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UN TROISIÈME.

Je vais avec les autres.

UN QUATRIÈME.

Venez donc à Burgdorf ; vous y trouverez pour sûr les plus jolies filles, la plus forte bière et des intrigues du meilleur genre.

UN CINQUIÈME.

Tu es un plaisant compagnon ! l’épaule te démange-t-elle pour la troisième fois ? Je n’y vais pas, j’ai trop peur de cet endroit-là.

UNE SERVANTE.

Non, non, je retourne à la ville.

UNE AUTRE.

Nous le trouverons sans doute sous ces peupliers.

LA PREMIÈRE.

Ce n’est pas un grand plaisir pour moi ; il viendra se mettre à tes côtés, il ne dansera sur la pelouse qu’avec toi ; que me revient-il donc de tes amusements ?

L’AUTRE.

Aujourd’hui, il ne sera sûrement pas seul ; le blondin, m’a-t-il dit, doit venir avec lui.

UN ÉCOLIER.

Regarde comme ces servantes vont vite. Viens donc, frère ; nous les accompagnerons. De la bière forte, du tabac piquant et une fille endimanchée ; c’est là mon goût favori.

UNE BOURGEOISE.

Vois donc ces jolis garçons ! C’est vraiment une honte ; ils pourraient avoir la meilleure compagnie, et courent après ces filles !

LE SECOND ÉCOLIER, au premier.

Pas si vite ! Il en vient deux derrière nous qui sont fort joliment mises. L’une d’elles est ma voisine, et je me suis

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