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Dona Lucrezia.
Tant mieux ! je voudrais tant le savoir heureux !
Gubetta.
Voilà qui est singulier et n’est guère dans vos façons. Je vous croyais plus jalouse.
Dona lucrezia, contemplant Gennaro.
Quelle noble figure !
Gubetta.
Je trouve qu’il ressemble à quelqu’un…
Dona Lucrezia.
Ne me dis pas à qui tu trouves qu’il ressemble ! — Laisse-moi.
Gubetta sort. Dona Lucrezia reste quelques instants comme en extase devant Gennaro ; elle ne voit pas deux hommes masqués qui viennent d’entrer au fond du théâtre et qui l’observent.
Dona lucrezia, se croyant seule.
C’est donc lui ! il m’est donc enfin donné de le voir un instant sans périls ! Non, je ne l’avais pas rêvé plus beau. Ô Dieu ! épargnez-moi l’angoisse
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