< Page:Gautier - Les Princesses d’Amour.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.
179
LES PRINCESSES D’AMOUR

l’armée, fuyant, poursuivie, qui rentre, en désordre, dans le château.

« Je vois de ma fenêtre, les soldats se répandre dans les jardins, traînant des morts, des blessés, qu’ils couchent sur les gazons…

Et Lui ! Lui !… Oh ! oh !…

··············



Pavillon des Perles Rouges.
Au Yosi-Wara !
··············

« C’est une morte, qui reprend le pinceau, après tant de jours, tombés sur elle, comme des coups de poignard dans une chair inerte.

« Je lui dois, à Lui, d’écrire encore

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.