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Scène II.


TRIBOULET, SALTABADIL.

Saltabadil.

Ouf ! c’est lourd. — Aidez-moi, monsieur, pour quelques pas.

Triboulet, agité d’une joie convulsive, l’aide à apporter sur le devant de la scène un long sac de couleur brune, qui paraît contenir un cadavre.

Votre homme est dans ce sac.


Triboulet.

Voyons-le ! quelle joie !
Un flambeau !


Saltabadil.

Pardieu non !


Triboulet.

Que crains-tu qui nous voie ?


Saltabadil.

Les archers de l’écuelle et les guetteurs de nuit.

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