< Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée

gens. De la forte le bord in cerne de la cou-

ronné feroit d'un rouge obfcur & le bord ex- terne acolore^ comme cela arrive ordinai- rement. La lumière qui paflè au travers d'une goute de pluie après deux réfractions & trois ou quatre réflexions; eft à peine fuffifante pour former un arc fenfiblé mais peut-être pourroit- «11e le devenir, au moyen de ces cylindres dont s'eft fervi Huygens pour expliquer lés parhéliesi DlîCliMÉ PRÔPOsitlONi Problème V* Par lei propriétés de la ïïï- tnière déjà découvertes rendre raifon des couleurs permanentes des corps. Ces couleurs proviennent dé ce que certains corps réfléchifTent principalementcertains rayons le cinabre ( pair exemple ) réfléchit principale- ment les ronges j & la violette .les violets. Ainfi j chaque corps tire fa couleur des rayons qu'il réfléchit en plus grànd nombre comme le prouvent les expériences qui fuivent.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.