse pas tomber la pluie !
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« Comment durcir nos cœurs ? comment retrouver l’énergie et la force, après ces longues années de voluptueuse mollesse ? Les sabres, aux gardes embellies d’oiseaux d’or et de fleurs
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